La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1114)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite de lépisode N°1089) -
Je suis ainsi, jaime le cul, jaime jouir et le gynécologue avait maintenant de quoi alimenter sa connaissance
Plus le temps passait et plus je prenais dimportance dans la vie de Monsieur le Marquis et il arrivait de plus en plus souvent quil minvitât lors de sorties officielles, pour me présenter à des amis, à des confrères hommes daffaires, ou à dautres Maîtres de sa connaissance, souvent des Maîtres étrangers. De plus, jétais souvent « donnée » pour des soirées privées et mondaines soit exhibée, publiquement ou pas, soit servant desclave au cours de repas ou de soirées privées orgiaques. Parfois, Maître faisaient venir également dautres esclaves, mâles ou femelles, mais jétais toujours lesclave préférée, celle qui était placée le plus près du Noble et celle quil réservait pour les moments importants. Mais il arrivait aussi que le Châtelain ait des amis parmi des éleveurs de la campagne, et dans une région quoi de plus beau, de plus naturel, de plus sauvage et de plus touristique que le Vaccarès, vaste étang situé dans la Réserve Naturelle de Camargue, pays chers aux taureaux, aux diverses manades, aux flamands roses et aux éleveurs appelés manadiers juchés sur leurs chevaux typiquement camarguais, petits chevaux, endurant, à la robe grise pommelée ou pas.
Cétait alors des sorties très agréables car jadore monter à cheval. Cependant Monsieur le Marquis ne le savait pas encore. Il était loin de tout savoir sur sa pouliche préférée. Lorsque Maître lapprit, il jubilait à lidée de me faire monter en Camargue, nue et en plus à cru, au milieu des manadiers, hommes durs au mal et rustres sans vouloir les vexer. Cest ce qui se passa un jour de septembre 2011. Nous quittâmes la région marseillaise, dans la Rolls-Royce conduite par Walter, celui-ci appréciait beaucoup ces sorties dans la nature loin de son beaujolais natal.
Moi, selon mon habitude, javais pris place sur la banquette arrière de la Rolls-Royce, aux côtés du Maître. Assise sur le rebord du siège, les cuisses très écartées, reins cambrés, mains posées sur les cuisses, jétais ainsi accessible à celles du Noble qui me caressait le bas des reins, la fesse tournée de son côté, la cuisse, ses doigts ségarant dans mon entre jambes, attaquant la hampe de mon clitoris, tout cela en discourant avec Walter qui nen perdait pas une miette dans son rétroviseur. Deux doigts du Châtelain avaient entourés mon clitoris bien dressé maintenant et entamaient une lente masturbation au début, puis plus rapide ensuite, tapotant le nez clitoridien de son pouce, toujours dune façon tout à fait naturelle, presque sans le faire exprès
.
Les kilomètres défilant et toujours en parlant avec Walter, les doigts de Monsieur le Marquis me travaillaient maintenant plus fortement, ma vue commençait de se brouiller, mes tétons durcissaient, les aréoles se fripaient, ma respiration saccélérait, je sentais ma vulve souvrir lentement, devenir humide, puis plus humide encore et encore, quand soudain, tout en poursuivant avec son Majordome un cours sur lélevage tauromachique, Maître, tout en poursuivant aussi son escalade de mon clitoris, se saisit dun de mes deux tétons, le faisant rouler entre ses doigts au début ce qui me fit fermer les yeux et gémir denvies, puis le vrilla dans un sens et dans lautre, pour finir par y enfoncer ses ongles et allonger mes tétines de femelle maintenant mûre pour jouir.
- Monsieur le Marquis, nous sommes suivis !
Tout en poursuivant ces manipulations, Monsieur le Marquis vit en effet des cavaliers qui suivaient la voiture
Rapidement il reconnut lun des manadiers à cheval, lui fit un signe, et voilà pas moins de vingt cavaliers, entourant la Rolls-Royce, qui nous accompagnaient jusquau mas du Maître des lieux. Le Noble avait abaissé les vitres fumées de la voiture, laissant les cavaliers regarder la chienne que jétais devenue, ivre denvies lubriques non assouvies et qui se moquait éperdument dêtre regardée par ces hommes rustres
Il accélérait la cadence sur mon clitoris et entrait même directement trois doigts dans ma chatte gluante, me renvoyant en arrière sur le siège. Sans honte, jécartais plus les cuisses pour laider à senfoncer encore plus en moi, et sentir ses doigts me fouiller de la sorte, très profondément, tandis que mon clitoris était encore travaillé, et de lautre main mes tétines vrillées, je me fichais totalement du tableau que joffrais, sachant en plus que je faisais la joie du Maître. Poussée dans mes retranchements par les mains du Châtelain, excitée encore plus sachant que jétais regardée, je nen menais pas large car je navais pas lautorisation du Maître, de jouir. Et le faire sans sa permission coûtait très cher, même et surtout, pour moi. Monsieur le Marquis me voulait la plus parfaite de ses femelles et ne me passait strictement rien. Jétais prévenue !
