La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1109)
Marion au Château (devenue esclave Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°1108)
Lorsquelle fut partie, Monsieur le Marquis dEvans rejoignit son ami tibétain dans le petit salon pour parler de la soirée et du diner qui sannonçaient, où Sangmo allait être pour la première fois soumise à plusieurs Dominants en même temps
- Alors cher ami, quavez-Vous donc prévu pour cette soirée si spéciale pour ma petite chienne chérie ?
- Ce sera une soirée masquée, ainsi vous pourrez y assister sans être démasqué, si vous le voulez. Sangmo devra dabord servir le repas, sauf le dessert. Puis je quitterai la pièce de manière à ce quelle le sache bien. Si de nombreux Dominants seront présents au repas, seuls trois hommes et deux femmes resteront pour la suite de la soirée. Vous vouliez quelle soit soumise à plusieurs Dominants, mais comme vous naviez pas précisé le sexe, mais que vous vouliez quelle ait une éducation MDE, ou du moins un aperçu, jai jugé quelle devrait aussi être sous les mains expertes de quelques Dominas. Jespère que jai eu raison ?
- Bien sûr, très Cher, faites comme Vous lentendez ! Je tiens à ce quelle vive le plus de choses possibles, au plus près de ce que vivent Vos esclaves et Vos soumis. Je Vous ai donné carte blanche, je Vous fais entièrement confiance. Je sais que ma petite chienne est entre de bonnes mains ! Les meilleures de notre monde D/s
- Je vous remercie pour votre confiance et de vos bons sentiments à mon égard. Alors, si vous le voulez bien, et si vous voulez assister au dîner, allons accueillir mes invités, qui ne devraient pas tarder à arriver. Mais avant, allons-nous changer !
- Je Vous suis ! Jassisterai avec plaisir au dîner, mais peut-être pas à la soirée qui suivra. Je serais peut-être trop tenté de parler, et je me ferai ainsi découvrir, ce que je ne veux absolument pas !, conclut le tibétain
Chacun regagna sa chambre, le Tibétain passant un smoking noir, avec un loup de velours noir.
Ensuite, soumise Laïs MDE, la baigna dans une eau doucement parfumée, la lava, et la recouvrit ensuite dune huile qui laissait un léger hâle doré sur sa peau, et la rendait dune douceur incroyable. Jarrivais alors pour coiffer ses longs cheveux noirs dune queue de cheval haute. Puis je lui peignais les ongles des pieds et des mains de vernis du même bleu que la veste du Maître des lieux, je la maquillais légèrement, faisant ressortir ses yeux noirs, et lui appliquant un rouge à lèvres noisette qui donnait une envie quais irrépressible de les lui prendre. Enfin, toutes les trois, nous allâmes prendre les différents accessoires que le Châtelain avait exigé la voir porter : Une paire de pinces à tétons en or qui pesaient lourd sur ces petits bouts de chair sensible, faisant grimacer la soumise le temps quelle sy habitue, un collier et une laisse faite dune chaine également en or.
Comme chaque fois quune soirée spéciale était organisée, aux extrémités de chaque marche se trouvait des soumis, prosternés, orifices présentés aux visiteurs, culs remplis par des plugs frappés aux Armoiries de la noble Famille du Châtelain et ornés de saphir, les mâles sur la gauche, les femelles sur la droite. Le Marquis les examina tous un par un, caressant une croupe par ci, tirant sur des cheveux par là pour faire relever un peu la chienne pour lui caresser les seins, serrant des couilles ou pénétrant une chatte, pour vérifier létat dexcitation de ceux qui Lui appartenaient. Jute au moment où Il eut fini de remonter les marches et que Wangdak arriva se plaçant légèrement en recul par rapport à Lui, les premières voitures arrivèrent amenant des Invités tous plus beaux et plus richement vêtus les uns que les autres, sans pour autant pouvoir égaler la prestance et lélégance de leur Hôte. Le Maître des lieux les accueillit tous chaleureusement. Dès que tout le monde fut entré, les conversations allèrent bon train. Quelques soumis musiciens réunis dans un coin de la pièce jouaient des musiques de Rondo Veneziano, qui saccordaient parfaitement avec le style de la soirée.
Monsieur le Marquis dEvans voulant faire, comme toujours, les choses en grand, avait voulu un festin de Roi. Marie sétait alors démenée, avait fait des recherches pour avoir réellement les clés en main pour un tel repas ! Il ny avait pas moins de vingt plats au menu.
