Ma Copine Naima.

Quand l’histoire débute, je suis en classe de terminale « S » dans un lycée de Saint Denis…
Nous ne sommes que quelques « français de souche » à côté d’une bande d’élèves d’origines diverses.
Je m’entends bien avec eux car je n’ai pas de préjugés et c’est ainsi que je me suis lié avec une jeune beurette de mon âge.
Nous nous entendons bien et c’est assez souvent que nous partageons quelques beaux délires, parfois au détriment de nos camarades… Je sais… ce n’est pas cool !
Nous sommes souvent ensemble comme on dit « en tout bien tout honneur »… seule une excellente camaraderie nous lie…

Je vrais dire « nous liait » car à l’approche des examens pour lesquels nous avions convenu de réviser ensemble dans l’appartement de mes parents, nous avons fait l’amour pour la première fois…
Ce n’était pas ma première fille… d’ailleurs c’était une de mes tantes qui m’avait initié aux choses de l’amour et de cette liaison de quelques mois, je gardais deux années plus tard des souvenirs émus… vous voyez certainement ce que je veux dire…
D’autres filles plus ou moins jeunes, généralement très délurés avaient bénéficié de ma « science » nouvellement acquise !

Naima est une grande fille d’environ 1 m 75… sa silhouette longiligne est agrémentée de jolies courbes… poitrine bien rebondie et des hanches justes un peu larges mais le tout est très agréable à regarder…
Elle a de longs cheveux blond roux légèrement ondulés et de grands yeux bleus dus à un mélange subtil entre une mère kabyle et un père arabe…
Bref, une belle plante et je sais que de nombreux camarades m’envient cette amitié…
De mon côté, je suis d’origine latine aussi je suis mat de peau avec des cheveux noirs drus.
Sensiblement aussi grand que Naima j’ai une silhouette nerveuse avec des muscles finement dessinés après de nombreuses heures à la salle de sports du quartier…



Cet après-midi là, nous étions allongés sur mon lit et nous bûchions des questions de cours de maths.

Naima était lovée contre moi et je regardais les bouquins par-dessus son épaule…
Mon regard plongeait parfois dans le petit décolleté de son T-shirt et je sentais contre mon ventre la douce rondeur de ses fesses…
Bien évidemment, je n’ai pas tardé à bander et cette coquine a aussitôt accentué la pression contre mon pubis… puis elle s’est tournée vers moi, un regard coquin passant dans ses grands yeux bleus…
- Dis donc, tu n’as pas fini de te frotter contre mes fesses !
- Normal… elles doivent être bien jolies… Chiche que tu me les montre !
- Mais çà ne se fait pas !
- Tu crois ? Nous sommes seuls et entre nous personne n’en saura rien ! Baisse simplement ton Jeans…
- OK… si tu en fais autant… je veux bien !

C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés à moitié à poil, en petite culotte blanche et T-shirt pour Naima et moi, en slip et chemisette !
Oh qu’elle était jolie… Je découvrais ses petites fesses dures et rondes et une légère touffe de poils cachés par le tissu transparent de sa culotte…
Je bandais de plus en plus et lorsque ma copine a tendu la main pour toucher mon sexe qui pointait au dessus de l’élastique de mon slip, je ne vous dis pas l’effet que cela m’a fait et je lui ai dit doucement dans l’oreille que j’avais envie de lui faire l’amour !
- Moi aussi, j’ai envie de toi… mais tu seras le premier et sois doux… De plus… tu connais nos traditions… je dois rester vierge pour mon futur mari !
- OK… ce n’est pas un problème ! Tu ne seras pas la première à m’offrir son cul !
- Non ? j’ai l’habitude d’enfoncer des godes dans mon cul… je me préparais en cachette à cette première fois où j’aurais une vraie bite pour me défoncer…
- Avant de te prendre, je vais te faire jouir en te mangeant la chatte… Tu verras comme c’est bon !
- Oui… Vas-y… J’ai déjà chaud dans mon ventre !

