Jeux Pas Si Solitaire
Il faisait un temps splendide en cet après-midi estival. Je pris la décision daller me promener en bordure du fleuve, avec la ferme intention apaiser mon excitation. Javais toujours aimé me masturber dans la nature. Jy trouvais un sentiment de liberté que je navais pas ailleurs. Surtout que javais depuis longtemps chauffé mon imagination avec des fantasmes des plus divers et des plus dépravés. Ces promenades étaient pour moi, une corne dabondance.
Je marchais dun pas décidé, pour rejoindre au plus vite mon terrain de réjouissance. Mais cétait sans compter sur la providence qui au détour dun virage moffrit ce quelle avait de mieux à
Moctroyer. Une femme seule, mais pas nimporte quelle femme. Celle-ci était en tenue légère. Tee-shirt à bretelle, mini jupe en jean et à un pied une mule à talon, elle tenait lautre dans sa main. Vous en convenez avec moi, pas une tenue adéquate pour ce genre de terrain.
En mapprochant de quelques pas, je reconnu linconnue comme étant, la femme du boulanger. Arrivée à sa hauteur je la saluais, avant de lui demander si elle avait besoin daide, par pure politesse, pressé dallé rejoindre ma court de récréation.
- Je ne sais pas ! Me répondit-elle. Enfin
je pense pouvoir y arrivée toute seule.
- Comme vous voulez, mais sachez que ce serait un plaisir pour moi de vous venir en aide.
- Cest très gentil de votre part
Sur ce, je repris mon chemin. Mais après seulement quelques pas, elle minterpella :
- Monsieur
- Oui, fais-je en pivotant sur moi-même.
- Je pense que votre aide me serait utile.
Je mapprochais au plus près delle, le regard sur la mule quelle tenait toujours en main.
- Je vous écoute
expliquez-moi tout.
- Comme vous pouvez le voir la toile sest déchirée en deux alors que je marchais. Jai pensé pouvoir lattaché mais mon bricolage ne tient pas. Me fit-elle en me tendant la chaussure.
- Oui, je vois ça. Je pense que lusure en est la cause.
- Je les aime tellement. Vous pensez pouvoir faire quelque
Chose ?
- Je peux toujours procéder à un rafistolage. Juste pour vous permettre au-moins dentrée chez vous
- Ce serait très gentil de votre part.
- Vous nauriez pas par hasard une ficelle sur vous ?
- Non, hormis mes jumelles, je ne porte jamais rien sur moi. Je sais que ce nest pas raisonnable. Mon mari narrête pas de me le rabâcher, fit-elle en riant.
- Je dois reconnaître quil a raison. Répliquais-je, en riant à mon tour.
- Je sais bien quil a raison. Dailleurs il a toujours raison, fit-elle dun air narquois. Vous pensez arriver à faire quelque chose fit-elle en reprenant son sérieux.
- Je réfléchis
- Excusez-moi
je vous laisse dans votre réflexion
Alors que je posais mon regard sur la semelle de la mule dont la transpiration de son pied avait noircis le cuir, un déclic me vint. Mais pour ce faire, javais besoin dun de mes lacets de baskets. Sous les yeux interrogateur de la femme, je maccroupis et soutirais celui de ma chaussure droite. À laide dune clé je pus trouer à plusieurs reprises la toile de la mule. Puis à laide du lacet jassociais les deux morceaux. Ce nétait un chef duvre mais cela aller lui permettre de rallier son foyer.
- Vous êtes un magicien fit-elle, en reprenant son bien. Elle se plia en deux sans prendre la peine plié ses genoux pour rechausser sa mule. Dans le mouvement la mini grimpa de quelques centimètres sur ses reins, assez pour me laisser apercevoir son slip blanc qui se tendait sur ses fesses, accentuant la raie, ainsi que les deux bourrelets de sa vulve.
- Mais dîtes-moi ! Fit-elle en se redressant. Mais maintenant que jy pense, je vous connais, vous ! Mais oui que je vous connais. Avait répété la femme ! Comment pourrais-je oublier un homme qui se branle, nu, dans les bois !
