Les Plaisirs De La Piscine Privée

Enfin, ils l'avaient, Sandrine et Olivier, cette piscine privée qu'ils désiraient depuis si longtemps. C'était certes plus une grande baignoire qu'un bassin olympique mais elle avait à leurs yeux tous les mérites, le principal étant de se baigner à la belle saison quand l'envie les en prenait sans bouger de chez eux. Dire qu'ils avaient dû atteindre la quarantaine pour l'avoir alors que dans leur quartier résidentiel, plusieurs jeunes couples en disposaient déjà. Mais il avait d'abord fallu payer les plus grosses traites du pavillon après plusieurs années passées en résidence collective dans la ville voisine. Dès que les installateurs avaient posé le bassin au terme de travaux un peu pénibles dans le jardin, le couple avait fait disposer une haie de bois afin de préserver leur intimité. "On pourra se baigner à poil", avait rigolé Olivier. Sandrine avait répondu que c'était faire un peu exagérément confiance à leur protection visuelle et qu'elle se satisferait très bien de son bikini habituel.

Il est vrai qu'elle le portait avec bonheur, ce bikini. A 45 ans, son corps pouvait faire envie à des femmes bien plus jeunes qu'elle. Mesurant 1,77m pour 60 kg, elle aurait pu poser en d'autres temps dans les magazines si son visage un peu ingrat ne l'avait surtout réduite à un corps. Mais de ce corps, elle était fière avec ses jambes fuselées, ses hanches en amphore, son ventre plat et ses seins agressifs. Elle tentait par tous les moyens de le préserver par des footings et des séances en salle de gym, sans oublier un régime alimentaire assez strict : pas de graisses, pas de sucre, peu de laitages. Olivier avait accepté de s'y conformer, ce qui lui permettait lui aussi d'arborer un corps sec aux muscles apparents. Ce culte réciproque du corps se retrouvait naturellement au lit. Sandrine et Olivier copulaient beaucoup plus fréquemment que la moyenne des couples de leur âge. Fringant et bien membré, Olivier satisfaisait pleinement l'appétit sexuel de Sandrine.

Ils multipliaient les expériences, ayant même tenté un club échangiste où Sandrine s'était envoyée en l'air avec trois mecs différents sous l'oeil épaté d'Olivier qui s'était contenté quant à lui d'une Guadeloupéenne d'une vingtaine d'années. Mais au fond, tous deux préféraient baiser ensemble, parfois dans des endroits improbables comme des toilettes de restaurant ou un bois de pin à l'arrière d'une plage, après que Sandrine eut tombé le bikini.

Ce maillot deux pièces, Sandrine en était très fan. Elle l'avait choisi avec soin pour qu'il cache juste ce qu'il faut, mais pas plus. Le soutif se réduisait à trois ficelles autour du cou et du dos censées maintenir deux bouts de tissus dissimulant tout juste les aréoles de ses seins. Quant au slip, c'était en fait deux triangles, un devant et un derrière, reliés par des cordons attachés par des noeuds, tenant plus du cache sexe et du cache raie que du slip. Quand Sandrine déambulait sur la plage nantie de ce maillot minimaliste, le regard des hommes s'allumait et celui des femmes fusillait. En la circonstance, qu'elle ne fut pas précisément jolie importait peu. Sandrine étalait tranquillement sa sexualité, consciente de l'effet produit qu'elle accentuait par un léger roulement de hanches. D'où la réflexion de son mari :
- Tout le monde voit que tu es une femme qui baise.
Sandrine répondait par un sourire en coin. Elle avait toujours aimé provoquer.
*****
Bien entendu, les deux ados du couple, Laura 16 ans et Michael, 13 ans, monopolisaient la piscine. Ils invitaient les copains dont certains godelureaux qui reluquaient les nouvelles rondeurs de Laura pourtant beaucoup mieux dissimulées que celles de sa mère. Celle-ci devinait qu'un jour ou l'autre, sa fille allait perdre son pucelage et ne voyait pas d'un mauvais oeil ces jeux aquatiques qui lui permettait de savoir qui était qui dans l'entourage de sa progéniture. Laura avait été dûment informée mais Sandrine était payée pour savoir qu'au jour J, ses avertissements ne pèseraient pas très lourd.
En attendant, Laura jouait un peu les pudibondes et reprochait à se mère son "indécence" lorsqu'elle sortait son ersatz de maillot de bain.

