Natasha (4)
Kim s'adresse alors à Bo:
- Madame Bo, je crois que nous allons devoir arrêter avec le côté sucré du traitement, ce nouveau projet va donner beaucoup plus de travail et je vais avoir besoin de plus de mains si nous ne voulons pas y passer le reste de la journée.
Bo acquiesce et les deux filles retournent jusqu'à la table basse, pour en revenir quelques instants plus tard, chargées de poids divers, de pinces à linge en métal et de deux clochettes.
Nat se dit alors que si elles s'y mettent à deux, ça va vite devenir compliqué de résister même si à ce moment, elle a encore une certaine confiance en ses capacités. Elles commencent par placer chacune un poids cylindrique argentés sur la chaînette qui relie les pinces japonaise de la chatte de leur esclave. Si jusque là le pincement et le poids de la chaînette étaient acceptables, l'adjonction des deux poids de 100gr changeait complètement la donne, crispant un peu plus le joli visage de Nat et accélérant sa respiration. Ce que ne manque pas de remarquer Kim:
- Allons allons ma fille! Détends-toi, nous n'en sommes encore qu'au début. Les esclaves de Sebastian doivent être capables de beaucoup mieux que ça!
Les filles accrochent ensuite un poids de 50gr en forme de losange aux boucles des pinces de chacun des seins, accompagnés d'une petite clochette chromée.
Malgré la douleur grandissante, Nat parvient toujours à rester impassible, peut-être un peu grâce au spectacle qui s'offre maintenant à ses propres yeux. Elle continue d'admirer fixement son Maître comme ordonné précédemment et manifestement, il aime ce qu'il voit, parce qu'il vient de dénouer la ceinture de sa robe de chambre et qu'il l'a largement ouverte, laissant apparaître ce corps superbement musclé et bronzé, parfaitement imberbe de la tête au pieds et cette queue fièrement dressée, de taille bien supérieure à la moyenne de par sa longueur et son épaisseur. Du coup le travail des deux filles stoppe net à la vue de cette sublime apparition.
- Allons Mesdames, ne vous occupez pas de moi! Je sais que vous n'êtes pas habituées à me voir agir ainsi, mais ce genre de chose est monnaie courante entre gens de bonne compagnie dont vous faites partie aujourd'hui, je vous le rappelle. J'avais simplement besoin de me mettre mieux à mon aise pour apprécier la qualité de votre travail. Je vous en prie, continuez!
Les deux filles reprennent donc leur ouvrage, se disant chacune intérieurement qu'elle préféreraient bien plus s'occuper de cette queue que de cette pauvre esclave là. Elle se partagent maintenant les pinces à linge métalliques et commencent à les fixer en commençant par les bords extérieurs des seins puis descendant sur les flancs, les hanches pour enfin s'arrêter sur les cuisses quand elles arrivent à la hauteur des genoux. Les pinces sont fixées à intervalle régulier d'environ 15 cm, ce qui fait que Nat ressent maintenant la morsure d'une petite trentaine de celles-ci. Kim à qui il reste encore une pince à poser ne met pas bien longtemps à trouver une solution. elle avait vu plus tôt dans un des tiroirs de la table un écarteur buccale, qu'elle s'empresse de saisir de mettre en place dans la bouche de Nat et ordonne:
- Tire la langue! - Et elle place la dernière pince sur le bout de la langue de Nat qui ne bouge et ne gémit toujours pas, alors qu'elle fixe intensément cette queue, se raccrochant à l'espoir que si elle se montre assez brave, elle aura peut-être le droit d'y goûter à nouveau un jour.
Les filles viennent se placer à côté du Maître pour regarder un peu mieux ce que donne leur travail. Kim avec un air satisfait demande alors:
- Je trouve que c'est quand même un peu plus agréable à regarder! Qu'en pensez-vous Sebastian?
Le Maître acquiesce:
- C'est en effet du très bon travail, mais pour que le tableau soit vraiment complet, je suggère à chacune de vous deux, d'aller voir ce qu'il y a derrière les deux grandes colonnes situées de chaque côté de la pièce.
Les deux provisoires invitées se dirigent donc à l'arrière des deux colonnes pour y découvrir de longues chaînes solidement fixées à leur sommet et munies de menottes en cuir à leur extrémité. Ramenant ces chaînes vers le centre de la pièce, elles s'aperçoivent qu'elles ont l'exacte longueur, pour, quand elles sont tendues, permettre d'y attacher quelqu'un et que ce quelqu'un se retrouve par la même occasion exhibé dans l'axe parfait du fauteuil dans lequel le Maître est installé.
Kim s'amuse de tout cela comme une petite folle, un peu comme une gamine lâchée au beau milieu d'un des nombreux magasins de merchandising à Disney Land dans lequel elle aurait le droit de faire tout ce qu'elle veut. Bo, cependant, qui est un peu plus mesurée par rapport à tout ça, même si elle s'amuse aussi beaucoup, se rend compte qu'une sorte de frisson désagréable lui parcourt la colonne vertébrale au moment où elle se rend compte qu'elles sont actuellement présentes dans ce qui paraît être une bibliothèque mais se trouve être en fait la salle de travail personnelle du Maître et elle se promet dès cet instant de toujours être irréprochable en tous points pour ne jamais avoir à subir le même traitement que celui qui s'impose maintenant à esclave nat.
