La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1104)
La Comtesse et son clitoris Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite)
Jétais devenue un animal, un chose, un objet sexuel et si heureuse de lêtre !
Il était certainement tard, la nuit était tombée depuis longtemps, jétais dans mon box, entravée comme une jument
Les bruits de la soirée me parvenaient, les tams-tams résonnaient
Lair commençait à être vif
Je sortis la tête du box et je vis, Anne, comme moi, attendant de sendormir, certainement.
- Cest la fête, on dirait, dis-je à Anne.
- Cest comme ça tous les soirs, Le Maître festoie, regardant les femelles présentées à ses pieds, qui sont utilisées par les Dominants de la soirée
Ensuite, il en choisit une ou plusieurs pour lui, pour la nuit, et elles ont limmense chance de pouvoir être dans la couche du Maitre
- Chut, taisez-vous, quelquun approche, dit Mélanie
Mélanie se retira rapidement de louverture de la porte
Je restais, Anne aussi
Javais un peu froid
A chaque fois que je remuais, mes chaînes tintaient me rappelant ma condition. Dans la pénombre, un homme approchait à grands pas avec une lampe à pétrole dune autre époque. Il se dirigeait vers nous. Instinctivement, je reculais, comme pour me cacher dans la sombre ambiance du box. Mais la porte souvrit, lhomme me trouva, tapie au fond, sur la paille
Il posa sa lampe, sans un mot, prit la longe, la détacha de lanneau fiché dans le mur, et tira dessus pour me faire sortir à quatre pattes
Arrivée dehors, tandis quil mattachait à nouveau à un poteau, il referma la porte du box, et se rendit vers celui dAnne, quil sortit également. Ainsi tenues, toutes deux sommes conduites, à quatre pattes, vers un hangar éclairé dans lequel plusieurs hommes parlaient, de tout, de rien
- Ah les voilà ! dit lun deux. Jules, amène-les !
Notre guide (Jules) reprit les deux cordes et nous conduisit vers le groupe dhommes.
- Elles ont froid, les femelles
- Pas grave, on va les réchauffer, dit en riant grassement un autre
(Me désignant) Approche, la chienne !
Jarrivais, corde trainant au sol, il la prit, et me conduisit vers un des murs du hangar. Dune poutre, descendait une chaîne se terminant par deux plus courtes avec, en leurs bouts, un collier métallique. Lhomme, sans un mot, menleva longe et collier de cuir, et le remplaça par celui en métal, tandis quau niveau des biceps, il attachait mes bras, dans le dos, en les serrant fortement. Si fortement, que cela tirait mes épaules en arrière, et faisait ressortir mes seins en avant. Aux poignets, une sorte dattache en bois, qui souvrait en étant articulée, avec deux encoches dans lesquelles il me fit poser mes poignets, puis referma lattache avec un cadenas. Anne fut amenée elle aussi, placée en face de moi, nos seins se touchaient, mais, elle, au lieu davoir les bras derrière le dos, les avait relevés au niveau de sa bouche
Ses poignets étaient entravés de la même façon que moi, lautre petite chaîne avec un autre collier métallique lui ceintura le cou, et toutes deux fûmes ceinturées, et accolées face à face lune à lautre par une corde serrée au maximum. Puis, grâce à un palan manuel, lhomme fit monter la chaîne principale, nous entrainant lentement mais sûrement de plus en plus haut. Nous nous dressions sur nos orteils, tandis, deux autres gars arrivaient armés dimpressionnants fouets. Tandis quils buvaient des bières en riant, échangeant des propos salaces, nous attendions ce qui devait inévitablement arriver. Le froid menvahissait, nos deux visages ne pouvaient faire autrement que de se regarder, yeux dans les yeux, les crampes nétaient pas loin, lorsque le premier au bout de vingt ou trente minutes dattente, sapprocha de nous, faisant claquer son fouet dans lair.
- Vous avez froid, les femelles ? demanda-t-il en riant
- Oui Monsieur
- Rassurez-vous, on va vous réchauffer, les chiennes !
