La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1108)

Marion au Château (devenue esclave Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode 1099) –

… ni la chienne soumise que Sangmo ne cesserait jamais d’être…

Quand ils arrivèrent devant les écrans de vidéo-surveillance, une chose interpella de suite le Châtelain. Rare étaient les fois, où Il branchait également le son, mais cette fois-ci, Il le fit. Dans un des couloirs du Château, il vit un de Ses chiens soumis, debout, ce qui n’était pas réglementaire, à côté d’une toute nouvelle chienne soumise, qui se trouvait à l’essai. Elle était jeune, influençable, manquait de confiance en elle, et elle était prête à croire tout ce que ses « aînés » voudraient bien lui apprendre pour l’aider à s’adapter à son hypothétique future nouvelle vie. Quand Il put les entendre via la vidéo, le soumis était en train de prétendre devant la jeune femelle, qu’étant plus ancien qu’elle, il avait le droit de se servir d’elle et de se vider les couilles quand il le voulait. Que chaque ancien se voyait accorder à tour de rôle un « droit de baisage » sur la dernière recrue de Monsieur le Marquis.

Celui-ci n’en revint pas ! Il ne sonna pas Walter, mais l’appela directement sur le portable d’urgence, lui ordonnant vivement de rejoindre cet impudent, de voir jusqu’où il allait pousser la chose, et de le prendre sur le fait. De Son côté, avec Son ami Wangdak, Il continuait à surveiller par vidéo-surveillance interposée. Ce soumis, chien Bernard (ça ne s’invente pas !), n’avait jamais mérité le titre d’esclave, et bien que cela fit deux ans qu’il était au Château, aux pieds de Monsieur le Marquis d’Evans, il restait moyen. Toujours sur la brèche, il ne commettait visiblement, du moins jusqu’à aujourd’hui, aucune erreur qui lui valut de grosses sanctions, il restait toujours à la limite du respect. Mais on voyait bien qu’il ne faisait que le strict minimum, son attitude, malgré quelques sanctions bien senties, restait hautaine, avait toujours un air de défi.

Le Châtelain, ayant toujours eu pour principe de ne jamais rejeter de soumis ou de soumises sans faute grave, n’avait jamais trouvé de quoi le renvoyer. Là, sa faute était sans appel, et il allait pouvoir, enfin, le renvoyer chez lui pour une bonne raison.

Les deux amis virent Walter arriver sur l’écran de surveillance, au moment où la femelle avait fini par se laisser convaincre, et qu’elle se mettait en levrette prête à se faire prendre. Le Majordome attendit que le malotru sorte sa queue, tandis que lui, Walter, armait son fouet, et avec une dextérité incroyable, attrapa le sexe, sans toucher la soumise, au moment où il allait pénétrer sa chatte. Le chien poussa un cri de douleur et lâcha les hanches de la femelle dont il s’était emparé afin de mieux la saillir en se reculant. Walter, lui, ne s’arrêta pas et le fouet tomba de longues minutes, ne ratant aucune partie de son anatomie, pas même les plus sensibles ! Cependant, respectueux, comme le voulait le Maître du Château, de la santé de toute personne pénétrant chez Lui, aucun coup ne fut porté jusqu’au sang, ni n’eut de conséquences dangereuses ou néfastes. La femelle s’était assise contre un des murs du couloir, recroquevillé sur elle-même, ayant peur d’avoir elle-même fautée. Lorsque le bras du Majordome fatigua, il ordonna aux deux soumis de le suivre, évidemment en quadrupédie. Après la correction qu’il venait de recevoir, chien Bernard n’aurait pas osé se déplacer autrement.

Lorsqu’ils arrivèrent dans le bureau du Châtelain, les deux chiens soumis se prosternèrent, mais contrairement à la femelle qui essayait de s’enfoncer dans le sol, tellement elle appréhendait de se trouver devant le Maître qui l’avait, pour le moment, temporairement accepté à Ses pieds, le mâle, bien que prosterné, semblait prêt à se relever dès qu’il le pourrait ! Monsieur le Marquis appuya sur un bouton d’appel sur son téléphone, m’appelant ainsi directement dans la pièce qui était contiguë à Son bureau. Je l’avais en effet rejointe immédiatement après la collation à laquelle j’avais eu droit après la visite des deux Dominants au musée.
J’arrivais donc immédiatement aux pieds du Maître, me prosternant et attendant ses ordres. Il me murmura à l’oreille afin que je sois la seule à entendre ce qu’il avait à me dire :

- Tu vas emmener avec toi cette chienne jusqu’aux cuisines. Je la vois trembler, demande à Marie de s’en occuper, mais avec douceur et gentillesse, elle saura ce qu’il faut faire.

