Et Tout Ça, Pour Un String Porté
Quand jeus vent que Camille cherchait quelquun pour lui installer une cabine de douche à la place de sa vieille baignoire je sautais sur loccasion. Camille était du genre quon pourrait appeler une belle plante. De taille moyenne, elle possédait une allure élégante et élancée, au visage, ovale, discrètement maquillé et légèrement marqué par quelques rides, éclairé par deux grands yeux dun vert profond, une bouche aux lèvres délicatement dessinées, qui affichait un sourire naturel faisant apparaître une dentition régulière et écarlate. Et je me garde bien de vous parler de ses jambes.
Sa cabine de douche je laurai fait gratuitement, seul pour avoir le privilège de me retrouver dans son univers. Et comme je suis né sous une bonne étoile, il se trouvait quelle me proposa même de me fournir un double de clé pour effec les travaux.
Et ce fut comme cela que je me retrouvais un beau matin devant le panier de linge sale. Il était plein à craquer. Slip nylon, body en satin, string, bas, collant pour le principal à mes yeux. Un grand trouble menvahi et mon sexe gonfla dun bloc de plaisir. Une espèce de folie me submergea alors, me dictant de les passer lun après lautre devant mes narines.
Une superbe odeur de femelle imprégnait le string à lentrejambe ainsi quun parfum affriolant sur la ficelle. Une bonne odeur de cul comme je les aime.
Mon réflexe fut de sortir ma queue et de me branler. Je savais ma collègue sexy, mais je naurai pas imaginé porter une lingerie aussi affriolante. Curieux et excité, je poussais la visite plus en détail, jusquà fouler lépaisse moquette de sa chambre, doù hormis dautre meuble, une commode de style ancienne avec de nombreux tiroirs ce tenait dans un coin de la pièce. Et après visite de ma part, entièrement consacrée à de lingerie.
Me laissant guidé par lexcitation, jenfilais un ravissant porte-jarretelles noir et un string de la même couleur, ainsi quune paire de fins bas noirs, en prenant mille précautions pour ne pas les filer.
Javais tellement honte de mêtre fait attrapé que je me sentis rougir. Sa première réflexion fut de ce présenter, dabords :
-Je suis la maman de Camille.
Et la seconde de laisser tomber :
-Eh bien si je mattendais à cela en poussant la porte !
Pris de panique comme je ne lavais jamais été, jallai me changer. Mais elle en décida autrement, mintima immédiatement lordre de ne pas bouger.
-Où comptes-tu te rendre comme ça mon chou ?
-Eh bien
. Eh bien, me
me changer. Bafouillais-je
-Il nen est pas question, je te trouve tout chou dans cette tenue. Et tout cela me donne de drôle didée, et si tu ne veux pas que ma fille soit au courant il faudra que tu files droit. On sest bien compris ?
-Oui madame.
-Béatrice.
-Oui Béatrice.
-Attends moi sagement là, je reviens.
Je métais contenté de lécouter. Et e fut ainsi que quelques instants pour tard, elle me revint des bas plein la main. Et très elle entreprit de mattacher solidement.
-Comme ça tu seras à ma merci. Menvoya-t-elle, en se tournant devant moi, agitant son fessier sous mon nez.
Jétais immobilisé sur la chaise où elle mavait attaché les mains derrière le siège. Mes chevilles étaient également liées aux pieds de la chaise, me maintenant les cuisses légèrement ouvertes. Béatrice prenait un malin plaisir à ne pas me toucher, se contentant à mexciter en se déshabillant et en se caressant doucement. Par son effeuillage elle me dévoila un corps somptueux aux courbes divines. Quand vint enfin le tour de sa culotte, elle me jeta un regard espiègle et la lança vers moi. Le morceau de tissu séchoua sur mon visage.
-Sens-la !
Avait-elle besoin de me le dire. Toutefois, une forte odeur de pisse envahit mes narines.
-Et dire que je mapprêtais à envoyer promener ma fille quand elle mavait téléphoné ce matin pour me dire de venir te rendre une petite visite, pour savoir si tu ne manquais de rien.
Elle massa sa poitrine en me couvant dun regard lubrique. Puis elle touche négligemment mon sexe tendu sous le string.
-Hmmm ! Tu mas lair rudement excité
Javoue que sétait loin dêtre désagréable. Surtout que la fameuse Béatrice avait tout pour me plaire. Elle descendait une main entre ses cuisses et se caressa un instant, me regardant en soupirant de plaisir. Puis elle alla chercher deux chaises quelle plaça de chaque côté de moi. Avec habileté elle se hissa dessus, un pied sur chaque chaise, et là debout elle agrippa ma tête quelle plaqua contre son entrejambe en ordonnant :
- Lèche-moi !
