La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1106)
La Comtesse et son clitoris Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite)
me laissant complètement épuisée mais si heureuse après une multitude dorgasmes puissants, dévastateurs, quil mait été impossible de les comptabiliser tant ils étaient nombreux
Au petit matin, alors que je tentais de récupérer quelque peu, dans une position qui me faisait ne plus sentir ni mes bras, ni mes épaules, le vieil homme, à la main sachant fister ma chatte avec délice, revint mais accompagné de Mélanie. Il me défit mes liens, enleva ceinture et bracelets
La simple vue de ce vieil homme me redonna des frissons, tant il mavait fait jouir, de façon bestiale et explosive. Mélanie était marquée de coups de fouet certainement, et de cravache aussi. Jetée dans mon cachot, le vieil homme, referma la porte sur nous deux.
- Mon dieu, que tont-ils faits, demandais-je
- Rien de plus que quand on désobéit, cest tout, répondit-t-elle
ou quon a été mauvaise
- Tu es bien marquée, tout de même, dis-je
- Cest simple, hier soir jai été conduite dans la chambre du Maître et il a trouvé que javais été mauvaise au lit, cest tout !
- Mais tu dis ça, Mélanie, comme si cétait normal !
- Ca lest ! Je suis Son esclave, je me dois de le servir parfaitement sans quoi
- Es
es
esclave !, dis-je !
- Ici, nous sommes toutes des esclaves sexuelles, enfin, celles qui ont été dressées pour ça. Dautres, plus récentes ne le sont pas encore, comme toi par exemple, mais elles apprennent à le devenir. Nous sommes toutes consentantes et nous désirons plus que tout à devenir de bonnes esclaves à obéir, cest notre souhait le plus cher
- Mais moi, je suis ici par hasard ! Jétais en panne sur la route, et ai été dépannée par un homme qui ma conduite ici, ce nest pas pareil !
- Ah, je ne le savais pas
- Mais, Mélanie, tu me dis tout ça et tu trouves donc que cest normal dêtre esclave ?
- Oui, cest ce que je veux, mais tu ne peux pas comprendre.
- ?
Mélanie se trainait au sol
mais elle me disait quelle était si épanouie de vivre ce quelle a toujours rêvé dêtre
Les mots de Mélanie me revinrent en boucle, plus tard en moi
esclave
et heureuse
de lêtre
Le cachot était assez grand pour recevoir plusieurs femelles. Dans le milieu de la matinée, le vieil homme revint à nouveau et comme je lui disais que javais envie de faire pipi, il me répondit :
- Pisse sous toi, ici, cela ne gênera personne ! (sadressant à Mélanie) Nest-ce pas !
- Oui Monsieur, une esclave pisse ainsi en effet !
- Tu vois, écoute les anciennes, allez pisse !
Javais tant envie que je me laissais aller honteuse au début, mais devant les bienfaits duriner quand on a tant envie, la délivrance me fit fonctionner ma vessie, honte passée
après tout, quoi danormal et Mélanie le disait elle-aussi
Me voilà devenue femelle animale et maintenant pisseuse décidément ce vieil homme me faisait découvrir beaucoup de choses qui faisaient partie de moi. Tandis que je me vidais de mes urines, sans aucune honte ( !) je ressentais pour lui comme une sorte daffection. Ce sentiment me troubla ! Les mots de Mélanie tournaient en boucle en moi : esclave et heureuse de lêtre
Alors que nous étions toutes deux dans le cachot, moi tentant de récupérer quelque peu de mes liens, Mélanie ne bougeant pas, nous entendîmes une effervescence dans la cour
des gens couraient, les bruits se rapprochaient du cachot, pour finalement, faire place à plusieurs hommes inconnus encore. Lun deux ouvrit la porte du cachot, les hommes seffacèrent devant celui que lon nommait le Maître, suivi des autres hommes. Sa stature imposante lindiquait comme le chef. Certains étaient très bien habillés, dautres, en tenue de campagne. Dès que Mélanie vit le Maître, elle sinclina profondément devant lui, en position prosternée en levrette, tête contre le sol, ses bras allongés devant elle
Le Maître la vit et dit :
- Pour elle, reprenez-là en mains fermement, en ce moment elle ne vaut rien !
- Oui Monsieur, répondit un des hommes notant sur un carnet quelque chose.
Puis le Maître, se tourna vers moi, tandis que je me recroquevillais, bras contre mes seins et cuisses remontées sur mon ventre.
- Elle, en revanche, vous allez la dresser, mais pas comme les autres. Je la sens différente des autres femelles, mieux éduquée, plus de prestance aussi et certainement plus vicieuse
Vous allez la travailler par des prises de poses, dures à tenir, longues dans le temps, poses assorties de cravache, tout cela pour la ramollir en premier. Ensuite, je veux quelle reste ici au moins deux jours avant de mêtre présentée. Vous demanderez à Roger de sen occuper personnellement, je lui donne carte blanche. A son âge, il sait sy prendre avec cette sorte de femelle
Les hommes ressortirent, refermant la porte. Peu de temps après cette visite, le vieil homme, cétait Roger, revint.