J’ai fait placer ma camarade en travers du lit et j’ai descendu sa culotte pour l’ôter… découvrant ainsi son sexe aux lèvres gorgées de sang au dessous d’une petite touffe de poils roux…
J’ai approché ma bouche et j’ai soufflé doucement pour faire ouvrir les nymphes… mais soudain j’ai senti une main de ma copine appuyer sur ma tête pour goûter le contact de ma bouche sur ses lèvres intimes qui étaient humides…
J’ai dardé ma langue entre et j’ai sucé son bonbon en le mordillant doucement entre mes lèvres serrées… je ne voulais pas qu’elle sente mes dents…
Sa chatte était humide d’envie…
J’ai amené Naima à la jouissance assez rapidement mais j’étais impatient d’aller plus loin…
Je l’ai fait mettre en levrette en travers du lit…
Oh quelle jolie vue ! Ses fesses à la peau bistre étaient fendues profondément… son œillet palpitait doucement et semblait m’appeler…
Après le cunni qui l’avait amenée à la jouissance, je commençai à lui manger la pastille en introduisant ma langue au plus profond de son sphincter pour le décontracter…
Et il s’ouvrait doucement…
J’ai rapidement enfilé une capote sur ma tige et j’ai présenté le gland contre l’orée plissée qui s’est ouverte sous la poussée…
Bientôt j’avais le pubis collé contre les fesses de ma copine qui semblaient s’incruster dans le creux de mes aines…
- Tu as su me prendre doucement… Merci ! Viens… fais moi l’amour… Mes sœurs aînées disent que c’est si bon !
- Oui… faire l’amour à une fille c’est toujours bon… en plus une jolie nana comme toi… c’est génial…
- Ne me fais pas languir… Tu es le premier homme à me toucher ainsi !
Je laissais ma copine à s’habi à la présence d’un sexe masculin dans son « antre interdit »… Heureusement, j’avais un sexe assez fin mais d’une bonne longueur si bien que quand j’ai commencé à copuler Naima, elle m’a à nouveau encouragé…
Mais ce que je voulais, c’est savourer le bonheur et la jouissance de sodomiser ma copine, en prenant mon temps pour faire monter son plaisir et le mien… lentement puis de plus en plus vite jusqu’à l’éblouissement final.
Je maintenais Naima par la taille et mon sexe allait de plus en plus vite entre ses fesses… Sa tête allait de gauche à droite et je n’entendais que des sons entrecoupés de soupirs d’aise…
- Waouh que c’est bon ! C’est bien meilleur qu’un gode….……. Oouuiii ! Vas-y……………. Plus fort………….. Vas-y à fond…
Et moi aussi j’appréciais… Je sentais la chaleur du corps de ma copine au travers du latex et çà m’excitait encore plus si bien que je n’ai pas tardé à lancer quelques belles giclées de jus au fond de la capote et déclenché en même temps la jouissance de Naima qui se caressait la chatte !

Oubliées les révisions… Le bac… ce serait pour un autre jour !

Mais les bonnes choses ont une fin… Nous n’avions guère le temps de nous câliner si Naima voulait échapper aux interrogations de sa mère pour un retard qu’elle aurait du mal à justifier…



Le bac en poche (tous les deux avec une mention…) nous avons prétexté fêter cette réussite avec quelques potes du lycée pour organiser ma copine et moi un nouvel après-midi de sexe !



