Une Expérience Sociale 1

Bonjour, ça fait quelques années que je lis assidument les histoires sur ce blogs et que celles-ci sont toujours intéressantes.
Récemment, je me suis décidé à écrire la mienne. C’est une histoire fictive en plusieurs parties. La première est la description de la situation et du personnage (vu à la première personne), et sa première rencontre, la deuxième est sa rencontre avec un deuxième homme, etc ...
Pour chaque rencontre, je vais essayer d’accorder le vocabulaire et le niveau d’écriture au style de la rencontre du héros. Par exemple, son premier partenaire est un dandy bourgeois et le style d’écriture reste relevé, détaillé mais pas trop cru.
J’aimerai avoir votre avis sur ce projet et sur la première partie. N’hésiter surtout pas à me laisser des commentaires bons ou mauvais, c’est une première fois, j’aurai besoin de m’améliorer pour sûr. De plus, indiquer moi si vous voulez une suite et proposez moi un style de personnage pour la deuxième rencontre, je choisirais parfois les propositions en fonction de mes envies.

Bonne lecture.

(histoire fictive)

L'Amant

Je me présente, Kronos, 23 ans grand brun aux yeux gris et étudiant en psychologie. Je ne sais pas pourquoi mes parents m’ont choisi ce prénom là et bien qu’il ne fit que m’attirer des ennuis au primaire et secondaire, aujourd’hui, c’est un prénom que l’on n’oublie pas. Et moi non plus, on ne m’oublie pas. Je suis pas du genre vantard mais je dois reconnaitre qu’il y a un certain charme en ma personne. Je suis sportif et j’apprécie particulièrement les sports peu répandus. De ce fait, je me suis construit une belle musculature, rien d’impressionnant mais suffisamment pour faire retourner les filles dans la rue et me sentir bien dans ma peau. J’ai decidé de me laisser pousser les cheveux il y a quatre ans à la suite d’un pari perdu lors du week-end d’intégration de ma fac. Depuis, je les coiffe en chignon sur le haut de mon crane et les filles adorent ça.

J’ai beaucoup de succès auprès des filles et c’est ça mon problème. Je ne suis pas du tout attirer par les filles. Mon truc à moi, c’est les mecs, tous types de mecs, je me fous de leur âge, de leur nationalité, de leurs origines, de leur statut social. J’aime le sexe des hommes. Aujourd’hui, je ne vous raconterai pas l’histoire de ma première fois avec un homme. À la fois parce que c’est un moment spécialement intime de s’ouvrir à un homme pour la première fois mais aussi parce que c’était pas suffisamment intéressant pour en valoir une histoire. Disons simplement que durant les années qui suivirent cette décevante expérience, j’ai roulé ma bosse entre plan q occasionnelle, régulier, parfois en couple mais ils furent tous voués à l’échec au bout de quelques semaines. Durant ce temps je me suis aussi construit mon corps idéal dans lequel je saurai me sentir au mieux d’assumer pleinement ma sexualité et tous ses aspects coquins voir carrément dégradant. J’ai soigné ma musculature, fait pousser mes cheveux le plus possible pour obtenir une longueur me permettant d’être pris pour une femme à première vue, effec une épilation au laser de mon torse et des mes parties génitales. Ainsi, mon pénis en érection pointant son oeil luisant dans sa coiffe de prépuce ressemblait à une tour du bonheur s’élevant au dessus d’une plaine ras et lisse. Et c’est il y a une semaine, une fois tous ces éléments réunis que commença ma première expérience extrême. Premièrement, il me fallait des participants. J’allais donc sur mon site de petites annonces favorites et posta ma propre annonce concernant ma propre petite expérience qui allait se révéler haute en couleurs:

TimeTravelKronos:
jh de 23 ans 180cm 78kg yeux bleu cheveux brun sportif epilation totale
petite chatte bien serrée et bonbons malléable à volonté, bouche gourmande et affamée, nourrisser la avec votre nectar ...

