La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1113)
Une nouvelle lopette au Château
La vieille moto de Patrick roulait de plus en plus mal, le moteur pétaradait signe annonciateur dune panne imminente. Pourquoi avait-il emprunté cette route de campagne qui sillonnait au milieu de cette forêt qui paraissait ne plus finir. Si la moto sarrêtait, il serait irrémédiablement seul vu le peu de trafic sur cette étroite route arborée. Cest sur cette pensée que le moteur coupa net, Patrick mit la moto au point mort et sur la lancée roula encore quelques dizaine de mètres. Il rangea la moto sur le bas cotée et tenta de comprendre la raison de cette panne, mais on ne simprovise pas mécanicien et la seule solution qui se présentait à lui maintenant était de continuer sa route à pied. Il devrait quand même à un moment donné, bien croisé quelquun ! Patrick regarda sa montre et en ce mois de fin novembre, la nuit tombait rapidement et il lui restait une bonne heure pour trouver une âme charitable avant que lobscurité du ciel envahisse la route et son environnement
Alors quil marchait prudemment, un bruit dun véhicule se fit entendre derrière lui au loin et une voiture visiblement arrivait. Patrick guettant le véhicule était résolu à faire des grands signes au chauffeur pour attirer son attention. Au bruit du moteur, cétait visiblement une forte cylindrée et en effet, cest une Rolls-Royce qui déboula.
Le chauffeur apercevant Patrick ralentit comprenant linfortune de celui-ci. Il arrêta le véhicule à son niveau. Un homme était au volant et celui-ci abaissa la vitre côté passager tout en se tournant vers Patrick. La conversation sengagea :
- Bonsoir, vous avez du apercevoir ma moto sur le bas-côté, je suis en panne pourriez-vous mamener au prochain village pour que je puisse téléphoner, sil vous plait ?
Lhomme au volant dévisagea Patrick :
- Oui bien sûr, mais je vous propose plutôt de téléphoner là où je me rends, cest-à-dire du domicile de Monsieur le Marquis dEvans car son Château est tout prêt dici alors que le prochain village est à plus de vingt kilomètres et je ne voudrais pas faire trop ce soir, des kilomètres supplémentaires !
- Oui, oui pas de souci, je vous remercie beaucoup !
Patrick remercia lhomme tout en ouvrant la portière du véhicule, finalement cette panne allait trouver rapidement sa solution.
- Merci encore, cest gentil, je mappelle Patrick et ma moto est tombée en panne tout à lheure. Comme je ny connais rien, il va falloir que je téléphone à un garagiste. (Le chauffeur regarda Patrick tout en souriant)
- Moi, cest Walter, je suis le Majordome du Châtelain, vous êtes dailleurs ici sur Ses Terres qui sentendent sur des centaines dhectares. Vous allez pouvoir lui demander la permission dutiliser son téléphone quand nous arriverons dans Sa noble demeure.
Patrick était abasourdi par la façon de sexprimer de Walter, les termes employés témoignaient dune déférence quon ne voyait plus actuellement. Monsieur le Marquis dEvans devait être quelquun dimportant, la Rolls-Royce en témoignait dailleurs
Une fois Patrick à ses côtés, Walter redémarra et du coin de lil, il essayait de juger son passager. Patrick demanda alors :
- Vous êtes alors au service de Monsieur le Marquis ?
- Oui, je suis son homme à tout faire, je moccupe de Son Cheptel.
Patrick regarda alors par la vitre du véhicule à la recherche dun éventuel troupeau, la région nétait pas connue pour être propice à lélevage et à la vue de linterminable forêt, vaste endroit non propice à lélevage de bovins par exemple, il posa donc la question sur la nature de celui-ci :
- Cest quoi comme cheptel ?
Le Majordome sourit tout en regardant son passager, mais Patrick nobtint aucune réponse. La voiture se mit à ralentir, Walter repris la parole :
- Nous arrivons maintenant
Si vous avez de la chance, Monsieur le Marquis vous proposera lhospitalité.
- Je suis assez pressé et je souhaite repartir tout de suite.
- Cest Monsieur le Marquis qui décidera, quand vous êtes chez Lui, vous devez un minimum dobéissance et un maximum de respect, cest ainsi
Cest-à-dire quil y a des convenances à respecter car sil vous accueille, vous avez le devoir dhonorer son hospitalier.
Patrick était songeur de quel cheptel parlait-on ? La voiture sengouffra dans une allée majestueuse bordée de platanes et de marronniers multi-centenaires. Patrick aperçut alors les tours du Château, et au vu du spectacle le bâtiment avait avoir fier allure. La Rolls-Royce sarrêta devant un vaste perron. Walter indiqua simplement :
- Voilà la noble Demeure de Monsieur le Marquis, cest un Château du XVIIème, construit par un architecte cousin du Marquis de Sade, dailleurs Monsieur le Marquis vous fera peut-être visité.
