Moi Et Ma Voisine Bernadette...
Quelques semaines, alors que jentretenais toujours une relation sexuelle épisodique avec Brigitte, jétais sur le point de réaliser ce quelle prenait tant plaisir à me rabâcher, à chacune de nos séances et qui peu à peu germait dans ma tête. De baiser la fameuse Bernadette.
En toute innocence, elle était venue frapper chez mes parents pour demander à ma mère si elle désirait des pommes de terre. Javais entendu lentretien à travers la porte de ma chambre.
- Oui, pourquoi pas, je veux bien
- Alain est là ? Avait-elle dit.
- Oui dans sa chambre. Je lappelle.
Quand ma mère ouvrit la porte jétais en train de bouquiner un livre despionnage. De mon fauteuil, japerçus Bernadette au pas de la porte dentrée. Une petite femme à lallure modeste, rondelette. Elle me faisait penser à une pâtisserie quon nommait : une religieuse. Vous savez, une grosse boule en bas une plus petite en haut, voilà à quoi ressemblé la voisine du dessus.
Elle était vêtue dans son éternelle blouse en nylon bleu. Doù elle se trouvait, elle menvoyait des petits signes de sa main. Aux pieds comme toujours, elle portait ses mules en cuir marron à la semelle en bois avec des talons tellement haut quon se demandait comment elle parvenait à marcher.
- Tu viens me donner un coup de main, me lança-t-elle dun air réjoui.
- Oui ! Oui ! Bien sûr. Le temps de ranger un peu et je suis à vous.
Quand javais soulevé mon cul du fauteuil, javais la certitude que jallais assouvir ma soif sexuelle, provoqué par quelques chapitres chauds de mon bouquin. Chargé de deux paniers javais donc suivis la voisine jusquà la cave. Les pensées malsaines avaient eu pour conséquence de me déclencher une belle érection. Bosselant mon jean. Lavait-elle remarqué ? Je ne sus le dire à cet instant. Elle me tendait la torche alors quelle saffairait douvrir le cadenas de son local.
- Éclaire moi avec la torche veux-tu ?
Jappuyais sur linterrupteur et la lumière fut.
- Veux tu rabattre les patates derrière moi devant, sil te plaît
Samusait-elle à me troubler, en faisant en sorte que je louche sur son cul penché devant mes yeux. Ou sétait encore mes pensées immorales qui me jouer des tours. Après mavoir enivré sur ses fesses rondes, mon regard glissa sur ses jambes et tomba sur le talon cagneux sous le nylon couleur chair. Je ne pus mempêcher de leffleurer du bout des doigts. Prenant le risque de me faire réprimander. Mais rien ne se produisait. Alors jappuyais ma caresse sans plus décho de sa part. Il men fallait pas plus pour mencourager de reconduire ma câlinerie. Cajolant ses mollets sans plus de conséquence de sa personne. Comme si elle était insensible à ma caresse. Jaimais pourtant la sensation du nylon contre mes doigts, à la fois irritante et délicate. Tout au long de ma rampante ascension, je perçus plus ou moins de petits cris aigus témoins de ses impatiences.
Quand dun geste plein de mesure jouvris ses cuisses et y égarai une main heureuse. Elle se mit alors à trembler non pas de petites agitations intermittentes mais de vraies convulsions qui la contractaient intensément. Elle navait pas de culotte et les sécrétions de son sexe avaient trempé lentrejambe de son collant. Je fricotais un moment avec son pubis au travers les fines mailles. Elle écartait même delle-même un peu ses jambes, pour me facilité encore plus laccès. Je pinçais le renflement du pubis. Le gonflement des grandes lèvres charnues. Sa respiration se faisait forte, très forte même.
Une envie de goûter à sa fleur me submergea, me faisant la rejoindre dans le bac. Je magenouillais derrière elle. Je roulais sa blouse à sa taille.
À même le nylon jécrasais ma bouche à la bonne hauteur. Tournant autour de son sexe, prenant tout ce que javais envie de prendre. Puis jai baissé son collant et avec mes pouces glissés dans la fente du sexe, jécartais les lèvres et regardais à la lueur de la torche, les chairs roses et plissées, humides de mouille, au centre desquelles le clitoris se dressait tout rouge. Jintroduisis ma langue, fouillant à travers les poils rêches. Bernadette sursauta sous lassaut imprévu mais apprécia. Tantôt suçant, tantôt lapant. Elle succombait après seulement quelques minutes de ce traitement.
Son côté face étant devenu trop sensible, je mattaquais au côté pile. Je prenais les fesses à pleines mains et les étirai sur les côtés, puis plus bas et jai appuyé la pointe de ma langue pour me frayer un passage dans les poils noir là où la raie samorçait. Elle avait eu un petit frisson. Elle avait un goût de sueur. Comme le goût était amer du côté de son anus. Je me mis à lui téter le cul sous ses soupirs. Peu à peu son anus se dilata et je pus violer son trou du bout de la langue. Puis je revins au sexe. Aspirant les grosses lèvres dans ma bouche pour y recueillir des sécrétions acides, alors quelle gémissait de plus en plus fort, et jouit.
Il était temps que je pense à ma jouissance. Pour cela je pris ma queue entre mes doigts serrés, pour la rendre plus rigide. Je frottais lintérieur de la raie avec mon gland. Je lappuyais contre louverture et forçais. Elle ne put retenir un cri, alors que la tête de ma verge avait disparut dans son antre. Jattendais quelques secondes avant daller plus loin. Enfonçant lentement toute la longueur de ma queue, jusquà ce que mon vendre touche ses fesses. Sa chatte mabreuvait de plaisir.
Je reculais, menivrant delle avant de replonger avec délices dans la chaleur humide de son ventre. Ma queue enflammée navait pas connu pareil bonheur depuis si longtemps.
Bientôt ses plaintes devinrent plus sourdes, plus rauques, comme si elles venaient du fond de la gorge. Alors que jallais en découdre, jenfouis aussi loin que possible mon sexe dans le sein et me vider, soudée à elle en soufflant bruyamment.
Pendant quelques secondes je restais affalé contre son cul puis me retirai. Elle tomba à genoux sur le plancher du bac, prise de crampes.
Cette flambée de folie retomba dès que jeus joui. Dégrisé, je laidai à se remettre debout. Nous nous dévisageâmes comme si nous ne comprenions pas ce qui cétait passé. Nous éprouvions la même gêne affreuse de nous être laissés aller à ce point, non pas tant davoir fait ce que nous faisions de faire, mais davoir dit tout ce que nous avions dit dans un relâchement de plaisir.
Je secouais ma verge pour détacher les dernières gouttes de sperme, alors quelle remettait en place son collant, puis elle laissa tomber sa blouse. Comme un rideau sur une scène signifiant la fin du spectacle.
Le lendemain alors que jallais rejoindre ma garçonnière, je trouvais un bout de papier sur le sol en terre battue, doù étaient écris ses quelques mots :
Tu sais je vais tapprendre quelque chose. Dix ans de plaisirs. Plus souvent solitaires. Dix ans à ressasser, de déplorer
se faire chier quoi ! Et enfin la rencontre avec toi ! Ah il était temps ! Merci
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