- Bon, vous deux, jai reçu ordre de moccuper de vous, toi sadressant à Mélanie, tu vas payer cher ta faute de la nuit dernière et toi, (moi) je dois te faire poser ma cocotte
Tu sembles plaire au patron, cest une bonne nouvelle pour toi, crois-moi
car tu vas te découvrir telle que tu es ! Suivez-moi !
Mélanie se mit à quatre pattes tandis que je restais debout. Me voyant ainsi, celle-ci dun regard me fit comprendre lurgence pour moi den faire de même avant que Roger ne sen rende compte. Je me mis donc à quatre pattes rapidement ! Roger devant, nous, le suivant, nous nous dirigions vers un autre cachot situé quelques dizaines de mètres plus loin. En le suivant, nous passions devant dautres portes, derrière lesquelles nous entendions des gémissements de plaisirs et des cris de jouissance
Doucement et à voix basse, Mélanie me dit :
- Ici, tu entends celles qui sont autorisées à jouir !
Jétais heureuse par ces mots pour celles qui étaient en train de jouir et les cris dorgasme navaient rien dinquiétant... Roger, nous fit entrer dans une pièce sombre, voûtée, très peu éclairée.
- Monte là-dessus et accroupis-toi, ordonna Roger !
- Là-dessus ?, dis-je !
Comme réponse, ses ongles senfoncèrent profondément dans mon téton droit quil étirait vers le bas, tandis que jétais juchée sur une sorte de tapis recouvert de petites pointes, assez apparentes pour me blesser orteils et voûte plantaire. Tandis que je tentais vainement de placer mes orteils entre les pointes, Roger tenant mon téton, me fit maccroupir en me tirant vers le bas ! Derrière moi, au mur, un anneau duquel partaient deux chaînes qui furent reliées à mes chevilles par des bracelets, et une barre métallique qui pendait avec en son bout, un autre collier de métal que Roger fixa autour de mon cou. Sur cette barre, coulissait un système dattache, emprisonnant mes bras, tirés fortement en arrière de mon dos. Dans cette pose, je ne pouvais absolument pas allonger mes jambes, ni reculer madossant au mur pour me soulager de cette inconfortable position si exposée, coincée par la barre qui me tenait au cou, et en plus mon corps posé sur ces petites pointes sous mes pieds
Jétais ainsi offerte, cuisses, hanches et seins très accessibles. Ce fut au tour de Mélanie dêtre installée. Jenviais sa pose, attachée par le cou comme moi à une barre, accrochée elle à un anneau fiché dans le mur, bras très resserrés en arrière du dos, mais à genoux...
Comme moi, elle ne pouvait pas se lever, mais au moins, elle pouvait allonger tantôt une jambe, tantôt lautre. Puis Roger prit sa cravache et commença par Mélanie, la rouant de coups, ajoutant à ce quelle avait déjà reçu. Elle criait terriblement de douleur mais elle semblait exprimer du plaisir dans ses plaintes car à chaque coup, elle semblait aussi plus excitée, visiblement son masochisme jouissif sexprimait dune façon fulgurante.
- La ferme, la nouvelle !
La valse de la cravache se poursuivait, atteignant mes cuisses tendues parce quaccroupie, mes fesses (sur les côtés) je trépignais menfonçant encore plus sur les pointes et je sentais, à ma grande surprise, que cela commençait à mexciter
Mais je ne pouvais absolument pas me dérober aux coups. Roger se recula et nous regardait toutes les deux. Parfois, il avait un regard sadique et ensuite des yeux de grand-père sympa
- Écoutez-moi bien, toutes les deux ! (Sadressant à Mélanie) - Toi ce nest que justice depuis que tu es ici, tu connais la règle, donc
Il reprit sur les seins, ses coups terribles, donnés en cadence, sur lintérieur du droit, puis du gauche, puis à nouveau du droit et ainsi de suite, tout en appuyant ses mots :
- Tu savais ce que tu risquais à te comporter comme tu las fait, je nai donc aucune pitié pour toi
(Puis, me regardant, ses yeux changèrent) - Toi, ce nest pas pareil mais le Maître ta dans son viseur. Et jai des ordres ! Je ne sais pas pourquoi mais tu lui plais et je dois obéir moi aussi
Et à nouveau, les coups tombèrent, sur mes seins, tétons
il sacharnait à viser mes tétons qui devenaient boursouflés, tendus
Dans ma pose, reposant sur mes pieds, mes cuisses étaient donc écartées en face de lui. Alors quil avait fait un pas en retrait, il regardait mieux entre mes cuisses, et comme mon bas-ventre réagissait avec une excitation grandissante, il vit de la cyprine commencer à couler lentement
(A suivre
)
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