April 3

Seul dans mon salon, je faisais les cent pas. On était Samedi, en milieu d’après midi, et j’attendais impatiemment l’arrivée de April, une superbe blonde avec qui j’avais déjà couché à deux reprises. Plus tôt dans la semaine, moi et un ami d’enfance, Scott, l’avions prise à deux, et baisée très sauvagement. Et même si elle avait pris son pied, April avait promis de prendre sa revanche sur nous. J’avais donc hâte qu’elle arrive, car je savais que April et moi ayant tous les deux un tempérament dominateur, nous chercherions chacun à soumettre l’autre, et qu’une telle bataille serait des plus délicieux, surtout avec une bombe comme elle. J’étais assez confiant, car quelques mois plus tôt, April et moi avions couché ensemble au cours d’un week-end mémorable, et après une rude bataille je l’avais complètement dominée. Je pensais bien rééditer cet « exploit ».

Je tournais en rond encore et encore, me demandant si le temps qu’il faisait dehors n’avait pas dissuadé April de venir. Il faisait en effet excessivement chaud, plus de 30°c, et le moindre mouvement semblait coûter une immense énergie. J’avais fermé les volets, et allumé les ventilos mais la chaleur restait forte. Difficile dans ces conditions d’avoir envie de s’agiter et de se frotter contre quelqu’un d’autre. Personnellement cette chaleur me donnait encore plus envie de baiser, mais tout le monde n’était pas pareil. J’avais l’impression de devenir presque fou à cause de l’attente, lorsque soudain, on sonna à ma porte. En courant presque, j’allai ouvrir. C’était April.

Elle était vêtue d’un débardeur noir au décolleté large, laissant admirer son magnifique 95D, et d’un mini-short en jean, qui semblait peiner à contenir son postérieur rond et ferme à souhait. Elle était peut être habillée comme il fallait pour un jour de canicule, mais en ce qui me concerne, la voir comme ça ne fit que rendre encore plus insupportable la chaleur ambiante… Elle était vraiment ultra-sexy, et je n’avais qu’une seule envie, la prendre sur le champ.



Ca semblait être réciproque : sitôt la porte ouverte, April se jeta sur moi, et m’attrapant par le t-shirt, elle m’attira contre elle. Elle se mit à m’embrasser avec ardeur férocité, et je lui rendis son baiser sur le même ton. Nous nous embrassâmes pendant un bon moment, elle enroulant ses bras autour de mon cou, moi massant ses fesses avec plaisir. Elle finit par rompre le baiser, et me mordit la lèvre, avant de me faire un petit sourire coquin. Je claquai la porte, qui était restée ouverte, et avec autorité, plaquai April contre elle. Après quoi, je me pressai contre elle, l’écrasant contre la porte, et me remis à l’embrasser avec ferveur, avant de descendre sur son cou, puis sur son décolleté. Elle me laissa faire pendant un moment, soupirant de désir, jusqu’à ce que soudain, elle me tira la tête en arrière par les cheveux.

« Assez de préliminaires… souffla-t-elle »

Elle me poussa, et m’attrapa par la ceinture de mon short avant de me tirer vers l’escalier, et vers ma chambre. Je la suivis, bouillonnant d’excitation. Une fois sur le pas de ma chambre, April se tourna vers moi, et me sauta dessus, enroulant ses jambes autour de mon cou, tout en m’embrassant avec fureur pendant que je la portais. Elle était visiblement très motivée, j’allais devoir payer de ma personne pour la dompter. Je profitais de l’avoir dans les bras pour prendre le dessus. Je portai jusqu’au lit, et l’étalai sur le matelas, avant de venir me presser sur elle. Je saisis son mini-short, et après l’avoir déboutonné, je le retirai promptement. April me saisit par les cheveux, et me tira sur le côté, m’obligeant à m’allonger sur le dos, reprenant le dessus. Elle eut un sourire coquin, et avec autorité, me retira mon short, puis mon caleçon, libérant mon sexe, qui bien entendu était tout dur depuis un bon moment. Elle enleva son shorty, avant de s’empaler sur moi avec un délice évident. Je poussai un cri, et tentai de reprendre le dessus, mais April me donna un puissant coup de rein, qui me fit vibrer de plaisir et m’empêcha de finir mon geste.


Elle se mit ensuite à aller et venir sur moi à un rythme élevé, bien décidée à m’empêcher de me rebeller. Ca marchait parfaitement : ses coups de reins déclenchaient en moi de puissantes vagues de plaisir qui me parcouraient le corps comme des décharges électriques. C’était tellement bon, que ma vue se brouillait, et que mon corps en était pris de tremblements incontrôlés. Elle pouvait ainsi me chevaucher avec ardeur et sauvagerie, sans craindre de rébellion de ma part. Elle accélérait le rythme en me regardant droit dans les yeux, et je vis qu’elle était satisfaite : elle était heureuse de prendre sa revanche sur moi qui l’avais dominée à deux reprises. De mon côté, j’étais pris de court : tout était allé très vite, cinq minutes plus tôt à peine, j’attendais April impatiemment, et voilà que maintenant, elle était sur moi à me baiser sauvagement sans que je puisse rien faire. Je devais réagir mais je n’y parvenais tout simplement pas.

April se pencha sur moi, un sourire moqueur aux lèvres. Elle me saisit par le menton et me lança :

« Cette fois c’est toi qui finiras dominé mon beau, crois moi. »

Elle venait de faire une grave erreur. Elle me pensait trop sonné pour réagir, mais en s’arrêtant de me baiser, elle me permit de reprendre mes esprits, et de me rebeller. Rapide comme l’éclair, je la saisis par les hanches, la tenant immobilisée. Elle voulut se dégager, mais je la tenais fermement. Elle voulut me donner des coups de reins, mais je la gênais suffisamment pour que ses coups de reins ne me mettent pas KO comme tout à l’heure. Je me redressai, prêt à la renverser. April me saisit par la gorge, et tenta de me replaquer contre le matelas. Nous nous lançâmes dans une véritable épreuve de force, elle tentant de m’empêcher de me redresser, tandis que moi je voulais y parvenir. April avait beau être dans une meilleure position, j’avais bien de plus de force qu’elle, aussi, après un petit effort, je parvins à me redresser totalement, souriant devant son impuissance.