Nous nous sommes retrouvés dans ma chambre comme pour les révisions du Bac et comme pris de folie, nous nous sommes déshabillés mutuellement…
Oh… nous n’avions pas grand-chose à enlever… c’était le plein été !
Naima ne portait qu’une jupe de cotonnade un peu longue et un T-shirt sous lesquels elle avait un ensemble très coquin de dentelle qui laissait transparaître sa peau bistre. De mon côté je ne portais qu’un Jeans large sans rien dessous (une habitude quand je porte ce Jeans) et une chemisette largement échancrée…
J’étais surpris de voir les dessous que portait Naima…
- Tu es bien belle ! La dentelle te va bien !
- Oh… c’est ma sœur ainée qui m’a prêté cette parure… Elle est dans la confidence et m’a encouragée à multiplier les expériences avant mon mariage au pays l’an prochain. Elle fait pareil depuis plusieurs années mais les parents ne sont pas encore tombés d’accord sur son futur mari.
- Sage décision ! Nous allons en profiter !
- … - … - … - …
- Je vais t’apprendre à donner du plaisir à un garçon… La dernière fois, c’était très bon mais il y a beaucoup de choses à apprendre… la masturbation masculine… la fellation…
- Oh oui… dis moi tout !
- D’abord tu prends mon sexe dans ta main et tu le fais coulisser dans ta paume en faisant des va et vient puis tu l’enserres doucement comme si c’était une gaine… De ton autre main, tu peux caresser les bourses et faire rouler les burnes…
- … - … - … - …
- Vas-y… C’est très bien… Continue… Tu vas voir du liquide sortir du bout… c’est ce qu’on appelle le « pré-sperme ».
- Oui… je vois une goutte translucide…
- Tu peux continuer ainsi jusqu’à l’éjaculation si tu veux mais il y a quelque chose de bien meilleur pour le garçon !
- Quoi ? Dis-moi !
- C’est ce qu’on appelle une fellation… une pipe, un pompier et il y a bien d’autres expressions ! Prends mon sexe dans ta bouche pour l’enduire de salive et resserre tes lèvres autour. Laisse-toi guider !
- Oh oui !
- Quand le sexe mâle est enduit de salive, tu peux le ressortir et jouer avec ta langue sur la pointe du gland et autour… Tu as pu voir qu’il se découvrait dès que je me suis mis à bander mais tu trouveras des garçons circoncis… çà se fait beaucoup dans ton monde !
- J’en avais entendu parler… mais trêve de bavardages… Je suis là pour expérimenter…
Naima tenait ma bite d’une main et de l’autre palpait mes bourses… elle avait déjà retenu cette partie des choses… Sa langue allait et venait sur mon gland, titillant le méat ou le frein ou plongeait ma bite dans sa bouche et d’instinct, elle savait ce qu’elle devait faire : je sentais qu’elle aspirait ma queue qui faisait des va et vient dans sa bouche !
Elle limitait l’introduction de sa main gauche… et c’était bon… si bon que je me retenais de gicler dans sa bouche !
- Assez ma belle… Si tu veux voir comment un homme éjacule, çà va être le moment… je ne veux pas envahir ta gorge mais j’aimerais bien décharger entre tes jolis seins !
- Oh oui… vas-y… Je veux te voir !
Je me suis arraché en hâte de la bouche de ma copine et j’ai lâché quelques belles giclées de foutre là où je voulais : entre ses seins !
- Tu peux goûter si tu veux ! Comme cela tu sauras quelle saveur le sperme peut avoir ! Prends quelques gouttes sur le bout de tes doigts et suce-les… mais rares sont les filles jeunes qui acceptent d’aller jusqu’au bout !
- Pourquoi… Ton sperme a bon goût !
- Tant mieux si tu trouves ainsi !
- Maintenant je voudrais que tu me manges la chatte comme l’autre fois… C’était si bon de sentir ta langue envahir mon sexe…
- Allonge toi sur le lit… je vais te montrer autre chose !
- Quoi ?
- Comment on fait un 69…
- C’est quoi ?
- Ne sois pas naïve… tu vas me sucer la bite pendant que je boufferai ta chatte !
- Oh oui… ce serait génial…



