Ma Voisine Brigitte Et Moi...
Je regardais la pendule situé sur la table de chevet pour mapercevoir quil était lheure de me préparer pour aller en court. À regret je coupais le disque qui tournait sur la platine. Finis Verdun ou Carcassonne. Un album fraichement sortie des bacs. Jenfilais mon blouson. Me saisis du cartable rouge qui faisait très sage écolier. Un choix de ma chère maman. Jy enfournais quelques affaires pour les courts de laprès-midi et je désertais la chambre. Javais autant envie de prendre le chemin du lycée que celui de me suicider.
Alors que je pesais sur la poignée de la porte dentrée, javertis à haute voix ma mère de mon départ. La lumière du pallier était déjà allumer, je mengageais à descendre la première marche quand jentendis quà létage inférieur en déverrouiller une porte. Deux rangées de marches plus tard, je surpris la voisine, Brigitte de son prénom, penchée sur ses bottes en train de faire glisser les fermetures Éclair. Elle venait de raccompagner ses jumelles à lécole. Une fine couche de neige soulignait la couture de ses chaussures. Trop préoccupée à ce quelle faisait, elle ne mavait même pas calculé. Ce fut suite à un grincement de marche quelle saperçut de ma présence. Elle se redressa et prenant appuie à la rampe, elle se déchaussa tout en sintéressant de moi du regard. Je navais à cet instant que dyeux sur le pied gainé de nylon blanc qui sortie de la prison de cuir.
Putain ! Que javais une envie folle de toucher ce pied, de le sentir son odeur, de découvrir son goût.
- Salut jeune homme, fit-elle, en enfouissant le pied dans son chausson.
- Bonjour Madame. Répondais-je.
- Sale temps pour mettre un pied dehors ! Et le plus beau cest quil prévoit à la météo, de nouveau de la neige ses prochains jours
- Moi, je trouve cela très plaisant
un paysage tout blanc
-
Oui et bien pas moi, si tu veux savoir. Et en plus de ça ils te font attendre une plombe devant les grilles de lécole.
- Il suffit seulement de les masser
- Oui, cest-ce quaurait fait mon mari sil avait été là.
- Cela ne doit pas être la panacée pour lui de conduire son camion sur ses routes enneigées.
- Oh ! Ça va de ce côté il se trouve en ce moment au sud de lEspagne. Rétorquait-elle, enfouissant son second pied dans le chausson.
Javais de plus en plus de mal à me contenir à ne pas me jeter à ses pieds. Jétais fétichiste des petons féminins. Cela métait venu comme ça, seulement en les regardant, attendant sagement une occasion pour les toucher, voir même pour les embrasser. Ce que je comptais bien faire ce jour là.
- Vous savez ! Si cela pourrais vous soulager, je me porte volontaire pour vous les masser.
- Quelle culot !
- Mais madame ! Je voulais seulement vous rendre service. Il ny a rien de fautif à toucher des pieds.
- Mais je le sais parfaitement
je te charrier.
- Vous savez il marrive de le faire à ma mère, pour vous dire
- Cest très gentil de ta part, mais à voire ton cartable, il me semble que tu as court non ? Je me trompe ?
- Non
non ! Vous avez parfaitement raison. Mais dans une heure. Jadore arrivé avant lheure. Rejoindre les copains, enfin ! Vous comprenez
- Oui parfaitement
moi aussi à ton âge je préférais me trouver loin de mes parents
fit-elle en pouffant de rire.
Après avoir reprit son sérieux, elle me proposa :
- Tout bien réfléchie je vais accepter ta proposition tellement mes pieds me brûlent à linstant que je te parle. Jai limpression quon me les pique avec des milliers dépingles
Pendant quelle parlait, je me prenais à penser au nombre de fois où javais humé ses chaussures quelle avait laissé au pas de sa porte. Jattendais que la lumière du hall se coupe pour passer à lacte. Après les avoir humés, je les dévorais de baisers, finissant par lécher les semelles.
- Tu rêves pour pauvre garçon !
- Non
non, jétais en train de penser
- Quattends-tu ? Tu rentres oui ou non ?
- Oui
oui Madame, fis-je en sautant les deux marches qui me rester à descendre avant datteindre le palier.
- Noublie pas de retirer tes chaussures, me lâcha-t-elle, alors quelle posait sa paire de botte souillée sur un petit paillasson.
Elle ôta son manteau quelle cloua sur une patère. Ses longs chevaux blonds, encadraient un visage ingénu, aux traits fins, ruisselaient sur un chemisier blanc fermé par une série de boutons. Sa jupe plissée en velours descendait sous le genou. À peine avais-je cloué à mon tour mon blouson, quelle me prit par la main, et mentraîna jusquau salon, tout en tortillant des fesses. Mon cur tapait lourdement dans ma poitrine. Une laque sueur poissait mon dos. Lappartement était spacieuse, confortablement meublée.
Sitôt assis sur le canapé, elle se débarrassa de ses chaussons, puis sy allongea de tout son long. Elle fit alors pivoter ses jambes pour les poser en appui sur mes genoux.
La télévision était allumée. À lécran je reconnu Martine Chardon la présentatrice dAujourdhui Madame, une émission que suivait aussi ma mère, là-haut au-dessus de nos têtes.