Je la renversai, et la plaquai contre le matelas, avec autorité. Elle tenta de se débattre, mais j’étais bien installé sur elle, et pus la maintenir en mon pouvoir aisément. La première chose que je fis, une fois le contrôle des opérations repris, fut d’arracher à April son débardeur, puis son soutif bleu ciel, pour dévoiler enfin sa magnifique poitrine. Je me mis aussitôt à dévorer ses seins avec avidité, m’émerveillant encore une fois d’avoir une telle bombe dans mon lit. April gémissait tandis que je lui embrassais la poitrine, et frémit lorsque je lui mordillai les tétons. Je me redressai avec un sourire et fixai son visage un moment. Puis, je la pénétrai d’un coup sec, lui arrachant une grimace et un cri de plaisir, qui me satisfirent grandement. Je me mis alors à la baiser, allant et venant en elle comme un fou, la culbutant contre le matelas, tout en lui tenant les mains. Bien décidé à la malmener, j’allais à un rythme très élevé, ne m’économisant pas le moins du monde. Régulièrement, je l’embrassais au cou, ou à la poitrine, mais adorais surtout la baiser en la regardant bien droit dans les yeux, me réjouissant de la voir vibrer de plaisir. Elle se tortillait, gémissait, et tremblait de tout son corps, savourant le plaisir que je lui procurais. Cependant, elle tentait sans cesse de reprendre le dessus, enroulant parfois ses jambes autour de mes hanches pour me tenter en vain de me renverser. Si je lui lachais les mains, la garce en profitait aussitôt pour me saisir par les cheveux, ou me griffer le dos. Mais rien n'y fit, je la maintins ainsi en mon pouvoir pendant un long moment, la baisant de plus en plus durement, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir soit tel qu'elle ne chercha plus à reprendre le dessus. Elle se contenta de gémir et vibrer, profitant de ma queue qui la limait encore et encore jusqu'à cogner le fond de son intimité. Au bout d'un moment, le corps de April se cambra, sa respiration s'accéléra, et je compris que l'orgasme était proche.
J'accélérai alors le rythme une dernière fois, jusqu'à ce qu'elle ait son orgasme, qui la fit hurler, et se secouer de la tête aux pieds.

Je lui laissais deux secondes, le temps de se remettre, et repartis à l'assaut. Après tout, je n'avais pas joui, moi. Mais, en pensant que April était trop sonnée par son récent orgasme pour réagir pour reprendre le dessus, je fis une grave erreur. La belle blonde enroula ses bras autour de mon cou, et ses jambes autour de mes hanches avant que j'aie eu le temps de dire ouf, et me renversa, s'installant sur moi avec un sourire coquin.

Elle s'empala sur ma queue, et se mit à me baiser avec une sauvagerie inouïe. Elle allait et venait très fort, me culbutant contre le matelas, tout en me tenant le torse. Elle accélérait encore et encore, me submergeant par le plaisir, si bien que mes tentatives pour reprendre le dessus étaient très faibles. Si je tentais de me redresser, mais elle me recadrait par un puissant coup de rein qui me faisait gémir, et me saisissait à la gorge pour me replaquer contre le matelas. Si je tentais de la saisir par les hanches elle se mettait à bondir sur ma queue, la stimulant délicieusement, et me rendant si faible qu'elle n'avait aucun mal à saisir mes mains pour les plaquer contre le matelas, et me tenir ainsi en son pouvoir. Chacune de mes faibles tentatives lui tira un sourire moqueur, elle était entrain de gagner, et le savait. Ses assauts devenaient de plus en plus sauvages, elle me baisait à présent si ardemment que j'avais presque l'impression d'être violé. Tout ce que je pouvais faire, c'était crier et me faire baiser. C'était peut être vexant, mais bon sang, qu'est ce que c'était bon ! A chacun de ses coups de rein, ma bite s'enfonçait loin en elle, elle la malmenait de gauche à droite, d'avant en arrière, la secouant dans toutes les directions, créant de véritables tsunamis de plaisir en nous, nous faisant gémir à l'unisson. Et bordel, qu'est ce qu'elle était sexy ! Son visage d'ange était soit déformé par le plaisir, soit illuminé par la lueur de triomphe qui faisait briller ses yeux bleus, et par son sourire moqueur. Son corps de rêve se déhanchait dans toutes les directions, ses gros seins se secouaient délicieusement, en même temps que son superbe ventre plat. Le spectacle qu'elle m'offrait, plus le plaisir qu'elle me procurait, eurent bien vite raison de mon endurance : j'eus un super orgasme, qui me fit pousser un grand cri, et jouir en elle à grands jets. Elle me baisa encore quelques secondes, le temps de jouir elle aussi.

Elle s'écroula sur le lit, haletante mais ravie.

"Alors ? Je t'avais dit que je te dominerai ! C'était bon de te baiser comme ça, je sens que je vais adorer prendre ma revanche sur toi."

"T'as gagné une bataille, pas la guerre, répliquai-je, piqué au vif."

"C'est vrai... je vais prendre une douche, et je reviens pour continuer ta soumission !"

