Collection Lesbiennes. Gladys (2/6)

Ce texte est un cadeau de Noël et de fin d’année pour mon amie Florence27 la reine des textes lesbiens et Olga T qui nous régale avec ses textes du passé.

C’est près de Bordeaux que Clément mes trois filles et moi sommes allés habiter afin que mon mari retrouve du travail alors que depuis deux ans il avait été licencié de son emploi en région parisienne.
C’est en limite financière que nous étions, risquant l’expulsion de notre logement et nous retrouver à la rue, quand cette offre venue du bout du monde nous est parvenue, contrairement à ce que l’on en dit, grâce à Pôle emploi.

Le nouveau patron de Clément, Lucien et sa femme Gladys, qui nous a permis de bien nous acclimater dans notre nouvelle région, nous ont fourni une baby-sitteur pour garder nos trois s et venir dîner au bord de leur piscine ce samedi soir.
J’apprends qu’elle a rencontré mon aînée Lucie venue chez ses voisins ou leur fille Alexandra est devenue son amie.
Pour profiter du beau temps, Gladys nous demande de venir avec nos maillots pour pouvoir nous baigner si nous le désirons.
Avec mes trois s qui accaparent mon temps, je n’ai qu’un vieux maillot, une pièce noire, pour paraître moderne, je mets des sandales avec un paréo noué dessus.
Sans avoir l’air d’y toucher, elle me fait mettre nue et va jusqu’à m’interroger sur la qualité de ses seins.

Quand je passe son slip fluo, j’ai une drôle d’impression à mon entrejambe, c’est là que sa chatte vient frotter quand elle le met, l’a-t-elle lavé depuis, pour me couvrir et ne pas apparaître nue devant le patron de mon mari, je replace mon paréo.
Nous rejoignons les hommes, il discute du projet que Clément a présenté, une coupe de champagne en main, il se désintéresse de nous.

• Gladys, j’ai besoin d’un renseignement pour Lucie.

Je lui demande l’adresse de son gynécologue.

• Es-tu certaine que ta fille a besoin de la pilule ?
• Pourquoi me dis-tu cela ?
• Pour rien, je n’ai pas pour habitude de colporter des ragots.



Je la sens gêné comme si elle en avait trop dit.

• Explique-toi.
• Autour de moi, tous disent que ta fille est bien élevée.

Je sens qu’elle est gênée.

• Lucien sert nous du champagne, j’y pense, si tu veux, je peux t’accompagner.
• Non, je suis assez grande pour m’occuper de Lucie.
• Lucien, le champagne.

Près de la table, une desserte réfrigérée lui permet de servir le repas préparé par sa cuisinière, c’est très fin, on voit l’argent que le couple possède, car ils ont aussi une femme de ménage permettant à Gladys de vivre en toute dilettante.

• Nous vous laissons mesdames, j’emmène Clément dans mon bureau, nous devons encore peaufiner deux trois choses pour être prêt à présenter notre projet aux Américains.
• Je pense qu’il est temps de goûter à l’eau, qu’en penses-tu Ophélie, un bain de minuit à onze heures cela te dirait !

En me proposant cela, elle se lève, fait tomber son maillot, au moment où elle sort sa jambe de son Bikini, sa chatte sans grande lèvre s’ouvre me montrant ses chaires roses et elle plonge.
J’enlève mon paréo, mais comme me l’a appris ma maman, je descends les marches tranquillement, car je suis en pleine digestion.
Je me tenais au bord, afin que mon corps s’habitue au changement de température, c’était la première fois que j’étais dans une piscine les seins nus et je dois dire que j’aimais.
À ce moment alors que j’allais m’élancer, tel un crocodile nageant dans son marigot, elle est venue derrière moi, ses bras ont enserré ma poitrine et j’ai senti sa main se poser sur mon sein.
Malgré le froid de l’eau, cette main me brûlait, alors je me suis retourné et nos bouches dans un même élan se sont trouvées.

J’ai enfin compris les signes qu’elle m’envoyait depuis notre arrivée, Gladys était faite pour aimer les femmes et comme j’étais une femme, j’ai compris son envie de moi.
Surtout quand sa main cachée par l’eau est venue sur le bas de mon maillot, j’ai vite compris que ce morceau de tissu ne serait d’aucun secours pour moi.

Nous nous regardions intensément, au plus loin que je me souvienne, aucun regard ne m’avait sondé aussi intensément, il faisait assez jour pour que nous évitions de tourner notre regard.
Par quel miracle sa main se retrouvait sur mon clitoris, il jouissait facilement quand Clément le suçait ou que je me masturbais quand trop pris par son travail dans les années où tout allait bien et ensuite quand les soucis sont venus, car il me délaissait.
À ce moment, cette main caressant mon bouton a été si efficace que j’ai senti un frisson monté le long de mon dos dès qu’elle l’a sollicité, j’ai perdu la notion du temps, quand les lumières autour de la piscine se sont allumées.