Pour être à ma hauteur, elle savança encore un peu et replia une jambe, pour poser son genou en appui sur mon épaule, écrasant de la sorte sa fente trempée et odorante contre mon visage. Avec avidité, je parcourais sa raie, de ses lèvres jusquà son clitoris, lapant sa vulve, tentant dy enfoncer ma langue. Ça avait lair de lui convenir. Elle, qui se crispa en gémissant tandis que je lui bouffais la chatte. Comblée, elle pressa de plus belle ma tête contre son intimité. Se frottant contre mon visage, se déhanchant davant en arrière, se dandinant de plus en plus vite au-dessus de moi, mécrasant presque sous son bassin tandis que je continuais de la lécher avec passion, de titiller son clitoris, de mordiller ses lèvres, de glisser ma langue à lorée de son vagin.
Son plaisir ne tarda pas de couler dans ma bouche, sur mes joues, sur mon menton. Et bientôt, dans un long hurlement, elle jouissait en se crispant dans une dernière série de spasmes.
Puis elle alla se poser sur le divan pour reprendre ses esprits. Ce qui ne lui prit que quelques secondes, espiègle, elle narrêtait observer ma queue qui gondolait le devant du string. Puis elle tendit son bras, assez pour atteindre le combiné installé sur la tablette, quelle tira à elle.
-Allo ma fille
oui je suis chez toi
et bien sache que je lai trouvé dans une tenue que je dirai très spécial
comment te dire il portait tes sous-vêtements
comme je te dis
je lai attaché
je ne me suis pas gênée
je reconnais quil fait ça à la perfection
quoi on prend le plaisir où il est, ma fille
oui daccord je suis ta mère je ne reste pas moins une femme
quoi papa
quest-ce que je fais de ton Alain, je ne sais pas moi cest bien pour ça que je tappelle
oui très bien,à tout de suite
Je la maudissais des yeux davoir prévenu sa fille. Elle reposa le combiné, et ce leva pour rejoindre le tas dhabit en oscillant exagérément des fesses. Jécumais de désir. Mes pensées allaient et venaient à toute allure, dans un mélange affreux de honte, de pudeur, et dembrasement.
Du bruit se fit entendre du côté de lentrée, pas le temps de paniquer que déjà mapparut Camille.
-Eh bien si je mattendais à ça ce matin en me levant je ne laurais pas cru.
Elle se pencha et tâta ma queue. Cétait horrible ! Cétait lexcitation qui prenait le dessus sur tout le reste, sur la peur, sur la honte, sur le dépit.
Camille écarta le string et entoura ma queue de ses doigts, et elle me branla quelques instants.
-Tu ne peux pas savoir comment je suis heureuse, lâcha-t-elle, tirant naturellement sa culotte de dessous sa jupe.
Comme lavait fait sa mère plus tôt, dailleurs où était-elle celle-là ? disparue ! Camille força ma tête à plonger dans son intimité. Elle se mit aussitôt à se tortiller en gémissant de plaisir. Je tremblais de désir tout en lui donnant du plaisir avec ma bouche, alors quelle se déhanchait de plus en plus vite et criait de plus en plus fort. Javais mal à la langue tellement je la tendais pour la caresser. Elle se crispa, se raidir, par à-coups. Jétais lhomme le plus heureux de la terre. Javais ce que jaimais le plus au monde sur ma bouche.
Et soudain, elle magrippa par les cheveux, se cambra en mécrasant plus encore. Accéléra encore son rythme, à me râper le menton, criant sans discontinuer, ses doigts plongeaient entre ma bouche et son sexe, tournoyant à toute allure. Et elle jouissait en hurlant tandis quun liquide chaud ruisselait de son sexe à mon menton et mon torse. Elle sécroula au-dessus de moi.
Après cela il était temps pour elle, de se retirer. Je lu dans ses yeux autant dexcitation et de malice. Un peu comme ceux de la mère plus tôt.
-Je crois quil est temps de te soulager, murmura Camille, ses yeux braqués dans les miens, tandis quelle empoignait ma verge, après avoir écarté le string.
Joscillais fébrilement du bassin pour me branler dans sa main.
-Tu es en manque à ce que je vois, fit-elle en menjambant.
Venant sagenouiller à califourchon sur mon bassin avant de sempaler sur mon sexe toujours tendu à bloc. Jaccompagnais les va-et-vient de son corps tout en subissant. Mes gémissements se confondaient à ceux de Camille qui me chevauchait. Je sentais sa lourde poitrine sécraser sur mon torse et son souffle chaud effleurer mon visage. Je bandais gros comme jamais. Je nallais pas tarder à jouir. Je balançais mon bassin autant que mes entraves le permettaient, faisant sauter la femme au-dessus de moi, alors quelle passait une main jusquentre nos deux corps pour caresser à toute allure son clitoris exalté. Et nous jouissions bientôt, simultanément, hurlant, ma semence propulsée hors de mon corps spasmodique pour se mêler au liquide chaud qui sécoulait de sa vulve enflammée.
Camille attendait quelques instants, avant de se relever, me libérant de mon étreinte. Je soupirai dextase, alors que mon sexe se ramollissait à vue doeil.
Autour dune tasse de café, bien plus tard, Camille me confia quelle ne serait pas contre une relation avec moi. Et tout ça en me dardant de nouveau, de yeux malicieux, mais là avec un sourire narquois.
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