Elle quitta ma chambre pour ma salle de bains, et je l'entendis bientôt se doucher. Moi pendant ce temps, je restai étendu sur le lit, repensant à ce qu'il venait de se passer. Plus j'y pensais, et plus j'étais vexé qu'elle m'ait baisé comme ça, mais en même temps excité, et surtout désireux de prendre ma revanche. Je finis par me lever, et aller vers la salle de bains.

Je fis irruption dans la pièce, et profitai quelques secondes de la vision d'April nue et ruisselante d'eau, les cheveux trempés. Puis je la rejoignis sous la douche, un grand sourire aux lèvres.

"Tu pouvais pas te passer de moi, pas vrai ?"

« J'avais surtout très envie de te corriger après ce que tu m’as fait... »

Je la saisis par les hanches, et la plaquai de face contre la paroi de la douche. Puis, je la pris en levrette, mais debout, la baisant sauvagement en la tenant par la nuque. April ne pouvait rien faire, elle avait beau chercher à se débattre, je la tenais fermement. De plus, j’allais et venais de plus en plus vite en elle, ma bite la limant avec ardeur, toujours plus fort, toujours plus loin. April fut bien vite clouée sur place par le plaisir, et elle ne put que gémir. Je décidai de pousser mon avantage, et tout en continuant à la baiser sauvagement, je lui tirai les cheveux, et lui soufflai à l’oreille :

« On fait moins la maligne là, n’est-ce pas ? »

Elle aurait peut être voulu répondre, mais je me mis, en plus de mes coups de reins, à lui titiller le clito, si bien qu’elle ne put que pousser un hurlement. J’accélérai alors le tempo, bien décidé à lui donner un superbe orgasme, tout en jouant de mes doigts sur son intimité. April se mit à vibrer, et sa respiration s’accéléra. Je prenais un pied d’enfer à baiser ainsi cette magnifique blonde, à admirer son corps de rêve, notamment son cul bien ferme et bombé que je voyais très bien puisque je la prenais de dos. La sentant proche de l’orgasme, je m’amusai à la rendre folle, alternant coup de rein puissant et profond, et coup de rein superficiel, ou encore, alternant rythme rapide, et rythme lent. April se démenait, cherchant à me forcer à la baiser sur un rythme plus régulier, mais je la tenais bien et m’amusais à la rendre dingue.

« Bordel ! Baise moi pour de bon ! Je veux jouir, j’en peux plus là ! »

« Tu te tais ! Tu jouiras quand je l’aurai décidé, pas avant ! »

Je fis durer son calvaire un bon quart d’heure, puis, décida de la satisfaire. Je repris un rythme rapide et soutenu, augmentant ses gémissements, la tenant collée contre la paroi de la douche, en la maintenant par la nuque. Pour la finir, je lui administrai des coups de butoir plus lents, mais plus puissants, la pressant contre la paroi à chaque coup, et allant loin en elle. Elle gémissait et gémissait encore, et alors je lui donnai le coup de grâce, accélérant à fond. Ma brusque accélération lui procura un puissant orgasme, qui la fit chanceler sur ses jambes et hurler comme une folle.

Je lui laissai quelques secondes, le temps de se remettre, puis je me remis à la baiser, car je n’avais pas joui. J’avais envie de la prendre de face cette fois-ci, aussi je la soulevai, et la plaquai à nouveau contre la paroi de la douche, mais cette fois, elle était de dos contre la paroi et face à moi. Comme j’avais envie de jouir, je me précipitai aussitôt, lui assénant de puissants coups de reins qui la faisaient bondir légèrement vers le haut, tandis que je la tenais étroitement serrée dans mes bras. April commença par gémir, puis se mit bien vite à crier, se tenant fermement à moi, comme si elle craignait de défaillir sous le plaisir que je lui apportais. Je vibrais de plaisir, et pourtant j’accélérais toujours plus, devenant frénétique à mesure que j’approchais de l’orgasme. April elle semblait avoir de plus en plus de mal à contenir la vague de plaisir qui la submergeait, son corps se cambrait et sa respiration s’accélérait dangereusement. Comprenant qu’elle était proche d’un nouvel orgasme, je me dégageai, m’écartant d’elle pour mieux l’admirer, et me remis à la baiser sauvagement. April se tortillait de partout, se démenait, me griffait, semblait ne pas être consciente de ce qu’elle faisait tant le plaisir lui vrillait le cerveau. La voir prendre son pied ainsi me dopa, et j’accélérai une dernière fois le rythme, lui apportant un nouvel orgasme qui la fit chavirer sous mes yeux.

Elle avait joui mais pas moi. J’aurais pu continuer à la baiser pour enfin avoir mon orgasme, mais j’eus une autre idée. Je la fis se mettre à genoux, et lui ordonnai :

« Suce moi, jolie blonde, fais moi jouir avec ta bouche, et tes seins. »

Docilement, April me saisit la bite, et se mit à me branler. Elle démarra doucement, puis accéléra progressivement le rythme, me faisant gémir doucement. Elle me la secoua ainsi pendant un certain temps, puis, passa à la suite du programme. Elle sortit sa langue, et se mit à la faire tournoyer sur mon gland, avant de m’asticoter le frein, pour ensuite me prendre carrément en bouche, et me pomper le long de ma hampe. C’était vraiment une experte en fellation, je frémissais de la tête aux pieds. Elle me suçait avidement, tout en me massant les boules, en y mettant de plus en plus d’entrain et d’enthousiasme. Je voulus ensuite diriger le rythme de cette pipe magistrale. Je la saisi par l’arrière de sa tête, et la fis aller à la vitesse que je voulais, avant de donner moi aussi des coups de reins, lui baisant la bouche délicieusement. April ne toléra pas ma prise de contrôle, et chercha à reprendre les rênes de la fellation. Elle me mordit doucement le gland, suffisamment pour me faire assez mal, mais pas trop fort non plus.

