April, En Quête De Sexe 22

Un mercredi pluvieux, il y eut une grève des profs. J'avais eu cours tout le matin, en revanche tous mes profs de l'après-midi faisaient grève, je me retrouvais à passer mon aprèm dans le foyer à jouer au babyfoot en simple avec diverses personnes. Sans me vanter, j'étais plutôt forte : je jouais depuis près de 2 heures et je n'avais perdu qu'une fois. Je fis donc plusieurs parties quand Nassim, un garçon de ma classe d'origine maghrébine plutôt beau gosse, me proposa de faire la belle : c'était le seul qui avait réussi à me battre mais j'avais ensuite pris ma revanche. J'acceptais de faire la belle mais à une condition :


- J'accepte de faire la belle, Nassim, mais si je gagne tu auras un gage.


Nassim sourit et me répondit :


- Ah oui ? Et quel gage, je te prie ?
- Tu verras, lui dis-je avec un clin d’œil.
- D'accord mais si je gagne c'est toi qui aura un gage.
- Ça marche.


Sur ce, nous commencions une partie où le premier qui atteindrait 10 points gagnerait. Cette partie fut très serrée : je dominais le début de la partie mais il se rattrapa vite et il revint au score. Après quelques minutes de cette partie serrée, je finis par marquer le but de la victoire, me faisant gagner 10 à 8 contre un Nassim visiblement dépité. Je sautai de joie avant de le narguer en lui tirant la langue. Il râla :


- Bon, ça va, t'as gagné. Alors, c'est quoi ton gage ?


Je lui lançai un regard plein de sous-entendus et lui fis signe de me suivre. Certaines personnes me lançaient des regards curieux mais je n'en tins pas rigueur. Je conduisis Nassim dans un couloir où nous étions seuls. Je désignai une porte et lui demanda :


- Tu sais ce qu'il y a derrière cette porte ?
- Un placard à balais, non ? Pourquoi tu me demandes ça ?
- Parce que ton gage c'est de me faire un cunni. Dans ce débarras, on sera tranquilles.

Nassim fut abasourdi :


- Euh pardon mais je crois que j'ai mal entendu.
- Tu as très bien entendu : On rentre dans ce débarras et tu me fais un cunni. C'est pas plus compliqué que ça.
- Mais April, on peut pas faire ça ! Si jamais on se fait prendre.
- Je te fais pas envie, c'est ça ?
- Non c'est pas ça, mais faire ça dans l'école, c'est ri...
- Bon maintenant ferme-la et écoute-moi, lui dis-je d'un ton autoritaire. C'est très simple, tu as deux choix : soit on rentre dedans, tu me fais un cunni et après je t'amène dans ma chambre où on baisera ; soit tu ne respectes pas ton gage et dans ce cas, tu n'auras plus jamais l'occasion d'avoir une partie de jambes en l'air, pipe, branlette ou quoi que ce soit d'autre. T'as 5 secondes pour te décider. Alors ?


Nassim, malgré son air ébahi, mit à peine deux secondes pour se décider et il entra dans le débarras. Ravie de sa décision, je le suivis et refermai la porte. Je me tournai alors vers lui et lui dit d'un ton autoritaire :


- Mets-toi à genoux et lèche-moi.


Nassim s'exécuta et me retira mon jean. Il descendit le long de mes jambes ma culotte bleu ciel et il commença à donner un petit coup de langue sur mes lèvres intimes. Il lécha mon sexe lentement, tout doucement puis il prit ensuite un rythme plus soutenu. Il y alla franchement, titillant mon clito avant d'infiltrer sa langue. Il se débrouillait très bien, il avait du talent. Je posai ma main sur sa tête et appuyais pour qu'il me lèche plus franchement. Il entreprit alors un rythme plus intense, me faisant de plus en plus en gémir. Je lui agrippai les cheveux pour ne pas qu'il s'échappe. Je sentis mon corps s'emplir d'une vague de plaisir qui n'allait pas tarder à me submerger. Je plaquai alors la tête de Nassim encore plus contre ma chatte et lui dit :


- Ça vient, t'arrêtes pas !


Ne pouvant, de toute façon pas, s'échapper, Nassim continua son cunnilingus et me donna un orgasme qui me fit grandement gémir. Je me retins de pousser un cri car on nous auraient entendus. Je lui caressai les cheveux puis je le fis se relever. Je l'embrassai langoureusement puis lui dit :


- T'es douée, c'est bien. Ça te dit qu'on aille dans ma chambre pour qu'on baise ?


Nassim sourit et me répondit :


- D'accord, je te suis.


Je lui souris puis je me rhabillai. Je le pris par la main et nous nous rendîmes illico à l'internat, jusque dans ma chambre. Une fois arrivés à destination, je le fis asseoir sur mon lit puis je m'installai sur ses genoux. J'enroulai mes bras autour de son cou avant de lui dire :


- On va passer aux choses sérieuses.


