La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1105)
La Comtesse et son clitoris Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite)
tant javais maintenant terriblement envie... Mais je neus pas cette délivrance jouissive, car un des hommes me lâcha avec autorité :
- Non salope, pas toi ! Elle (il montrait Anne) a droit à la jouissance, pas toi
Enfin pas pour tout de suite
Comme il métait difficile de ne pas laisser exploser mes orgasmes lesquels on men interdisait le plaisir
Il me fallut de longues minutes pour me calmer, calmer ce feu orgasmique qui ne demandait quà exploser en mon corps tel un volcan en furie
Une fois que je me fus un peu calmée de mes envies, les Dominants me détachèrent alors de mes liens et nous conduisirent chacune en un cachot différent et sen était bien de réels car chacun de ceux-ci était bâti en pierres de taille, glacial, au sol de la terre battue, et comme siège, posée sur deux parpaings, une planche nue. Un petit soupirail armé de barreaux comme dans une cellule de prison, donnait en journée un peu de lumière. On me jeta sur la planche servant de siège et mimmobilisa ainsi : Le gardien des cachots, homme bourru sil en est, me dit laconiquement :
- Ton cou !
Je tendis le cou docilement, il me passa un collier métallique comportant deux chaînes courtes. Assise sur la planche servant de siège, lune des deux chaînes fut fixée à lun des barreaux de la fenêtre, tandis que lautre le fut à un anneau fiché dans le mur. Dans cette pose, je compris très vite que je ne pouvais plus ni mabaisser, ni mallonger éventuellement, ni aller vers la gauche ou la droite. Mais mon appareillage ne sarrêta pas là
- Tes bras, croisés derrière le dos, ordonna le geôlier
Jobtempérai rapidement. Il me regardait dun sourire pervers.
- Toi, je vais te soigner, petite poule, tu vas voir
Il sortit du cachot, je lentendais remuer des pièces métalliques et revint avec une sorte de ceinture en métal, effectivement quil me plaça sur le ventre.
Au bout de cette chaîne, un anneau duquel partaient deux autres chaînes plus courtes se terminant, elles aussi par des attaches dans lesquelles mes chevilles furent immobilisées. Ainsi recroquevillée, toujours nue, je ne bougeais que très peu, ne pouvant prendre appui ni sur mes pieds ni mes mains. Mes épaules me faisaient de plus en plus mal, des crampes dues au froid commençaient denvahir mes cuisses. Seuls mes seins étaient bien offerts et libres. Sa tâche terminée, lhomme me regardait comme pour voir sil navait rien oublié, puis se ravisant il sortit et revint un instant plus tard avec une sorte de soutien-gorge de cuir clouté mais sans les bonnets. Il plaça le soutien seins faisant passer les seins dans les trous, et attacha fortement celui-ci dans le dos. Ainsi tenus, mes seins étaient remontés assez haut, fermement maintenus, ce qui les faisait sembler plus volumineux.
Lhomme se recula, admira son uvre, sembla satisfait et ouvrit sa braguette. Il en sortit une verge démesurément grosse mais courte quil présenta à ma bouche.
- Hummm !, dune douleur vive et, je dois lavouer, dun plaisir excitant qui accompagnait cette douleur
Tétons quil étirait ensuite, ongles toujours enfoncés, je le sentais commencer à mouiller, et alors que je ressortais son épais sexe de ma bouche pour mieux le reprendre tout de suite après, celui-ci napprécia pas ce quil comprit comme un arrêt de ma part, et lâchant mes tétons, me donna deux gifles si terribles que ma tête, ne pouvant accompagner les coups à cause du collier et des chaînes, les subirent de plein fouet. Immédiatement, je le repris en bouche tandis quil enfonçait à nouveau ses ongles dans mes tétons. Alors que je le sentais arriver, il sortit tout dun coup de ma bouche et éjacula plusieurs fois sur mon visage des saccades de sperme épais matteignant sur les yeux, la bouche, le front. Le foutre sécoulait sur mon visage, lentement, le jet sur les yeux mempêchait de bien voir
Il semblait heureux de ce quil voyait et tenta décarter mes jambes solidement entravées, y arrivant difficilement mais quand même, et il entra sans préambule, quatre de ses énormes doigts dans ma chatte trempée. Celle-ci e, souvrit sans peine car trop excitée et les doigts enfoncés le plus profondément en mon vagin, remuaient en moi, me faisant tenter décarter moi-même plus encore les cuisses, tant il me donnait envie par son massage mais mon dieu, que cétait si bon ! Instinctivement, je fermais les yeux, et geignais tant javais envie de lâcher un puissant orgasme mais je ne savais pas si, là, jétais autorisée à jouir, chose qui précédemment mavait été interdite, lors de la séance du fouet avec Anne
- Salope de femelle, tu as envie ?