Il nous laissa le temps de sortir. J’avais essayé de réconforter la jeune soumise du regard, n’ayant pas le droit de parler mais elle était dans une sorte d’état second, persuadée que c’était elle qui avait commis une faute. Elle connaissait la réputation perverse et sévère de la cuisinière et elle tremblait encore plus à cette annonce. Au moment où je m’étais mise en quadrupédie pour sortir, le Maître m’avait relevé le menton, et m’avait fait comprendre par Ses yeux magnifiques d’y aller doucement et de prendre soin d’elle. Je fis donc attention en la conduisant à ne pas aller trop vite, à prendre le chemin qui empruntait le moins souvent possible les escaliers, quitte à ce que ce soit un peu plus long. Quand Marie nous vit arriver, elle ne me laissa pas le temps de dire quoique ce soit. Elle ne la laissa pas par terre, mais la releva et l’installa sur une chaise devant l’âtre bien au chaud, et lui servit rapidement un chocolat chaud. La femelle ne réagissait que mécaniquement. Son esprit était centré sur la réaction qu’aurait Monsieur le Marquis à son égard. Elle allait laper dans son bol, quand la cuisinière l’en empêcha et lui conduisit le récipient à ses lèvres. Jamais je ne l’avais vu si douce ! Marie m’interrogea sur ce qui s’était passé, mais je ne plus rien lui dire, n’ayant assisté à rien qui eut pu être choquant. Je luis exprimais seulement ce que le Maître m’avait ordonné de lui dire soit à lui dire de s’occuper de la femelle avec douceur et gentillesse …

Pendant ce temps, le chien Bernard voulait encore croire que seule la correction qu’il avait reçu des mains de Walter serait sa punition et qu’il allait pouvoir retourner, avec certainement une privation ou deux, à ses occupations habituelles.
Lorsque le Maître le questionna pour savoir s’il savait à quoi était dû la volée de coups de fouet du Majordome et sa convocation devant Lui, il répondit qu’il pensait le savoir, mais que s’il était fautif de s’être laissé entraîner, la faute en revenait majoritairement à « la putain femelle » qui venait de quitter la pièce et qui avait essayer de toutes ses forces de le séduire, pensant qu’étant toute nouvelle arrivée et ne connaissant pas tous les us et coutumes du Château, elle ne serait pas sanctionnée. Le Noble resta un moment silencieux, regardant le mâle qui mentait si effrontément à Ses pieds.

- Tu es bien sûr de l’histoire que tu me contes ?
- Oh oui Maître ! Je ne Vous mentirai pas, je n’oserai pas, Vous le savez bien !

Le chien mentait d’une manière incroyable, totalement sûr de lui. Le Noble s’approcha alors de son ordinateur, et mis en route, avec le son, la vidéo prouvant le contraire de tout ce que le soumis racontait. Tous ceux présents dans la pièce purent le voir se redresser immédiatement en bipédie, bousculant légèrement Monsieur le Marquis au passage, pour regarder l’écran de l’ordinateur. Son visage se décomposa, et il s’affaissa sur lui-même, au moment où le Châtelain lui administra une paire de gifles magistrales qui le renvoya au sol. Il se roula en boule et ne bougea plus. Il avait pensé pouvoir mener le jeu longtemps encore, il n’avait pas prévu que des caméras pourraient le trahir…

- Walter, emmène cette larve dans les geôles du Château, et assure toi que cette langue qui n’est pas capable de dire la vérité, qui M’insulte par ses mensonges, et surtout qui a tenté d’r d’une de mes chiennes, qu’il soit hors d’usage pendant une semaine. Qu’il soit traité comme le moins que rien qu’il est. Ensuite tu le renverras chez lui. Je ne veux plus le voir, ni en entendre parler !

Le Majordome obéit prestement et tira, traîna celui qui n’avait plus aucune contenance vers sa sanction. Le Noble voulant tirer un trait définitif sur cette histoire mit sur l’écran de surveillance les cuisines.
On y voyait dans un coin Sangmo, qui était en train de faire la vaisselle. L’évier où elle était, était un peu bas, l’obligeant à se pencher et donc à présenter sa croupe, ayant un parfait accès visuel sur son cul que l’on voyait pluguée. A l’opposé on voyait la jeune soumise, toujours prostrée devant le feu qui brûlait mais ne semblait pas la réchauffer.

