Barbara 5

Michel.
Barbara était sous la douche quand la sonnette retentit. J’allais ouvrir.

- Bonjour Théo.
- Bonjour Michel.
- Barbara est sous la douche encore.
- Je suis peut-être en avance.
- Non, non c’est bon. Viens au salon.
- Merci.
- Alors comment la trouve-tu ?
- C’est une vraie salope qui aime le sexe. Elle en redemande.
- Oui, je viens de l’enculer pour la préparer, elle était vierge du cul. Comme mon sexe est le plus petit des trois, je me suis dit que ce serait la meilleure solution. Je lui ai mis un plug pour qu’elle reste dilatée.
- Tu as bien fait, tu sais, quelquefois dans le feu de l’action, on peut vouloir la prendre rapidement.
- Oui c’est ce que je me suis dit. Et je ne veux pas de violence avec elle. Elle est soumise, mais je l’aime aussi.
- Oui, t’inquiète.
- Encore la sonnette d’entrée. Ha ça doit être N’Doumé, je reviens.

Michel.
J’ouvrais la porte à N’Doumé le serveur noir du restaurant.

- Salut N’Doumé.
- Salut Michel. Je ne suis pas trop en retard ?
- Non, Barbara se prépare.
- Je te présente Théo.
- Théo je te présente N’Doumé.
- Enchanté
- Moi aussi.

Nous étions assis tous les trois au salon quand Barbara fît son entrée dans sa robe achetée au sex shop de Théo.

- Je ne vous présente pas Barbara.
- La vache, tu es superbe Barbara.
- Merci N’Doumé.
- Sers-nous à boire Barbara.
- Oui Maitre.
- Il y a du champagne au frais.
- Bien Maitre.

Barbara.
J’allais à la cuisine chercher le champagne. J’étais dévisagée par trois mâles en rut prêts à me baiser dès que mon Maitre aura donné le signal. Ma chatte était déjà bien mouillée. Mon ventre était en feu. J’avais des frissons.
Je revenais au salon avec la bouteille et les verres.

- Maitre, vous voulez bien m’aider à déboucher la bouteille.


- Oui amène la moi.
- Oui Maitre, tenez.

Michel.
Barbara s’approcha en regardant par terre. Je voyais le haut de ses bas. Ses seins étaient remontés par sa robe. Ils étaient gonflés par le plaisir et l’absence de soutien-gorge était bien nette. Une vraie salope. Je sentais qu’elle avait envie de se faire baiser. Mais je veux la faire patienter et donc nous allions sagement boire l’apéritif et dîner. Barbara, serait le dessert de nos invités après le café.

- Voilà Barbara, sers-nous maintenant. Tu te serviras une coupe aussi.
- Bien Maitre, merci.

Barbara.
Je m’approchais de Théo avec une coupe pleine. Il regardait ma poitrine. Quand je fus proche de lui, il souleva un peu ma robe courte et, comme j’étais nue dessous, il trempa un doigt dans ma chatte pour vérifier mon état d’humidité. Je mouillais déjà beaucoup, je le reconnais..

- La salope mouille déjà beaucoup Michel.
- Je sais, elle a envie. Mais elle doit être patiente.
- Oui tu as raison.
- Lèche mon doigt salope
- Oui Théo.

Barbara.
Théo me rentrait son doigt trempé de mouille dans la bouche pour que je le suce. Ma mouille était visqueuse.
Il ressortit son doigt de ma bouche, c’était au tour de N’Doumé d’être servi. Il me tourna vers lui sa main se glissa sous la robe. Il rentrait deux doigts dans ma chatte et me demanda de sucer ses deux doigts. Je servis mon Maitre en troisième et j’écartais mieux mes cuisses pour qu’il se rende mieux compte de mon humidité intime. Il rentrait trois de ses doigts et lui les faisait coulisser. On entendait des glou glou dus à mon humidité..

- Alors salope, tu es carrément trempée.
- Oui Maitre.
- Mais sois patiente.
- Oui Maitre.
- Quand tu auras bu ta coupe, tu iras à la cuisine préparer le service du diner. Tu nous appelleras quand tout sera prêt.
- Bien Maitre.

Michel.
Barbara nous appela de la cuisine pour nous informer que le dîner était servi.
Nous la rejoignîmes à la salle à manger. J’indiquais l’ordre des places.
Théo en face de moi, N’Doumé à ma droite, et Barbara à côté de Théo et en face de N’Doumé. Nos assiettes étaient servies. Barbara faisait le service du vin. Sa cambrure était accentuée par ses hauts talons.

Barbara.
A chaque convive à qui je servais du vin, je sentais une main qui passait sous ma robe pour faire bouger le plug qui remplissait mon petit trou. A chaque fois, je me cambrais encore plus, ce qui faisait monter ma robe d’un cran, découvrant un peu plus le bas de mes fesses.
Arrivée à côté de Michel pour le servir, sa main nettoyait ma mouille qui coulait sur mes cuisses. Je mouillais vraiment comme une salope, étant de plus en plus impatiente de me faire baiser sur ordre de mon Maitre.

