La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1103)
La Comtesse et son clitoris Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite)
mais de la cyprine tant je me sentais de nouveau bien excitée
Les deux beaux Messieurs étaient repartis. Je restais avec Anne et les trois gars. Abdou avait ordonné de nous garder toutes les deux, ajoutant « jusquà ce que je revienne ». Il était parti depuis un bon moment, jétais à part avec Anne, tandis que les hommes étaient à quelque mètres de nous. Tout le monde attendait. De temps en temps, lun des hommes sapprochait de moi, et regardait mon corps et surtout mes fesses et seins, vraiment très marqués. Les zébrures devenaient violacées et boursoufflées
Puis le temps passant, lun dentre eux défit sa braguette, sortit sa verge bien raide et fit venir Anne. Il lempoigna par les cheveux, lui colla la bouche sur le sexe, sans un mot, et Anne se mit à le lécher
Un autre, en fit de même avec moi, tandis que le troisième, sexe sorti, se masturbait lentement. Celui-ci venait se faire sucer soit à moi puis repartait vers Anne, en fait il attendait son tour
Annie et moi, léchions, pompions les deux queues. Tandis que je suçais la queue tendue, je me surpris à tenter de lui donner beaucoup de plaisir, mappliquant même, et je sentais le gars apprécier ma langue, mes aspirations, mon léchage, mon enfoncement sur la tige, jusquau fond de la gorge même alors quil ne lavait pas exigé
Excitée comme jétais, je voulais lui donner du plaisir, aussi je mappliquais aussi, à contrôler son éjac réflexe
de temps en temps je prenais lautre bite qui allait dAnne à moi, mais dans ce cas, de ma main, je caressais le gland pour ne pas le laisser refroidir. Le gars que je suçais, me caressait la joue et je sentais dans ses doigts de la douceur
Ensuite, le reprenant en bouche, la douche chaleur de mon palais, ajoutée au toucher velouté de ma langue, il gémissait de plaisirs jusquau moment où il se libéra en plusieurs jets de sperme chaud saccadés que javalai avec délectation.
- Viens ici, toi !
Je mapprochais. Il me montrait le sulky et plus précisément le devant du sulky. Il en fit de même avec Anne quil plaça devant la charrette. Alternativement, il nous regardait toutes les deux devant les véhicules, recommençait, nous faisant changer de charrette
pour finalement nous dire :
- Toi ici et toi là.
Annie était devant la charrette et moi devant le sulky. Chacun des deux véhicules navait quun seul timon
Abdou me le fit enjamber, laissé à terre, tandis quAnne en fit de même avec celui de la charrette. Il remonta entre mes jambes le timon, au bout duquel était placée une sorte de ceinture dont je compris très vite lutilité. Il ny avait pas que cela ! Deux appendices, articulés et amovibles, se faisaient face
quelques centimètres décart lun de lautre. Sur le timon qui métait destiné, Abdou enleva les deux appendices, et en vissa de plus longs et gros. Après que jeus enjambé le timon, je dus massoir sur les appendices de façon à les faire entrer, lun dans la chatte et lautre dans lanus. Tandis que celui destiné à la vulve était de belle longueur et grosseur, celui de lanus était plus gros encore et plus long également. Après quelques tortillements de cul destinés à faire entrer les gros godes
Une fois installée, Abdou fixa la ceinture autour de ma taille, tandis quAnne était harnachée de même façon avec la charrette. La sensation de remplissage était maximum, au moindre mouvement de mon corps, les deux godes se rappelaient à moi en mes fondements
Je comprenais ce qui allait arriver, mais pas tout cependant
.
- Aïeeee !
Le gauche maintenant
Même douleur. Ma chatte réagit instantanément et je sentais de nouveau celle-ci shumidifier encore plus que sil y avait uniquement que le gode bien planté en elle pour la faire mouiller
Redescendu de son siège, il mordonna :
- Ouvre ta gueule de jument, salope ! (Jouvrais la bouche)
- Ouvre plus !
Jobtempérai
Abdou plaça derrière mes molaires une barre en travers, un mors qui avait deux illetons, auxquels étaient accrochés, deux cordes
Puis Abdou grimpa sur son siège et dit :
- Ainsi tu as encore plus lallure dune jument
Allez, on essaie !
Ecoute bien, salope, si je tire les deux rênes en même temps, ça veut dire daller tout droit, si je tire celle de droite, tu vas à droite, etc, tu as pigé ?