Je décidai de commencer par une courte et succincte présentation physique. J’ajoutais ensuite quelques détails bien explicite pour stimuler leur imagination et potentiellement leur érection.
À présent, j’entrais dans le vif du sujet. Il y avait donc un scénario en deux parties, la première partie était ma parti. Je décidais du scénario: l’heure, la date, ma tenue, sa tenue, le lieu de rendez-vous, et l’histoire. Pour ce qui était du purement sexuel, mon partenaire avait champ libre. Je devenais son objet sexuel, son sex toy, sa vidange, son amour, son amant, son désespoir… La deuxième partie, les rôles étaient inversé. Il était le scénariste et moi, en restant un trou à combler, je lui ordonnais comment me baiser. Le principe alliait à la fois un jeux de rôle, du BDSM, de l’exhibitionnisme et surtout du sexe hardcore. A la fin de l’annonce, je mentionnais qu’il était impératif que les participants m’envoient une photo de leur sexe en érection et qu’il ne se masturbe pas la veille de l’évènement. Le but de cette demande était forcement qu’ils aient une plus grosse éjaculation, mais aussi d’avoir une idée de la taille de leur sexe pour que je puisse me préparer avec un plug anal approximativement de même dimension en largeur. Je voulais que ça glisse dans mes entrailles sans forcer, comme l’épée dans son fourreau. Pour ce qui est des éjaculations, j’ai un problème avec le sperme. J’adore ça. Je suis obsédé par ce liquide visqueux, gluant, odorant mais si gratifiant à recevoir dans sa gorge, bouche, sur son visage, et dans ses entrailles. Le lendemain, j’avais déjà reçu un nombre de réponse sans précédent, 89 au total. Après une matinée entière et un bout de l’après-midi, j’avais sélectionné mes contestants. Après une discussion avec chacun d’eux, j’avais déterminé des scénarios, des costumes, des actions particulières et ment un lieu et une heure. Je me laissais des intervalles de temps entre chaque personnes et j’avais convenu d’une rencontre tous ensemble quelques jours après l’expérience. Cette rencontre avait un but précis que j’expliquerai en temps venu.
Le lendemain matin, je me préparais pour mon marathon de sexe. Je prenais une douche et effectuais un lavement en profondeur et méticuleux afin de rester propre toute la journée.
Mes pauses entre baises intenses me permettaient de revenir chez moi pour me laver et ré-effec un rinçage anal rapide. Ainsi, je partis pour mon premier rendez-vous à 8h précise du matin. Je m’étais travesti pour l’occasion et j’avais un plug de belle taille dans le cul. Je sentais l’adrénaline montée et une certaine appréhension mêlée d’excitation me tiraillait les entrailles. Je pouvais sentir un début d’érection et une légère humidité au niveau de mon gland sur le tissu fin du string que je portais. Mon anus palpitait autour de ce colosse qui me frottait déjà la prostate lorsque je marchais. Ceci eu pour effet que je me dandinais plus que je ne marchais ce qui était surement comique à voir de l’extérieur. J’avais choisi mon premier contestant par la taille de son membre. Il était imposant mais pas le plus gros du tas et surtout relativement court. Je voulais me faire bien dilater pour commencer mais ménager le fond de mon cul en vu des autres suivants. J’arrivais donc au point de rendez-vous, un pont dans une zone relativement déserte. Je m’accoudais à la rambarde et regardais l’eau coulait sous mes pieds. Mon partenaire ne tarda pas à arriver. C’était simple, pendant 30 minutes j’étais sa chose mais nous devions strictement restés sur ce pont et ne pas retirer les déguisements. Ensuite, ça serait à mon tour de lui ordonner de me baiser comme bon me semble.
Mon premier contestant était un homme d’une quarantaine d’année. Il s’était présenté comme un homme de bon goût à qui sa sexualité fut refoulée par les pressions familiales dans son enfance. Il était le patron d’une petite entreprise florissante et n’avait pratiquement plus besoin de travailler pour vivre confortablement. Il m’avait expliqué être bloqué dans son mariage raté par sa femme possédant la moitié de son marché. Il avait connu d’autres hommes auparavant. Mais son fantasme était un homme déguisé en femme qu’il pourrait prendre passionnellement. Je le vis arriver habillé d’un pantalon beige taillant serré ses jambes.
Il portait une chemise de flanelle d’un blanc cassé, et un veston sans manche qui mettait en valeur ses larges épaules. Il avançait la tête baissée comme pour ne pas être reconnu. Arrivé à ma hauteur, je le rassurais immédiatement quant à son anonymat. Dans ce coin, baiser n’est même pas considérer comme public au vu des possibilité de se faire prendre. Un désert serait plus peuplé.
Il se glissa alors derrière moi et colla son bassin contre mon cul. Je pouvais sentir son érection palpitante au travers le tissu de ma fine mini jupe. Je me cambrai pour lui montrer que j’étais prêt et que le scénario pouvait débuter.
Il me prit par les hanches et me colla plus fortement à lui et son érection. Je le sentis s’écarter quelques instants puis il revint presser son bassin contre mon cul. Il avait sorti son sexe et je pus alors sentir son pénis glissait sur ma raie et ses bourses pendantes percuter le pied du plug toujours dans mon trou. Je réalisais alors l’érection phénoménale qui avait fait ériger mon pénis carrément hors du bout de tissus se voulant être un string.
