La Fille De L'Aeroport
Jai 50 ans et je suis enseignant, dorigine espagnole. Je voudrais vous raconter ma première rencontre avec Séverine. Pour vous la décrire sommairement, elle a 25 ans, nest pas très grande, assez mince, et son visage est celui dune femme , aux traits doux et aux expressions ingénues. Jajoute quelle est brune et que sa peau, très blanche, est ornée çà et là de taches de rousseur.
Cétait il y a six mois, déjà. Nous avions dabord fait virtuellement connaissance sur un célèbre site de rencontres puis, après quelques soirées à chatter, nous sommes convenus dun rendez-vous, un soir, à la terrasse dun café. Elle était intimidée au début, moi aussi dailleurs. Mais, après quelques verres de vin blanc, nous nous sommes détendus, et nous avons même commencé à parler de sexe. Elle ma confié quelle avait assez peu dexpérience avec les mecs, et quelle comptait sur un homme plus âgé quelle pour lui apprendre des choses.
Il faisait beau, et nous sommes partis nous promener sur les quais de la Seine. Finalement, comme la soirée commençait à être bien avancée, je lui ai proposé de venir prendre un petit rafraîchissement chez moi. Nous savions tous les deux ce quil risquait de se passer, et nous savourions ces instants qui précèdent la découverte de lautre. À la maison, nous nous sommes installés sur le canapé pour siroter un verre de jus de fruit. Elle ma demandé si elle pouvait prendre une douche, je lui ai dit oui, bien sûr, et je lai attendue sur le canapé en feuilletant le dernier numéro dUnion que javais laissé traîner sur la table basse. Quand jai entendu la porte de la salle de bain souvrir, je lai caché à toute vitesse entre les deux gros coussins du canapé. Elle est sortie, enveloppée dans une serviette, et ma dit tout naturellement : « Il fait trop chaud, je ne me suis pas rhabillée ! » Jétais plutôt content de moi : javais réussi à la mettre à laise. Tellement à laise dailleurs, que je lai vue laisser tomber la serviette à ses pieds ! Jétais médusé.
Elle avait décidé de prendre linitiative, et elle ma embrassé à pleine bouche. Jai posé mes mains sur ses seins, et elle sest calée sur la bosse de mon pantalon, que la lecture dUnion avait rendue bien dure et gonflée. Ça commençait à devenir douloureux dailleurs. Je me suis dégagé de son étreinte en lasseyant à côté de moi, puis, je me suis débarrassé rapidement de mes vêtements. Ma queue était énorme, et je nai pas pu mempêcher de me masturber devant elle. Elle me regardait faire, fascinée, en ouvrant de grands yeux. Puis jai vu son visage savancer lentement vers mon sexe. Elle a tendu la langue et ma léché les couilles, pendant que je continuais à me branler doucement. Je lui ai dit que javais envie de goûter sa chatte
Elle est retournée sur le canapé et, écartant les cuisses, ma offert ses lèvres humides et gonflées. Ma langue senfonçait dans sa petite fente, et je lentendais haleter de plus en plus fort. Jalternais les coups de langue, je lapais ou forais, et je maventurais parfois plus bas, dans sa raie si douce où coulait sa mouille. Elle sest révélée tellement sensible de ce côté-là que je nai pas hésité à insister, du bout de la langue, pour forcer le petit orifice. Celui-ci souvrait, puis se contractait
Je lenculais de ma langue, et elle mencourageait à continuer. Avec deux doigts, elle se branlait de plus en plus vigoureusement.
Tout à coup, un jet puissant ma arrosé le visage Séverine était femme fontaine, et elle ne mavait rien dit ! Dautres giclées mont mouillé le torse, elle sen est excusée et, après être lentement redescendue de son orgasme, elle ma glissé : « Tu me pardonnes si je te laisse menculer ? » Cette phrase a redonné de la vigueur à ma tige. Séverine sest levée pour aller fouiller dans son sac et en sortir une petite dosette de lubrifiant.
Séverine ma chevauché, enfonçant mon gland dans sa rosette. Je my trouvais bien, serré, mais je craignais que cette pression ne déclenche trop vite mon orgasme. Le visage de Séverine se crispait, tandis que les contractions de son ventre indiquaient quelle poussait pour faire entrer ma queue. Ça a duré quelques minutes, puis je me suis senti glisser dun coup à lintérieur de son rectum. Elle est restée fichée ainsi, sans bouger, le temps de bien détendre ses sphincters. Puis, elle a levé le bassin et a fait coulisser ma bite dans son cul de plus en plus vite. Son plaisir était tel que ses yeux se révulsaient et que son corps tout entier tremblait. Nous avons joui tous les deux dans un même spasme libérateur. Allongée sur moi, elle ma chuchoté à loreille : « Merci
Jespère que nous nous reverrons. » Mon téléphone portable a sonné. Cétait ma femme. Je devais aller la chercher à laéroport. Jai pris une douche, puis Séverine est partie. Je lui ai promis de la rappeler.
Désormais, nous nous voyons deux fois par semaine, en général à lhôtel. Nous adorons faire des photos cochonnes.
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