Maya, Stagiaire Éméchée
Comme tous les ans, à l'approche de Noël, la boîte pour laquelle je travaille organise une soirée pour fêter la fin de l'année. Comme tous les ans, le patron a loué une salle, toujours la même, heureusement pas bien loin de chez moi. Comme tous les ans, tous mes collègues, sans la moindre exception, sont invités. Comme tous les ans, et malgré quelques collègues sympathiques que j'aime bien voir hors travail, j'y vais en traînant un peu les pieds, principalement pour faire bonne figure.
Vers 21h, je pars de chez moi en saluant mon chat, et en lui promettant de ne pas rentrer trop tard. Je sais d'avance comment cela va se dérouler. Je vais y aller, boire quelques bières parce que ce sera open bar, mais au bout de deux ou trois heures, je finirai par m'ennuyer et je rentrerai, presque trop sobre. Je le sais, tous les ans c'est la même chose. A 21h20, je suis à l'entrée de la salle. De la rue, j'entends du bruit, de la musique assez forte. Je me dis, le temps d'une seconde, que cette année sera peut-être plus intéressante, plus mouvementée, mais une fois à l'intérieur, c'est la même déception que d'habitude. Il n'y a que quatre ou cinq personnes, toutes agglutinées autour du buffet. Pendant près de vingt minutes, je parle avec une fille de la compta dont je ne connais même pas le prénom. Ses histoires, pas intéressantes, me laissent le temps de siffler deux bières. Puis j'aperçois José, du service marketing, arriver avec ses deux stagiaires, deux gamines d'à peine vingt ans qui font je ne sais trop quel BTS ou IUT. Plutôt jolies, et qui pourraient être sympas si jamais je leur avais déjà adressé la parole. Catherine, ou Chrystelle... enfin la fille de la compta, continue de me parler, alors que mon intérêt est concentré sur José qui sert des cocktails à ses stagiaires. 50% d'alcool et 50% de soft. Si ces filles savent aussi bien boire que José ne sait faire les cocktails, alors la soirée risque d'être plus catastrophique encore que je ne l'imaginais.
22h30. Gabin et Damien, qui bossent avec moi, arrivent enfin. Eux étaient à un apéro avant, et ont un train d'avance sur moi. Ils en sont au stade où ils se demandent comment ils choperont de la drogue ce soir. Je me ratt alors sur la bouteille de Gin, qui me fait de l'il depuis le début de la soirée. J'attends que Maya, l'une des stagiaires de José, ait fini, pour pouvoir enfin me servir de mon poison favori. Maya reste à côté de moi. Elle me dévisage. Je ne sais pas combien de verres José lui a servi, mais je la sens qui titube déjà. Elle n'arrête pas de me fixer en souriant, c'est stressant.
_ Tout va bien ? lui demandé-je pour briser ce silence insupportable.
_ Oui. Ça va et toi ?
Sa voix est carrément mal assurée, la pauvre fille est sur le point d'être sacrément ivre.
_ Tu sais, continue-t-elle, moi je suis open, hein.
Je la regarde d'un air surpris. Peut-être est-ce la musique, peut-être que j'ai mal entendu.
_ Je suis open, hein, me répète-t-elle en buvant une grosse lampée de son cocktail.
Puis elle me sourit, et part. Cette conversation était étrange. Pourtant, de retour auprès de mes amis, affairés à envoyer des textos à tous leurs dealers, je suis hanté par les mots de Maya. Soit l'alcool lui a fait dire n'importe quoi, soit au contraire il révèle quelque chose. Dans les deux cas, ça m'intrigue, et je me surprends à dévorer du regard cette gamine à qui je n'ai même jamais parlé avant. Elle est jolie, et même plutôt pas mal du tout. De jolies formes, aujourd'hui mises en valeur par une robe courte et décolletée. Un instant, je m'en veux de ne pas l'avoir matée avant.
