Aventures Coquines Au Restaurant

Ce récit a été rédigé avec la complicité de Sensuelleetsexy sous la forme d’un ping-pong intellectuel et charnel... bonne lecture

Je suis installée à une grande table ronde avec six autres convives élégamment vêtus et une place est libre à ma droite.
Un homme au physique puissant vient s'installer, me regardant à peine et me saluant d'un bref "Bonjour Madame".

Je m'assois à la place indiquée par le plan de table affiché à l'entrée du restaurant. La table est complète à l'exception d'une chaise libre entre une vieille femme toute ridée et une jolie quadra au regard doux et aux cheveux courts que je salue.

Je suis mal à l'aise face à ce bel homme qui ne semble pas vouloir engager la conversation une fois installé à côté de moi. Je me concentre donc sur la carte.

Je sens le parfum discret mais enivrant de ma voisine qui semble absorbée par la lecture du menu qui va nous être servi. Elle a de très jolies mains soignées aux ongles habillés d'un élégant vernis carmin.
- "Bonsoir, je suis Chris" lui dis-je en cherchant à accrocher son regard.

"Bonsoir Chris, Stéphanie enchantée."
Je soutiens son regard bleu perçant mais n'arrive pas à y déceler une quelconque émotion. Je souris tout de même et me replonge dans le choix du menu.

Je ne peux m'empêcher d'observer les jolis doigts aux ongles vernis courir sur les lignes du menu. Je pousse délicatement ma jambe vers la sienne jusqu'à la toucher. Elle ne bouge pas mais ses mains marquent un arrêt imperceptible sur la carte.
Je sens la chaleur de sa cuisse à travers mon pantalon.
Elle répond à son voisin de table mais la belle femme ne retire pas sa cuisse.

Mon voisin vient de coller sa cuisse à la mienne ! Surprise, j'ai pris ensuite sur moi de ne pas bouger. La sensation étant très agréable de le sentir, là, tout près de moi.
Je reste impassible et le dîner continu.
Mais au fond de mon corps c'est l'Etna et le Vésuve réunis.


Cet homme me plaît tellement que sentir la chaleur de sa cuisse contrée la mienne me mets en ébullition.

Je sens comme de l’électricité passer par cette cuisse chaude collée à la mienne.
Sous une impulsion folle je pose ma main sur sa cuisse. Sa peau est d’une douceur incroyable.
Elle frémit mais ne me repousse pas.
Elle change sa fourchette de main et tout en continuant à déguster son plat je sens ses doigts se poser sur les miens.

Mon corps est déjà en feu quand mon voisin pose sa main sur ma cuisse.
Je manque un battement de coeur mais ne laisse rien paraître.
Je viens recouvrir sa main de la mienne.
Elle est douce, puissante, chaude.
Je commence à la caresser et il la retourne pour que nos mains se joignent comme des amants cachés profitant de ce moment volé d'intimité.

Sentir ses doigts enlacer les miens me provoque un véritable électrochoc.
Elle caresse mes doigts, un par un, d’une façon très lente et langoureuse et ce simulacre de masturbation fait monter en moi une excitation terrible qui provoque une érection incontrôlable.
La sensualité de cette femme transpire par tous les pores de sa peau et une envie irrépressible de la posséder monte en moi.

Je sens mon voisin de table se troubler et je devine son excitation. Sa respiration est saccadée et je l'imagine de plus en plus à l'étroit dans son pantalon.
J'avoue être également troublée par ce premier contact charnel. Je sens que mon entrejambe commence aussi à réagir.

Je m’enhardis et mes doigts glissent sur la cuisse de Stéphanie. Ils dépassent bientôt la lisière de la jupe.
La peau est de plus en plus chaude et je sens ses cuisses s’écarter imperceptiblement m’invitant à poursuivre mon exploration.

Sa main s'est faufilée dans mon entrejambe et je rougis de la situation et par la chaleur qui envahit mon corps.
J'écarte les cuisses pour accueillir cette main puissante qui atteint progressivement mon sexe.

J'ai l'impression que toute la tablée nous voit et pourtant je ne perçois aucun regard curieux ou désapprobateur.

Ma main progresse doucement, attirée par cette chaleur croissante.
Bientôt mes doigts atteignent une zone humide et brûlante. La fente libre de tout rempart s’offre à mes doigts impatients qui écartent les lèvres d’un sexe gourmand et avide de les recevoir.
La belle se mord la lèvre pour contenir ses émotions et conserver une contenance devant les autres convives.

Je n'en reviens pas que je laisse faire cet inconnu au milieu des autres convives.
Je surveille les serveurs qui sont le plus à même de voir ce qui se passe sous la table. Les plats commencent à être servis et le personnel se positionne entre nous deux.
Je capte un sourire en coin d'un serveur qui vient de comprendre qu'une main se balade d'un convive à l'autre.

J’aperçois le sourire complice du serveur et j’enfonce mon doigt dans la chatte trempée au moment où il se penche pour servir ma voisine.
Stéphanie ne peut retenir un gémissement de plaisir.
J’ouvre ma braguette pour libérer ma queue tendue et je guide les doigts de la belle qui se referment autour de ma hampe pendant qu’elle remercie le maître d’hôtel qui se penche pour la servir.
« Un peu de vin ? » lui propose t-il.
« Deux doigts s’il vous plait » répond t-elle
Aussitôt, obéissant, mon majeur rejoint mon index dans sa fente brûlante.
Ses doigts se crispent autour de ma queue et nous trinquons en échangeant un regard complice.

