La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1102)
La Comtesse et son clitoris Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite)
En fait, je me balançais légèrement, mes trois orifices bien ouverts
Un silence sabattit sur le groupe
- Ici, dit Abdou, tu vas être dressée à lobéissance absolue. En disant cela, il abattit son bras et je reçus une volée de fessées
- Ahhhh criais-je de douleur et dexcitation certaine
Puis, sans faire attention à mes cris, une autre volée de fessées matteignit sur lautre fesse me donnant limpression davoir la peau du cul en feu, tant elle devait rougir
- Crie autant que tu veux si ça te soulage car tu nas pas fini de hurler, crois-moi et personne ne viendra te chercher ici
Et si tout ça te fait mouiller, salope, eh ben tant mieux pour toi
Les fessées redoublaient dintensité, les douleurs et lexcitation aussi. Javais du mal à respirer... Au début je comptais les coups qui claquaient, jen étais à quarante-neuf sauf erreur, après je nai plus pu continuer de compter quand à la place de la main fesseuse, ce fut un fouet aux lanières claquantes qui tombaient encore et encore, sur mes fesses, puis mes cuisses, mes reins, mon dos, mes épaules, mes seins, lintérieur de mes deux cuisses
tout mon corps y était passé. Jétais labourée
. systématiquement labourée de coups de fouet et plus il me fouettait, plus mon bas-ventre était trempé dune excitation masochiste évidence
Je pendais lamentablement
A demi consciente, je me suis mise à faire pipi sous moi sans presque men rendre compte
Grosse rigolade de la part des gars et
- Regarde ! Elle pisse mais y-a pas que ça ! Elle mouille aussi, je te dis !
Abdou approcha de moi, saccroupit près de ma chatte, je sentais sa respiration sur mon clitoris, et dit :
- Mais cest vrai ça ! Une vraie chienne en chaleur ! ¨Passe-y la main pour voir !
Un des gars passa sa main sur ma vulve et
- Cest bien de la mouille pas de doute, elle est même trempée
- Elle aime ça, la salope, reprit Abdou, je men doutais.
Jentendais quil cherchait des choses dans un sac et au bout de quelques secondes, un hurlement de douleurs sortit de ma bouche largement ouverte. Il venait de placer sur mon téton gauche une pince dont les dents métalliques acérées se plantèrent dans la chair tendre du téton. De plus, il écrasait les mâchoires de la pince avec ses doigts enfonçant encore plus les dents dans la chair
Je hurlais de douleur
mais je ne pouvais contrôler ma perte de cyprine qui coulait le long de mes cuisses, sortant de ma chatte écartelée
- Elle mouille encore plus la chienne !
- Oui cest une bonne chienne qui aime quon la maltraite visiblement, répondit Abdou
Et au même moment, je le sentais tripoter mon autre téton qui durcissait
quand il vint de placer la seconde pince
ce qui me provoqua le même cri de douleur mélangé à une excitation amplifiée dans ma chatte en feu
Mes forces mabandonnaient lentement
Je tremblais comme une feuille
A nouveau, des coups de cravache cette fois, tombaient sur mes deux seins, avec méthode, dabord en haut des seins, puis au milieu des coups plus forts qui me donnaient limpression davoir perdu la moitié du sein, puis, au fur et à mesure quils se rapprochaient des aréoles, les coups devenaient carrément terribles, dautant quils étaient renouvelés au même endroit
Je faillis en jouir par ce sublime mélange douleur intense-excitation intense
Puis, il y eut une petite pose de quelques minutes, tandis que les gars samusaient à donner des pichenettes dans les pinces ravivant mes douleurs
et lécoulement de ma cyprine sur mes cuisses
Mes tétons raidis, me faisaient souffrir et ça mexcitait encore plus
Mais Abdou revint et toucha la pince de gauche
subitement
Je crus défaillir tant la douleur fut fulgurante et malgré mexcitation occasionnée, je mévanouis
Quand je revins à moi, jétais détachée, allongée à même le sol, le soleil était très haut, il devait être laprès-midi.
- Cela fait une demi-heure que tu dors, me dit Anne, jai été amenée pour veiller sur toi
Deux hommes nouveaux arrivaient, assez bien habillés, accompagnés dAbdou. Sitôt quelle les vit, Anne se prosterna tandis que je restais allongée
Les deux hommes, dun certain âge, détaillèrent les deux femelles
Tandis que le premier défaisait déjà sa braguette, présentant son sexe à Anne
Immédiatement Abdou intervint :
- Non Monsieur, désignant Anne, celle-là est banale, lautre (me désignant)
. Je vous la conseille. (puis à moi avec un coup de cravache sur mon épaule) - A genoux salope et fait du bien à Monsieur !