« Tu me laisses diriger, ou je serre plus fort, menaça-t-elle. »

En réaction, je lui saisis les cheveux, et lui tirai la tête en arrière, rapidement et fermement.

« Tu feras rien de ce genre, je vais te baiser la bouche, et toi, tu vas te laisser faire et accepter ma prise de contrôle. C’est clair ? »

Nous nous défiâmes un moment du regard, mais elle finit par baisser légèrement les yeux. Je sus alors que j’avais gagné cette manche, et c’est tout naturellement que je présentais ma queue devant sa bouche, qu’elle ouvrit cette dernière, et que je m’y insérai avec délice, me remettant à la lui baiser. Pour la punir de sa rébellion, je la baisais très fort, la tenant par la nuque, et lui pilonnant la bouche sans aucune douceur. C’était un peu rude, mais il fallait bien que je me fasse obéir ! Je la malmenai ainsi pendant quelques minutes, approchant dangereusement de la jouissance. Je ne voulais en effet pas avoir d’orgasme avant de m’être branlé avec ses seins.

Lorsque j’estimai lui avoir suffisamment baisé la bouche, je m’en retirai, et calai ma queue entre ses seins. Je me mis ensuite à aller et venir en eux, tandis qu’April les tenait serrés autour de mon engin. Bon sang ! Qu’est-ce que c’était bon ! Grâce à la douche, ses seins étaient mouillés, je coulissais donc facilement et agréablement entre eux. Comme ils étaient gros et fermes, mon sexe était très comprimé, c’était vraiment extra d’aller et venir entre eux, et tellement excitant de me voir baiser cette poitrine de compétition ! April me lançait un sourire coquin pendant que je lui baisais les seins, et elle se mit ensuite à me lécher le gland lorsqu’il émergeait de sa merveilleuse poitrine. A ce rythme là, je ne tins pas longtemps. Le plaisir et l’excitation de baiser ces deux merveilleuses collines, la joie d’être entrain de gagner notre petite bataille et d’être entrain de la dominer, tout ça formait un cocktail détonnant, qui me fit jouir à grands flots, me faisant me déverser sur sa poitrine.

« Alors ? lui lançai-je goguenard, je t’ai bien remise à ta place, pas vrai ? »

« Te réjouis pas trop vite, je reconnais que tu m’as bien eue, mais je suis loin d’avoir dit mon dernier mot... »

« Tant mieux… ça me donnera l’occasion de te soumettre à nouveau ! »

Elle me répondit par un coup d’oeil hostile, signe qu’elle était néanmoins assez vexée de la façon dont elle venait de perdre. Nous nous rhabillâmes, et allâmes manger, l’heure du déjeuner étant venue. Curieusement après le repas, nous n’eûmes pas envie de baiser. C’était peut être la chaleur, ou peut être qu’on se réservait pour plus tard, enfin en tout cas, on passa l’après-midi à jouer à la console, jusqu’au dîner. Ce ne fut qu’au moment d’aller au lit, que l’envie de baiser nous reprit. Il faut dire qu’elle avait enfilé un pyjama qui se composait d’un mini-débardeur et d’un short très court. Bref elle était hyper sexy, et j’avais de nouveau envie de la prendre.

« Où est-ce que je dors ? demanda innocemment April. »

« Nulle part. »

« Tu veux pas de moi ici ? minauda-t-elle. »

« C’est pas ça : tu vas pas dormir de la nuit. »

Avant qu’elle ait eu le temps de répondre, je la saisis par les hanches, et la poussai jusqu’à ma chambre. Je la jetai sur lit, et vint sur elle. Elle chercha à se débattre, mais je la saisis par les poignets, et la tins à ma merci.

« Bouge pas belle blonde, je vais bien m’occuper de toi... »

Elle enroula ses jambes autour de ma taille, et me renversa, venant sur moi à son tour.

« C’est moi qui vais m’occuper de toi ! »

Elle se mit à frotter ses fesses contre mon sexe tendu, se dandinant sur moi de façon insupportable. Elle se pencha sur moi, et fis mine de m’embrasser… avant de se retirer au dernier moment. Ca me rendit dingue, et je me redressai subitement pour reprendre le dessus, la renversant en la saisissant par les hanches. Je la plaquai contre le matelas, et la maintins sous moi, solidement. Elle se débattit un peu, mais je la tenais bien, et parvins à garder le dessus. Je décidai de ne pas perde de temps, et de la dénuder dés maintenant, et intégralement. Je lui retirai son haut de pyjama, puis son mini-short, dévoilant au grand jour son corps de déesse.

Je me jetai aussitôt sur sa superbe poitrine, et l’embrassai avec ardeur et passion, n’hésitant pas à carrément enfouir ma tête dedans. April gémit, et se tortilla un peu, mais je la tenais toujours fermement, et elle ne put pas faire grand-chose. Je dévorai donc sa poitrine pendant un long moment, avant de descendre et d’embrasser son ventre plat, avant de descendre encore, et d’arriver à son entre-jambe. Je me mis alors à lui administrer un superbe cuni, faisant tournoyer ma langue sur son intimité, ou la faisant entrer en elle, lui arrachant de véritables cris de plaisir. Je m’y appliquai pendant de longues minutes, la rendant complètement folle, la faisant se tortiller de façon incontrôlée.

Quand j’estimai lui avoir fait suffisamment de bien, je quittai son entre-jambe, pour revenir sur sa bouche, l’embrassant avec passion.

« T’es doué en cuni, souffla April quand nous eûmes fini de nous embrasser. »

« Merci. »

« Par contre Scott est meilleur que toi dans ce domaine... »

Je la pénétrai vigoureusement, enfonçant subitement mes vingt centimètres en elle, et lui donna deux coups de reins bien sentis.