Il prenait sa place, réglant sa distance par rapport à la longueur de son fouet, lessayant sur nous, mais sans forcer, quand le second arriva et en fit de même, et un troisième, armé lui, dune longue cravache. Le premier leva son bras et labattit sur moi, ce qui me fit me cabrer, entraînant Anne dans mon mouvement, et tandis que je récupérais de ce premier coup, un second donné par lautre homme, tombait sur Anne
Ensuite, ce fut un déluge de coups de fouets, de plus en plus forts, plus précis, plus durs, donnés alternativement sur nous deux. Anne et moi, bougions comme dans une sorte de danse perverse, seins contre seins, tétons dressés contre tétons dressé, ventre et nos deux sexes collés lun à lautre
yeux dans les yeux. Nos cris se mêlaient aux rires des hommes qui frappaient
Celui armé de la cravache, était un peu à lécart, comme attendant son tour. Il fit son entrée dans le ballet, au bout du très long moment de séance de fouets qui avait labouré nos fesses, dos, reins épaules
Il se plaça entre les deux fouetteurs, à longueur de sa cravache et une nouvelle danse commença : Un coup de fouet sur mon dos, un autre sur celui dAnne, et un coup de cravache donné au hasard tombant sur les seins de lune ou lautre
Nos cris déchiraient maintenant le silence de la nuit, mais, comme dans une sorte de tempo bien rythmé, les coups se succédaient, ce qui eut pour effet de mexciter grandement. Je ne pouvais expliquer pourquoi je mouillais à cette situation douloureuse, mais je ne pouvais nier le fait que mon bas-ventre réagissait à lévidence. Il me semblait que cétait aussi le cas dAnne qui avait comme des spasmes de plaisir à chaque coup reçu
- Réchauffées les femelles, cria lun des fouetteurs tandis quil abattait son fouet sur les épaules dAnne qui laissait échapper des cris de douleurs mélangés à des gémissements dexcitation
Anne neut pas le temps de répondre quun terrible coup de cravache latteignit sur le téton dressé, tandis que je recevais à mon tour un énième coup sur mon fessier
Je voyais les yeux dAnne remplis de larmes et denvie de jouissance, tout comme les miens, et alors que je recevais en même temps, un coup de fouet sur les reins et un coup de cravache sur un sein
- Aïeee !, criais-je dun cri si trident
Mais, en même temps, quelque chose saccentuait en moi par le rythme bien réglé des coups, je mhabituais un peu à la douleur qui continuait à laisser place encore à des sensations en mon bas du ventre, sensations de contractions jouissives qui samplifiaient de plus en plus
Mes cris changeaient de plus en plus devenant des gémissements de plaisirs en des :
- Ahhh ! Hummm ! ou des Ohhhh !
Les Dominants sen rendirent compte et les coups qui métaient destinés, devenaient plus forts, tandis quAnne, elle, sombrait dans des orgasmes puissants quelle ne put contenir
Pantin devenu désarticulé, elle bougeait dans tous les sens criant sa jouissance telle une marionnette au bout de sa chaîne la maintenant par le cou, tandis que les deux hommes poursuivaient leur besogne sur moi.
- Laissez-la sur ses orteils jambe droite, mais relevez lautre jambe le plus haut possible, lécartant, quon soccupe aussi de sa chatte de salope !
On me plaça alors un anneau métallique à la cheville gauche, et la jambe fut ainsi écartée du corps, et élevée aussi haut que possible, me laissant sur une seule jambe, reposant sur deux orteils
Le porteur de cravache se plaça derrière moi et tandis que les fouets reprenaient leurs frappes, le premier coup de cravache arriva par en dessous, et le bout de la cravache frappa sauvagement mon clitoris
marrachant un cri de femelle blessée
Sous la puissance du coup et de la douleur fulgurante reçue, je réussissais à me cambrer en avant, offrant encore mieux mon fessier, et un second coup, encore plus fort, matteignit à nouveau entre les jambes, sur le clitoris encore, marrachant cette fois, hurlements et larmes de douleurs extrêmes, ce qui me fit lâcher un flot de cyprine coulant sur ma cuisse causé par cette forte excitation masochiste de la douleur
En effet, le clito touché de façon très violente réagit à sa manière en se raidissant encore plus, ce qui fait que les coups suivants, donnés sur mon ami le clito, me faisaient à la fois, souffrir et mexcitaient encore plus fort !
- Tu aimes dirait-on ! dit un des Dominants en me donnant un magistral coup de fouet en travers du dos
Tandis que je me tortillais, je répondis
- Ouiiii !
Javais répondu sans réfléchir, mais ma réponse étonna cependant les trois hommes qui ralentirent leurs coups, puis :
- Regardez, la salope, elle mouille comme une chienne en chaleurs !, la pute !
Effectivement, cuisses bien écartées ma chatte était ouverte et ne pouvait retenir ma mouille qui coulait encore à gros paquets
Alors, comme encouragés par ce quils voyaient, ce fut un festival de coups, donnés nimporte comment, donnés en une sorte de danse frénétique et sexuelle
Je ressentais toujours les douleurs des coups, mais ceux-ci étaient remplacés de plus en plus par des envies orgasmiques que je sentais arriver
De temps en temps, le cravacheur revenait devant moi, et sattaquait à mes seins, quil labourait si violemment quà chaque coup donné de haut en bas, javais la sensation que mon sein visé sabaissait jusquau nombril
Mes yeux à demi clos, bouche ouverte pour chercher de lair, je ne retenais plus ma salive qui coulait de ma bouche sans que jai le réflexe de lavaler, obnubilée à parer les coups tout en les réclamant pour arriver à jouir tant javais maintenant terriblement envie.
(A suivre
)
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