Babu

BABU


J'allais souvent dans ce bar pour prendre un verre et discuter avec les habitués dont je faisais partie. Tout le monde se connaissait, il y avait un groupe de turcs qui y avait aussi ses habitudes. Ils étaient souvent ensemble mais ne formaient pas pour autant un groupe fermé, c'était juste parce qu'ils travaillaient ensemble et parlaient la même langue. Les autres habitués n'étaient en aucun cas ni rejetés ni écartés. Ils étaient très sympa, et pour des musulmans, je ne sais pas s'il ne mangeaient pas de porc mais je sais qu'ils buvaient de la bière.

Babu un d'entre eux, c'était un surnom, venait souvent discuter avec moi. On parlait de tout et de rien. Ce jour là, il arrivait, m'offrait un verre. Ça n'avait rien d'extraordinaire, ce n'était pas la première fois qu'on se payait un verre et je n'avais aucune raison de de me dire … '' Allons bon, qu'est ce qui se passe ! ''.

– Mais je voudrais savoir Charly, si je ne suis pas trop indiscret … Comment tu fais toi avec les filles ?

Je le regardais l'air incrédule.

– Avec les filles … Oui ! Bien sûr ! Tu en as d'autres, des comme ça ?

Il rigolait de ma réponse. Puis il reprenait.

– Oui bon tu vois ce que je veux dire. Avec les filles, avec les mecs, c'est pareil.
– Ah tu trouves, enfin si tu ne fais pas la différence, il faudra que je t'explique un petit truc un jour.

Il rigolait de nouveau, là j'ai eu l'impression qu'il cachait un léger malaise.

– Avec les filles c'est pas toujours facile. Ma femme en ce moment par exemple est chiante. Elle n'est jamais contente et …
– Tu as une femme, c'est un bon début, tu n'as plus qu'a faire la comparaison et tu verras, on est pas tout à fait pareil …

Là il éclatait de rire.

– Tu es con ! C'est pas ce que je veux dire. Tu ne savais pas que j'étais marié ?
– Mais si, je te taquine, c'est tout.


– Et toi avec les mecs ? Ça se passe comment ? C'est violent ?
– Pourquoi tu voudrais que ce soit violent ? Tu es violent avec ta femme ?
– Bein non ! Et puis de toutes façons si jamais j'étais violent avec elle, je crois que ça se terminerait mal … Pour moi !

Je le regardait en rigolant dans ma barbe. Il m'intriguait, nos discussion ne s'étaient jamais orientées dans ce sens jusque là.

– Et ou tu veux en venir.
– Oh nul par, mais je crois que c'est toi qui a raison. Tu n'as pas de bonne femme sur le dos. Tu ne répètes pas ce que je te dis surtout.
– Ne t'inquiète pas je ne connais pas ta femme, je ne lui dirai pas que tu l'a traitée de '' bonne femme ''.
– Non mais … Tu as déjà essayé avec une femme ?
– Bein oui !

Il ne disait plus rien et me regardait.

– Et … ? Rajoutais-je .
– Et je ne m'attendais pas à cette réponse.

Je pouffais de rire.

– Et toi, tu as déjà essayé avec un mec ?
– Non ! Répondait-il sur un ton ferme … Puis il rajoutait …
– Mais j'aimerais bien !
– Sérieux ? Lui demandais-je.
– Sérieux !
– Quand tu veux, je suis ton homme !

Il me regardais et je voyais naître un sourire sur son visage. Il s'empressait de rajouter …

– Par contre je me fais pas enculer !
– Tu as déjà essayé ?
– Non mais j'aime pas !
– Et comment que tu sais que tu n'aimes pas si tu n'as jamais essayé ?
– Tu m'embrouilles la tête avec tes questions, j'aime pas c'est tout. Et en plus tu me fais boire pour r de moi.
– r de toi, tu es une fois et demie plus large que moi, et en plus c'est toi qui commande un verre dès que le niveau baisse.

Nos verres étaient presque vides, d'un geste il en commandait deux autres.

On a continué à discuter pendant encore un long moment puis on est partis, peu après on se retrouvait … Chez moi!

On se retrouvait face à face.