Aussi cette dernière ne fut pas mécontente que les deux ados puissent partir quelques jours en camps de vacances. Elle pourrait profiter de la piscine sans supporter les éclaboussures de la jeunesse. La période était justement très chaude et Sandrine ne quittait plus son bikini. Tout en se prélassant sur le bain de soleil, Olivier la regardait déambuler, entrer et sortir du bain, le "slip" parfois presque entièrement entré dans la raie des fesses, le haut du maillot découvrant un mamelon. Alors, une érection déjà bien marquée sous le bermuda de bain, il tirait sa femme par la main vers la chambre, ignorait ses protestations et la culbutait sur le lit conjugal. La résistance de Sandrine s'amollissait à mesure que la queue de son mari se raidissait, d'autant plus s'il prenait à Olivier la fantaisie de lui taquiner le bouton de la langue, le pseudo slip n'ayant opposé qu'une maigre résistance. Le compas des longues jambes féminines s'ouvrait comme par magie et Olivier pouvait tranquillement exercer son devoir de mâle sous les encouragements de son épouse, exprimés d'autant plus crûment qu'aucune oreille chaste ne se trouvait dans la maison. En l'absence de leurs s, Sandrine et Olivier baisaient au moins une fois par jour, sans se lasser, chacun exprimant sa demande au gré des circonstances.
*****
Précisément, un soir de canicule, alors que le couple sirotait une boisson fraiche au bord de la piscine, Olivier eut une idée. Sandrine portait non son bikini mais un simple paréo sous lequel elle était nue. Il avait fait tellement chaud dans la journée qu'il avait passé le plus clair du temps dans l'eau. La chaleur les avait même dissuadés de s'offrir leur habituelle partie de jambes en l'air. Mais la vision des longues jambes de Sandrine, largement découvertes sur le bain de soleil, inspira tout à coup Olivier. Il posa son verre et se mit dans l'alignement de son épouse, la tête en avant, l'insinuant délibérément entre ses genoux :
- Mais.
.. qu'est-ce que tu fais ! Arrête ! On peut nous voir ! protesta Sandrine.
- La clôture nous protège et de toute façon, il fait noir. Laisse-toi faire.
- Non... non...
Sandrine en fit tomber l'essentiel du reste de sa boisson mais la tête d'Olivier était déjà entre ses cuisses et presque aussitôt sa bouche sur sa fente. Il savait d'expérience qu'elle ne résisterait pas à un cunni. De fait, il sentit s'amollir la résistance. Le paréo était désormais troussé jusqu'au nombril. A mesure que la langue fouillait le sexe, celui-ci s'humidifiait, le bassin remuait, une main se crispait sur la nuque du lécheur et les longues jambes encerclaient son dos. En levant les yeux, Olivier s'aperçut que Sandrine avait les siens fermés et la bouche entrouverte, l'esprit totalement concentré sur son sexe. Il avait allumé l'incendie et il lui faudrait maintenant l'éteindre, sous peine de décevoir.
Il se releva, baissa son bermuda et exhiba sa tige tendue, prête à l'emploi :
- On va dans la chambre ? interrogea Sandrine de la voix rauque qu'elle prenait dans l'acte sexuel.
- Non, dans la piscine.
- Quoi ? Mais on va nous voir.
- Pas plus que maintenant. Fous-toi à poil et viens me rejoindre.