Sangmo savait quelle allait devoir faire le service à table, mais elle pensait quils seraient plusieurs à devoir remplir cette fonction, car en arrivant en cuisine, elle vit de nombreux soumis et soumises en train de saffairer. En effet pour un tel repas, la sadique cuisinière avait réquisitionné du monde pour laider aux diverses préparations, et le fouet avait été bon train pour que tous tiennent une cadence acceptable. Certains avaient été sévèrement punis pour avoir renversé quelque chose, ou sêtre trompé dans une recette obligeant tout le monde à reprendre le plat au début, et faisant donc perdre du temps sur le timing chronométré à la minute près. Mais lorsque Marie lappela pour pousser un chariot dans la Grande Salle à Manger, où tout le monde sétait installé, la chienne tibétaine se rendit quelle était seule. Comme lavait exigée la cuisinière, elle prit les plats deux par deux et servit tout le monde, commençant par le Châtelain puis servant les Invités ensuite en faisant le tour de limmense table.
Cétait la première fois pour elle quelle se retrouvait en présence de temps de Dominants et dans une telle ambiance, et elle était un peu apeurée. Mais elle essayait de le cacher, sachant que Wangdak ne laurait pas mise entre les mains de son ami, le si célèbre Marquis dEvans, si elle avait eu quelque chose à craindre. Cependant on voyait bien quelle tremblait légèrement. Elle avait peur que le fait de commettre une faute ne lui vaille une grosse sanction, et que le Maître quelle servait dans son cur, en étant actuellement au service du Châtelain, ne soit déçu. Elle était donc très précautionneuse, peut-être même trop car elle en était lente. Ce qui lui valut quelques claques sur les fesses, histoire de la faire accélérer un peu. Quand les plats étaient servis, un des Invités claquait des doigts, et elle se déplaçait comme elle le pouvait en quadrupédie jusquà lui. Parfois il ou elle lui donnait des morceaux de son repas, se faisant becqueter et lécher les doigts. Dautres se dévêtirent un peu, histoire de mettre leurs sexes à vue et se faisaient lécher, ou sucer, avec jouissance ou non, à avaler. Lun deux même, sen servit comme dun urinoir.
Cétait une chose quelle navait jamais pratiquée, et elle dut faire un gros effort sur elle-même pour ne pas se retirer, méritant ainsi une sanction pour ne sêtre pas laissée faire, et une pour avoir ainsi obligé le Dominant à salir le parquet de la Grande Salle à manger. Le repas se passa donc ainsi, entre service et attouchements, tous ses orifices ayant reçu au minimum un doigt, ses tétons ayant été étirés, des gifles ayant été données, son cul ayant légèrement rougi sous quelques tapes un peu appuyées.
Quand vint le moment du désert, elle rapporta le chariot en cuisine. Là, Marie en attrapa un plus grand, plus large, sur lequel elle la fit sallonger. Et elle déposa sur elle les différents entremets quelle avait concoctés. Ce fut esclave Phryné MDE et moi-même qui poussâmes le chariot tout près du Châtelain, devant lequel nous nous prosternâmes jusquà ce que dun claquement de doigt et dun signe de la main, Il nous renvoie doù lon venait. Les Invités commencèrent sagement les premiers entremets, venant se servir, sans trop solliciter le corps de la chienne si désirable dans cette position. Mais quand ils attaquèrent les fruits et les ufs durs ce fut une autre histoire. Plusieurs Invités vinrent manger leur fruit à la sauce de lexcitation tibétaine, comme dit lun deux en riant en enfonçant une fraise à lentrée de son vagin pour aller la chercher ensuite avec sa langue. Dautre se servirent de bananes comme des godes, les faisant aller et venir dans sa caverne humide. Jusquà ce quune Domina ne lui enfonce un uf dur dedans, alors que tout le reste avait été enlevé de son corps, et quelle nexige de la soumise quelle saccroupisse au centre de la table et quelle lexpulse à la seule force de ses muscles vaginaux.