La soirée, cependant, reprend son cours, j'oublie peu à peu cet épisode, et parle à d'autres personnes, moins accro et plus intéressantes que mes deux collègues. Vers minuit et demi, je m'assois un instant dans un des canapés, au fond de la salle, avec mon troisième, ou peut-être mon quatrième Gin.
_ Je suis ouverte à tout, tu sais ? me répète-t-elle encore une fois.
Bon sang, mais elle n'a que ça à dire ? Je reste interloqué un moment, mais cette fois, décide de rentrer dans son jeu.
_ Qu'est-ce que tu veux dire par là ?
_ Bah je suis ouverte. A tout. Je suis ouverte, comme fille.
Son discours est complètement décousu, et malgré quelques remords à profiter de son ivresse, je pose ma main sur son genou.
_ Vraiment à tout, Maya ?
_ Oui oui, me dit-elle en rigolant, je suis open, j'te dis. Je suis open.
Testant ses limites, et sa sincérité, je pousse ma main un peu plus haut sur sa cuisse. Maya se relève alors du canapé, un peu chancelante, et m'annonce devoir aller aux toilettes. Je reste assis un instant, me disant que je me suis quand même bien monté la tête tout seul, que ce n'est que l'alcool qui parlait. Mais chez moi aussi, c'est un peu l'alcool qui parle à présent, et j'ai envie de jouer à ce jeu que Maya a voulu commencer. Je me lève à mon tour, bien décidé à aller au bout des choses, et descends aux toilettes. Il n'y a que deux cabines. Dans la première, il y a Gabin qui, sans avoir pris la peine de fermer la porte, est en train d'ouvrir un petit sachet de poudre. Je tente ma chance avec la deuxième, et pousse la porte. Maya est là, assise sur le trône. Sa robe est retroussée sur ses hanches, sa main est entre ses cuisses, plaquée sur son collant. Elle se touche, le regard dans le vide. Quand elle me voit enfin, elle me sourit et rigole, un peu honteuse, mais surtout bourrée.
_ Continue, lui dis-je, ne t'embête pas pour moi.
Elle me regarde sans rien dire, et continue à frotter ses doigts contre son collant. Puis sa main glisse à l'intérieur, et s'agite encore plus. Maya lève son autre main pour atteindre ma ceinture, et m'attire vers elle.
Je me retire néanmoins de sa bouche. Je n'ai aucunement envie de jouir trop tôt. Je regarde Maya un instant, elle avait l'air saoule, maintenant elle a également l'air dépravée, avec son maquillage dégoulinant sur ses joues, la bave aux lèvres, et la main entre les cuisses. Je lui att d'ailleurs le bras, je veux qu'elle arrête de se toucher. Elle proteste un instant, avant de me sourire et de m'attr le sexe pour me branler.
_ Attends un peu, lui dis-je. Lève toi plutôt, et tourne toi.
Maya se relève, difficilement, en titubant, et se retourne pour poser ses mains sur la chasse d'eau. Lentement, je relève sa robe sur ses hanches.
_ Tu veux rameuter toute la boîte ? lui demandé-je à l'oreille.
Elle fait oui de la tête, avec un sourire de nympho bourrée. Dans cette position, mon sexe est venu se coller contre ses fesses, et je n'ai qu'à le glisser entre ses cuisses pour taper à l'entrée de son vagin. Elle est tellement mouillée qu'elle m'accueille sans le moindre problème. Je l'enfile d'un seul coup, jusqu'à la garde, et Maya grogne malgré ma main contre sa bouche. Je ne tarde pas plus longtemps, et commence à aller et venir en elle. Mon ventre claque contre son cul, et sa tête cogne contre le mur. Ainsi, nous faisons encore plus de bruit, et multiplions les chances de voir débarquer quelqu'un. Tant pis. La sensation est trop bonne, et je baise Maya de plus en plus fort. J'ai une main sur sa bouche, l'autre glisse dans son décolleté. Sans trop de délicatesse, je saisis un de ses seins et le sors de son soutien-gorge. Maya a une petite poitrine, son sein tient largement dans ma main, et je m'amuse à pincer son téton tout excité. Je le lâche pour glisser ma main sur son ventre, puis sur son sexe. Je titille un instant son clitoris, la faisant frémir un peu plus, puis remonte sur son cul, que j'écarte d'une main. Du bout de mon pouce, je titille son illet. Il me fait envie.