Patrick attendit que Walter coupe le moteur avant de sortir du véhicule, et celui-ci lui dit alors :
- Attendez-moi, il faut que je prenne quelque chose.
Le Majordome ouvrit le coffre et la surprise se fit sentir sur le visage de Patrick : Le Majordome avait à la main un fouet. Walter dit dun ton ferme :
- Cest mon instrument favori, il me permet de calmer le Cheptel de Monsieur le Marquis et vous ne pouvez pas savoir comment se comporte des femelles en chaleurs
Il y a aussi quelques mâles qui méritent dêtre corriger.
Patrick se demanda alors quelle était la nature des activités de Monsieur le Marquis. Le Majordome sapprocha de la grande porte du Château, elle était composée de deux hauts montants de bois noble, sculptée et vernis, visiblement lébéniste avait dû y passer du temps. Patrick suivait Walter dans un vaste hall aux dalles en forme dun damier aux carreaux noirs et blancs. Ce grand hall faisait office dentrée et tout respirait lopulence, le luxe, la richesse. Le Majordome dans la voiture avait remarqué que Patrick navait pas dalliance ainsi il était peut-être célibataire et le fait quil soit seul sur la moto un samedi laissait aussi supposer cela. Le Majordome savait comment faire pour jauger ce Patrick, un test mis en place depuis longtemps par Monsieur le Marquis permettait cela.
- Vous souhaitez boire quelque chose ? Nous avons dans le Château, Marie qui est notre Gouvernante, cest aussi une cuisinière hors norme et je peux lui demander quelle vous prépare quelque chose.
- Oui bien volontiers, mais je voudrais dabord téléphoner, sil vous plait.
- Il faudra demander cela à Monsieur le Marquis, lui seul pourra vous y autoriser. (puis dune voix fort, il appela) Marie ! Marie ou est-tu ?
Patrick trouvait cela étonnant quà notre époque, lon devait demander la permission pour téléphoner. Ce nest quand même pas complique de prendre un combiné et de faire un numéro. Cest alors quil aperçut dans un coin de la pièce un téléphone posé sur un luxueux guéridon Louis XV. Il savança alors vers lui et dit à Walter :
- Oh, il y a un appareil là, pas la peine de déranger Monsieur le Marquis, je vais faire le numéro. A peine sétait-il saisit de celui-ci que le Majordome rugit :
- Espèce de chien, comment te comportes tu ? Qui ta donné la permission dagir ainsi ? Tu te crois ou ? Chez toi !
Le Majordome fit alors claquer le fouet surprenant Patrick par sa violence soudaine.
- Je vais te punir pour cela, tu entends ! Tu sais comment je traite les mâles qui ne respectent rien ? Jen fais des lopettes, des chiennes bonnes à rejoindre le Cheptel de Monsieur le Marquis : A poil salope ! Obéis de suite ou tu vas gouter de mon fouet.
Patrick ne savait que faire. Il se sentait à la merci de cet homme et il ne saurait lexpliquer, il se sentait tout bizarre car au lieu de tenter de se révolter, de crier plus fort que ce domestique, il était impressionné et préféra faire profil bas car que pouvait-il faire face à ce fouet ? Oui il se sentait tout bizarre car il se surprit lui-même comme si cette situation soudaine, lexcitait dans son esprit
Cest alors quune porte souvrit, un homme de grande taille entra dans la pièce à son attitude Patrick comprit que Monsieur le Marquis dEvans venait de les rejoindre :
- Que se passe-t-il ici ? Pourquoi parle ton si fort ?
(Patrick pris la parole) : - Bonjour, cest nimporte quoi ? je
(Le fouet claqua de nouveau et Walter dit alors) : - Chien à genoux devant Monsieur le Marquis, tu attends dy être invité avant de parler.
Patrick se surprit alors dobéir, comme précédemment il se surprit de cette excitation subite à laquelle il ne peut expliquer. Alors, cest tremblant, comme hypnotisé quil posa ses deux genoux à même le sol et surtout il baissa aussi la tête instinctivement sans comprendre le sens de son geste, mais il éprouvait le besoin de la baisser comme aussi de baiser les yeux. Monsieur le Marquis sourit alors au Majordome. Ce signe dobéissance naturelle ne trompait pas, cétait un marqueur quil connaissait bien, Patrick était donc dune nature soumise sans même quil le sache lui-même. Quant au Noble, il lui appartenait maintenant de le révéler. Un travail que le Châtelain affectionnait particulièrement de faire dun mâle, une pute soumise. Le Maître des lieux repris la parole :
- Que fait ce chien dans Ma Demeure ? Qui la invité ici ?