Elle navait jamais travaillé particulièrement cette partie de son anatomie, et elle dut se concentrer pour faire travailler les bons muscles afin de satisfaire lexigence qui lui avait été imposée. Cela prit quelques minutes. La peur déchouer commençant à la paralyser. La chose était encore moins évidente, car pour « laider » à aller plus vite, un Invité cétait saisi dun martinet et samusait le faire tomber, sans trop de forces, mais lui mettant quand même une pression supplémentaire, sur son dos. Lorsquenfin, elle parvint à expulser le corps étranger de son corps, des applaudissements fusèrent, accompagnés de commentaires plus ou moins moqueurs, et la chienne ne sut pas si elle devait se sentir fière ou humiliée par la situation. On la laissa alors à la même place mais on lui exigea quelle tienne la position à genoux, jambes écartées, tête baissée, mains sur la nuque, le temps quils finissent tranquillement de leur succulent repas. Cela dura une bonne vingtaine de minutes et si elle avait lhabitude de rester à genoux, ce nétait pas le cas pour les mains sur la nuque et elle commençait à trembler sous la douleur musculaire.
Monsieur le Marquis dEvans se leva, marquant la fin du repas. Plusieurs Invités déclarèrent quils allaient les quitter, ils furent raccompagner par le Châtelain, qui prévint ceux qui restaient, quIl leur laissait à disposition la chienne le temps quils le voudraient et que Lui aussi allait séclipser, leur souhaitant une bonne soirée. Sangmo, toujours sur sa table eut un mouvement de surprise à cette annonce. Si elle ne connaissait pas bien le Maître des lieux, le Maître quelle servait Lui faisait confiance et par là même elle aussi et Sa présence au milieu de tous ces étrangers lavait rassurée. Mais savoir quelle allait être seule pendant une durée indéterminée au milieu deux, même sils étaient moins nombreux la terrifiait. Il restait, comme lavait annoncé Monsieur le Marquis à son ami Tibétain, trois hommes et deux femmes. Ils commencèrent par la faire descendre de table. Ils sassirent tous les cinq côte à côte et elle dut passer de lun à lautre pour sucer les queues bandées et lécher les chattes suintantes jusquà ce que chacun deux jouisse et se vide en elle.
Si elle avait appris il y avait peu de temps avec Walter comment sucer une bite, elle navait jamais eu le moindre rapport avec une femme, et elle pensait ne pas savoir comment sy prendre. Les Invités étaient tous au courant de ses points faibles et avaient promis de se montrer indulgents et directifs. Elle fut donc guider par les Dominas qui surent très vite lui faire comprendre comment utiliser sa langue. Et visiblement elle comprit vite, car il ne lui fallut pas très longtemps pour leur tirer des gémissements de plaisir, et elle fit jouir la seconde bien plus vite que la première. Elle se rendit compte que ce quelle avait pensé de prie abord comme quelque chose de totalement repoussant, était en fait assez agréable ! Ensuite elle fut de nouveau amener à monter sur la table, et on accrocha les anneaux de ses poignets et de ses chevilles ensemble à son collier, exhibant sans retenue possible son sexe et son anus. Et tandis que les trois hommes alternaient dans ces deux orifices, les deux femmes sétaient mises à genoux face à face au-dessus de la tête de la soumise et se faisaient lécher à tour de rôle.
Aucun de ses orifices nétait jamais laissés tranquille. Que ce soit des doigts ou des sexes, ils étaient toujours encombrés. Elle testa donc pour la première fois le fait dêtre prise par tous ses orifices en même temps. Elle eut même droit, dans la douleur, mais juste le temps de sy habi à une double pénétration vaginale, suivie dune autre double, anale. Ses trous déjà, ainsi, bien dilatés, on lui fit également découvrir le fist, et alors quelle se tordait dans tous les sens, un doigt dans le cul, une main qui senfonçait dans sa chatte dégoulinante dexcitation, et quune verge lui remplissait la bouche, que des mains lui pétrissaient les seins et lui étirés les tétons, on la laissa enfin jouir au bout de deux heures de service intensif auprès de ces cinq Dominants qui sen étaient donnés à cur joie !... Les deux heures avaient été un délai fixé par le Châtelain. La chienne avait été tellement sollicitée, que lorsquils finirent en apothéose par le fist, la laissant libérer un orgasme dévastateur, elle en perdit connaissance. Lorsquelle se réveilla, elle se trouvait dans une petite chambre, dans un vrai lit, au lieu de sa niche habituelle. Mais elle ne tarda pas à refermer les yeux sans avoir eu la force de se demander comment elle était arrivée là !...
(A suivre
)
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