Fermement mon amant me fit retourner face à lui et après un langoureux baiser dans mon cou, il poussa doucement la tête vers le bas, me forçant à me mettre à genoux face à son membre. Par tous les diables qu’il était beau. La peau était si lisse et d’une douceur exquise. Son gland était d’une taille parfaite et s’alignait parfaitement avec la tige de son pénis. J’avais déjà eu un aperçu de cette merveille forcement, mais me retrouvant face à elle, à quelques centimètres seulement … Je me jetais avidement dessus et lui gobait le gland d’où perlait déjà une grosse goute de liquide pré-séminale. Je lui avalais le pénis, l’enfonçant au fond de ma gorge jusqu’à sentir ses couilles me collait le menton. J’effectuais plusieurs fois ce va-et-vient à des cadences différentes et ce pendant de très longue minutes. J’adorais ça, je me perdais dans le plaisir que son pénis me donnait. Le sentir dans ma gorge, gouter ce morceau de chair, caresser ce doux gland ... Lorsqu’il m’arrêta subitement. Il me fit remonter, m’embrassa et me retourna contre la rambarde. J’étais revenu à ma position initiale sauf que cette fois il retira mon plug et immédiatement il m’emplit de son membre. J’ouvris la bouche et poussait un cri silencieux. Pas de douleurs, mais un cri de surprise et d’un plaisir que seul ce qu’ils l’ont vécu peuvent comprendre. Je pouvais sentir chaque centimètre carré de son sexe en moi. Sentir le gland circoncis qui avait pénétrer mon intestin alors que le corps de son pénis emplissait totalement mon colon, sentir ses bourses contre les miennes et pouvoir percevoir le léger mouvement de chaque testicules qui remontent et redescendent doucement. Sans plus attendre, il s’activa à faire des va-et-vient et à chacun de ceux-ci je pouvais sentir ce sexe magistrale re-découvrir chaque recoin qu’il venait tout juste de stimuler. À ce niveau là, ce n’était plus une goutte de méat qui se trouvait à la verge de mon pénis mais littéralement un nouveau filet répétitif à chaque coup de butoir que j’encaissais.
Alors que le nirvana n’était qu’à deux doigts de moi, la partie 1 du scénario prit fin. Immédiatement, je me suis mis à quatre pattes sur le sol et je lui ai ordonné de me prendre comme une chienne tout d’abord en douceur, centimètre par centimètre et de me surprendre à l’instant de son choix par une pénétration totale et violente. C’est qu’il fit. La pénétration lente me fit apprécier le bonheur de sentir son anus qui tente de reprendre sa forme, se faire distendre doucement à nouveau et s’ouvrir pour recevoir ce morceau de chair qui procure tant de plaisir. Puis vint la pénétration violente. Celle-ci je ne peux réprimer un léger cri qui passa inaperçue dans ce lieu abandonné de la ville. Mais à la suite de cette poussée dominante, je m’écroulais sur le ventre tendant les fesses vers le ciel. Dans un gémissement de plaisir, je lui ordonnais d’y aller à la vitesse, l’intensité et la profondeur qu’il voulait. J’éjaculais une quantité impressionnante de sperme qui stupidement me rendit triste car ayant l’habitude de gouter le mien, je suis dit que c’était une bonne récolte de perdue.
Mais au même moment, je sentis le pénis de mon contestant se raidir, grossir légèrement, et commençait à avoir des soubresauts. Sans réfléchir, je me retournais vers lui, l’allongeais sur le sol, son pénis turgescent sur le point d’exploser tel un volcan se dirigeant vers le ciel, je l’englouti. En de puissants sursauts, je sentis mon compagnon se vider. J’acceptais avec amour ses puissants jets mais je ne les avalais pas immédiatement. Ma bouche s’emplit du doux nectar pendant de longues secondes par saccades à l’intensité décroissante. Je le branlais encore pendant quelques secondes pour être sûr d’avoir récolté tout le liquide divin.
Ensuite, je pris un plaisir immense à avaler le fruit de mon travail, la récolte de ses bourses, sa semence douce et chaude. J’avalais petites gorgées par petites gorgées afin d’apprécier à chaque fois le doux douçâtre et légèrement acre de ce fluide, et le fait de sentir chacune de ces gorgées gluantes descendre dans mon oesophage. J’étais repu pour le moment. Mon compagnon se releva et m’aida à faire de même. Je tremblais sur mes jambes. J’avais sous-estimé ses capacités physique et celle de son sexe. Il prit le temps de m’embrasser passionnellement et sans un mot, me tourna le dos et s’en alla.
Je restais quelques instant seul sur le pont, mon plug trainant par terre, à regarder cet Apollon s’éloigner. Je pris une cigarette et l’allumait avec une allumette. Prenant une longue bouffée, je remis la ficelle de mon string en place. Elle se servait pas à grand chose à présent. Toutes personnes regardant sous ma jupe verrait une ficelle devant un trou béant. Je me ré-accoudais à la balustrade et observais le paysage. Pour un premier contestant, l’expérience se présentait plutôt bien. Sous ses aires de dandy, bourgeois trop bien élevé, il avait réussi à montrer une part bestiale et perverse dans ses actions. Ça m’avait plu. Cependant, il ne représentait pas mon idéal sexuel bien que c’est toujours agréable d’être bien baisé et bien traité. Mon côté soumis extrême s’insurgeait contre moi et me poussait à rentrer au plus vite pour rejoindre le suivant. Cependant, je profitais de la vue encore quelques minutes sentant un courant d’air frais caressant mes parties et soulageant mon trou excité. Enfin, je ramassais le plug et le rangeais dans mon sac à main faisant partie de mon déguisement puis je me décidais à rentrer.

(à suivre)

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