Naima s’est mise au dessus de moi en suivant mes directives… Et c’était une bonne élève… Dès que j’ai été dans sa bouche, elle s’est déchainée sur ma bite qui s’est dressée aussitôt alors que j’avais déjà giclé quelques minutes plus tôt !
Sa chatte suintait abondamment et un parfum musqué montait entre ses lèvres… Je léchais le clitoris que je mordillais doucement et j’introduisais deux doigts dans ce sexe qui se livrait…
Chaque fois que j’atteignais l’hymen, Naima avait mouvement de recul et je n’allais pas plus loin… Je voulais simplement qu’elle sente une présence à l’entrée de son vagin. Sur son buste, je voyais ses seins aux tétons érigés…
Je sentais la jouissance monter dans le corps de mon amie… et de mon côté, je me retenais car ce que je voulais à cet instant, c’est sodomiser ma copine et gicler dans son cul !
Je continuais à lécher le sexe de ma copine en faisant aller et venir deux doigts dans sa chatte ou dans son cul qui, décidément était bien souple et accueillant si bien que la jouissance a emporté Naima dans un grand cri de délivrance…
- Waouh… que c’est bon… Merci… tu n’as pas mon hymen ! Tu es un amour !
- Je te respecte et respecte les coutumes de ton pays… Je ne te forcerai pas… Ce que tu me donnes me suffit !



Je bandais toujours… mais nous avons pris quelques instants de repos avant que Naima revienne jouer avec ma bite pour me remettre en forme et d’elle-même me couvrir d’un préservatif qu’elle était allé chercher dans ma table de nuit… Elle savait ce qui allait suivre…
Une nouvelle fois, elle s’est mise en levrette, tournant la tête vers moi elle m’a dit :
- Qu’est-ce que tu attends ? Regarde comme j’ouvre mes fesses !
C’est vrai que la pose était parfaitement obscène et je me suis introduit dans le cul de ma copine que j’ai sodomisée à longs traits jusqu’à ce que je gicle au fond de la capote !
Nous nous sommes écroulés l’un sur l’autre, ma trique toujours au plus profond… mais Naima m’a en quelque sorte désarçonné pour venir enlever le préservatif et gober mon gland englué de mon foutre.
- Humm… Tu as bon goût ! La prochaine fois tu m’empliras la bouche de ton sperme…



Elle a eu satisfaction lors de notre rencontre suivante… et pendant toutes les vacances, nous avons passé de nombreux après-midi ensemble…
Nous avons varié les positions… de la levrette nous sommes passés à ce que j’appelle « la paresseuse arrière », c'est-à-dire que Naima s’allongeait sur le lit et je me mettais derrière elle qui ouvrait ses fesses pour que je la prenne… Pendant ce temps là, elle caressait sa chatte et la jouissance nous emportait rapidement…
D’autres fois, quand elle m’avait bien sucé au point que ma tige se dressait sur mon pubis, elle déroulait la capote et s’empalait littéralement sur ma bite…
Pendant qu’elle montait et descendait à la recherche de son plaisir, je caressais les pointes de sa poitrine pour faire saillir les tétons que je mordillerais ensuite pour la faire frémir et lui donner envie d’une seconde saillie !

Après, lors de la rentrée universitaire, nos rencontres se sont espacées puis au cours de l’été suivant, ma copine est repartie au pays où elle s’est mariée avec celui que ses parents avaient choisis. Mais la dernière fois où nous nous sommes rencontrés la veille de son départ, j’ai eu le privilège de la découvrir entièrement nue : la touffe de son pubis et ses aisselles étaient rasées en prévision de son mariage…
Quelle douceur… Je n’ai pu m’empêcher de lui faire l’amour une dernière fois… dégustant avec délices sa chatte imberbe et à la sodomiser encore une fois, l’amenant à la jouissance deux fois de suite…



Quelques temps après, je recevais une carte disant : MERCI POUR TOUT ! TU M’AS APPRIS BEAUCOUP DE CHOSES ! MON MARI ME REND HEUREUSE ET JE SAIS QUE JE LE RENDS HEUREUX GRACE A TOI !

Je n’en demandais pas tant !