Collection Homme Femme. Conte De Noël (3/4)

Mon histoire peut paraître banale, j’ai vécu depuis mon adolescence avec Joy, une passion féminine de tous les instants, nous vivions de manière fusionnelle notre vie entre Paris où nous avions acheté un appartement à la porte de Saint-Cloud et la Normandie où nous avions l’ancienne ferme de mes grands-parents.
Elle avait fait des études d’art et c’est là-bas dans le pays du camembert qu’elle avait installé son atelier de ferronnerie d’art, transforme en statuette des tas de ferraille que mon grand-père avait entassés.
Elle m’avait appris à lui faire l’amour, tout en touché et douceur au début, mais finissant dans les derniers temps jusqu’à nous fister.
Dans ce temps béni des Dieux, je n’aurais jamais pensé prendre mon plaisir avec la verge d’un homme, c’est pourtant ce que je fais depuis que j’ai accepté de faire monter un SDF chez moi pour manger de la soupe aux pois cassés.

Si vous voyez l’état de ma salle de bains après qu’il s’est décrassé, allant même jusqu’à se raser avec mon rasoir dont je me sers pour mes jambes, heureusement que j’ai une femme de service qui vient tous les matins, tous remettre la salle d’eau en état.
C’est une tout autre personne qui sort de cette salle, il n’est pas très grand, mais comme certains disent, il est monté comme un taureau.
Par mon inexpérience, je devrais être effrayée par ce sexe, mais c’est pourtant moi qu’il introduit en moi.
J’ai, certes, eu des remords de prendre mon plaisir avec la queue d’un homme trompant ainsi celle à qui j’avais promis sur son cercueil de rester fidèle, grâce à ces images présentes partout dans l’appartement.
Pour bien garder cette image, je suis même allée jusqu’à faire un agrandissement photo qui m’a coûté une petite fortune de Joy en pied grandeur nature, je l’ai placé dans notre chambre face à mon lit et je dois reconnaître qu’il m’arrive fréquemment de me masturber en la regardant.
Attention pas de perversion dans ce geste, c’est elle qui m’avait demandé de la garder un peu vivante en me donnant du plaisir, elle avait ajouté qu’elle espérait que je referais ma vie.


J’ignore si dans sa pensée au moment où je l’embrassais sur les lèvres doucement pour éviter qu’elle n’ait mal, elle pensait que ce serait avec un homme, nous avions été fusionnements lesbiens, mais n’est-ce pas les circonstances qui nous ont amenés à notre sexualité.
Quand je parle à Renaud de ma vieille ferme et de mes chevaux sa queue encore dégoulinante de sperme, je vois son regard s’éclairer.

• Des chevaux de course ?
• Oui et non, j’ai deux vieilles femelles qui terminent leur vie dans mes prés après une carrière bien remplie, l'une a gagné deux courses et eu trois poulains, la deuxième aucune course, mais a eu deux poulains.
La première, nous l’avons récupérée avec ce troisième poulain qui entre parenthèses est une pouliche, elle n’a jamais couru suite à un accident dans ses premiers jours, ils l’ont considérée perdue pour les courses et voulaient vendre les deux pour finir en steaks, elle a un peu plus de deux ans, c’est un amour.
C’est Joy qui les a récupérés, nous les avons achetés au haras voisin du père Louis, le double du prix de leur carcasse.
Ce sont ses palefreniers qui viennent s’occuper d’eux toute l’année, nous les payons, hélas, je continue à le faire en souvenir de leur maman, ils sont presque tout le temps aux prés.
• Le haras du père Louis, j’ai couru pour certains de ses propriétaires, il lui confiait l’entraînement de leurs chevaux, je me souviens, j’ai gagné une course, il y a six ans sur Galinette.
• C’est elle, celle qui a gagné deux courses, l’autre c’est Farina et la pouliche Joy, elle n’avait pas encore de nom et nous avons trouvé que ce serait drôle de lui donner le nom de celle qui l’avait sauvé.

J’ai à peine fini ces explications qu’il recommence à me caresser, j’ai encore son sperme en moi, je n’ai même pas eux le temps de me protéger, mais qu’importe depuis la maladie de Joy, mes règles se sont arrêtées.
J’écarte les cuisses, il me place de façon très attentionnée pour que je sois bien et sa verge qui a rebandé seule, retrouve sa place en moi.

Il me pénètre, sors revient, il prend ma main la glisse entre nous pour que je me caresse le clito, ce qu’il ignore, c’est que ma tête posée sur un cousin voit dans son dos une photo de Joy sautant dans les prés avec sa petite pouliche, elle pouvait le faire encore quand nous avons pris la photo.
Une nouvelle fois, je jouis, j’ai même un orgasme sous les coups de bites de Renaud, mon doigt devient celui de mon amante, elle a dû lui commander de me le placer là, ensemble nous prenions beaucoup de plaisir à le faire.
Je suis folle, je suis certaine que Joy me dirige du paradis des lesbiennes où elle a dû monter directement, si je veux profiter de la queue de mon amant à ma guise maintenant que j’y ai goûté en prenant du plaisir, il va falloir que je la déconnecte sans l’oublier pour autant.
Le calme revenu, nous sommes dans nos bras, sur la table du salon, une nouvelle fois la soupe dans le bol est froide, je prends la photo sur le guéridon.

• Pendant que nous baisions, je voyais la photo de Joy avec Joy, sa petite pouliche et si nous allions passer Noël avec elles !
• Je veux bien, même si je m’étais juré de ne jamais revoir des chevaux, saurais-je encore monter, où sont mes affaires.
• Dans le vide-ordure.
• Alors c’est cuit, nous allons passer Noël ici, dans mon caddy, je n’ai que des affaires récupérées dans les poubelles, que j’échange contre des bouts de pain.