- Il faut que j’aille la voir ! Il faut qu’elle soit rassurée. Que voulez-vous faire, cher ami ? Voulez-vous continuer à regarder votre future épouse ? Ou voulez-vous faire autre chose ? Mon Château est vôtre, Mon Cheptel également…
- Eh bien, je ne Vous cacherais pas que la position de ma chienne me fait grande envie. Et j’ai une folle envie de la prendre. Mais je ne veux pas qu’elle sache que je suis là…
- Et bien, je vais descendre avant vous et prévenir Marie, qui fera en sorte qu’elle ne puisse pas vous voir. Dès que vous verrez sur l'écran qu’il n’y a plus de risques que vous soyez vu, rejoignez là !
- Bien, je Vous remercie et j’accepte avec grand plaisir !

Le Châtelain sourit chaleureusement à Son ami. Il avait beau Lui avoir confié son éducation quelques temps, la savoir si près l’excitait et il voulait en profiter. Le Noble confia via l’interphone donc à la cuisinière la tâche de préparer la soumise tibétaine. Marie ne fut pas longue à réagir. Elle sortit vivement de la cuisine et y revint avec une paire d’œillères telles celles que l’on mettait aux chevaux. Sangmo ne se posa pas de question sur le nouvel attirail que l’on lui posait. Marie fit plusieurs gestes derrière la soumise, pour être sûre qu’elle ne pouvait rien voir, puis elle fit un signe du pouce levé en direction de la caméra qu’elle savait braquée dans leur direction pour avertir Wangdak que tout était prêt. Il descendit alors, mais après avoir pris une douche avec les produits du Château, pour ne pas que sa chienne promise puisse reconnaitre son odeur habituelle. Il s’approcha sans bruit d’elle, et d’un coup, la tira par le bassin, avant d’appuyer doucement mais fermement entre ses épaules pour qu’elle se penche encore plus en avant. Il joua quelques instants avec son plug…

Puis il lui malaxa les seins, de plus en plus fortement. Il approcha ses doigts de ses tétons qui s’étaient érigés et sur lesquels étaient posées des pinces avec chacune un carillon bleu, qui tintaient à chaque mouvement que le Dominant Tibétain faisait avec ses seins. Il tira dessus, les étirant, jusque ce soit légèrement douloureux et qu’il la sentit se crisper contre lui. Pour vérifier l’effet que ça lui procurait, il descendit une de ses mains, chatouillant légèrement au passage son ventre, ce qui contrastait avec la douleur que lui procurait l’autre main sur son téton, jusqu’à son entrejambe. D’un doigt, il parcourut le chemin entre le sommet de son mont de Vénus, jusqu’à son clitoris qui frémit à son passage, passant sur ses lèvres intimes, puis se glissant entre elles. Il y trouva une forte humidité qui le réjouit et il commença à faire des mouvements de va-et-vient dans sa chatte avec un seul doigt d’abord, puis deux puis trois. Sa main ressortit trempée de son antre. Ne portant aucun signe réellement distinctif, et sachant que l’esprit pouvait nous jouer des tours lorsqu’il ne savait pas ce qui se préparait, Wangdak lui fit lécher ses doigts.

Puis ne voulant pas laisser sa caverne vide, il la remplaça aussitôt par son sexe déjà bien bandé, dur comme du bois et il la besogna sauvagement de longues minutes par de vifs coups de reins puissants. Voulant profiter aussi de son entrée plus secrète, il enleva ensuite le plug qui lui permettait d’avoir un anus bien dilaté, et s’y enfonça comme dans du beurre ! Il la sodomisa longuement, puissamment tout en lui titillant son petit clito de chienne en chaleurs. Il aurait voulu pouvoir l’autoriser à jouir, mais comme il ne voulait pas qu’elle sache que c’était lui, il ne pouvait pas lui parler. Même s’il avait changé sa voix, son accent tibétain l’aurait trahit. Alors, toujours placé derrière Sa femelle et lui retirant ses œillères puis avisant un bandeau qui se trouvait tout prêt, quand il se sentit près d’éjaculer, de dos il le lui posa sur les yeux, la retourna enfin et appuya sur ses épaules pour qu’elle s’agenouille, et il lui baisa la bouche jusqu’à ce qu’il se soit entièrement vidé, en de longs jets épais de sperme au fond de sa gorge. Sangmo n’attendit aucun ordre pour lui nettoyer la verge. Comme elle était à genoux, elle resta dans cette position, mettant seulement ses mains derrière sa nuque, et attendant que quelque chose d’autre soit exigé d’elle. Wangdak, l’aida à se remettre debout face à son évier donc placée de dos vis-à-vis de lui, puis lui enleva son bandeau, avant de repartir dans la chambre que son ami avait mis à sa disposition pour se reposer après ce moment intense avec sa future épouse qui ne savait pas qui l’avait besognée sans ménagement dans la cuisine du Château. En voyant la main sur laquelle elle avait dû sucer des doigts, elle avait bien eu presque un léger doute, mais pour elle, le Maître qu’elle vénérait se trouver bien, bien loin d’elle, et il ne pouvait donc s’agir de lui.

