Mystérieuse St Sylvestre

Cette année encore nous avons droit à l’immuable réveillon de la st sylvestre chez mes beaux-parents en compagnie des deux frères de Sylvain mon mari, à savoir que l’un deux est récemment divorcé et évidement de mon beau père et de ma belle-mère, les s sont exclus de cette réunion de famille, noël suffit !
En arrivant je suis un peu gênée des regards des hommes sur ma silhouette il me semble que leurs yeux voient à travers ma mini robe noire, qu’ils devinent que je n’ai pas de soutien-gorge je le conçois mais mon absence de petite culotte ils ne peuvent pas le deviner … c’est une idée de Sylvain qui jugeait que les contours d’un slip faisaient disgracieux
- Fait le pour moi chérie, je serais seul à savoir que ta chatte est accessible, tu profiteras de mon excitation quand nous iront nous coucher !
- Tu connais tes frères Vanessa, ils ont le regard vicieux surtout Michaël le célibataire, même quand il était accompagné il avait toujours le regard qui trainait là où il ne fallait pas
- Ça prouve que j’ai une belle femme mais il n’oserait jamais porter la main sur toi voyons
- Si tu le dis … si je pense trop souvent à ton désir pour moi mes cuisses vont être constamment nappées de mouille …
- Tu iras te sécher de temps à autre à la salle de bain voilà tout !
N’empêche que j’ai encore raison Michaël n’arrête pas de lorgner mes fesses ce soir, ses yeux d’un bleu perçants disent : tu n’as pas de culotte salope, j’aimerais bien te passer la main au cul ! ceci dit les deux autres mâles n’en pensent pas moins malgré la présence de leur épouse!
A minuit pile une tradition existe, mon beau père coupe la lumière durant trois minutes le temps que nous nous souhaitions la bonne année entre époux, debout derrière nos chaises le compte à rebours s’égrène jusqu'à minuit pile, il fait noir, Sylvain m’enlace pour un baiser passionné , comme à son habitude, protégés par l’obscurité il en profite pour me peloter les seins … son autre bras sert à me plaquer contre lui … mais alors a qui est cette main qui s’infiltre entre mes cuisses que j’ouvre sans méfiance ??? en l’absence de string deux d’entre eux pénètrent ma vulve sans difficulté et ravage mon intimité, mon clitoris dégagé et malmené je n’ai plus la volonté de refuser cet acte audacieux, mon mari doit se demander pourquoi je me trémousse ainsi mais croyant qu’il en est la cause ne cesse pas le baiser de plus en plus ardant, à deux doigts de jouir (si je puis m’exprimer ainsi !) je lui mords la langue lorsque son père annonce la réapparition de la lumière au cas où certains en profiteraient pour se permettre certaines familiarités … prise de panique je resserre les jambes et essaie de reprendre une attitude décontractée tout en essayant de voir qui est celui qui s’est permis de me doigter
- Ça va Vanessa ? tu es toute chose, c’est mon patin qui t’as fait autant d’effet ?
- Oui… sans doute, je suis obligée d’aller éponger ma chatte sinon bonjour la tache sur la robe
- Mmuuummm tu m’excite déjà ! dommage que je ne puisse laper tes sécrétions sur cette table ! va t’essuyer mon amour
- Je te présente mes meilleurs vœux ma charmante belle-sœur
- Moi aussi Michaël, à toi aussi Mathieu
- Tu es toute rouge, mon frère ne t’as pas manqué de respect dans l’obscurité j’espère ?
- Je fais ce que je veux à ma femme, par contre ne t’avise pas de la toucher dragueur de mes deux !
- Excusez-moi, chéri je dois aller impérativement à la salle de bain
Tout en me dirigeant vers le couloir je surveille les trois hommes en douce, impossible de faire la différence dans leurs attitudes, ils lorgnent tous le déhanchement de mon cul, vous voulez des sensations fortes ? je vais vous en donner, j’exagère le balancement de mes reins !
Devant le lavabo je remonte ma robe, dix centimètres suffisent pour accéder à mon minou, un gant de toilette mouillé pour éponger mon entrejambes, en douceur car mon clitoris encore érigé se demande pourquoi les caresses se sont brusquement stoppées, je ne peux résister à l’envie de me fourrer deux doigts en fermant les yeux pour me remémorer la scène des douze coups de minuit, un p’tit coup entre les lèvres afin de tarir le déluge et que courbée j’essaie de soigneusement recoller, c’est exactement à ce moment-là que la lumière s’éteint ,décidément …