Je trouve la solution, j’appelle une boutique que je connais vendant des vêtements homme et femme ou j’achète mes affaires, nous donnons sa taille et quelque temps plus tard, un costume, chemise sans cravate avec chaussure à sa pointure, je n’oublie pas le boxer et les chaussettes, tout nous est livré.

• En attendant, allons voir ce que ma femme de service m’a préparé à manger pour ce dimanche, elle ne vient pas aujourd’hui, demain elle va être surprise, à moins qu’une fois habillés nous ne partions tout de suite.

C’est ce que nous faisons après avoir mangé le saumon bio qu’elle a acheté, je lui laisse une note et j’appelle la société de taxi ouverte sept jours sur sept qui nous conduit sans problème vers la Normandie.


En route, il neige, nous allons passer un Noël blanc, nous sommes assis à l’arrière nous tenant la main, je n’aurais jamais pensé qu’un jour, je reviendrais vers notre ferme tenant par la main un homme.
C’est homme dès que j’ai payé le chauffeur et que mes bagages sont entrés, me prennent dans ses bras, j’adore m’abandonner sous sa langue et sa main qui me caresse la chatte, une nouvelle fois j’allais comparer avec Joy qui le faisait systématiquement quand je passais près d’elle après quelques heures où elle avait créé.
Il me colle au mur, je sens qu’il sort sa verge de sa braguette, que je reçois en moi le dos collé au mur du vestibule, je suis obligé de m’accrocher à son cou pour éviter qu’il ne sorte, mais c’est divin, par mon poids, sa verge entre très profondément en moi.
Une nouvelle fois et pour la première fois avec cet homme, je jouis dans la maison de mes grands-parents, maison familiale plutôt.

• Ce n’est pas le tout, Jennifer, j’adore te baiser autant que j’aime ta purée de pois cassés, mais je voudrais bien voir Joy, par ce temps enneigé, elle doit être dans l’écurie.

C’est la chatte remplie de son sperme, ma culotte baignant dedans, car il l’a seulement écartée pour me sauter qu’une nouvelle fois, main dans la main, je le conduis vers l’écurie.

• Écoute, elle sait que je suis là, elle ne hennit pas pareil quand j’arrive qu’en temps normal.

Une fois entrée, Joy dans son box nous fait fête, je dis bien « nous » se frottant à moi et à lui, il se baisse regarde sa patte qui pose problème sans que j’aie à lui dire laquelle.

• Jennifer, tu peux sortir, je vois ce que je peux faire, ton cheval est loin d’être un cheval bon pour l’abattoir où pour flâner dans un pré, seulement il faut que je sois seul avec elle pour que le don que j’ai, fonctionne, fais-moi entièrement confiance.

Scène hallucinante, je sors et reviens allumer la cheminée, c’est Joy qui le faisait, car à part essayer d’écrire des best-sellers que je n’ai jamais proposés à un éditeur, les trouvant très mauvais après relecture, les travaux ménagers et moi cela fait deux.

Comme je l’ai dit, Joy avait une panoplie de qualité et allumée la cheminée en faisait partie.

• Laisse-moi faire ma chérie, je vois qu’allumé un feu est une tâche impossible, comment crois-tu pouvoir enflammer cette grosse bûche en lui mettant une allumette dessous, regarde, tu as usé la moitié de la boîte et la bûche est tout juste noircie.
Va plutôt nous préparer le bain, en te passant la main sur la figure, tu as une tête à faire peur, à force de te passer la main noircie dessus, mais attends une minute, à quatre pattes comme tu l’es, j’ai envie de t’en mettre un petit coup.

Il me relève la jupe et je vois qu’il a la velléité de me prendre de nouveau.

• Arrête satire, mais tu es impossible, mon vagin est déjà rempli de ton sperme, il faut que je me lave.

Je saute sur mes pieds lui échappant et filant par le couloir vers la salle de bains, j’ouvre l’eau chaude et j’attends, je vais pour enlever mes vêtements, mais le froid même dans la maison m’en empêche.
J’ai beau attendre, l’eau reste froide, la chaudière doit être en panne.

• C’est fait, la cheminée est allumée, nous allons prendre un bain chaud, tu n’as pas ouvert le radiateur, il fait froid dans ces pièces.
• Il n’y a pas d’eau chaude non plus.
• J’affabule, en plus de la cheminée, il y a une chaudière à mettre en marche, où est-elle ?
• Je ne sais pas, c’est Joy qui faisait tout, quand nous venions.
• Je vais suivre les tuyaux, ils finiront bien par me montrer où elle est, en attendant, pour éviter de prendre froid, va dans le salon profiter de la flambée que j’ai allumée.

Je suis son conseil, je vais plus loin, je passe par notre chambre ou en me dépêchant j’enlève tous mes vêtements pour filer sur le canapé, je déplie un plaid que Joy plaçait là pour nos soirées au coin du feu.

• Voilà, je l’ai trouvé, tout fonctionne, l’eau chaude va circuler, je vois que tu t’es mise à l’aise, mais dites-moi, tu es nue sous ce plaid, aurais-tu envies de mon pénis, il est à ta disposition.

Il fait tomber ses vêtements, il va falloir que nous allions jusqu’à la ville lui faire une vraie garde-robe, une fois qu’il est nu, j’ouvre le plaide me poussant pour lui faire une petite place, il bande déjà pour moi…

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