- Oui, Monsieur, répondis-je, avec le mors entre les dents
Il prit les rênes, et tira les deux en même temps ! Mes tétons sétirèrent de chaque côté, entrainant les seins
- Ouf, fis-je, en tentant de ne rien dire
Par la force de mes cuisses, je me mettais en marche, mais me rendis compte très vite quen fait, cétaient les reins qui travailleraient le plus
En démarrant le sulky, les deux godes se tassèrent en moi en senfonçant encore plus, celui du cul remontant fortement dans lanus me provoquant dexcitantes sensations. Le sulky, pourtant léger de nature, ne fut pas aisé à mettre en marche et cest en cahotant quil avançait.
- Soit plus régulière dans tes pas, cria Abdou
Puis alors que javançais maintenant, péniblement, mais javançais quand même, un coup de fouet sabattit sur mon dos, en travers, ce qui me fit changer dorientation, partant vers la gauche. Immédiatement, Abdou tira fortement sur la rêne droite, pour me remettre dans le bon sens de la marche. A nouveau, mon téton sétira, le sein suivit, me faisant grimacer de douleurs, me faisant mouiller à chaque fois
Mais à chaque pas, les deux godes bougeaient aussi en moi, et par un jeu de balancier, vu le poids du timon, ils entraient et sortaient de mes orifices en un mouvement régulier, qui, au bout dun moment, devenait finalement quoique pervers, agréable. Javançais ainsi mais Abdou ne semblait pas satisfait, malgré les deux ou trois autres coups de fouet, cela nallait pas assez vite selon lui.
- Tu vas voir, je vais te donner du cur à louvrage ma belle
(Il repartit vers la voiturette et en rapporta quelque chose que je ne pus voir, me forçant à tourner les yeux)
- Ecarte tes pattes, salope
Jobéis
. Il tapotait mon clito comme pour le tester, celui-ci érigé cependant ne fut pas du goût dAbdou, qui recula, prit la cravache accrochée à sa ceinture et en donna un coup sec sur le nez
- Ahhh !, dis-je, me cabrant
Vous connaissez la façon de réagir de mon ami le clito quand on lui parle ainsi
Abdou, frappa encore et encore, et à chaque fois, mon clitoris se dressait encore plus, tout excité
- Cest mieux ainsi, dit-il
Il sortit de sa poche quelque chose que je ne voyais pas, et le « colla » sur le clito, lenveloppant entièrement sur sa longueur
Puis, il actionna à distance une télécommande et
- Ohhhh ! dis-je immédiatement
Des vibrations dune telle intensité menvahirent qui ajoutées à celles provoquées par les godes remuant en moi, me donnèrent, selon Abdou, un meilleur cur à louvrage. En tirant le sulky, les deux godes travaillaient mes trous de salope, tandis quAbdou, depuis son siège, accélérait ou diminuait les vibrations, augmentant ainsi mes excitations clitoridiennes
Un coup de fouet sur les reins, les deux rênes tirées en même temps et me voilà partie
telle une jument, tirant son cavalier juché
Le mors en bouche ne servait quau décor
Abdou poussa la ressemblance, quand lessai fut terminé, à mattacher par mon collier à un anneau de mur
Il fit les mêmes choses avec Anne
Un gars prit place aux commandes de la charrette attelée à Anne ! Abdou et le gars tirèrent sur les rênes en même temps et nous voilà parties, elle et moi, pratiquement côté à côte, sur un chemin relativement plat et sableux, telle sur une piste dhippodrome.
Le plus dur était de lancer les deux machines, mais ensuite, il suffisait dentretenir la cadence, nous nallions pas vite, ce nétait pas le but. Le problème était ailleurs
. Mes tétons saignaient, mordus comme ils étaient par les pinces, mais cétaient surtout les godes et encore plus le vibro placé sur le clito qui me faisaient des sublimes effets insoupçonnés. La simple marche, faisait remonter et descendre le timon et donc les deux godes, qui senfonçaient et ressortaient de mes trous de femelles, et que je le veuille ou pas, les sensations reçues par eux, augmentées par celles que le clito recevait, me mettait surement et encore plus en un état de femelle en rut
Aussi étonnant que celui puisse paraître, le fait dêtre harnachée ainsi participait à une sorte de dégradation humaine, mavilissant et me ramenant à létat de bête, dune jument
Ainsi, mes plus bas instincts refaisaient surface, je me sentais femelle, bonne à subir tout dressage afin de méduquer en une bonne esclave docile et chienne en chaleur
Et jaimais ça, jen ressentais un plaisir inouï à être ainsi traitée de la sorte, en une simple esclave femelle
Le tout, mis bout à bout, me faisait me concentrer sur le ressenti de ma chatte, mon cul et mon clito
Rapidement, mes envies orgasmiques prirent le dessus, et les coups de fouet reçus sur le dos, participaient de mon excitation bestiale
Rapidement, je lançais un coup dil à Anne qui me semblait être dans le même état excité que moi
Cependant, la montée de mon désir, me déconcentrait parfois dans mes pas, et un solide coup de fouet me ramenait à la réalité
Mais on ne pouvait pas empêcher cette puissante excitation, cette humidification intense qui me taraudait la chatte.