Lhomme en question avait sorti sa verge, et me la présentait à la bouche. Je le léchais, malgré mon dégout car il ne sentait pas bon, ou plutôt il sentait comme sil avait déjà juté mais ne sétait pas lavé ensuite
- Nettoie-moi, dit-il ! Je viens de baiser une de tes surs de soumission
Je passais ma langue sur le gland, autour de lui, nettoyant, léchant, avant de lavaler plus profondément
Je commençais de le pomper, tandis quAbdou, accroupi devant moi, donnait des pichenettes à mon clitoris
qui naturellement réagit rapidement
Lhomme que je suçais, semblait aimer ce que je lui faisais, il gémissait, puis, ouvrant subitement plus grand ma bouche, je lavalais complètement lui arrachant un :
- Ahhhhh, la garce, elle est bonne, Abdou tu as raison
elle
elle
sait
y faire, hummmm !, la salope
! (Lhomme regardait son collègue et le pouce levé en signe de satisfaction
) - Cest la nouvelle ?
- Oui Monsieur, répondit Abdou !
- Vous avez trouvé une bonne suceuse, à ne pas douter, mon ami ! dit lhomme
- Oui Monsieur, regardez comme elle vous suce bien
Et regardez aussi ça !
Il montrait à lhomme comment il faisait avec mon clitoris maintenant bien dressé, commet il me le branlait sans ménagement faisant passer ses doigts à le frotter en de petits cercles et mon clito commençait à avoir faim
- Elle mouille ! dit celui qui attendait et qui ne perdait rien de la masturbation dAbdou sur mon ami le clitoris
Tandis que maintenant je pompais avidement la queue placée sur ma langue
- Et voilà reprit Abdou, plus je la travaille celle-là plus elle aime ça, la preuve
- Incroyable, reprit celui qui regardait
Cest au même moment que celui que je suçais déchargea en ma bouche, au bord du manque dair, devenu blanc de visage
Tandis que javalais son foutre, sa bite ramollissait rapidement, devenue pendante
Mais lautre compère, excité par ce quil avait vu voulait sa part également.
- Masse-moi de ta chatte, petite salope, ordonna-t-il, et ne va pas trop vite, je te le ferai regretter crois-moi
Je me posai donc au-dessus de sa tige, lui faisant face mes mains derrière la tête, et commençais de me frotter à elle, lentement, très lentement, je menfonçais un peu, ressortait, menfonçais à nouveau. Un peu plus, remontais à nouveau, massant ce sexe dur avec ma vulve bien mouillée
Progressivement je menfonçais sur elle, mais toujours en la massant, contractant mes muscles intimes, enserrant sa bite comme dans une main
Alors que jétais aux trois-quarts assise sur la bite raidie, mon col utérin toucha son gland et par des contractions que je savais faire, ne bougeant plus, je faisais bouger mon nez utérin sur le gland comme un doux léchage quaurait fait ma propre langue, tandis quen même temps, je contractais ma vulve qui serrait la bite
- Comment fait-elle ça, celle-là ?
- Que fait-elle ? demanda Abdou
- Je ne sais pas, elle me lèche le bout semble-t-il mais elle ne bouge pas pourtant
- Je vous avais dit, Monsieur, quelle était bonne et pas banale
- Vous savez à quel point on les dresse bien, Monsieur, mais, elle, cest autre chose, je le sens, il va falloir la tenir fortement la garce, mais elle promet
Je sentais lhomme, surpris pas loin de venir, aussi je menfonçais plus fortement sur lui, remontait à nouveau plus rapidement et me renfonçais dun coup, jusquen bas, lui pressant les couilles
Lhomme se laissait faire
gémissant, soufflant lorsque tout dun coup, il juta dans un long râle
re juta à nouveau
et resta inerte sous moi en coït
Anne navait rien fait jusquà présent, Abdou me fit me relever, et sitôt debout, le foutre commença de sécouler
dun claquement de doigt dAbdou adressé à Anne :
- Nettoie-là lui ordonna-t-il
Anne se précipita entre mes jambes que jécartais, et léchait le foutre qui coulait, tout en me nettoyant de sa petite langue chaude.
(A suivre
)
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