Mise devant le fait accompli, Sandrine n'avait plus trop le choix. Si elle voulait la bite, et elle la voulait ardemment, il fallait qu'elle se mette à l'eau. Olivier l'attendait, de l'eau jusqu'au ventre. Elle le rejoignit prudemment, car la fraicheur la fit frissonner. Mais dès qu'elle fut en contact avec son mari, elle l'embrassa et saisit sa queue sous l'eau. Elle le masturba pour maintenir sa raideur. Ce scénario aquatique, jusqu'alors inédit dans leur couple, lui fit rapidement abandonner ses réflexes pudibonds pour laisser place à la femelle fondue de pénis, qu'Olivier savait si facilement révéler. Il la guida vers le bord de la piscine et, après l'avoir longuement embrassée et caressée, lui releva une jambe qu'elle enroula autour de ses reins et la pénétra.
Ses bras étendus sur le bord donnaient à Sandrine un appui qui lui permit de renvoyer la balle avec d'autant plus d'aisance que son bassin, maintenu par l'eau, collait sans difficulté à celui d'Olivier. De ce fait, les deux sexes se joignaient en parfaite harmonie dans un bruit de clapot. Olivier se régalait du spectacle offert : le visage rayonnant de Sandrine, toutes dents dehors, ses seins affleurant à la surface de l'eau, le contexte de cet accouplement nocturne et aquatique, légèrement transgressif. Elle murmura sa satisfaction par des "ah c'est bon, encore, t'arrête pas surtout" et il accéléra le rythme de ses coups de boutoir dans l'intention perverse de la faire crier de plaisir, quitte à alerter le voisinage. Que celui-ci sache qu'il baisait sa femme dans leur piscine n'était pas pour lui déplaire. Et de fait, Sandrine marqua crûment sa jubilation, oubliant la situation pour se concentrer sur son sexe et les sensations qu'il lui offrait. Elle avait joui, manifestement joui, et une oreille avertie ne pouvait pas s'y tromper.
Il se détacha d'elle et lui glissa à l'oreille :
- J'en ai pas fini avec toi. Viens avec moi.

Il la prit par la main et la conduisit jusqu'aux marches de la piscine où il la fit asseoir. Sans qu'il ait eu besoin de le lui demander, elle lui prit la queue pour la sucer. Et sans qu'il eut encore besoin de le lui demander après une délicieuse séance de succion, elle se mit à quatre pattes sur les marches et lui offrit sa croupe. Il aurait pu la sodomiser séance tenante, elle ne l'aurait pas refusé mais il préféra l'enfiler en levrette, debout dans l'eau, elle à demi immergée. Il n'eut même pas besoin de s'employer. Elle vint résolument à sa rencontre à grands coups de hanches et grâce à la position sur les marches, il put empoigner ses deux seins ballottants à fleur d'eau. Les sensations qu'elle éprouvait devaient être vives car elle se mit à gémir bouche fermée, mmmmhhh mmmmhhhh, bruits suffisamment audibles pour confirmer dans le voisinage le coït aquatique. Olivier clapotait allègrement au point de provoquer des vagues sur les marches. Mais quand Sandrine glissa une main entre ses cuisses pour saisir ses couilles et les peloter, comme elle faisait souvent dans la levrette, il ne résista pas. Après une ultime rafale de coups de bite qui fit gémir Sandrine, il expulsa son liquide séminal qui se mit à monter jusqu'à la surface de l'eau, substance blanchâtre qui finit par se morceler en micro grumeaux et à se dissoudre. Le couple dissocié s'assit sur les marches, un peu groggy tant par l'effet de l'eau que par l'intensité du coït :
- Hou là là, quelle baise, tu m'as servie comme un chef ! souffla Sandrine.
- Alors, ça t'a plu, la piscine ?
- C'était génial. Mais on n'a pas été très discrets, je le crains.
- Ouais, surtout toi.
- Salaud, c'est de ta faute, gloussa Sandrine en adressant une petite gifle à son mari.
Puis ils nageottèrent avec volupté, profitant du contact de l'onde sur leur peau nue, avant de revenir sur les bains de soleil, de se servir un nouveau verre et d'attendre tranquillement la venue du sommeil.
********
Deux jours plus tard, Sandrine se trouvait au supermarché pour ses courses alimentaires lorsqu'elle croisa Françoise, sa voisine. Elle avait plusieurs fois échangé des propos badins par-dessus la clôture avec cette sympathique sexagénaire, nouvellement retraitée de l'éducation nationale, plantureuse et rigolarde, bonne vivante adepte du barbecue dont les fumées envahissaient parfois le jardin du couple. Elle s'en excusait à chaque fois et avait souvent proposé à Sandrine de franchir sa porte pour déguster ses grillades. Mais la grande blonde, végétarienne, expliquait son refus par son mode alimentaire. Néanmoins, Françoise revint à la charge ce jour-là :
- Alors, quand c'est que vous venez chez nous grignoter quelque chose ?
- Vous savez bien que je ne mange pas de viande.
- Oui oui je sais, vous êtes plus sage que moi. Enfin, sage... pas toujours hein ? dit-elle en clignant de l'oeil.
- Que voulez-vous dire, Françoise ?
- Bon, on ne va pas se raconter d'histoire. Avec Serge, on vous a entendu faire l'amour dans votre piscine l'autre soir. C'était très chouette. Tellement chouette qu'on est rentrés chez nous faire l'amour ensuite. Vous nous aviez mis en appétit.