« Et dans ce domaine, qui est le meilleur ? »

« Hmm, toi ! »

Je me mis alors à la baiser en missionnaire, allant et venant doucement en elle, prenant lentement possession de son corps. Elle n’était pas vraiment satisfaite de cette baise lente, et s’agitait légèrement, cherchant sans doute à reprendre le dessus pour imposer un rythme qui lui conviendrait mieux. Mais l’écrasant doucement de mon corps, je la maintenais en mon pouvoir, et continuai à la baiser sur un rythme lent, qui me procurait de douces sensations, sans aller jusqu’aux grands frissons qu’une baise rapide provoquerait. Je la regardai bien droit dans les yeux, me délectant d’y voir du plaisir et de la frustration. Au bout d’un moment, je décidai que la frustration avait assez duré, alors je lui saisis les jambes et les mis sur mes épaules, avant de la prendre en enclume, allant plus profondément en elle, tout en accélérant le rythme, pour lui infliger un plaisir décuplé.

C’était vraiment bon de la baiser ainsi, chacun de mes coups de reins m’emmenait loin en elle, et comme j’allais très vite, les terribles vagues de plaisir qui nous submergeaient ne s’arrêtaient jamais, nous faisant vibrer, crier, et gémir tous les deux. April n’avait cependant pas dit son dernier mot, et usant de ses jambes, qu’elle serra autour de mon cou, elle me renversa.

Elle s’empala rapidement sur moi, et me donna deux trois coups de reins, histoire que je me tienne tranquille.

« Tu me baises super bien, mais je refuse de me laisser faire, lança-t-elle. Je vais vraiment faire de toi mon jouet. »

Elle se mit ensuite à me baiser, se déhanchant de gauche à droite sensuellement. Cependant, elle fit une grave erreur, car elle alla doucement, probablement pour me frustrer et faire monter lentement la pression comme j’avais fait tout à l’heure. Je décidai alors de faire semblant de rien, de me laisser faire pour l’instant. Je gémissais, de façon exagérée, pour la laisser se convaincre que sa baise lente suffisait à me mettre KO. En attendant de reprendre le dessus, j’admirais le paysage, observant avec attention, la belle April se déhancher souplement sur moi, admirant ses seins, son ventre plat, ses yeux bleus brillant de la joie d’avoir enfin le dessus. Elle se pencha sur moi, m’embrassa, et me dit lança :

« Tu aimes ça hein ? Etre soumis, te faire baiser lentement, être frustré par moi ? Tu sens bien là non, que je suis entrain de te dompter ? »

Je lui répondis par un sourire ironique, et d’une main, lui saisis le bras, et de l’autre la saisis par la nuque. Je la renversai sans effort, et la tins une fois de plus clouée au matelas.

« T’es un peu trop prétentieuse ma belle, je me charge de te rendre plus humble. »

Je la pénétrai à nouveau, et me remis à la baiser en missionnaire. Cette fois-ci, plus question d’aller lentement, je me mis aussitôt à aller à un rythme élevé, la limant avec force, tout en la pressant contre le lit. J’avais beau être aussi vigilant que possible, elle finit cependant par reprendre le dessus. Elle me renversa, et revint sur moi, pour me baiser en andromaque, aussi rapidement et sauvagement que possible. Plusieurs minutes passèrent, avant que je parvienne à mon tour à la renverser, et ainsi de suite.

Nous nous lançâmes dans une terrible bataille pour la domination, chacun de nous cherchant à renverser l’autre et à rester au-dessus. C’était incroyablement excitant, plaisant, et épuisant. Nous ne tardâmes pas à être couverts de sueur, et hors d’haleine, mais nous continuions inlassablement à nous baiser aussi sauvagement que possible. Tantôt April était au-dessus, tantôt c’était moi. J’avais déjà eu l’expérience de ce genre de lutte avec Katherine et Marie-Laure, aussi je sus comment réagir. Je me laissais baiser le plus souvent possible, laissant April s’épuiser à me chevaucher ardemment, sans réussir à me mettre hors d’état. Quand elle était bien essoufflée, je la renversai, et la baisais sauvagement, histoire de lui montrer que j’étais capable de retourner la situation quand je voulais.

Et en effet, je sentis que je prenais lentement le dessus : April, régulièrement, finissait au-dessus de moi, à me chevaucher avec tout son talent et toue sa sauvagerie, agitant son corps de rêve sous mes yeux, mais invariablement, je finissais par réussir à la renverser et la démontai sauvagement. Je sentais bien qu’elle faiblissait, qu’elle me baisait de plus en plus difficilement à cause de la fatigue, tandis que moi même, qui m’étais économisé, je la labourais de mieux en mieux, la gardant en mon pouvoir de plus en plus longtemps.

Cela dura jusqu’au moment où, elle me renversa une énième fois, et se mit à me chevaucher avec furie. Je sentais dans ses coups de reins quelque chose de désespéré, comme si elle sentait que c’était sa dernière chance de me soumettre. Elle y alla vraiment fort, et me fit crier délicieusement. Ses hanches s’activaient encore et encore, me percutant avec force et délice, tandis que ses seins lourds se balançaient au rythme de ses va-et-vient. Son merveilleux visage était rougi par l’effort et le plaisir, sa belle chevelure dorée en bataille et ébouriffée. Elle me chevaucha encore et encore, me procurant toujours plus de plaisir, me griffant le torse, et gémissant à fond… Et c’est alors que je décidai de lui porter le coup de grâce.

Je me redressai lentement, bien décidé à la renverser. Elle appuya aussitôt ses mains sur mon torse pour m’empêcher de me relever, tout en déhanchant son postérieur pour me sonner de plaisir. Mais serrant les dents et tenant bon, je me redressai malgré tout, même lorsqu’elle me saisit par la gorge, je n’abdiquai pas et continuai à me redresser jusqu’à être assis. Alors, sans aucun effort, je l’enlaçai, et la renversai, l’étalant sur le dos.