• Mince l’éclairage automatique.

Le charme était rompu, un instant, j’ai eu peur que ce ne soit Lucien et Clément qui aient allumé en sortant du bureau, ce n’était pas le cas, mais cinq minutes après ils revenaient, nous venions de sortir de l’eau et Gladys venait de remettre son bas de maillot.

• Une dernière coupe et dodo, ce travail m'a épuisé, sans compter que demain, je me lève tôt pour aller faire mon jogging du dimanche, Clément tu m’accompagne !
• Hors de question Lucien, le dimanche matin, nos s dorment et c’est notre seul moment d’intimité.
• Je comprends, inutile de me faire un dessin, tu as de la chance, mon cher Clément.

Il s’est arrêté là, regardant Gladys qui semblait le toiser, il a trinqué, vidé son verre et après nous avoir salués est parti se coucher.

• Je vais démarrer la voiture Ophélie, salut Gladys et viens me rejoindre, merci patronne pour le bon repas que vous nous avez offert, bonne nuit.

J’ai remis mon paréo, nous étions à nouveau seules, telle une louve, elle est venue se coller à moi, à travers le léger voile que j’aie sur la peau, ses seins sont entrés en contact des miens me brûlant à nouveau.

• Tu m’échappes pour ce soir, de plus, tu as joui et moi pas, je suis jalouse que demain ton mari te prenne, mais c’est mon lot, je suis souvent seule, file.

Joues-tu au tennis ?
• J’en ai fait avant de me marier, la venue de Lucie a fait que j’ai arrêté.
• Lundi, après-midi, je vais t’envoyer la baby-sitter et passé te prendre pour aller jouer à mon club avec toi, je souhaite que tu sois ma nouvelle partenaire.
Je vais réserver un cours et un vestiaire, nous faisons la même taille, elle t’apportera une tenue, cela t’évitera de faire des frais.
• Non ne discute pas, tu as le droit au bonheur, tes s peuvent se passer de toi quelques heures, regarde ce soir, tu vas rentrer et les retrouver sagement endormis.
Attends, je te note le numéro de ma gynéco, tu ne veux vraiment pas que je vous accompagne.

Un baiser bien profond et alors qu’elle nous fait un signe de la main, Clément démarre la voiture.
Quand nous arrivons chez nous, je vois deux personnes assises sur les marches, quand nous approchons, elle semble se séparer.

• Bonsoir, maman, je te présente Alexandra, mon amie, elle est venue me rejoindre, c’est Olga, la baby-sitter qui va la ramener chez elle.
• Bonsoir, messieurs-dames, je suis heureuse de faire votre connaissance.
• Bonsoir, Mademoiselle, je te l’envoie, juste le temps de voir avec elle si tout s’est bien passé.

La seule chose qui aurait pu me choquer, c’est que les deux filles se tenaient la main, mais ne me suis-je pas fait embrasser et caresser par Gladys, il faut que j’évite de voir des dépravations partout.

• Tout s’est bien passé, les s dorment, non merci, madame Gladys m’a réglé, vous ne me devez rien.
• Prends, ce n’est pas grand-chose.

Clément lui met un billet dans la main.

• Merci, pour votre tennis, c’est bon pour lundi après-midi, madame Gladys vient de m’appeler, je viendrais à 14 heures garder vos s.

Elle nous quitte.

• Tu vas faire du tennis avec Gladys lundi, cela me fait plaisir que tu recommences à faire du sport, je sais quand je t’ai rencontré, tu as tout abandonné pour élever nos s, tu as le droit à un peu de détente et j’aime aussi que tu t’entendes bien avec ma patronne.

Lucien et moi, nous sommes comme les doigts d’une main.
Salut Lucie va vite te coucher, il est vrai qu’à ton âge tu as le droit de veiller un peu.
• Papa, maman, demain je peux aller à la plage avec un copain d’Alexandra qui a son permis, il est très prudent.

Il est urgent que je téléphone à la gynécologue.

• Nous te faisons confiance, j’espère que tu te souviens de certaines conversations que nous avons eues entre femmes.
• Je crois que c’est le moment pour moi, de vous quitter, je vous laisse entre femmes, Ophélie ne tarde pas trop, je crois que j’ai une chose importante à faire avec toi.

Il nous quitte.

• Maman, tu peux n'avoir aucune crainte, pour ce que tu penses, quand je me sentirai prête, je te le dirais.
• Nulle nécessité que tu me demandes le moment où de ta propre décision, tu auras décidé de devenir une femme, j’ai demandé à Gladys le numéro de son gynécologue, j’aimerais que nous prenions rendez-vous.
• Nous en reparlerons demain maman, bonne nuit, je crois que papa t’attend, à la manière où il te regardait, j’espère que tu as pris ta pilule…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!