- Ouiiiii Monsieur, répondis-je
tandis que je trémoussais sans honte devenue femelle en rut
Je ne sais si je dois attribuer son geste à de la bonté ou autre chose, mais lhomme remua si bien ses doigts en les faisant manuvrer par des va-et-vient réguliers et profond, jusquau fond de mon vagin quà un moment donné, malgré mes liens, je réussis à me cambrer en poussant des cris jouissifs où je pus jouir quand je sus que jétais autorisée par un :
- Jouis, salope, maintenant !
- Ahhh ! Ouiiiiiii ! Ohhhh !
Je beuglais comme une femelle en rut, et le geôlier poursuivait ses gestes au fond de ma chatte, attrapant même mon col utérin, quil massait avec art
- Tu nes pas faite autrement que mes génisses, dit-il, tandis quil marrachait des beuglements de plaisirs bestiaux.
Javais la très nette sensation, avec lui et les mots quil venait de prononcer, de devenir effectivement une femelle animale et jen étais une, en ce moment précis, fière, très fière même ! Ses coups lents et rotatifs de poignet, ses doigts énormes enfoncés jusquau fond de ma vulve, il me travaillait comme jamais encore ma chatte ne lavait été par une main
Quand il ressortit ses doigts :
- Nonnn ! dis-je
- Tu en veux encore ma salope ? Je vais ten donner tu vas voir.
Il écarta à nouveau mes genoux, dégageant une nouvelle fois ma chatte en fusion, proche déclater à nouveau, présenta ses quatre doigts quil tentait denfoncer à nouveau en mon vagin. Les sentant senfoncer, je gloussais comme une dinde mais, arrivés en bas des quatre doigts je sentais quil essayait dy entrer son pouce aussi
Il poussait fortement et ses poussées rouvraient lentement ma chatte de plus en plus
Cette sensation décartèlement me rendait folle denvies nouvelles, me rendant encore plus bestiale... Lentement, je sentais sa main entrer en moi, me dilatant totalement comme pour un accouchement
jen avais le souffle coupé, des myriades détoiles commençaient de sallumer devant mes yeux encombrés de foutre, cétait bon divinement bon :
- Ahhhh ! Hummm ! Monsieur, dis-je cest bon
Tout participait en moi à ce déchaînement de rut, la séance de fouet et cravache, la mise au cachot immobilisée comme je létais, son travail avec ses doigts, mes orgasmes autorisés, sa main maintenant presque entièrement en moi, dilatée comme jamais encore
Je la sentais glisser lentement mais inexorablement en ma vulve détrempée
voilà elle est en moi, mes lèvres vaginales se referment sur son poignet comme voulant garder entre elles cette si terrible main, qui maintenant se refermait en ma vulve, je vécu mon premier et véritable fistage
Ainsi ce fist mis en place, son bras commença à travailler tel un énorme piston et je subis un labourage interne et intime si puissant, que je jouissais non stop, ne pouvant me retenir de faire pipi tant ma vessie était comprimé par sa main refermée en moi
Sans plus aucune honte, ni retenue ni pudeur, je me laissais entièrement aller à un massage intime dune rare intensité.
Je nai aucune honte à avouer que ce soir-là, pour la toute première fois, je me suis sentie devenir femelle animale. Ce souvenir ne ma jamais quitté tant il est resté en moi gravé comme un fer rouge faisant de moi, ce soir-là et définitivement une femelle obsédée de jouissances fortes et bestiales. Mon initiation, en cet instant mavait été donnée par cet homme si bon avec moi. Ce fut lensemble de la soirée qui participa à ce ressenti, les coups de fouet et cravache, le cachot, les liens, et enfin lui
Je restais deux jours et deux nuits dans ce cachot. Mais par deux fois, cet homme revint me changer de position. A chaque fois que je le revoyais, je me remettais à trembler denvies tant ce quil mavait fait mavait marqué. Le geôlier était resté avec moi une bonne partie de la nuit et son travail manuel en ma chatte sétait poursuivi jusquau petit matin, me laissant complètement épuisée mais si heureuse après une multitude dorgasmes puissants quil ma été impossible de les comptabiliser tant ils étaient nombreux
(A suivre
)
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