La tenant par les mains, je me mis à aller et venir en elle, aussi sauvagement et rapidement que possible, bien décidé à mettre fin à notre délicieuse bataille. Mes va-et-vient la percutaient délicieusement, et l’enfonçaient le matelas. Régulièrement, je me penchai sur elle et lui dévorai les seins, enfouissant même ma tête en eux, ou remontant jusqu’à son cou pour le lui embrasser férocement. April ne tarda pas à gémir et à se débattre, mais elle était trop faible, trop fatiguée, pour pouvoir se libérer. Je pus ainsi la tenir en mon pouvoir, et la baiser aussi longtemps que je le souhaitais.

Je me dis ensuite que finir en missionnaire ne serait pas une fin assez excitante pour une telle bataille. Je la retournai donc, la mis à quatre pattes, et la pris en levrette. Bien décidé à soigner le bouquet final, j’allai immédiatement à un rythme très élevé, la limant sauvagement, admirant son corps de déesse sous cet angle excitant qu’offre la levrette. Je ne me privais pas de claquer régulièrement son fessier admirant sa rondeur et sa fermeté. Sentant le plaisir monter dangereusement en nous deux, et nous approcher de l’orgasme, je décidai d’accélérer encore, tout en obligeant April à se mettre à genoux, pour pouvoir l’enlacer et masser ses gros seins, en même temps que je lui administrais de puissants coups de reins. C’était absolument délicieux, nous gémissions tous les deux à chacun de mes coups de reins, et je collais April contre moi, contact qui était exquis. Alors que le plaisir nous submergeait tous les deux, brûlant et insupportable, je quittai ses seins pour me mettre à titiller son clito, tout en accélérant encore le rythme de mes assauts. L’effet fut instantané : April hurla, et dans un grand frisson, eut un monstrueux orgasme, qui la fit se secouer de la tête aux pieds. Je ne tardai pas à la rejoindre, et me déversai en elle, dans une explosion de plaisir.

Essoufflés et épuisés, nous nous écroulâmes sur le lit. Incapables de parler, nous nous assoupîmes bien vite.

Je me réveillai le lendemain pour me rendre compte qu’April n’était pas dans le lit. Je regardai l’heure, il était plus de midi. Poussant un grognement, je me levai, et descendis pour voir si April était toujours là, craignant qu’elle ne soit partie. Je fus rassuré en arrivant dans la cuisine : elle était à table, entrain de manger des tartines de miel. Elle était vêtue d’une brassière bleu ciel, et d’un mini-short en jean, car il faisait déjà très chaud.

« Salut ! me lança-t-elle. T’as bien dormi j’espère ? »

« Ouais, j’aurais bien aimé une petite baise au réveil par contre... »

April eut un sourire moqueur.

« Je te malmènerai plus tard, t’inquiète. »

« Pour l’instant c’est plus moi qui te malmène que l’inverse... »

« J’aurai ma revanche... »

« Ca fait un moment que tu me dis ça, mais t’es toujours incapable de la prendre... »

Elle me jeta un coup d’oeil furieux, mais ne répondit pas. J’aurais cru qu’elle se jetterait sur moi, mais elle n’en fit rien. Nous prîmes notre petit déjeuner tardif discutant de choses et d’autres.

Puis, vint un moment, où elle saisit la cuillère de miel, et la suça de façon exagérée, me regardant fixement, guettant ma réaction.

« Ca t’inspire quelque chose ? »

C’en était trop. Je me levai d’un coup, et la saisit, avant de l’étaler sur la table, renversant un peu près tout ce qu’il y avait dessus. Ses yeux brillèrent d’excitation devant ma réaction. Je l’embrassai fougueusement, collant sa tête contre la table, et plaquant mon corps contre le sien. Je me redressai ensuite, et pris d’une idée subite, je pris le pot de miel, et trempant mon doigt dedans, j’étalai du miel sur le décolleté d’April. Doucement je le léchai, faisant courir ma langue le long de sa peau, dégustant le miel.

« Hmm t’es une supère tartine ! »

« Continue, lança-t-elle, ça me plaît ! »

Je recommençai mon manège, étalant à nouveau du miel sur le décolleté d’April, avant de me remettre à le lécher goulûment. Elle eut un frisson de plaisir, tandis que je la dévorais. Puis, elle se redressa, me retira mon t-shirt, prit de la confiture, avant de l’étaler d’un doigt, sur mes pectoraux, qu’elle entreprit aussitôt de lécher avidement. On passa ainsi un moment à s’entre-dévorer tous les deux, jusqu’à ce que ces préliminaires soient trop excitants pour moi, et que je décide de passer à autre chose.

Je lui retirai son mini-short et son shorty, me débarrassai de mon pantalon et caleçon, puis la pénétrai d’un coup sec. Je démarrai alors de délicieux va-et-vient, la baisant sur ma table, tout en admirant son corps de déesse bien mis en valeur pas brassière blanche, tandis qu’elle vibrait et se tortillait sous mes assauts de plus en plus dévastateurs. Je pris le pot de confiture, et en renversai une partie importante sur son buste, et son ventre plat, et me mis à lécher le tout, tout en continuant à baiser April. La belle frissonna et enroula ses jambes autour de ma taille, et me resserra contre elle. Au cas où elle aurait voulu en profiter pour reprendre le dessus, je la saisis par les mains pour l’immobiliser. Je la baisai ainsi pendant de longues et délicieuses minutes, intensifiant progressivement le rythme et la puissance de mes assauts, jusqu’à aller si fort que la table en bougea.