Les deux filles saisissent maintenant chacune un poignet de Nat, laissant sa magnifique crinière blonde retomber sur ses épaules et les attachent au moyen des menottes en cuir. Le Maître intervient alors, manifestement charmé par la sculpture vivante placée en face lui:
- Voilà qui est parfait Mesdames! Une esclave empalée sur un gode, parée des atours dont vous lui avez si consciencieusement fait don et exhibée à ma vue les bras en croix. Je suis en vérité fort impatient de découvrir la suite du traitement que vous lui réservez!
Les deux compères lubriques se dirigent une nouvelle fois vers les tiroirs de la table basse pour s'emparer chacune d'une cravache et d'un paddle en bois. elles reprennent place ensuite de chaque côté de l'esclave, de plus en plus anxieuse à l'idée de ce qui se préparait connaissant très bien la finalité de tout ce cérémonial.
- Ecoute moi bien l'esclave! Quoi qu'il se passe maintenant, tu ne quittes pas des yeux ton Seigneur et Maître! Et autre chose aussi! Quoi qu'il se passe, je ne veux pas entendre tinter une seule fois une des clochettes dont nous t'avons ornée. Dans le cas contraire une punition supplémentaire te sera infligée. Tu as bien compris ce que je viens de dire?
L'écarteur buccale ainsi que la pince à linge fixée sur sa langue, interdisent à Nat de pouvoir articuler quoi que ce soit. Elle signifie néanmoins qu'elle a bien compris par un hochement de tête affirmatif. Kim s'adresse maintenant à Bo:
- Madame Bo, il semble que Sebastian soit satisfait du tableau que nous lui avons offert. Nous allons pouvoir commencer à débarrasser cette esclave de ses atours.
Bo - Mais bien sûr Madame Kim. Je vous en prie, à vous l'honneur.
Kim sélectionne alors une première pince à linge au moyen de plusieurs petite tapes de sa cravache. Puis d'un coup sec éjecte la dite pince, provoquant une douleur foudroyante au moment ou elle abandonne le morceau de chair auquel elle était fixée, douleur encore amplifiée par l'afflux de sang brutal dans cette zone qui en était privée jusque là. Bo fait de même de son côté et une deuxième pince s'en va valdinguer dans la pièce. C'est la dixième pince qui va avoir vraiment raison de la résistance de Nat. Jusque là, instinctivement, elle avait commencé un mouvement de va et vient sur son gode pour le sentir coulisser en elle et se sentir remplie tout en continuant à fixer le membre de son Maître dressé maintenant comme un superbe obélisque de sensualité et s'imaginant que c'est lui qui est en train de la sodomiser avec toute la vigueur et le fougue qu'elle lui connaît déjà. Même si son beau visage est crispé et que des larmes commençaient à perler sur ses joues, aucun son n'est encore sorti de la bouche écartelée de Nat, mais au moment où Kim est obligée de s'y reprendre à deux fois pour éjecter cette dixième pince, la douleur devient d'un coup insoutenable et provoque chez l'esclave un mouvement de côté, suffisamment prononcé pour provoquer le tintement d'une des deux clochettes fixée au bout de ses seins.
- Madame Bo, cette esclave vient de commettre une première erreur et nous allons lui passer l'envie de recommencer immédiatement. Cinq coups de paddle chacune sur ses fesses et toi l'esclave, tu comptes et ne te trompe pas! En cas d'erreur nous doublerons la mise!
Bo acquiesce, les coups commencent à pleuvoir sur son postérieur et Nat compte en produisant un réel effort pour rester impassible au maximum:
- 1 / 1... 2 / 2... 3 / 3... 4 / 4... 5 / 5
Il faudra quarante cinq minutes aux deux tortionnaires et deux punitions supplémentaires, pour terminer de dépouiller totalement le corps de l'esclave des derniers accessoires qui restaient, se voulant décoratifs mais ne l'étant pas vraiment en fait.
Le Maître, quand à lui, tellement accaparé qu'il était par ce qui se passait là, juste devant lui, ne s'était même pas réellement rendu compte qu'il avait saisi son mandrin à pleine main pour le branler frénétiquement, décuplant par là même, l'envie des deux filles de lui en donner toujours plus.
Pendant ce temps, Natasha, toujours suspendue à ses chaînes, avait maintenant les fesses en feu et qui avaient adopté une couleur presque pourpre sous les coups répétés des deux autres "invitées". Ses longues jambes fuselées avaient bien du mal à continuer à la porter, si bien que c'était presque l'entièreté du gode qui habitait maintenant son fondement. Son corps arboraient des marques rouges, partout où avaient été disposés les accessoires qui avaient mordu sa chair et qui avaient été retirés sans ménagement aucun.
Mais malgré tout ça, Kim ne semblait pas complètement satisfaite par son travail. Sans doute trouvait-elle que cette esclave était un peu trop vaillante à son goût. Natasha faisait tout son possible pour gémir ou crier le moins possible ainsi qu'éviter autant que faire se peut de ses soustraire aux coups qui s'abattaient sur elle afin de permettre au Maître de se rappeler combien elle peut être endurante pour le servir et qu'il en soit satisfait.
Kim se dirigeait une nouvelle fois vers les tiroirs de la table basse, bien décidée d'en finir une bonne fois pour toutes et de briser cette arrogante, qui se croit aussi forte qu'elle.
(à suivre...)
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