_ Maya ? lui dis-je en continuant à la baiser et à lui caresser l'anus.
_ Hmm ?
_ Tu es vraiment ouverte à tout ?
Elle ne me répond pas, et se contente de sourire. Je continue de la baiser, à un rythme un peu moins soutenu. Je me dis que ma stratégie a échoué, quand je la vois déposer un peu de salive dans une de ses mains et la glisser entre ses fesses. Tout en massant son petit trou, allant jusqu'à glisser un doigt à l'intérieur, elle vient saisir mon sexe avec sa deuxième main, le retire du sien, et pose mon gland contre son cul.
_ Tu peux m'enculer si tu veux, me dit-elle en bredouillant un peu, je l'ai déjà fait.
Il ne m'en faut pas plus pour m'exécuter. Je pose une main sur sa hanche, de l'autre je guide mon sexe dans son derrière. Son cul est étroit, j'y rentre lentement, centimètre par centimètre, la faisant râler. Une fois enfoncé entièrement en elle, j'attends un moment. Je sens ses muscles se contracter autour de moi. L'une de mes mains retourne sur son sein, la deuxième glisse entre ses cuisses. Elle dégouline toujours autant. Je commence à activer mes doigts et mon sexe simultanément. Deux doigts glissent en elle, puis sur son clitoris. Maya tremble de plaisir. Je la branle et l'encule en même temps, et l'effet est quasi immédiat. Je la sens qui se crispe, puis l'entends crier. Elle jouit avec mon sexe planté dans ses fesses. Trois doigts glissent en elle, tandis que je l'agrippe fermement par les épaules pour qu'elle ne s'écroule pas.
Pour finir, Maya reprend ses esprits et se redresse, retirant d'un coup mon sexe de son anus. Elle se retourne en vitesse et se laisse tomber sur les toilettes. Elle att mon membre et c'est à son tour de me branler, bouche ouverte devant moi, ses yeux droit dans les miens. Ce coup-ci, je n'ai aucune résistance. Il me faut moins d'une minute pour éjaculer. Mon sperme éclabousse sa joue, ses lèvres, coule sur son menton jusque sur son sein encore sorti. La réalité me frappe à ce moment-là. J'entends le bruit de la fête, de tous mes collègues au-dessus, et dans les toilettes à côté de nous pour certains. Maya est en train de lécher ma semence autour de sa bouche quand sa copine, la deuxième stagiaire, entre dans notre box. Elle a l'air aussi bourrée qu'elle, peut-être un peu plus e, mais en tous cas pas étonnée de nous voir comme ça.
_ Maya, grouille, y'a notre Uber qui nous attend, lui dit-t-elle.
_ J'arrive.
Maya finit de se nettoyer le visage avec son doigt, qu'elle lèche ensuite, puis range son sein et se lève.
_ Je t'avais dit, me lance-t-elle en remontant sa culotte et son collant d'un seul coup. Je suis open hein.
_ Je vois ça, oui.
Je range mon sexe tandis qu'elle prend un peu de papier toilette pour finir de s'essuyer.
_ Si tu veux un jour, on la baisera ensemble, me dit-elle en désignant sa copine.
Je rebande instantanément en y pensant, tandis que Maya m'embrasse et remonte les escaliers pour retrouver la sortie.
Hélas, son stage s'est arrêté à ce moment-là, et je ne l'ai plus jamais revue.
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