Je la fis ensuite se retourner, et la pris en levrette. Je recommençai le même manège : je versai du miel sur le bas de son dos, et la léchai. Ca excitait beaucoup April qui frissonnait à chaque fois. Je m’appliquai ensuite à lui administrer de puissants et rapides coups de reins pendant quelques minutes, l’amenant aux portes de la jouissance, avant de recommencer à m’en servir comme tartine à miel ou confiture. Je continuais à la baiser pendant de longues minutes, jusqu’à ce que je me mette à claquer ses fesses. J’eus alors une idée. Je versai de la confiture carrément sur ses fesses, et interrompant mes va-et-vient je me mis à lécher son postérieur avec grand plaisir, retirant toute trace de confiture. C’était un vrai régal !

Malheureusement, April profita de ce moment pour se dégager. Elle s’éloigna de moi, et se remit debout, quittant la table en attrapant au passage le pot de miel. Puis elle me sourit d’un air provocateur et me lança :

« Si tu veux continuer à me baiser, att moi ! »

Elle partit aussitôt en courant, mais je la rattrapai bien vite dans le salon, et la saisissant, je la jetai sur le canapé. Je vins aussitôt sur elle, bien décidé à la baiser encore, mais elle me saisit par la nuque, et enroula ses jambes autour de ma taille pour me renverser, me plaquer contre le matelas, et s’installer sur moi. Je savais être plus fort qu’elle, alors je me redressai aussitôt pour la retourner, mais elle s’empala sur ma queue, et me donna deux gros coups de reins, qui me firent crier, et me paralysèrent.

Me saisissant par la gorge, elle me plaqua contre le canapé, m’allongeant de force. Puis elle se mit à aller et venir sur ma queue, me baisant immédiatement sauvagement et rapidement. On sentait qu’elle voulait se venger de tout ce que j’avais pu lui faire, et mettait de l’intensité et de la volonté dans chacun de ses coups de reins. Je ne tardai pas à crier et à gémir, tant ce qu’elle me faisait était bon. Je tentais bien de reprendre le dessus, mais elle était de plus en plus sauvage, et le plaisir brut qu’elle m’infligeait était tel que je ne pouvais tout simplement plus bouger. Ses assauts, d’avant en arrière m’enfonçaient dans le canapé, elle me griffait le torse et me giflait en même temps qu’elle allait et venait sur moi. Ce ne fut qu’au bout de longues minutes qu’elle ralentit, sans doute pour tester ma réaction. J’étais trop sonné et essoufflé pour réagir, aussi April put faire ce qu’elle voulait. Elle commença par retirer sa brassière, libérant son imposante poitrine. Sous mes yeux émerveillés, elle se les aspergea de miel, et me dit d’une voix suave de venir les dévorer. Je m’exécutai aussitôt, me redressai et léchai avec avidité, m’appliquant à ce qu’il n’y reste pas une seule goutte de miel. Ce fut vite compliqué, car April en remettait à chaque fois, et surtout, elle se mit à se déhancher de gauche à droite, me faisant frémir de plaisir, et me faisant perdre la tête.

Lorsqu’elle estima que je lui avais assez léché les seins, elle me repoussa, m’étalant à nouveau sur le canapé, et se remit à aller et venir sur moi toujours plus brutalement et sauvagement. Elle me baisa à un rythme suffisamment élevé pour être sûre que je sois à nouveau docile, avant de s’interrompre de nouveau. Elle versa alors du miel sur mes abdos et pectoraux, et se mit à lécher le tout, avec application, sa langue passant entre mes muscles, retirant tout le liquide sucré. En même temps, elle me branlait doucement, mais sa poigne ferme me laissait assez facilement imaginer ce qui m’arriverait si jamais je me rebellais… de toutes les façons j’étais trop sonné pour ça. Quand elle m’eut bien léché, elle revint sur moi, s’empalant à nouveau sur mon sexe, et entama l’assaut final. Elle se déchaîna, bondissant sur ma queue de haut en bas à un rythme hyper élevé, malmenant mon sexe comme jamais, m’arrachant des hurlements de plaisir. Des vagues brûlantes me submergeaient, j’étais au bord de l’orgasme, mais tâchai de tenir aussi longtemps que possible… April sentit ma résistance, et se mit à aller de gauche à droite souplement, dansant comme une orientale sur moi, accélérant le tempo de plus en plus, jusqu’à ce que dans un terrible cri je jouisse dans un orgasme phénoménal.

Elle s’assit sur le canapé, essoufflée et ravie.

« Alors, qui a malmené qui cette fois ? »

Je lui lançai un regard noir.

« Fais pas trop la maligne, j’en ai pas fini avec toi. »

On retourna dans la cuisine, mise dans un beau bordel, et on rangea tout. Puis, nous décidâmes d’aller à la piscine, histoire d’échapper à la canicule.

J’allai dans ma chambre et enfilai un short de maillot de bains, laissant là mon t-shirt. En arrivant dans le salon, je fus ravi de trouver April dans un bikini bleu ciel, qui dévoilait largement son corps de rêve. Je bandai aussitôt, pressé de la baiser. Elle même observait mon torse nu avec grand intérêt.

« On y va ? lui proposai-je. »

On sortit dehors, et nous lançâmes dans l’eau avec délice. Que c’était bon d’échapper à la chaleur ainsi ! Nous nous mîmes bien vite à jouer comme des gamins April et moi, et pour jouer, nous nous mîmes à nous chamailler et à nous bagarrer. Etant bien plus fort qu’elle, je pris vite le dessus, et la plaquai contre la paroi de la piscine, lui tenant les mains, et collant mon corps contre le sien.

« Alors belle blonde, tu comprends qui est le patron ici ? lui lançai-je provocateur. »

J’arrachai son bas de bikini, et défaisant mon short, je la pénétrai vigoureusement. Elle poussa un gémissement, qui s’accentua lorsque je me mis à aller et venir avec force. Mais April reprit bien vite le dessus.