Et je l'embrassai fougueusement, ne lui laissant pas le temps de me répondre. Nassim ne resta pas inactif et pelota ma poitrine à travers mon t-shirt. Il les massait vigoureusement, avec force, tout en répondant à mon baiser avec un ballet de langues dans nos bouches qui étaient plaquées l'une contre par l'ardeur de ce baiser. Je retirai mon t-shirt puis mon soutien-gorge pour libérer ma poitrine et qu'il puisse la cajoler sans obstacle. C'est ce qu'il fit immédiatement en embrassant mes seins et en les caressant. Il se servit de sa langue pour titiller mes tétons qui étaient tout dur. Il était doué mais je voulais goûter à sa queue alors je le repoussai et lui dit :


- Allonge-toi, je vais te montrer ce que je sais faire.


Souriant, il retira son t-shirt, dévoilant un beau torse musclé et légèrement poilu, et s'allongea. Je l'embrassai dans le cou, sur ses pecs ; j'embrassai son torse de haut en bas jusqu'à arriver à son jean. Sans attendre, je défis son jean, dévoilant un caleçon noir déformé par une bosse. Je retirai son caleçon avec mes dents tout en le regardant droit dans les yeux. Son sexe était déjà bien dur: il était d'une taille moyenne, environ 17cm et d'une largeur convenable. Je déposai un baiser sur son gland violacé puis je pris en bouche sa queue, entamant une délicieuse fellation. Nassim gémit et agrippa les draps, s'abandonnant au plaisir que ma bouche et ma langue lui procuraient. Je pris ensuite ses boules dans ma bouche et je les aspirai pour ensuite les faire rouler dans ma bouche. Nassim se tortillait et sa verge palpitait, il allait bientôt jouir. Je ne voulais pas qu'il perde de sa vigueur, pas avant de l'avoir eu en moi. Je retirai alors son sexe de ma bouche puis je lui embrassai le torse avant de l'embrasser sur la bouche pour ensuite lui dire :


- Reste allongé, j'en ai pas fini avec toi.


Nassim ne dit rien, mais me sourit, sûrement impatient de passer à l'étape supérieure avec moi. Je pris un préservatif dans le tiroir de ma table de chevet et je lui enfilai avec ma bouche. Une fois sa bite prête, je m'empalai sur sa queue sans attendre et entamai, pour commencer, de lents va-et-vient. J'allai doucement au début, puis de plus en plus rapidement. Nassim poussa de petits soupirs, appréciant mes coups de reins qui le faisait gémir à chaque aller-retour. Après quelques minutes, il se redressa, m'enserra entre ses bras et se mit à me donner des coups de reins par en-dessous. Il plongea sa tête entre mes seins. J'accentuai la vitesse ma chevauchée, allant au même rythme que lui. Notre corps à corps était intense et très plaisant, le plaisir montait en moi de plus en plus à mesure que notre baise gagnait en intensité. Après encore quelques minutes, je finis par avoir un orgasme qui me fit chanceler. Nassim profita aussitôt de cet occasion pour me renverser et me baiser en missionnaire. Il me prit vigoureusement et logea sa tête dans le creux de mon cou, me l'embrassant tout en me baisant. Je griffai son dos sous le plaisir que sa queue m'infligeait. Il me pilonna avec encore plus d'intensité, de plus en plus vite, m'arrachant des cris de plaisirs à chacun de ses coups de reins. Entre deux coups de reins, il me dit :


- T'es trop bonne April.


Sur ces mots, je retournai la situation. Je le renversai avec mes jambes et je me retrouvai sur lui en position dominante. Nassim mit ses mains sur mes hanches et tenta de me renverser mais je lui donnai un puissant coup de rein qui lui fit pousser un cri et lui pris ses poignets pour les plaquer au dessus de sa tête. Je donnai de puissants coups de bassin et j'approchai ma bouche de la sienne pour lui dire :


- Admire-moi pendant que je te baise, Nassim.


Sur ce, je me redressai et le chevauchai intensément, allant d'avant en arrière et de gauche à droite, ballottant son sexe dans tous les sens. Nassim ne pouvait s'empêcher de pousser un cri à chacun de mes coups de reins. Je le baisai fougueusement, nos deux corps transpirant à cause de l'ardeur de notre partie de jambes-en-l'air. J'allai de plus en plus vite, paralysant Nassim grâce au plaisir que je lui infligeai. Après encore quelques minutes de ce rodéo, nous finîmes par atteindre l'orgasme ensemble, criant de plaisir sous cette vague de jouissance qui s 'était emparée de nous. Fatiguée, je m'écroulai sur Nassim tout aussi épuisé que moi. À demi-mots, il me dit :


- C'était génial April.


Je souris et lui répondis :


- Oui, je sais.


Après un petit temps de repos, Nassim se rhabilla et rejoignit sa chambre, comblé.