Sandrine rougit jusqu'aux oreilles. Elle balbutia quelques excuses pour la gêne et promit de ne plus recommencer.
- Comment ça ? Mais vous n'avez pas à vous excuser. Vous avez parfaitement le droit de faire ce que bon vous semble dans votre piscine. Si on en avait une, on ferait pareil, croyez-moi. Vous avez de la chance.
Rassurée, Sandrine lui sourit et une idée lui vint tout à coup à l'esprit :
- Si vous voulez, on vous la prête un après-midi pendant qu'on sera absents.
- Ah oui, avec grand plaisir, je vais en parler à Serge.
Et les deux femmes poursuivirent leur discussion dans les travées du magasin en piochant dans les rayons. Puis Sandrine rentra chez elle, parla à Olivier de la discussion inattendue avec la voisine, qui en rit aux éclats :
- Eh ben, ça doit être marrant de les voir baiser dans notre bain de pied. Mais je doute qu'ils passent à l'acte.
*******
Deux soirs plus tard, Olivier et Sandrine sirotaient comme d'habitude leur cocktail sur leur bain de soleil en regardant celui-ci se coucher quand on sonna à la porte du jardin. Quelle ne fut pas leur surprise lorsqu'ils découvrirent Serge, vêtu d'un simple slip de bain, et Françoise d'un paréo lui arrivant à mi-cuisses et découvrant la quasi totalité de ses seins lourds.
- On a pris Sandrine au mot. On vient essayer votre piscine, dit-elle, un sourire en coin.
- Mais... nous avions parlé d'un après-midi, répondit Sandrine.
- C'est bien meilleur le soir, non ? Il fait moins chaud, l'eau doit être très bonne.
Et sans transition, dépourvue de la moindre gêne, Françoise se débarrassa de son paréo, découvrant un corps aux chairs abondantes, aussi nu qu'on peut l'être et au bronzage intégral, signe d'une pratique naturiste, avant d'entrer dans l'eau par les marches et de se laisser glisser avec une évidente volupté. Son mari, qui s'était délesté de son slip, tout aussi intégralement bronzé, fit de même et le couple voisin se mit à batifoler dans l'onde en poussant des soupirs d'aise.
- Ah merci, depuis le temps qu'on en avait envie en vous entendant dans l'eau. On adore se baigner nus, c'est ce qu'on fait à la plage.

Stupéfaits, Olivier et Sandrine regardaient les deux sexagénaires évoluer sans complexe, comme chez eux, et étaler leur corps nu avec un parfait naturel.
- Qu'est ce que vous attendez pour nous rejoindre, lança Françoise.
Sandrine et Olivier se regardèrent. Ils pouvaient difficilement refuser l'invite. Mais la nudité des deux baigneurs incitait à faire de même. Et c'est donc nus qu'ils entrèrent à leur tour dans l'onde.
********
- J'espère qu'on ne vous gêne pas trop, gloussa la sexagénaire, que la situation semblait particulièrement amuser.
- Heu... non, on vous doit bien ça puisqu'on a fait du bruit l'autre soir.
- Du bruit ? Mais non, c'était stimulant au contraire, je vous l'ai dit. Bon, on peut se tutoyer maintenant, non ?
- Oui oui bien sûr.

