L'Éducation D'Une Bourgeoise Bcbg Suite 10

L'épisode du garage à marqué les esprits (voir épisode n° 9)
S… m'a fait remarqué qu'elle a éprouvé beaucoup de plaisir et d'excitation, avec un sentiment d’humiliation, pour avoir été, je cite « exhibée » devant cette jeune vendeuse… je lui fait remarquer que cet épisode m'avait éclairé sur ses capacités à progresser encore et encore…
S… a attendu quelques semaines avant de recevoir, par sms, une invitation à passer une soirée « découverte » aux côtés de son Maître…
C'est donc une S… radieuse et heureuse que je découvre au moment ou elle passe la porte de mon bureau. Je constate, dès mon premier regard, qu'elle porte un long manteau en (fausse) fourrure, ce dernier est maintenu fermé juste au niveau de la ceinture. Sans dire un mot et surtout sans hésitation S… qui se tient debout devant moi ouvre, en grand, les pans de son manteau… Son corps totalement nu m'apparaît… il n'est recouvert que d'un porte-jarretelles, ses jambes sont gainées de bas résilles, qui eux, ne sont visibles qu'au niveau de la couture car de superbes cuissardes complètes la tenue « imposée » de S…

Il est 18h30 et, en cette période de Noël, je lui indique que nous allons nous promener au marché de Noël. S… me dit être étonnée et me précise que, dans cette tenue minimaliste, elle risque de se faire remarquer d'autant plus qu'il lui est interdit d'utiliser les boutons de son manteau, et que seule, la ceinture de ce dernier lui permet de le fermer, tant bien que mal...




Voilà S… à nouveau dans une petite attitude de rébellion ce qui a le don de me crisper. Au lieu d'élever la voix, je m'approche de S..  et l'étreint tendrement, je l'embrasse et la rassure en lui disant que je suis à ses côtés et qu'elle doit se sentir rassurée.

S… se détend, il s'en suit un long et langoureux baiser… mes mains s'engouffrent entre les pans du manteau bien ouvert afin de caresser des seins bien fermes aux tétons irrémédiablement tendus… de descendre et de s'attarder sur un pubis totalement rasé et sur les lèvres d'une chatte en chaleur et trempées.

Au même moment, S… se permet de glisser une main entre mes cuisses et me fait remarquer que mon sexe est bien tendu et, selon ses propres termes : « d'une dureté excitante ».
Immédiatement S… recule légèrement et son visage vient de rougir, elle se rend compte qu'elle vient de fauter.. Elle sait qu'elle n'a pas à faire de commentaires sur mon anatomie sans mon autorisation.
Elle se rend compte de son erreur et un ordre fuse : S… doit immédiatement ôter son manteau et placer ses poignets dans son dos. Ce qu'elle fait, son manteau tombe au sol, et S… place ses poignets dans son dos tout en baissant la tête. Au même moment quelques larmes perlent sur les joues de la belle soumise.
Je prends mon temps pour faire le tour de mon bureau, j'observe S… tout en lui disant qu'elle est vraiment une belle bourgeoise encore trop insoumise… et qu'elle a encore à apprendre.
S… fait un signe d'approbation de la tête alors que j'ouvre un tiroir et y sors une paire de menottes.
Ses poignets sont liés dans son dos et sans attendre je saisis les cheveux de S… et, en les tirant vers le bas, je l'oblige à se mettre à genoux. S… faisait allusion à mon sexe tendu, eh bien, elle va pouvoir le constater.
C'est effectivement un sexe tendu et bien dur qui se présente au niveau de son visage.
Vaincue, elle écarte les lèvres de sa bouche et accueille, contrainte et e, ce gland…
Je ne lui laisse aucune maîtrise et s'est attachée, soumise que S… est obligée de sucer, de lécher un sexe au bord de l'éjaculation… j'arrive à me contrôler car, c'est en tenant les cheveux de S…, que je rythme les va et vient… De temps en temps, je me retire laissant S… haletante, juste le temps pour elle se reprendre sa respiration avant de lui imposer une nouvelle série de « pénétrations buccales »
Malgré tous mes efforts, je ne résiste pas bien longtemps, je me retire de cette bouche humide, chaude et, tout en tenant S... par les cheveux je place mon sexe à quelques centimètres de son visage… un jet compact et gluant s'abat sur son visage, sur ses paupières, son nez, sa bouche…
Je relâche S… et lui demande de se mettre immédiatement debout en écartant largement ses jambes.
S… est à nouveau debout, cuisses écartées, son visage couvert de sperme. Je glisse un, puis deux doigts entre les lèvres de sa chatte et constate qu'elles sont hyper trempées… l'intérieur de ses cuisses est également trempé…
Je demande à S… ce que cela veut dire. Elle me répond qu'elle est trempée car la situation l'a hyper excitée au point d'en jouir… et d'inonder, selon ses propos : « sa chatte de belle bourgeoise salope et soumise ».
Je lui dis que je suis ravi de ce constat…
Avant de lui détacher ses poignets j'étale, sur la totalité de son visage, le sperme qui « orne » encore celui-ci. Une fois ses poignets libres, j'invite S… à remettre son manteau, ce qu'elle ne tarde pas à faire, je lui rappelle que nous allons déambuler au marché de noël, ce qui était initialement prévu avant ce léger contre temps.
S… se confond encore une fois en excuses et me demande si elle peut se « débarbouiller » le visage.
Rien qu'au regard que je lui jette, elle vient, une fois de plus, de comprendre son erreur.
Je la rassure et à mon tour je lui confirme ma fierté de « disposer » d'une belle salope soumise.
Alors que nous quittons le bureau, et que S… se détend à nouveau, je l'arrête et lui dis que nous avons encore à ajuster sa tenue : je sors de ma poche le collier et sa laisse. Je le place autour de son cou et je fais glisser la laisse entre ses seins. Je l'invite à fermer les pans de son manteau, uniquement à l'aide de la ceinture…
Le regard de S… en dit long sur son état d'âme… pour ne pas dire son trouble, son angoisse…
Je m’approche de S… dépose, sur ses lèvres, un doux baiser et nous quittons le bureau… à suivre