– Tu es sûr ? Lui demandais-je.

Il faisait oui de la tête. Je lui ouvrais son blouson et le lui retirais. Je le regardais de nouveau …

– Tu es vraiment sûr ?
– Mais pourquoi tu me demandes encore ?
– Je ne voudrais pas que tu dises que j'essaye d'r de toi !

Il pouffait de rire, me prenait dans ses bras et m'embrassait. Il avait du y penser depuis un moment, et c'est vrai qu'on avait bu quelque bières. Ça aide quelquefois.

Je lui rendais son étreinte, il était costaud le petit gars. Il faisait la même taille que moi mais il était bien plus large, je me sentais tout petit à côté de lui moi ! Quand nos deux corps se séparaient je lui ouvrais la chemise pendant qu'il me retirait mon blouson.

Ce n'était pas un musculeux, il était costaud, avec une jolie couche de graisse qui rendait son corps douillet comme celui d'un nounours mais il n'était pas gros, il était costaud, c'était pas pour frimer. Il était costaud, c'était pour de vrai. Il avait une magnifique fourrure, très épaisse et très douce.

Sous ma chemise je cachais aussi une jolie fourrure, ça le faisait rire. On était tous les deux torse nue, nos poils faisaient effet velcro, et se chargeaient en électricité statique, la chaleur montait. Je lui donnais des baisers sur les épaules, il penchait la tête, je continuais sur le cou. Il me rendait tous mes baisers, on finissait par s'embrasser avec passion.

Nos corps se séparaient de nouveau. J'en profitais pour lui ouvrir son ceinturon.

– Je te préviens, j'en ai une grosse !
– Tous les mecs disent ça !
– Moi c'est vrai, je te jure, je ne frime pas … Même pas.

Je lui caressais le sexe au travers de son pantalon, c'est que ça m'avait l'air sérieux cette affaire. Je lui ouvrait la braguette, il me laissait faire, il me regardait avec un large sourire. Je lui rendais son sourire et d'un geste je lui baissais le pantalon et son slip sur les genoux.


J'étais saisi. C'est qu' il n'abusait pas l'animal. Il en avait une grosse, une très grosse même. Je relevais la tête, il me regardait avec un grand sourire.

– Je t'avais bien dit que j'en avais une grosse.

C'est sans hésiter que je me la prenais dans la bouche … Enfin que j'essayais de me la prendre dans la bouche. Je le masturbais, je le caressais, je la suçais, je ne la prenais pas vraiment dans la bouche finalement. Là j'étais obligé d'improviser, je la suçais, je la caressais, elle devenait ferme, très ferme. Elle ne grossissait pas vraiment mais c'était pas gênant. Elle se transformait en grosse molle puis en pas beaucoup plus grosse dure. Ça faisait un gros morceau, je m'amusais comme un petit fou.

Il avait l'air d'aimer par contre, je vous jure il me retenait par la tête et me guidait. Il profitait de la situation pendant un long moment, je me régalais. Il me caressait le dos et les épaules, il se penchait sur moi et me passait la main au cul avec force.

– Relève toi ! Me disait-il.

Il ouvrait mon pantalon et, toujours avec le sourire, me le baissait. Là c'est lui qui restait tétanisé.

– Mais c'est quoi ce truc ?
– Heu ! Une cage à bite . C'est fait pour que je reste sage.
– Et tu peux l'enlever ?
– Oui mais dans ce cas là, je t'encule !
– Non tu ne m'encules pas.

En disant ça il me prenait dans ses bras, je refermais les miens sur lui. Il me glissait une main entre les fesses l'autre dans mon dos et me soulevait. Je m'accrochais à lui, mon pantalon tombait sur le sol et je refermais mes jambes dans son dos. Sa queue se relevait entre mes cuisses. Moi je me sentais bien et lui aussi apparemment.

Je me suis demandé si c'était vraiment la première fois pour lui, si oui, il y avait pensé depuis un moment. Il me déposait sur mon lit, s'allongeait sur moi et m'écrasait avec un grande douceur. On roulait l'un sur l'autre, on se faisait des câlins, on s'embrassait, je le masturbais, le suçait comme je pouvais.
Il me tripotait les couilles et sa main devenait de plus en plus insistante sur mes fesses.