- Ahhhh ! criais-je, me reprenant, tandis que le clito vibrait
Oui mon clito vibrait de plus en plus fort alors que les godes montaient et descendaient en moi en un massage érotique devenant brûlant
Mes seins ballotant, Mes tétines fortement pincées, activées de temps en temps par les rênes, les godes bien enfouis et bougeant, mon clito érigé, tout semballait en moi
jusquau moment, où nen pouvant plus, les orgasmes arrivèrent sans crier gare, me faisant ruer dans les brancards, recevant de plus en plus de coups de fouet et les tétons étirés fortement des deux côtés
Mes seins très écartés, car tirés de chaque côté, me faisaient souffrir horriblement, à cause du mors, je bavais
mais je jouissais comme une bête sans interruption dans une explosion orgasmiques dune intensité incroyable
Les hommes riaient aux éclats, mabreuvant de quolibets salaces
jusquau moment où Abdou arrêta le sulky, descendit, et se présenta à moi, braguette ouverte, verge déjà dressée sortie me faisant signe de le sucer
Me voir jouir ainsi lavait très certainement excité. Lautre gars en fit de même avec Anne
Malgré le mors qui me gênait beaucoup, je léchais, titillais, pompais, avalais, recrachais la bite durcie dAbdou, qui commençait de sourdre
De ma langue, jécartais la fente de son gland, léchant la liqueur qui commençait de se répandre, comme une assoiffée de foutre
mes lèvres resserrées autour de sa tige, je le sentais arriver
je pressais son gland entre ma langue et le palais, pour ralentir sa venue
. mais trop excitée moi-même, je ny parvins pas entièrement et le laissa se vider en plusieurs jets de sa semence
que javalais aussitôt
Une fois ses couilles vidées, et à ma grande surprise, il sortit de ma bouche, toujours aussi raide quau début, il me mit à rire devant ma mine étonnée, ses dents très blanches tranchaient à côté de la couleur de sa peau et il me dit :
- Recommence petite toubab, jen ai encore pour toi !
A nouveau je le repris en bouche, tandis quil actionnait sa télécommande la lançant à fond
Je me cambrai tant la vibration était forte et violente
- Ahhhh !
ouiiii !
encore !, criais-je
Pour toute réponse je reçus une paire de gifles, tandis que de son doigt, il me désignait sans un mot, son gland
. ses yeux étaient rieurs
. Javalais à nouveau sa tige, et recommençais de le branler du mieux possible, tandis quen moi se déversaient des torrents de lave en fusion
Mon bassin, remuait en tous sens, faisant bouger ces satanés godes en moi
tandis que, toujours penchée en avant, je continuais de le pomper activement
Jenviais Anne qui avait été désaccouplée du gode vaginal et était prise par le gars en cet endroit à même le sol en levrette
. Javais la chatte en fusion
mais Abdou ne semblait pas, à la fois juter à nouveau, se contentant du léchage que je lui faisais subir, et sintéresser à autre chose que ce quil voulait, lui ! Il mit beaucoup de temps à juter à nouveau, mais cette fois, ce ne fut pas des jets mais un seul et quel jet
Jen avais la bouche remplie, vraiment remplie, pas de ces jets de la taille dune petite cuillérée à café habituelles, mais plutôt de celle dune louche, tant ma bouche en était remplie à me faire rendre. Je mis trois fois à tout avaler faisant bien attention de ne pas en perdre
Pour une surprise, ce fut une surprise
Cest dans cet appareil que nous fûmes ramenées à nos box décurie, nos voisines nous regardant arriver, Anne et moi. Nous avons été désaccouplées de nos godes, des vibros, les mors nous ont été enlevés, et les pinces aussi, nous laissant des marques sanguinolentes
Réinstallées dans les box, nous fûmes attachées par nos colliers à lanneau placé dans le mur, mains liées sur les reins
Javais soif, et je dus me mettre à quatre pattes, lapant dans mon écuelle, leau fraîche. Je bus tant que quelques temps plus tard, prise de pipi urgent, jécartais les cuisses et urinaient debout, sur la paille servant de litière
Jétais devenue un animal, un chose, un objet sexuel
et si heureuse de lêtre !
(A suivre
)
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