La Rolls-Royce avançait lentement sur la piste de sable, les chevaux hennissaient autour de moi, les bruits de leurs sabots rythmaient la cadence de lensemble, doigts et mains du Maître y compris. Quand il sentait que cétait le moment où je faiblissais, Maître amplifiait ses mouvements en ma chatte quil écartelait maintenant en tous sens, par des cercles de plus en plus évasés puis senfonçait dun coup dun seul, cognant le fond de mon sac vulvaire, me faisant dire des :
- Ohhh Maî
Maîii
Maître cest booon
trop en
vie
!
- Quoi donc petite femelle, disait-il, de quoi as-tu envie en enfonçant et tournant à nouveau ses doigts jusquau fond
- Jou
jouir Maî
Maître
A chaque fois que jallais dire le mot « jouir », il enfonçait à nouveau violemment ses doigts en travaillant clito et tétons
Je ne pouvais dire ce mot car à chaque fois il men donnait encore plus envie.
- Nettoie mes doigts ma petite salope, ils sont trempés ! Nous arrivons !
- Oui, Maître, répondis-je, excitée comme jamais.
Je métais redressée et léchais consciencieusement les doigts sacrés du Maître, sous les yeux des gardians, qui nen croyaient pas ce quils voyaient. Si ces cavaliers sont des gens simples et rustres, plus habitués aux bêtes quaux soirées mondaines, aux cavalcades à cheval soit pour sentrainer, soit pour regrouper les troupeaux, ils nen étaient pas moins, des hommes habitués aux comportements animaux. Leurs regards ne laissaient aucun doute sur ce quils pensaient faire de moi, si je leur étais offerte.
- Petite salope ! Tu fantasmes sur ce qui tarriverait si je te donnais à ces valeureux cavaliers ?
- Euh ! non, pas vraiment, Maître
je
les regardais seulement.
Javais à peine terminé ma phrase quune superbe gifle me cueillit en plein visage, et tout en me souriant avec douceur, Maître dit :
- Tu sais à quel point je naime pas que tu me mentes, surtout pas toi !
- Oui je sais Maître, je Vous présente mes excuses, répondis-je, la joue très marquée par la gifle
Les cavaliers les plus proches de la voiture navaient rien perdu de la scène et semblaient ravis de ce quils avaient vu. La Rolls-Royce sarrêta. Tandis que Walter, descendait, les cavaliers, pour certains en faisaient de même, tenant leurs chevaux par la bride, tandis que le reste de lescorte repartait, qui, vers le Mas, qui vers dautres tâches à remplir. Le Majordome ouvrit la portière de Monsieur le Marquis qui descendit, sa canne à la main, et une fois dehors, sétirait sous le soleil réconfortant de Provence. Walter, mouvrit la portière à mon tour, et je sortais moi aussi, non, sans rester très mouillée entre les jambes.
Pour la circonstance je portais un chemisier très transparent, dont les pans avaient été noués au-dessus de ma taille, laissant non pas deviner mais bien voir la quasi intégralité de mes seins, et en bas, javais une très mignonne jupette, évasée et assez courte pour bien laisser voir mes cuisses et au moindre mouvement de ma part mon sexe, par devant, et mes fesses par derrière. Je ne portais aucuns sous-vêtements, accessoires vestimentaires définitivement proscrits par le Noble. Aux pieds, des escarpins aux talons démesurément hauts, pas du tout adaptés à la configuration du terrain campagnard par essence, escarpins laissant voir mes orteils et les ongles, parfaitement limés et ornés dun vernis impossible à ne pas voir. Mes ongles de mains étaient identiques. A mon cou, le collier aux nobles Initiales du Marquis dEvans, collier de cuir épais, et duquel pendait entre mes seins, la laisse de cuir tressée, laisse que Maître prit à ma sortie de la Rolls-Royce et par laquelle Il me guidait à sa suite. Je vous laisse imaginer leffet produit sur les manadiers
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!