Les deux hommes parlaient en aparté à l'autre bout de la piscine. De quoi ? D'où elle était, Sandrine ne pouvait pas entendre. Puis Françoise sortit de l'eau, sa vaste croupe ondulante, et s'assit sur le bord, les pieds dans l'onde, les pointes de ses seins lourds durcies par la fraicheur aquatique. C'est alors qu'un événement totalement inattendu se produisit, qui laissa le couple hôte une nouvelle fois pantois. Le dénommé Serge, mari de Françoise, chauve et barbu, la poitrine velue, s'avança vers son épouse et, debout dans la piscine, glissa son museau entre ses cuisses afin d'entamer un cunnilingus.
- Mais qu'est-ce que tu fais, espèce de vieux cochon ! Tu ne pouvais pas attendre qu'on soit chez nous ? fit mine de protester Françoise.
Loin de repousser son mari du pied comme elle aurait pu aisément le faire, elle ouvrit largement les cuisses, posa ses mains derrière elle, et s'abandonna à la succion. Sandrine et Olivier se regardèrent : leurs voisins étaient en train de baiser chez eux ! Que faire ? Les virer avec pertes et fracas, comme l'auraient fait des hôtes dignes et respectueux des convenances ? Regarder ailleurs en continuant à nageotter ? Françoise leur donna la solution :
- Sandrine, viens à côté de moi, ton mari va te faire aussi une petite gâterie.

A dire vrai, la grande blonde n'eut pas besoin de se forcer. L'activité buccale de Serge, ardente et précise, avait provoqué plusieurs gémissements de la plantureuse sexagénaire, suscitant l'envie de Sandrine.
- Vas-y, je vais te lécher aussi, lui glissa Olivier.
En la circonstance, le couple hôte retrouva son état d'esprit de l'épisode club échangiste où ils avaient, pour la première fois de leur vie, forniqué en compagnie. Sandrine se positionna à proximité de sa voisine, cuisses largement ouvertes. La bouche gourmande d'Olivier ne tarda pas à lui procurer les sensations toujours délicieuses du cunni, dont elle était friande. Le spectacle des deux hommes gloutons, à demi immergés, constituait de surcroit un ajout érotique inédit qui ne pouvait que prendre le cerveau de deux femelles aussi portées l'une que l'autre sur le sexe. Elles mêlèrent leurs gémissements de plaisir en s'observant l'une l'autre, attentives à leurs réactions, jusqu'au moment où Françoise lâcha :
- J'ai envie de baiser dans l'eau.

Alors, elle repoussa la tête de Serge et se laissa glisser à sa rencontre, mit ses bras en croix sur le bord, et son mâle la pénétra illico debout. Il la secoua de ses coups de bite, faisant clapoter ses gros seins à la surface de l'onde, comme deux bouées. Sandrine ne pouvait faire autre chose qu'imiter sa voisine et s'empala sur la queue bien tendue d'Olivier, dont les coups de boutoir, associés à ceux de son voisin, provoquèrent des vagues débordant les limites du bassin. Les deux femmes ne retenaient plus leurs cris, d'autant moins qu'il n'y avait plus crainte d'alerter le voisinage. Sandrine avait noué ses bras autour du cou de son mari et tressautait avec l'appui aquatique, les mains d'Olivier sous ses fesses, alors que Françoise persistait dans sa position écartelée. Pour les deux hommes, la question était maintenant de savoir qui allait gicler le premier car l'épisode était puissamment éjaculatoire. Mais les deux femmes n'avaient pas l'intention de précipiter les choses. Une nouvelle fois, Françoise se détacha et s'en fut nageotter jusqu'aux marches de la piscine, où elle se mit à quatre pattes, le cul en l'air :
- Comme ça maintenant, ça doit être rudement bon.

Le chauve barbu empoigna les larges hanches de son épouse et reprit ses va et viens, à un rythme modéré, comme s'il voulait durer. Olivier entraina Sandrine pour qu'elle se positionne de même et Olivier l'enfila en levrette. Si un voyeur équipé d'un drone avait pu survoler la piscine à ce moment précis, la scène lui aurait offert un spectacle plutôt contrasté. D'un côté, une femme tout en rondeurs charnues, de petite taille et de l'autre, une grande duduche au petit cul pommelé, toutes deux honorées par derrière, leur partenaire en revanche assez semblables du fait de leur corps sec, debout et concentrés, mains aux flancs de leur femme et yeux sur leur nuque, imitant l'initiative d'aller palper un peu les seins mouvants à la surface de l'eau. Lorsque Françoise s'aperçut que Sandrine était allée chercher les couilles sous l'eau d'Olivier, elle fit de même.
- Bon dieu, elles sont bonnes hein ? lâcha Serge d'une voix tendue.
Olivier répondit par un grognement. La main de Sandrine sur ses couilles le mettait au bord de l'éjaculation. Surtout tenir encore un peu.
- Je vais l'enculer, informa le barbu.

