Furie Dans Un Ascenceur

J'habite dans un immeuble doté de deux ascenceurs, un pour les étages pairs, l'autre pour les impairs. Ce jour-là, deux hommes, noirs, très grands et musclés, attendaient chacun devant leur porte. Ils étaient vêtus d'un jogging de même couleur. Ils se ressemblaient tellement, qu'ils ne pouvaient qu'être frères.
Je ne pouvais que remarquer les bosses qui gonflaient leurs pantalons. Soit ils étaient bien fournis par la nature, soit ils étaient en érection. Ou bien encore, les deux.
Je suis habitué à ce que les hommes posent leurs regards sur mon cul. Cette fois ne fit pas exception. Quand la porte du monte-charge s'ouvrit, l'un des frères me poussa à l'intérieur. Derechef, il exhiba sa grosse bite.
Derrière moi, l'autre frère s'était retourné. Il me poussa à l'intérieur. Surpris, je jetai un oeil dans mon dos. Les épaules du colosse barraient la vue de l'extérieur et donc l'entrée de la cabine. Il posa ses mains sur mes épaules et m'obligea à m'agenouiller. J'ai compris le message. J'ai ouvert la bouche et le gros sexe s'y enfonça. Il grossit instantanément. Dans mon dos, le frangin murmura à mon oreille :
- Déshabilles-toi....à poil !
L'énorme membre qui glissait entre mes lèvres, m'incitait à obéir. Je desserrai la ceinture de mon pantalon, et il tomba vers mes genoux.
Les deux frangins avaient arrêté l'ascenceur au dernier étage.
Le gars que je suçais se retira de ma bouche et s'allongea sur le plancher de la cabine. Il me saisit par les hanches et m'attira vers lui. Il avait empoigné son membre, et, tout sourire, il dit :
- Viens t'asseoir !
Je me suis relevé, et, en écartant les jambes, je me suis empalé sur le gros sexe. Le frangin vint se placer face à moi et, la bite à la main, ajouta :
- Goûtes celle-là, maintenant.
J'avais donc une bite dans le cul et l'autre dans la bouche.

Celui que je suçais a cru bon d'ajouter :
- Mouilles bien, parce que tu vas prendre celle-là aussi dans ton cul !
Je m'appliquai donc dans ma tâche. Les genoux pliés de part et d'autre des hanches de mon enculeur, je montais et descendais le long du gros membre fiché dans mon cul. Du coup, quand l'un s'enfonçai dans mon cul, l'autre sortai de ma bouche.
Au bout d'un moment, celui qui m'enculait me saisit aux épaules et me plaqua contre son torse. Le frangin repassa derrière moi. Il écarta les jambes de son frère et vint s'allonger sur mon dos. Il écarta mes fesses et glissa sa queue dans ma raie. J'ai compris qu'ils voulaient me pénêtrer en même temps. Quand la deuxième bite s'enfonça, j'ai gémi.
Ce n'était pas la douleur. Elle était éffacée par le plaisir. Ils ont joui dans mon cul en même temps. Le sperme chaud s'est écoulé , et j'ai joui à mon tour.
Là, où j'habite, les hommes aiment le sexe entre hommes. L'histoire de ma chevauchée s'est répandue dans la cité, et a émoustillé les amateurs. Aussi, les deux frangins ont décidé d'offrir ma bouche et mon cul à leurs copains.
Le 13ème étage de l'immeuble est devenu le théâtre de mes ébats. La double pénêtration est devenue ma position préférée. C'est mon cul qui me procure le plus de plaisir. Peut-être qu'un jour je prendrai une autre bite en plus dans ma bouche. Et pourquoi pas deux ?
Vous imaginez ? Faire jouir quatre garçons à moi seul !
Autre motif de plaisir. Je suis d'origine britannique. Ma peau est blanche comme le lait. Voir ces corps noirs s'emparer du mien me met en transes.

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