Mais au lieu dêtre dans lembarras par ses dires jétais tout au contraire à mon aise.
- Cela vous a plu ?
- Heu ! Oui, fit-elle, en étouffant un éclat de rire dans sa main.
- Cest plus fort que moi, je narrive pas à me contenir
- Vous voulez dire que dès que vous venez ici
vous
- Oui ! Parfaitement
- Alors là
- Si
la coupais-je, je naurai pas fait votre rencontre, oui
je serais en train de me satisfaire.
- Eh bien ! Vous men boucher un coin
- Cela ne vous est jamais arrivé ?
- Ça ne va pas
soffusqua-t-elle. Vous me prenez pour qui
- Pour une voyeuse
- Je ne vous permets pas
- Mais cest vous qui me lavais confessé, non ?
- Oui, bien sûr
. Mais jaimerai que vous me demandiez ? Mavait-elle lançait après quelques secondes de silence.
- Vous demander quoi ? Lui avais-je sommé.
- Dites-moi que je ne vous laisse pas indifférent.
- Es-ce bien nécessaire de vous le dire
je pense que vous le savez déjà. Javoue quentre une branlette et vous je choisi sans aucune hésitation vous, madame.
- Christelle Fit-elle en me fixant. Alors là
vous serez près à
- À tout ce que vous désirez.
Délivrer par ce qui venait de sortir de ma bouche, elle me prit la main et mentraîna avec elle, jusquà derrière le bosquet côté champs. Nous étions à une époque de lannée que rien ne pouvait nous importuner
Elle prit la culotte par lélastique et la tira vers le bas, dénudant le ventre bombé, très blanc. Les poils du pubis, noir, apparurent.
- Baisez-moi ! Baisez-moi fort et ne vous occupez pas de ce que je dis, mavait-elle précisé.
- Puis-je vous touchez un peu avant ?
- Oui, mais vite
Je fourrais ma main sous sa jupe et caressais ses fesses avant de venir sur son sexe. Mes doigts jouaient dans la fourrure et faisaient saillir le petit bouton déclencheur de plaisir. Je tournai autour, appuyais dessus, lécrasais entre mes doigts, avec volupté, au rythme des soupirs de ma maîtresse.
- Viens, a-t-elle ajouté ! Dépêche-toi ! Jai envie dautre chose !
Elle retroussa sa jupe dans la plus grande simplicité de manière à me présenter ses fesses. Quelle se mi à tortiller de façon aguichante avec un sourire qui semblait vouloir dire : baise-moi.
Je me suis affaissé de quelques centimètres. Suffisamment pour me trouver pile en fasse de sa chatte. Jai amené mon gland au contact de ses lèvres soyeuses. Dun coup de reins jai investi son con chaud et moelleux ressentant comme une véritable décharge électrique dans tout mon corps. Jeus comme la sensation que mon sexe était aspiré au plus profond delle. Elle crispa ses muscles intimes sur ma queue minfligeant un massage affriolant. Puis elle ondula des hanches, allant et venant sur ma verge. J'avais rarement rencontré une femme aussi souple, aussi accueillante.
- Ah, putain, cest mortel, avait déclaré la femme du boulanger.
Ses fesses tapaient de plus en plus fort mon ventre.
- Oh, putain, je vais mourir, sest-elle mise à gémir !
Elle se courba de plus en plus en avant, les mains appuyées sur un tronc. Je me mis à mon tour de la baisser avec entrain, alors quelle geignait sous moi, à petits cris de gorge. Pendant cinq bonnes minutes, variant les rythmes, je la besognais. Je détectais chez elle un frisson et jai tout de suite pensé quelle venait dêtre regagner par un orgasme. De mon côté je ne cherchais même pas de retenir ma jouissance, laissant mon foutre taper avec force le fond de son ventre.
- Oh, putain, quelle force
ce que cest bon !
Nous étions restés imbriqués lun dans lautre encore pendant un bon moment.
- Merci, merci, mavait-elle dit, quand je métais retiré ! Vous êtes un bon amant !