(Patrick répondit alors) : - Je suis tombé en panne de moto et votre chauffeur ma
Le fouet claqua à moins dun mètre de sa tête Walter coupa :
- Qui ta dit de répondre, espèce de pute ? Je tai dit quoi tout à lheure ? A poil maintenant.
Patrick à genoux sanglotait, Le Noble, plus diplomate en fin stratège, reprit la parole :
- Walter soit moins brutal ! Ce Monsieur ne connait pas les usages du Château ! On ne fait les choses que si on y est invité ! Je suis sûr quil regrette
(et sadressant à Patrick) Tu peux parler
- Oui Monsieur excusez-moi, répondit celui-ci
(Le Noble dit alors sèchement) - Tais-toi et écoute. Quand tu tadresses à Moi, tu dis Monsieur le Marquis et non Monsieur. De plus, tu dois me parler tête baissée, mais je vois que tu as besoin dêtre rassuré sur mes intentions à ton égard alors je vais te montrer...
Le Châtelain sapprocha, à un mètre de Patrick et le toisa en silence. Patrick tête baissée ne bougeait pas, il sentait le regard perçant et dominant du Noble sur lui. Patrick se sentait tout petit face au charisme du Noble. Celui-ci par sa grande expérience savait juger, en un regard, une personne et ce quil voyait à lévidence dans son esprit, cétait une future lopette en devenir. Il devait sen assurer maintenant. Prestement, il défit la braguette de son pantalon, Patrick aurait pu se lever et se sauver précipitamment mais il ne bougeait pas comme sil entendait cela, ce qui le surprit encore à lui-même. Et quand Monsieur le Marquis sapprocha, il vit alors la verge épaisse et turgescente,
- Vois-tu, tu es un soumis qui signore, regarde toi, dis-moi si cette situation texcite ? Je sais quelle texcite, la bosse de ton pantalon au niveau de ta nouille de chien ne trompe pas
Patrick navait même pas remarqué quil bandait déjà depuis un moment. Cest le fait quil réalisa quil était en érection quil comprit mieux pourquoi il était, tantôt, mentalement excité : Tout simplement parce sans le savoir le fait de sêtre mis à genoux et de sentir la domination du Majordome avec son fouet lavait grandement excité et aussi fait bander. Alors il ne pouvait pas nier cette réalité si visible au niveau de son bas-ventre. Ainsi, il répondit dune voix étranglée par lémotion :
- Oui
Je
bande
en effet, je
Oui
- Oui QUI ? dit Le Noble avec autorité
- Oui Monsieur le Marquis, dit Patrick penaud et vaincu
- Tu sais donc, ce que jattends de toi, maintenant.
Patrick baissa encore plus la tête, Monsieur le Marquis dit :
- Ouvre ta bouche de chienne et maintenant montre-moi que tu es une bonne suceuse, salope !
Patrick ne se fit pas plus prier car il bandait de plus belle car la voix du Châtelain avait une telle force. Le Noble vit alors la bouche souvrir, il allait pouvoir dans un instant investir la place.
- Cest bien lopette ! Tu as compris ce que jattends de toi
Et cest dun coup de reins, quil fit rentrer sa grosse bite dans la bouche de Patrick
- Suce moi bien, la pute, tête bien mon gland, montre-moi comment tu fais.
Patrick sexécuta prenant bien soin dobéir parfaitement aux indications du Noble, sa langue léchait le gland violacé. Il se devait dhonorer comme il se doit le sexe du Seigneur des lieux. Il sentait sa bouche se remplir de salive assurant ainsi la lubrification permettant à Monsieur le Marquis denfoncer encore plus profondément sa grosse verge dans la gorge de Patrick. Celui-ci sentait le gland venir en butée au fond de son palais. Le Noble lui baisait littéralement la bouche en donnant des mouvements de reins signifiant quil comptait bien jouir dans sa cavité buccale. Les mouvements de va-et-vient se firent alors plus rapides. Le Noble avait saisi de ses mains puissantes la tête de Patrick obligeant celui-ci à accepter tout la longueur du noble sexe. Monsieur le Marquis prit son temps, il aimait ce moment privilégié ou il prenait possession dune nouvelle lopette, il allait en faire Sa chose. Le dernier coup de reins provoqua la jouissance du Noble Seigneur, le flot saccadé de sperme sécoula directement dans la gorge de Patrick. Le Châtelain lui maintenait la tête fermement. Patrick devait sentir le gout du sperme de la Noble queue et inconsciemment sa langue lécha le gland pour récupérer la totalité du nectar que lui offrait le Maître des lieux. Walter souriait en voyant la scène car le comportement de Patrick, une nouvelle lopette allait peut-être rejoindre le Cheptel de Monsieur le Marquis
(A suivre
)
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