Première Soirée Avec Stef Partie 4
Tandis que je le caressais en douceur en le serrant parfois pour apprécier sa grosseur, je me suis tourné vers lui pour lui demander en chuchotant s'il préférait mon cul ou celui de Johan. Il a souri et a dit que c'était une question piège : on lui faisait le même effet, même si les fesses de Johan étaient légèrement plus charnue, après tout sa mère était dominicaine, ça devait aider. J'ai ensuite demandé s'il aimerait l'enculer lui aussi. J'ai senti sa bite durcir entre mes doigts, j'ignore si c'était sous l'effet de mes mots crus ou de l'idée de prendre Johan. Il a hésité avant de répondre qu'il adorerait ça, et qu'il était pratiquement sûr que Johan en avait envie. Je lui ai demandé comment il pouvait parier là-dessus. Toujours en chuchotant, il m'a répondu plus ou moins ceci :
"Vous êtes pratiquement les deux seuls joueurs de votre équipe à venir dans notre vestiaire. Sous prétexte qu'on rigole bien dans notre équipe... alors que vous ne dites pas un mot et que vous restez discrets chacun dans votre coin. Je dois pas être le seul à me douter que vous venez pour nous mater, enfin... pour mater ma queue. Et on s'en plaint pas, avec les corps que vous avez, c'est comme si l'équipe de volley féminine partageait nos douches. "
J'ai rougi, et j'ai dit que je n'avais jamais réalisé que c'était si flagrant.
"C'est pas flagrant pour tout le monde, mais bon... il suffit d'être observateur."
J'ai dit que j'allais peut-être arrêter de venir dans leur vestiaire... de toute façon, maintenant je pouvais voir sa queue de plus près quand je voulais. Sans attendre sa réaction, j'ai tourné mon regard vers sa belle bite en demi érection que ma main caressait distraitement. Je l'ai senti se détendre... mais je suis revenu à la charge en lui demandant comment il pouvait être sûr que Johan avait envie de sa queue. Il a réfléchi un instant avant de répondre :
"D'abord, je suis pratiquement certain qu'il fait des exercices pour sculpter son fessier de pin-up, pour attirer les regards.
Il a été interrompu par un bruit de porte et de pas qui se dirigeait vers la salle de bain. Je me suis légèrement écarté de lui et il a ramené la couverture sur nous en poursuivant à voix basse (j'essaie de transcrire la façon dont il m'a raconté l'anecdote, j'ai encore sa voix amusée et ses intonations dans les oreilles mais c'est difficile de retranscrire ça en brut) :
"Il n'y a jamais beaucoup de joueurs qui viennent à l'entraînement de Carnaval, toi tu n'y étais pas par exemple, dommage. Moi j'y suis allé en espérant que l'un d'entre vous y soit... histoire de ne pas y aller pour rien et pouvoir reluquer vos fesses. Johan y était. Comme d'hab, il est venu dans notre vestiaire après l'entraînement, on devait être 6 à tout casser. Et j'ai pris mon temps, genre je suis allé pisser avant de revenir dans le vestiaire pour enlever mon maillot et tout ça, pour traîner un peu. Les autres étaient pas du genre très attentifs, du coup je pouvais regarder Johan tranquille. Curieusement, il traînait aussi. Les autres sont sortis des douches en premiers alors qu'on venait d'y entrer. J'en ai profité pour bien mater son cul, c'est la première fois que j'avais autant de liberté. Lui il faisait mine de regarder ailleurs mais son regard louchait clairement sur ma bite. Je matais tellement les mouvements de ses fesses que j'ai commencé à bander, et je crois qu'il l'a vu. Alors je suis sorti des douches pour aller m'essuyer en essayant de cacher ma queue. Il a suivi juste derrière. On commençait à s'essuyer quand Romain est sorti, c'était le dernier et on s'est retrouvés seuls. Johan a continué de s'essuyer en me tournant le dos, je pouvais pas m'empêcher de le reluquer. Ses fesses rondes qui remuaient quand il sessuyait, ça me donnait envie de le prendre sur place. Je l'ai tellement maté que j'ai aussi remarqué ses trois grains de beauté : deux sur la fesse gauche et un à droite.
On a entendu la chasse d'eau et le passage d'un de ses parents depuis la salle de bain vers la chambre. Il a ensuite repris :
"Puis il a remis son pantalon lentement en serrant quand il est arrivé sur les fesses. Je bandais comme un cheval dans mon caleçon et vu ma taille c'était plutôt visible. En reprenant son sac il a tourné le regard vers moi, genre pour dire au revoir, et son regard a été attiré vers mon caleçon hyper gonflé. Il a rougi en souriant et il a murmuré 'à plus'."
Après quelques secondes, alors que je digérais son anecdote en imaginant la scène, il s'est retourné vers moi en me demandant "c'est flagrant non? Je ne savais pas quoi faire... je me suis branlé trois fois quand je suis revenu chez moi... enfin bref. Voilà pourquoi je suis sûr."