- Mais ? qui ’c’est ???
- Chhhhhuuuuut tout va bien, reste courbée ainsi Vanessa ça va bien se passer… mmmmuuuuuummmmmmm ce p’tit cul …
Impossible de reconnaitre la voix dont les mots à peine audibles, mais ce que je reconnais c’est une queue bien raide que s’insère entre mes fesses, frôle mon anus et trouve le trou a peine refermé, en essayant de l’en empêcher je l’ai guidé moi-même dans mon vagin, une poussée lente mais inexorable me coupe le souffle, désormais à la merci de ce membre qui me fait un bien immense je me surprends même a accompagner les coups de reins qui vont apaiser mes sens exacerbés , une minute suffit pour que mon amant inconnu se bloque sur mon dos et expulse puissamment sa semence au plus profond de mon ventre déclenchant un orgasme que je suis contrainte d’ au risque de créer la plus sordide des histoires de famille , je lève la main pour allumer au-dessus du miroir , je suis seule, si ce n’était le flot de sperme qui dégouline le long de mes cuisses je jurerais avoir rêvé, nouveau coup de gant sur mon intimité avant de redescendre dare-dare- pour trouver tous les hommes présent discutant ensembles ….


- Eh bien Vanessa où était tu ?
- A la salle de bain me refaire une beauté pardi, je dois te faire un dessin ???
- Je ne pensais plus à ton problème de fuite ! excuse-moi chérie
- Je ne sais pas de quoi ton mari parle, tu es très belle naturellement chère belle fille !
- Merci Denis ! au fait vous avez vu ? il ne reste plus de champagne ?
- Je vais descendre à la cave en chercher, tu veux venir visiter et choisir toi-même un millésime ?
- Hou ! tu es privilégiée papa ne montre pas ses bouteilles à n’importe qui, prenez votre temps nous allons aider maman à débarrasser et faire un peu de rangement
Denis est un beau père charmant que beaucoup de femmes aimeraient avoir au moins une fois comme amant, il est très heureux de m’entrainer à sa cave, lieu sacré où le peu de femmes qui y sont allées en sont remontées avec des souvenirs certainement inoubliables, c’est un endroit peu éclairé garni de bouteilles plus ou moins poussiéreuses, au milieu une table basse et un lit de camps le long d’un mur, il y vient y faire sa sieste en périodes de fortes chaleurs ou lorsque sa femme l’emmerde trop
- Regarde un peu ma pitchounette, il y en a pour une petite fortune, les champagnes sont en bas, penche toi et choisi le millésime que tu veux
Consciente qu’il peut voir la naissance de mon cul ainsi penchée je reste immobile faisant semblant de m’intéresser aux crus très âgés, la respiration de Denis s’enfle et s’accélère, une main timide effleure ma fesse sans s’y poser
- Les femmes qui osent vous suivre ici sont comme les bons millésimes Denis, il ne faut pas hésiter à y gouter...
- Vanessa ? tuuuuuuu …
- Oui jeeeeeeeee ….
- Ne bouge pas ma beauté, je vais juste remonter ta robe légèrement afin de découvrir le paradis que tu caches là-dessous… hhhhhhhooooooooooooooo tu ne portes rien ?
- Osez y aventurer votre main Denis …
- Quel beau p’tit cul de pouliche, Sylvain a de la chance de trouver cette merveille dans son lit tous les soirs
- Cette merveille est à vous pour un moment de délire, faites vites …
- Tu es très mouillée, je dirais même aussi mouillée que si tu venais de faire l’amour
- Je ne viens pas de faire l’amour mais de me faire baiser dans le noir de la salle de bain par un homme présent à cette soirée, ce n’était pas vous par hasard ?
- Je ne me suis pas absenté
- Alors qui ?
- Eeeeeuuuh … Michael discutait avec Sylvain … ah si ! Mathieu est sorti fumer une clope … quel faux cul !
- Je peux vous citer un autre faux cul, Michael me doigtait en douce pendant que sylvain m’embrassait pour les douze coups de minuit
- Et tu t’es laissée faire sans rien dire ?
- C’était trop bon ! j’ai donc jouis deux fois ce soir !
- Alors jamais ‘deux sans trois’
- Pas par derrière, j’en ai marre de ne pas voir qui me saute !
- Sur le lit ce fortune ?
- Pourquoi pas ?
- Si cette couche pouvait parler elle t’en raconterait de belles ! j’aurais dût accrocher les petites culottes aux murs mais ta belle-mère n’aurait pas apprécié !
Je me suis allongée nue, jambes repliées et écartées tandis qu’il ferme la porte pour éviter d’être surpris, dès qu’il s’est retourné j’ai vu son énorme gland rouge qui dépassait de la braguette tressautant comme un animal indompté, trop tard pour lui demander s’il voulait être sucé, sa tête est déjà entre mes cuisses, langue sortie
- Aaaaaaaaaahhhhhhhhooooooouuuuuuuuuiiiiiiiiii Denis, bouffe-moi la craquette
Décidément mon clitoris est à la fête ce soir, les coulées de cyprine reprennent de plus belle, mais j’abrège pour deux raisons j’ai envie d’être pénétrée au grand jour et aussi peur du temps qui passe
- Vient sur moi Denis
- J’en ai crevé d’envie toute la soirée à en avoir mal à la queue, ouvre ta chatte que je m’enfonce direct
- Comme ça ? RRRRRHHHHHHAAAAAAAAAOOOOOOOOOUUUUUUUUIIIIIII C’EST BOOOOOOOONNNNNNNNNNNN !
- Noues tes jambes autour de mes reins je vais te défoncer la matrice
- Remplie-moi de ton foutre Denis
Trois minutes plus tard un sperme chaud inonde mon vagin, mon beau père se relève, son désir apaisé il parait gêné de son acte
- Pardonne moi Vanessa je n’aurais pas dût me laisser emporter par mon vice
- Si vous ne l’aviez pas fait je vous en aurais voulu toute ma vie, remontons vite à présent
- Hhhhaaa vous voilà enfin ? Vanessa doit connaitre chaque bouteilles de ta cave papa !
- C’est un peu ça, excusez-nous nous avons dégusté une bouteille
- Chéri je dois retourner à la salle de bain
- ENCORE ????
- Pour faire pipi cette fois
- Maman et mon frangin Mathieu sont partis se coucher il ne reste plus que Mickaël et nous
- Nous rentrons ?
- Non, papa a prévu deux matelas gonflables dans le garage, nous allons nous y reposer un moment avec Michael
- Avec Michaël ???
- Oui pourquoi ?
- Pour rien … je reviens vite chéri, ça presse ….