Sans perdre de temps, je me saisis entre mes mains un de ses pieds, et maffairais de le réchauffer. Le contact avec ce peton gelé ensaché de nylon moite de sueur avait été pour moi aussi divin que le bouquet final dun feu dartifice. Pour vous dire mon émotion à cet instant là.
Elle sattarda quelques instant à regarder mes doigts massaient lentement la voûte plantaire, avant de sintéresser à ce qui se disait à lémission. Avec des gestes précis, je frictionnais savamment le pied. Certains auraient été dégoûtés dy promener leurs doigts, mais pas moi. Tout au contraire, je prenais un certain plaisir, au point den avoir la verge, prendre de la consistance dans mon slip. Et la coquine ne mit pas longtemps à sen apercevoir :
- Mais dis-moi, fit-elle à haute voix, me faisant sursauter. Jai limpression que tout ça à tendance à texciter.
- Javoue que oui, vous avez de si jolis pieds !
Dun mouvement brusque elle récupéra son bien et elle lâcha :
- Montre-moi ça
- Pardon !
- Retire ton pantalon
Ma surprise fut telle, je restais sans réaction. Dun mouvement rapide, elle se précipitait à mes pieds. Elle me déboutonna ma braguette, et se retrouva-en tête à tête avec ma verge dressée. Cette confrontation lui donnait de laudace. À en ouvrir mon pantalon, quelle tirait vers le bas pour me lôter. Je soulevais mes fesses pour permettre le passage. Elle soupesa mes grosses couilles recouvertes de poils, avant dy passer sa langue. Puis les goba, une puis lautre pour mon plus grand plaisir.
Elle me happa la verge entre ses lèvres qui devint encore plus grosse, emplissant sa bouche.
Ce fut pour elle comme un déclic pour passer à autre chose. Le temps de se débarrasser de tout ce qui pourrait la gêner, puis elle vint saccroupir sur moi. Elle ouvrait sa vulve du bout des doigts, puis insinua la pointe de ma verge entre les muqueuses humides. Un incroyable plaisir m'avait envahi lorsque Brigitte sétait laissée glissée sur ma verge, lengloutissant entièrement dans son vagin. Elle entama très vite un va-et-vient de haut en bas. Soupirant de plus en plus fort alors que les parois de son con massaient agréablement ma queue.
Quand la jouissance lemporta, elle frémissait de tout son corps. Engendrant des contractions plus intenses sur son vagin, qui engendrèrent mon éjaculation. Elle jouissait une seconde fois alors que je mépandais en elle. La délectation absorbée, elle se dégagea de ma monture, prenant place à mes côtés.
- Cétait bon ! Tu ne trouves pas ?
- Oui ! Très bon même
- Mieux quavec la voisine du troisième ?
- Je ne vois pas où vous voulez en venir
- Aller, je ne prends pour une niaise. Tu ne vas pas tout de même me faire croire quil ne se passe rien entre toi et la Bernadette.
- Non ! Où allez-vous donc chercher cela.
- Cest que jai remarqué que tu as passé pas mal de temps avec elle à la cour de la saison chaude, voilà ce qui me fait penser à cela. Et arrête veux-tu avec tes tu
- Oh ! Il y a un malentendu, cétait pour lui donner un coup de main au potager.
- Seulement pour le potager ?
- Oui ! Seulement !
- Tu mens ! Fit-elle les yeux dans les yeux.
- Pas du tout, je dis que cest la vérité
- Et bien mon grand tu es un con
- Comment ça ?
- Je suis assurément sûr que tu peux te la baiser cette pimbêche. Dailleurs elle nattend que ça. À lépoque où on sadresser la parole, elle mavait confessé quelle sétait marié à vingt-un ans, et quaprès la naissance de son troisième s cest-à-dire Muriel, (ma copine de cul soit dit en passant), elle avait le sexe qui somnolait. Pour de dire ! Et ce que je te dis, remonte déjà à quelques mois. Alors crois moi mon grand, si un jour lenvie te venait de lui mettre une troussée, nhésite pas, fonce. Elle nen sera que plus reconnaissante. Mais avant, jai encore envie de ta queue. Gare-là moi de nouveau dans mon garage.
Je la renversais sur le divan. Son sexe me narguer en se tortillant indécemment, les poils de sa toison avaient perdu de leur superbe. Ils étaient poisseux, collés et emmêlés. Mais à la voir dans cet état, jétais de nouveau excité. Nous étions vraiment faits pour nous entendre !
Jentamais un va-et-vient rapide entre ses jambes. Elle sy abandonna clouée sur les coussins, avant de se mêtre à me décocher de grands coups de reins. Nos corps tressautaient sur le divan. À le faire se déplaçait sur le parquet. Lodeur de sexe et de sueur se mêlaient, sentrechoquaient. Nos ventres faisaient de petits bruits visqueux en se décollant. Se mêlant aux clapotis du vagin.
Cétait une lutte muette vicieuse, sans merci.
Malgré une première éjaculation, je nai pus résisté plus longtemps. Je lui ai envoyé tout ce que javais au fond du corps, la faisant beugler sous larrosage.
Complètement exténué, je me suis affalé sur elle, écrasant son corps sous le mien. Les yeux dans les yeux, sans autre expression quun grand sourire en guise de merci, du plaisir partagé dans ces dernières minutes.
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