- Barbara, tu es vraiment salope pour mouiller de la sorte.
- Oui Maitre, je n’arrive plus à me retenir.
- Tu vas patienter encore un peu. Écarte tes cuisses.
- Oui Maitre.

Michel.
Je passais de nouveau mes doigts dans l’entrée de la chatte de Barbara. Ce n’était plus qu’un ruisseau de cyprine qui se déversait dans ma main, en petits jets. Elle était en manque de sexe.

- Lèche ma main salope.
- Oh oui Maitre, elle est si bonne. Merci Maitre.

Barbara.
Le dîner se déroulait bien, avec de temps en temps une incursion de la main de Théo sur mon entre jambes. Je bougeais sur mon plug entrainant de mini orgasmes à chaque fois.

- Bien, je pense que nous pouvons aller prendre le café au salon. Barbara tu sais ce que tu dois faire ?
- Oui Maitre, je ferai comme vous m’avez ordonné de faire.
- Très bien.

Michel.
Avec Théo, et N’Doumé, nous prenions possession des fauteuils après nous être déshabillés. Notre dessert allait bientôt arriver avec le café.

Barbara.
En attendant que le café soit prêt, j’ôtais ma robe pour être seulement habillée avec mes bas, mon porte-jarretelles et mes talons comme me l’avait ordonné mon Maitre.

Le moment tant attendu par nos invités et moi-même arrivait. J’allais être le dessert de ces trois hommes. Ils allaient me baiser à tour de rôle ou ensemble, je ne savais pas ce qu’avait prévu mon Maitre. Je savais seulement que je m’offrirais à eux pour être agréable à mon Maitre.


Je posais les cafés sur un plateau et me mis en route pour le salon. Quelle ne fût pas ma surprise en voyant ces trois hommes nus qui attendaient leur dessert sexuel. En marchant nue avec mes talons, mes seins bougeaient de bas en haut et de haut en bas, mes mamelles de femme mûre ballottaient. Mes tétons étaient dressés d’excitation, ma chatte mouillait en permanence. Je sentais ces trois regards qui me dévoraient. J’étais tellement heureuse de plaire à mon Maitre. Je ne voulais que son plaisir. Je me penchais en avant pour poser le plateau sur la table basse, laissant voir ma chatte trempée et le brillant de mon plug qui remplissait mon petit trou.

Michel.
Barbara était magnifique. Elle obéissait à mes instructions à la perfection. Son corps était sous l’emprise de son désir.

- Théo, N’doumé, voilà votre dessert sexuel, Barbara. Elle est à vous, vous pouvez en faire ce que vous voulez dans la limite que je vous ai exposée. Juste une dernière chose, vous pouvez voir que Barbara a l’anus rempli par un plug. Je vous demanderais de ne pas l’ôter pour me laisser le plaisir de l’enculer le premier.
- Bien sûr Miche, pas de soucis répondit Théo.
- Tout à fait d’accord Michel, fît N’Doumé.

Barbara.
J’étais soulagée, Michel allait passer en premier dans mon petit trou pour me préparer. J’apportais les tasses à nos invités. Puis N’doumé m’appela.

- Barbara, approche.
- J’arrive.

En approchant, je voyais le sexe de N’Doumé qui était dressé entre ses jambes. Quel sexe, le plus grand des trois. Je m’agenouillais entre ses jambes pour commencer à le sucer. Je revivais mon rêve du restaurant.
Avoir une grande queue noire dans la bouche. Tout en le suçant, je prenais ses grosses couilles en mains pour les masser et les caresser. N’Doumé gémissait de plaisir.

- Vas-y salope, tu suces super bien. Putain tu es une sacrée suceuse de bites.
- Hummmmm

Je ne pouvais répondre, ayant la bouche remplie par ce sexe qui à chaque aller-retour avançait plus loin dans ma gorge. J’étais à chaque fois à la limite de l’.
Je voyais Théo qui de son côté nous regardait en se masturbant doucement. Mon Maitre nous regardait simplement. Toutefois je voyais son sexe qui était tout droit. Il fit signe à Théo d’intervenir.

- Barbara mets toi à 4 pattes sur le canapé pour sucer N’doumé.
- D’accord.

Barbara.
Je me dégageais de la bite de N’Doumé pour aller sur le canapé. N’Doumé me suivit pour s’assoir. Je repris sa bite en bouche, N’doumé me triturait les tétons qui étaient en feu. Je sentis une langue qui passait puis qui s’introduisait dans ma chatte. Cette langue me faisait gémir. Je me cambrais ce qui ouvrit encore plus l’entrée de mon vagin. Théo s’était redressé et sans prévenir, il me pénétra d’un coup jusqu’à la garde. Je poussais un cri de surprise. Cette pénétration sauvage me poussa sur la queue de N’Doumé qui déchargea son sperme au plus profond de ma gorge, dans un grand râle de jouissance, me forçant du coup à avaler son foutre.