Et de fait, il positionna son gland à l'entrée de l'orifice intime de la sexagénaire qui, sentant le début d'intromission, se cambra. Sandrine scruta le regard de sa voisine, yeux clos, en attente. Au bout de quelques minutes, la pénétration fut engagée et le visage de Françoise s'éclaira.
- C'est bon ? interrogea Sandrine.
- Ah oui, j'adore ça, répondit-elle en répondant à coups de fesse aux percussions de Serge, sur fond de peaux claquantes.
Sandrine ne pouvait pas faire moins. La sodomie ne faisait pas partie de ses priorités sexuelles mais elle ne voulait pas paraitre en retrait.
- Fais-le aussi, dit-elle à Olivier.
Celui-ci ne se fit pas prier. Il s'était souvent vu opposer un refus à ses tentatives sodomites mais le contexte lui était désormais favorable. A quatre pattes sur les marches, Sandrine était dans la position idéale, les genoux dans l'eau, le cul juste à la surface. Il s'insinua avec précaution, adjura son épouse de se détendre, mais l'enthousiasme de l'enculée voisine constituait la meilleure aide au pénétrant. Il s'engagea plus facilement qu'il n'aurait cru et sa peau de son bas-ventre claqua sur les fesses féminines qui ne tardèrent pas à s'agiter à leur tour. Sandrine se laissa envahir par un flot de sensations nouvelles provoquant onomatopées, interjections, exclamations :
- Alors, tu aimes ? souffla Françoise, entre deux halètements.
- Ah oui ! Ah oui ! Mmmmmhhhh.

Les deux hommes baignaient dans un rectum confortable, beaucoup plus large que le vagin, ce qui leur permettait de durer, du moins en principe car la frénésie de leur épouse et une volée de mots crus de Françoise les mirent l'un et l'autre au bord de l'éjaculation. Sandrine ne se maitrisait plus. Elle connut pour la première fois de sa vie un orgasme rectal et adjura Olivier de jouir en même temps :
- Viens... viens ! hurla-t-elle.
Il n'attendait que ce signal en gicla en grognant, le nez sur la nuque de son épouse. A côté, Serge, plus endurant, persista encore dans une rafale de coups de queue qui fit littéralement exploser de joie la récipiendaire, éructant des "encore encore" jusqu'à ce que son mari se vide à son tour de sa substance, laquelle se mit à flotter à surface de l'eau en trames épaisses, vite dissoutes. Et tout le monde se retrouva assis sur les marches, abruti de plaisir, avant un retour au bercail et une douche pour évacuer l'eau chlorée.
******
Une période euphorique entre les deux couples suivit cette fameuse soirée. Les sexas venaient souvent se baigner et les invitations à dîner se multipliaient. L'une d'elles, se déroulant chez Sandrine et Olivier, dérapa pour se terminer par un mélange des deux couples dans le lit conjugal. Olivier put pétrir à loisir la chair abondante de Françoise tandis que Serge, survolté, s'efforçait d'honorer la gourmande Sandrine en puisant dans ses réserves. Chacun convint de la réussite de l'expérience et se promit de la renouveler. Malheureusement, quelques jours plus tard, Serge fut victime d'un infarctus, ce qui culpabilisa quelque peu Sandrine. Elle se remémorait ses "encore encore vas-y plus fort" pendant que le barbu l'honorait en transpirant, histoire de ne pas se tenir en retrait de Françoise qui, à côté d'elle, ne cessait de célébrer la virilité d'Olivier ("ah elle est bonne ta queue, elle est dure, tu me baises super bien..."). Après cet accident cardiaque, la sexualité du couple sexagénaire se retrouva réduite à néant, Françoise se consacrant désormais à la sauvegarde de son époux. Un amitié de voisinage remplaça la complicité sexuelle, laquelle ne devint plus qu'un agréable souvenir. Sandrine et Olivier évitèrent désormais de faire l'amour dans leur piscine, histoire de ne pas frustrer le couple voisin. Puis, l'automne arrivant, Olivier recouvrit le bassin de sa couverture en plastique. Les galipettes aquatiques, ce serait désormais pour l'été prochain.

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