J’essaie de cacher les coulées de sécrétions qui arrivent aux genoux, cette fois je ferme la porte de la salle de bain pour faire une toilette indispensable, malgré mes efforts ma robe porte des traces suspectes, lorsque je descends il ne reste plus que les deux frères qui discutent ensemble
- On va s’allonger chéri ? je suis morte de fatigue
- Même pas la force pour un p’tit câlin ? nous ne nous somment pas beaucoup vu ce soir
- Va pour un p’tit câlin mais vite fait !
- Allez-y les amoureux, j’irais me pieuter plus tard
- Ok frangin t’es sympas, vient Vanessa
- A demain mon p’tit beau-frère !
Je lui balance ça avec une pointe d’ironie, il me répond par un sourire énigmatique, nous nous blottissons face à face entièrement nus dans nos duvets lumière éteinte
- Hé ben dit donc tu n’arrêtes pas de mouiller ce soir, tu es aussi trempée que lorsque que je décharge dedans ?
- Tu ne crois pas si bien dire, un de tes frères m’a doigtée pendant que tu m’embrassais un autre ma sautée dans L’obscurité de la salle de bain et ton père a l’instant a la cave !
- Tu es bête ! aucuns d’eux n’oseraient faire une chose pareille ! ils m’ont simplement dit qu’ils se doutaient que tu ne portais pas de culotte, je le leur ai confirmé !
- Salaud je passe pour qui ?
- Ce pauvre Michaël me fait de la peine c’est le seul a ne pas faire l’amour un premier janvier …
- C’est son problème, enfile moi chéri
- Lève une cuisse… putain je ne sens plus les bords de ta moule …
- Idiot, embrasse-moi
La tête dans mon cou, accaparé par son désir de me faire jouir Sylvain n’entend pas un mystérieux bruissement dans le garage, quelqu’un pousse le deuxième matelas à toucher le nôtre, mon duvet et soulevé, une main se pose sur ma hanche, je ne réagis pas, alors un corps se colle au mien, c’est un homme, car entre nous deux s’impose un membre épais en pleine érection, la main s’aventure entre mes cuisses, pour ne pas toucher la queue de Sylvain les doigts s’arrêtent à mon anus , l’instant d’après l’un d’eux s’enfonce jusqu'à la dernière phalange dans mon boyau assoupli par mes orgasmes, mon mari se rend compte que quelque chose ne va pas et stoppe tous mouvements …
- Tu as quelque chose dans l’anus Vanessa ? ça frotte sur ma queue
- Oui, un doigt qui appartient certainement a Michaël
- Et tu te laisses faire ?
- C’est toi qui m’as dit qu’il était malheureux ce soir
- C’est toi Michaël qui doigte le cul de ma femme ?
- Ben oui, je ne savais pas quoi faire …y’a peut-être une petite place pour moi ?
- Tu exagère, demande au moins la permission !
- Tu crois qu’il te l’a demandée à minuit ? il ma branlée la chatte à me faire jouir debout
- Tu disais donc vrai ?
- Je ne t’ai jamais menti chéri
- Mais alors Mathieu et papa ?
- Baisée aussi par Mathieu dans la salle de bain et par beau papa à la cave !
- Espèce de garce ! enfile ta bite dans son fion frérot
- Ne lui en veut pas Sylvain, c’est le nouvel an ! détend toi Vanessa ça va piquer !
Une fois le rythme trouvé ce fut un délice, du moment que ça devient un secret de famille la colère de mon mari a été de courte durée, j’en ai prise par tous les trous jusqu’au petit matin, a part Michaël qui voulait revenir à la charge personne n’a jamais reparlé de ce réveillon mystère !!

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!