Théo.
Je prenais Barbara en levrette. Cette salope avait un vagin plus qu’accueillant. Je la tenais à ses « poignées d’amour ». Elle aspirait ma queue avec sa chatte. Je lui labourais le vagin, la faisant crier en permanence. Elle giclait de la cyprine qui coulait sur mon sexe.

N’Doumé.
Barbara qui avait toujours ma queue en bouche criait sans arrêt. Je n’avais jamais baisé une salope de cet âge. Elle aurait pu donner des cours de sexe à bien des jeunes femmes.

Michel.
Pour la première fois je voyais Barbara se faire baiser par deux hommes. Tout en étant soumise, elle prenait son pied. J’étais heureux pour elle. Théo déchargea son sperme au fond du vagin de Barbara. Théo et N’Doumé échangeaient leur place. Barbara nettoyait et suçait Théo, elle allait être prise pour la première fois par une énorme queue noire.

Barbara.
Ce que j’attendais depuis des années allait se produire enfin. J’allais être pénétrée par une queue noire imposante. N’Doumé, à la différence de Théo, commença doucement à faire progresser son sexe énorme dans mon vagin. Il me remplissait progressivement. Mes parois vaginales étaient déformées pas son gland. Je me retenais pour ne pas jouir trop rapidement. Quand N’Doumé arriva en butée au fond de mon vagin, il n’avait pas rentré la totalité de son sexe. Je sentais qu’il hésitait.

- Vas-y N’Doumé, prends-moi en entier. Force.
- J’ai peur de te faire mal.
- Non, vas-y, je te veux tout entier en moi.

N’Doumé.
Je regardais Michel pour avoir son accord. Il me fit un signe de la tête pour me dire qu’il était d’accord. Je poussais d’un coup sec mon sexe dans celui de Barbara qui se mit à crier plus fort. Je venais de forcer son col et m’étais introduit dans son utérus. J’entamais des vas et viens. Barbara gémissait sans cesse avec la queue de Théo dans la bouche.

Barbara.
J’avais orgasme sur orgasme. Ma chatte dégoulinait. N’Doumé en était à sa troisième éjaculation quand Théo se mit à gicler dans ma gorge. Je m’écroulais sur le canapé, exténuée. La queue de Théo commençait à faiblir comme celle de N’Doumé. Je pensais que j’avais rempli mon contrat quand je vis mon Maitre se lever et s’approcher.

- Barbara, à 4 pattes.
- Oui Maitre.

Mon Maitre retira le plug de mon anus d’un coup, ce qui me fit pousser un cri de douleur. Tout aussi sauvagement, il me prit l’anus avec son sexe bandé. Je repoussais un cri mélangé de douleur et de plaisir. Contrairement à tout à l’heure, il ne s’arrêta pas et me laboura le cul directement. Je m’accrochais au dossier du canapé. Cette sodomie dura un bon ¼ d’heure. Mes seins étaient ballottés dans tous les sens. N’Doumé me tenait la tête en tirant mes cheveux en arrière pour me cambrer encore plus. Mon Maitre poussa un cri de jouissance quand il déchargeait son sperme.

- A toi Théo, encule-moi cette salope. Défonce-lui le cul.
- Avec plaisir Michel.

A peine mon anus fût-il libéré par le sexe de mon Maitre qu’il fût rempli par celui de Théo sans aucune progressivité. Je me mis à crier de douleur car son sexe était plus épais que celui de mon Maitre, mais je savais que je devais obéir à mon Maitre. Théo me pilonna le cul pendant vingt minutes. Je poussais cri sur cri. Je bavais de plaisir. Théo éjacula en grande quantité dans mon cul son sperme se mélangeant à celui de mon Maitre.

- N’Doumé, finis-moi cette pute. Encule-la.
- Bien Michel.

Le plus dur restait à venir. Je ne pensais pas que mon anus allait accepter ce sexe noir si imposant. Heureusement, N’Doumé avait du gel en sa possession. Il en enduisit son gland puis comme ses deux prédécesseurs, il me prit le cul avec rapidité. La douleur se fît intense, mais elle laissa la place à un état de jouissance permanente. Il m’encula pendant une demi-heure. Je réussis à compter jusqu’à 8 orgasmes. Le dernier fût tellement violent que je tombais sur le canapé. Théo me retînt pour que je ne tombe pas par terre.

- N’doumé, remets lui son plug pour qu’elle garde nos spermes.
- D’accord.

Michel.
Barbara s’endormit sur le canapé, épuisée. Mes deux invités étaient vidés. Ils se rhabillèrent avant de repartir en me remerciant. Ils me laissèrent deux cadeaux pour Barbara.
Barbara était soumise, elle acceptait tout de moi. Je commencer à l’aimer.

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