Elle enroula ses jambes autour de ma taille, et me retourna, avant de me plaquer à nouveau contre la paroi de la piscine. Je voulus me débattre, mais elle se mit aussitôt à me baiser en se déhanchant de gauche à droite, me plaquant contre la paroi en me baisant sauvagement. A chacun de ses coups de reins, le plaisir montait brutalement en moi et je lâchai un cri. Elle eut bien vite un sourire satisfait, et s’appliqua à augmenter la cadence de ses hanches, se secouant comme une danseuse de profession. Elle délaça son haut de bikini, et le retira d’un coup sec, dévoilant ses magnifiques seins. Elle me saisit par les cheveux, et m’enfonça la tête dans sa poitrine avant d’augmenter encore le rythme de ses assauts. Elle me baisa ainsi pendant un long moment, sauvagement intensément, m’étouffant avec sa poitrine. Puis, elle me tira la tête en arrière, m’obligeant à la regarder dans les yeux, et à subir son regard moqueur et dominateur. Elle bondit alors sur ma queue de haut en bas, gémissant de plaisir et me faisant crier, provoquant une montée de plaisir si brusque, qu’elle en eut un orgasme. Elle poussa un cri, et s’écroula sur moi, sonnée par le plaisir.

J’aurais pu en profiter pour reprendre le dessus, mais je craignais qu’elle ne me maîtrise à nouveau dans l’eau. Je décidai alors de m’éloigner d’elle, et d’aller de l’autre côté de la piscine pour sortir de l’eau, là où je pourrai la dominer.

Je nageai donc vers l’autre côté de la piscine, mais April me rattrapa très vite. Elle devait être douée en natation, pour m’avoir chopé aussi rapidement. Elle me saisit par les cheveux, et m’attira contre elle, avant de monter sur moi, et de s’empaler sur ma queue. J’étais debout au milieu de la piscine, et April se déhanchait sur moi, envoyant ma bite valser de droite à gauche, me faisant frémir de plaisir. A nouveau, son sourire coquin et moqueur revint sur ses lèvres, tandis que je restai là, à crier et gémir sous ses assauts de plus en plus sauvages. Je devais réagir. Je décidai de m’en tenir à mon idée, de sortir de la piscine pour l’y dompter plus facilement.

Je me dirigeai donc vers le rebord de la piscine, entraînant April avec moi. Je me hissai hors de l’eau, la belle blonde sur mes talons. Une fois sur le rebord de la piscine, je voulus la plaquer au sol, mais ce fut elle qui le fit, venant aussitôt sur moi. Elle s’empala sur ma queue, et se mit à me baiser avec la plus grande sauvagerie. Je me sentis immédiatement décoller, et compris alors que j’avais perdu : le plaisir était trop fort, trop intense, je ne parviendrai tout simplement pas à reprendre le dessus. April mit un peu de temps à le comprendre, et elle se donna à fond pendant longtemps, allant d’avant en arrière, secouant son corps de rêve, qui était ruisselant d’eau, agitant ses gros seins, qui se balançaient à un rythme hypnotique. Je fis quelques tentatives pour reprendre le dessus, mais à chaque fois, elle me refoulait avec aisance, me collant une gifle pour me punir. Elle allait si vite, qu’elle ne tarda pas à avoir un nouvel orgasme, qui la fit se cambrer et crier. Je me redressai, mais elle me saisit par la gorge, et se remit aussitôt à me violer sauvagement, me percutant avec délice, et me cognant contre le carrelage du rebord. Un sourire de triomphe illuminait son visage, et elle me lança :

« Alors ? T’es sûr que c’est toi le patron ? »

Je voulus lui répondre, mais April accéléra encore le rythme, et tout ce que je pus faire, ce fut de lâcher un cri de plaisir. Elle continua de me baiser ainsi, allant de plus en plus vite, jusqu’à m’amener aux portes de l’orgasme. Elle m’observait avec attention, alors lorsqu’elle vit que j’étais sur le point de jouir, elle s’interrompit et ralentit le rythme.

« Qu’est-ce que tu fous bordel ? »

« Je veux que tu m’appelles maîtresse si tu veux jouir... »

« Jamais ! »

Elle se mit alors à aller de gauche à droite, en se déhanchant, mais lentement, me frustrant terriblement. Je me redressai pour reprendre le dessus, mais elle me donna alors de puissants coups de reins qui me paralysèrent, puis elle reprit son rythme lent. De longues minutes passèrent ainsi, on se défiait du regard, pendant qu’elle me frustrait. Je finis par capituler, et m’écriai :

« April… je t’en supplie fais moi jouir ! »

« Tu sais ce qu’il faut faire... »

« Ok ! Je t’en supplie, maîtresse fais moi jouir ! »

April eut un sourire moqueur et triomphant, et se déchaina subitement, allant d’avant en arrière comme une folle, ses hanches s’imbriquant dans les miennes, s’empalant sur moi si sauvagement, que ma queue cognait le fond de son intimité à chaque fois. Je poussai aussitôt un énorme cri de plaisir, et April accéléra encore le rythme, le visage déformé par le plaisir. Une vague de plaisir de me submergea et April, en bondissant sur ma queue de haut en bas, secouant ses seins magnifiquement, me donna la coup de grâce. J’explosai dans un orgasme de malade, qui me fit presque m’évanouir, tandis qu’April jouissait elle aussi dans un hurlement.

Elle s’écroula sur le rebord de la piscine, haletante, mais ravie. Moi, j’étais vexé d’avoir perdu, mais tellement comblé par cette baise !

Au bout d’un moment, après avoir récupéré, nous retournâmes dans ma maison. Un mouvement attira mon regard : j’eus l’impression de voir les rideaux de la fenêtre de la maison voisine se refermer rapidement. Je me dis que j’avais rêvé.

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