Sans rien demander il me glissait un doigt entre les fesses et tentais de me l'enfoncer dans le cul. Je l'arrêtais vigoureusement.

– Il faut lubrifier, sinon ça fait mal …

Il avait compris le message, il usait généreusement de gel lubrifiant et c'est deux doigts qu'il me glissait dans le cul. Là par contre je laissais faire, il était très attentif à mes réactions. Je me sentais bien et en sécurité dans ses bras.

– J'ai jamais fait ça ! Me disait-il. Et toi ?
– Avec un mec aussi bien monté, moi non plus...
– Tu n'as pas peur que je te fasse mal ?
– Tu vas y aller doucement …

Je m’étais retourné sur le ventre il prenait position, il se lubrifiait longuement la bite puis me la posait sur le cul.

Mon cœur battait fort, j'avais comme une boule dans l'estomac. Je ne vous dis pas mais j'en menais pas large. C'était un truc large comme ma cuisse qu'il allait me garer dans le cul. Bon, comme ma cuisse, peut être pas mais comme mon poignet oui, sans problème mais sans la main.

Je disais rien, je le laissais faire, c'était de la folie, j'avais l'impression qu'il appuyait sur toute la largeur de mes fesses. Je paniquais, il faisait preuve d'une énorme queue … Pardon je voulais dire d'une énorme douceur, mais il faisait aussi preuve d'une force énorme.

J'avais la trouille, je me demandais si c'était une bonne idée cette histoire, il poussait. Je respirait fort et tentait de me détendre. Il poussait et brusquement j'ai senti mon anus lâcher, je me suis dilaté, j'ai hurlé, c'était la panique.

Il ne bougeait plus, je retournais le visage et je le voyais, il savait qu'il pouvait blesser avec cette arme de guerre. Il observait mes réaction.

– Ça va ?
– Ça va ! Sauf si je rigole !

Là c'est lui qui rigolait, moi je dégustais et je râlais. Il continuait à s'enfoncer dans mon cul, je manquais d'air. Je voulais crier mais je manquais d'air, aucun bruit ne sortait de ma bouche. Il y allait vraiment doucement avec tendresse mais il était violent. Sa queue était énorme et par sa seule taille elle était violente.

C'était le pied. Son ventre s'écrasait sur mes fesses et c'est tout mon corps qui protestait, qui voulait se sauver, qui semblait exploser … C'était le pied, je n'aurais jamais cru ça possible mais c'était vraiment le pied.

Il se retirait pour mieux revenir, tous mes muscles se détendaient, j'étais mort, inerte, vidé, comblé. Chacun de ses mouvements déchaînaient en moi un plaisir inconnu. Et quand il se laissait retomber sur moi, de tout son poids, je sentais sa chaleur, sa force. Il était une fois et demie plus large que moi deux fois plus lourd, c'était un monstre de force, de douceur et de violence qu'il me faisait ressentir jusqu'au milieu de mon ventre. J'ai cru exploser.

Il prenait son temps, s'enfonçait ressortait sans sembler vouloir finir. Il respirait fort et je sentais son souffle sur mon oreille. Il prenait son temps et ce temps s'était arrêté, je jouissais, je ne sais même pas s'il me faisait mal ou pas, je sentais mon anus distendu, prêt à déchirer mais …

C'était le pied.

J'ai pris un pied comme jamais. J'ai eu un peu peur quand j'ai senti sa respiration s'accélérer, j'ai eu très peur de sa réaction, d'un geste trop violent qui me serait fatal mais, non il était très concentré, il se contrôlait.

Au moment ou il jouissait il poussait un long gémissement de plaisir et me serrait très fort dans ses bras. Ensuite il se retirait. Brusquement je me sentais vidé, un peu comme volaille qu'on va passer au four …

Je me sentais bien, terriblement bien. J'avais bien un peu mal au cul mais ça en valait la peine. Il avait l'air ravi et me prenait dans ses bras, sa femme était absente, il n'était pas obligé de rentrer chez lui, on s'est endormi, j'ai passé une super nuit.

Je vous rassure on a remis … on remet … ça de temps en temps.



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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