Vu l'absence de bruits du côté de ses parents, j'ai supposé qu'ils devaient être couchés, et je n'avais pas envie que l'attention de Stef se porte sur Johan. Je me suis rapproché de lui en disant que c'était bien tout ça mais qu'en ce moment, Johan n'était pas là. Il a souri et m'a demandé si j'étais jaloux. Je lui ai répondu "un peu" en saisissant sa queue et en le regardant dans les yeux pour l'embrasser tout en commençant à le branler. J'ai attendu quelques instants, le temps que sa queue soit en érection avant de la lâcher, elle est retombée lourdement sur son ventre dans un bruit humide. Je me suis rabattu sur le dos et j'ai relevé les hanches pour faire glisser mon pantalon jusqu'à mes chevilles et l'enlever. Je suis ensuite revenu contre lui pour lui murmurer "j'ai envie que tu m'encules" en malaxant ses bourses. Sans répondre, il a glissé la main derrière mon dos pour atteindre mes fesses. Il a saisi ma taille pour m'attirer vers lui. J'ai eu un hoquet de surprise et j'ai suivi le mouvement.
Je suis resté dans cette position, à jouer des hanches pour habi mon corps et mon anus à sa présence. Je sentais les contractions régulière de son périnée, comme si sa queue s'impatientait de me pistonner. Après quelques instants, il s'est légèrement redressé pour se reculer (et moi avec) et appuyer le haut de son dos sur les coussins et la tête de lit.
J'ai senti sa queue glisser hors de moi et mon anus se refermer comme il pouvait. Il en a profité pour nous faire basculer sur le côté et nous faire rouler dans le lit pour nous placer en position du missionnaire. Une fois installé, il a saisi le flacon de lubrifiant et a ajusté la couverture sur ses épaules avant de se placer devant moi et de lubrifier sa grosse queue. J'en ai profité pour glisser les doigts autour de mon anus largement dilaté et expirer d'envie. Je me suis redressé sur les coudes pour le regarder se toucher. Il a jeté le flacon dans le lit et a saisi la base de sa queue pour tapoter mes petites couilles avec son gros gland. Je suis resté en admiration face à son énorme bite qui tenait en respect mes couilles et ma queue qui paraissaient d'une taille ridicule par rapport à ce qu'il tenait dans sa main. Il s'est légèrement avancé pour poser ses grosses couilles sur les miennes et étendre sa queue brillante à côté de la mienne, son gland atteignait presque mon nombril. La comparaison était impressionnante. Je lui ai adressé un regard et un sourire complices avant de ramener les jambes vers l'arrière pour lui offrir mon cul. Il s'est reculé et a à nouveau tapoté mes couilles avec son gros gland avant de le glisser vers le bas pour le placer contre mon anus et l'enfoncer lentement en moi. Je n'ai pas pu retenir un gémissement de plaisir et de soumission. Il a continué à s'enfoncer tout en se couchant contre moi et en nous recouvrant avec la couverture. J'ai suivi le mouvement et je me suis laissé aller sur le lit tandis que son visage s'approchait du mien à mesure que sa longue queue entrait en moi. Il a léché mes lèvres et a commencé à me baiser comme il aurait baisé sa copine. Il s'enfonçait profondément et ne ressortait presque pas, il coulissait sur une petite partie de sa queue. Je gardais les jambes docilement écartées et j'ai placé les mains sur ses fesses pour sentir ses mouvements de hanches et ses brefs coups de rein. Sans interrompre son piston, il m'a enculé en silence pendant de longues minutes dans cette position. J'ai adoré ce moment. Sa présence ne provoquait aucune douleur, au contraire il me remplissait et encourageait mon plaisir. Il m'embrassait et léchait mon cou en poussant sa queue au fond de moi. Les mains posées sur ses fesses, je restais tourné vers lui pour lui offrir ma bouche et ma langue. Je jouais évidemment le rôle de la femme et je le laissais guider les baisers en lançant des petits coups de langues sur ses lèvres lorsqu'il se reculait trop longtemps et en lâchant des gémissements silencieux lorsque sa queue me remplissait. Encore un moment magique, on était dans un autre monde, je m'étais transformé en salope et je prenais mon pied à recevoir sa grosse bite et à l'exciter avec ma langue et mes gémissements. Après ces longues minutes, il s'est redressé pour glisser les mains sous me genoux et écarter mes jambes au maximum. J'ai relevé les bras derrière ma tête pour saisir la tête de lit et je l'ai admiré m'enculer en me dominant. À deux reprises il s'est enfoncé totalement en se penchant en avant pour m'embrasser brièvement. Mon corps était accoutumé et je pouvais me détendre complètement, ce qui me permettait de ressentir mon plaisir de façon plus intense. Ses coups de bite faisaient rebondir mes couilles et ma queue que je ne prenais même pas la peine de branler. Je le regardais dans les yeux en le laissant m'enculer docilement et en anticipant son orgasme.
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