Cette situation est tellement improbable, excitante, osée. Je trinque avec cet inconnu dont les doigts sont dans ma chatte et sa queue dans ma main. Le serveur ne nous quittant pas des yeux, son plateau manquant de tomber à chaque passage près de notre table.
Je tente de capter d'autres regards mais personne dans le restaurant ne semble s'intéresser à nous, y compris à notre table.
Le premier plat arrive et mon voisin retire sa main d'entre mes cuisses, se lèche les doigts de façon provoquante et saisit ses couverts afin de manger.
J'en fais de même pour ne pas perturber le repas.

Cette liqueur subtile et enivrante dont je viens de me régaler en portant mes doigts à la bouche m’a mis en appétit et je dévore mon plat tout en échangeant régulièrement des regards complices avec Stéphanie.
Ma queue est toujours en érection et je regarde la belle avec insistance.
Elle comprend ma muette supplique et je sens à nouveau ses doigts se refermer sur ma hampe et recommencer la douce masturbation.
Je n’en peux plus, il me faut posséder cette chienne.
Une pause musicale et dansante vient de démarrer avant l’arrivée des fromages.
Je rentre tant bien que mal mon « petit matériel » et me lève en m’excusant.
Je me dirige vers le hall après avoir jeté un regard à Stéphanie.

Mon complice vient de quitter la table non sans m'avoir au préalable jeté un regard d'invitation plus qu'évocateur.
Je réfléchis mais pas longtemps et quitte à mon tour la table. Je rejoins Chris dans le hall sans trop savoir à quoi m'attendre mais en sachant que ce sera ment sexuel et intense.
Il jette un regard dans la salle et me prend la main pour m'entraîner dans les toilettes du restaurant, fort heureusement libres à ce moment de la soirée. Elles sont vastes mais impossible de fermer à clef à ce niveau.

L’envie est trop grande alors dans un regard et un sourire complices nous acceptons les risques.
Je m’appuie sur le bord du lavabo et Stéphanie s’accroupit devant moi. Ses jolis doigts vernis ouvrent ma braguette et libèrent mon sexe qui a conservé une certaine rigidité et je regarde par les miroirs muraux sa bouche gourmande l’engloutir en entier.
La sensation est exquise et cela m’excite de voir ma queue ressortir doucement de cette bouche chaude en retrouvant toute sa vigueur.
Je pose mes mains sur sa tête pour sentir et accompagner son mouvement qui s’accélère.
La belle m’avale jusqu’à la garde, son nez venant toucher les poils de ma toison et cela me rend totalement dingue.


Me voilà accroupie dans les toilettes d'un restaurant à sucer un inconnu, je dois avoir perdu la raison. Mais cette situation est tellement excitante que j'y prend énormément de plaisir. J'ai conscience que le temps nous est compté et qu'à tout moment une personne peut rentrer et nous surprendre.
Je me lève et me penche à mon tour sur le lavabo, relève ma robe et offre ainsi ma croupe à Chris sans même savoir s'il a des préservatifs sur lui. Fort heureusement oui, sinon nous aurions été extrêmement frustrés tous les deux. Après avoir mis son capuchon il rentre sa queue d'un coup dans ma fente déjà ouverte par ses doigts.

Prendre cette femme que je ne connaissais pas il y a encore une demi-heure, debout dans ces toilettes avec la crainte d’être surpris, constitue une situation extrêmement chargée en excitation et la sensation est délicieuse.
J’ai saisi fermement ses hanches et je l’enfile à grands coups de reins, mes cuisses venant frapper ses fesses à chaque mouvement de mon bassin. La belle feule sous l’emprise du plaisir croissant.
Je me retire pour présenter ma queue à l’entrée de son autre orifice plus secret que je force délicatement.
Stéphanie semble apprécier, pour mon plus grand plaisir, cette pratique. Elle se laisse aller et m’engloutit dans une délicieuse sodomie.

Comment Chris a t- il deviné que la sodomie était mon pêché mignon ? Il vient d'introduire son sexe dans mon petit trou et avec l'excitation de la situation, je ne peux retenir un petit cri de contentement.
Je lui demande alors de m'enculer, fort ! Il ne se fait pas prier et m'assène de grands coups de boutoirs.
Nous n'avons plus conscience du danger et nous nous laissons aller à une baise sauvage, intense et bientôt bruyante, moi agrippée au lavabo et lui à mes hanches.

Cette femme adore manifestement se faire enculer sauvagement et l’excitation atteint bientôt son paroxysme.
Je stoppe alors soudain mes mouvements, me retire complètement de son cul, laissant un trou béant puis replonge d’un seul trait jusqu’à la garde lui arrachant un cri de plaisir.
Je recommence cela trois ou quatre fois jusqu’à déclencher en elle un orgasme d’une rare intensité.
Elle vibre littéralement telle une poupée de chiffon épinglée sur ma queue.
Je m’arrache d’elle et retire ma capote afin d’éjaculer et répandre ma semence sur son dos.
Alors que j’att des feuilles de papier du dérouleur pour l’aider à se nettoyer mon regard croise dans le miroir celui du serveur dans l’entrebâillement de la porte.
Je lui souris et prend tout mon temps pour rajuster la robe de Stéphanie afin qu’il profite encore de la jolie vue.
Nous sortons des toilettes et Stéphanie découvre alors l‘homme tétanisé par le spectacle qui vient de lui être offert.
Nous passons devant lui et la belle me regarde en me demandant depuis combien de temps il était là. Je lui répond dans un sourire : « j’espère pour lui depuis le début »...

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