Pendant ce temps-là, Monsieur le Marquis d’Evans s’approchait de sa nouvelle chienne. Elle ne le vit pas arriver. Mais elle sursauta lorsqu’Il lui posa les mains sur ses épaules. Elle se retourna vivement, ayant deviné à qui appartenaient ces mains, et tomba à terre en pleurant à chaude larmes. Le Maître la releva et la serra contre Lui, le temps que ses pleurs se calment. Lorsque ce fut le cas, Il la fit rasseoir sur la chaise devant le feu de l’âtre. Il commença par exiger qu’elle Lui dise pourquoi elle avait réagi ainsi. Elle crut d’abord qu’Il parlait de ce qui c’était passé dans le couloir avec son ‘‘frère’’ de soumission. Et elle Le supplia de lui pardonner sa faute, qu’elle n’aurait pas dû se laisser faire, qu’elle n’aurait pas dû le croire. Ses mots sortaient rapidement de sa bouche, de manière désordonnée, affolée et le Noble eut du mal à l’interrompre. Il utilisa alors Sa voix forte de Dominant pour la faire taire. Il lui expliqua alors doucement sur un ton rassurant qu’elle n’avait rien eu à se reprocher et que celui qui avait tenté d’r d’elle avait été sévèrement puni. Il lui dit que tant qu’elle serait novice, seuls trois personnes pouvaient faire ce qu’ils voulaient d’elle, dans la limite où sa santé ne serait pas mise en danger : Lui-même, Walter et Marie…

Que d’autres qu’eux pourraient peut-être être amenés à se servir d’elle, mais que dans ce cas, elle en recevrait l’exigence par l’un des trois premiers cités. Au fur et à mesure de Ses mots, prononcés doucement, la soumise se remettait. Elle sentait qu’elle pouvait avoir totalement confiance, que le Maître qu’elle servait pour le moment à l’essai, ne laisserait jamais rien de mal lui arriver. Quand Il la sentit totalement remise, rassurée, le Châtelain, qui s’était également assis sur une chaise, se leva, reprit Son attitude Dominante, et exigea qu’elle se remette en quadrupédie et qu’elle Le suive. Il attrapa alors sa laisse, et Il l’entraîna hors de la cuisine et vers Sa chambre. Lorsqu’ils y pénétrèrent, la femelle fut émerveillée par la richesse de la pièce, de ses meubles, des tissus, des tableaux de maîtres aux murs. Le Noble ne la laissa pas s’extasier longtemps. Il s’approcha du lit et lui ordonna de Le déshabiller, chose qu’elle fit avec empressement et en même temps une grande douceur. Il s’allongea alors dans le lit et exigea qu’elle vienne le sucer. Elle grimpa à quatre pattes, et vint se placer entre les jambes du Maître pour y apercevoir un membre long, épais et fortement bandé…

Elle le prit doucement en bouche et essaya de suite de l’enfoncer profondément dans sa gorge, puis elle monta et descendit autour de lui, d’une manière relativement banale et imprécise. Il lui prit alors les mains pour la guider, lui montrant en silence comment les placer, comment accompagner les mouvements de la bouche, comment alterner la pression le long de Son membre, sans pour autant Lui faire mal. Cette situation exacerbait Ses pulsions dominatrices et L’excitait de plus en plus. Et il ne tarda pas à éjaculer dans la bouche de la bonne suceuse en devenir qu’Il avait devant Lui. Elle allait se retirer quand elle commença à sentir la Noble semence envahir sa bouche, mais le Châtelain ne le permit pas et Il maintint fermement sa tête pour qu’elle comprenne qu’elle devait tout recevoir et avaler sans en perdre une goutte. Quand elle L’eut nettoyé, après qu’Il l’ait exigé d’elle, Il lui ordonna de rejoindre sa niche pour se reposer, lui annonçant que le lendemain, le déroulement de sa journée se passerait normalement… Lorsqu’elle fut parti, Monsieur le Marquis d’Evans rejoignit Son ami Tibétain dans le petit salon pour parler de la soirée et du diner qui s’annonçaient, où Sangmo allait être pour la première fois soumise à plusieurs Dominants en même temps…

(A suivre …)

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