- Et vous une bonne cochonne !
Ça métait sorti tout seul, comme métait sortie ma semence. La femme mavait répondu que javais sans doute raison parce quelle naurait jamais dû accepter de faire lamour avec moi aussi rapidement.
Pour reprendre vie, nous avions pris place sur une bille de bois. Jen profitais pour dénuder sa poitrine comprimée sous son tee-shirt. Ils étaient parfaitement ronds, haut plantés. Les aréoles roses disparurent sous ses doigts.
Ses nichons étaient à la fois fermes et élastiques. Et leur peau brûlante. Je mordillais les pointes. Je tirais sur les tétons avec les dents puis les aspirais entre mes lèvres. Les pointes durcirent rapidement sous ma langue. Ils dardaient comme un petit doigt. Mais les seins nétaient pas comme en dit : sa tasse de thé. Et elle me le fit comprendre, en me soumettant un :
- Tu as déjà joui dans la bouche de ta femme ?
- Oui
à plusieurs reprises déjà
- Et toi tu aimes cela ?
- Il faudrait être difficile, non tu ne crois pas ?
Elle se débarrassa de ses chaussures. Ses pieds étaient superbes. Je ne pus me retenir den porter un à ma bouche. Suçant lun après lautre ses orteils. Elle trouva ça très agréable. À lui en donner des frissons.
Quand elle jugea que ma cajolerie ne lui procurer plus de sensation, elle sefforça de reprendre les commandes en récupérant ses orteils fraichement téter. Et ce fut avec ses derniers, tout luisant de ma propre salive, quelle caressa mes parties génitales. Elle respirait fort et semblait transpercée à distance par ma queue. Avec habileté, elle faisait tourner son pied autour de mon sexe, en pleine érection. Elle me massait alternativement du but des orteils et de la tranche du pied. Puis elle emprisonna ma verge entre ses deux plantes de pieds. Je voyais frémir ses narines et de temps en temps, elle se mordait la lèvre inférieure et me lançait un bref regard furieux tout en me serrant le gland comme pour lécraser, avant de revenir à des gestes doux et excitant.
Je la trouvais bien entreprenante et experte. Une odeur âcre se dégageait de ma verge, et de petites gouttes poisseuses perlaient au sommet du gland, quelle me massa à laide de son gros pouce. Puis sen suivit un amorcement de petit va et vient. Je prenais conscience de toute la perversion de la scène. Je me laissais branler entre ses petons, la laissant faire. Je faisais des efforts énormes pour ne pas jouir tout de suite. Elle me masturba doucement puis de plus en plus vite. J'étais au bord de l'explosion. Ma bite doubla de volume, cétait maintenant un vrai gourdin. Elle accéléra le mouvement, marrachant des gémissements de bien être.
Dune voix rauque je lui annonçais que jétais proche déjaculer. Comme si elle sétait brûlé, elle lâcha prise pour approcher ses lèvres de ma hampe, pour la lécher à petits coups. Mon envie de jouir sétait comme par magie, volatiliser. Puis sa langue descendit le long de ma hampe et atteignit les couilles qui furent englouties lune après lautre. Après les avoir roulées entre sa langue et son palais, elle remonta vers le gland en laissant une traînée de petits baisers humides. Avec un tel traitement, il était sûr que jallais cracher ma jouissance dans les secondes qui allait suivre.
Puis londe fatale prit naissance sous ses caresses. Envahissant mes testicules qui se crispèrent violemment et ruissela dans ma verge en traçant un sillage de feu sur son passage. Je poussais un véritable rugissement de fauve en lui cédant ma gratification. Sans pouvoir arrêter le flot.
Je la tenais par les cheveux et respirais comme un soufflet de forge, le ventre en avant.
Alors que je mapprêtais à lui redonné rendre à mon tour le plaisir quelle si aimablement offert, elle me repoussa gentiment :
- Il faut que jaille chercher mon petit Charles à la sortie de lécole.
- Et une autre fois ?
- Pourquoi pas
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