La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1116)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
soffrant à tous les délires mentaux de ces cerveaux avinés et excités
Certains invités se levaient comme pour mieux voir mais étaient immédiatement rassis par linvité placé derrière eux qui ne voyait plus rien pendant quelques secondes
Des échanges commençaient entre les voyeurs
La tension érotique montait dans la salle et même les serveurs, pourtant très occupés à déboucher les bouteilles et servir, tentaient eux-aussi de ne rien perdre du spectacle offert, en lançant des coups dil insistants dans ma direction
. Je savais limmense fierté qui devait être celle du Maître, aussi, je poursuivais mes attouchements, devenus maintenant obscènes, en introduisant dans ma chatte, deux, puis trois et enfin quatre doigts tout en continuant à malaxer mon clitoris en feu. Je me branlais profondément la vulve devenue torrent de cyprine, laquelle sécoulait entre mes cuisses en longs paquets de glaire, qui se balançaient entre mon entre jambes, salourdissant au fur et à mesure quen arrivait de nouvelles, parfois se collant sur mes cuisses de salope, parfois ramassées par mes doigts que je léchais vicieusement devant les hommes, pour, ensuite, renfoncer profondément mes quatre doigts dans ma chatte bien ouverte, ce qui me faisait onduler encore plus de la croupe, et javais de plus en plus envies de jouissances, tellement ces envies étaient devenues bien réelles et torrides. Dun coup dil, je regardais Maître qui comprit ma demande charnelle et jouissive faite par mon regard suppliant. Dun discret geste affirmatif, hochant doucement et positivement la tête, je compris Son autorisation à ce que je lâche mes jouissances sans retenue, alors je ne fus pas longue à exploser me mettant à crier mes violents orgasmes
- Ouiiii mer
ciiiii Maître
ouiii ! Ahhhhhhhh !
Je me tortillais en tous sens, la laisse se balançait entre mes seins dont les tétons fripés étaient dressés et allongés.
- Jai de grands projets pour toi, Ma belle petite chienne, de très grands projets
tu es
merveilleuse
- Merci Maître, répondis-je en rougissant
- Messieurs, calmez-vous
calmez-vous !, sadressa-t-il à lassemblée en effervescence, Ma chienne vous a excité et je men réjouis, cétait mon dessein ! Mais je ne vais pas vous laisser sur votre faim ! Je vous loffre ! Elle est à vous pour la soirée et la nuit ! Prenez là par tous ses orifices, baissez-la comme vous voudrez ! Usez et z de son corps à satiété !
Monsieur le Marquis navait pas fini ses derniers mots quune volée de « hourras » se fit entendre suivit dune ruée dhommes bondissant sur mon corps.
Jeu droit à me reposer dans le lit du Maître pour dormir toute la matinée. Laprès-midi fut consacrée à une magnifique balade à cheval en pleine Camargue. La soirée et la nuit suivante marquèrent la fin des deux premières journées si intenses en sensations. Un banquet était prévu en lhonneur du Maître. Pendant que Monsieur le Marquis parlait affaires avec le Manadier, dans le bureau de celui-ci, javais été envoyée en compagnie de Walter, me préparer. Le Manadier nous avait adjoint sa fille, Laure, 20 ans et Michel, un jeune homme travaillant dans la maison, pour nous guider et nous aider. Il était 18 heures, le banquet était prévu pour 21h30. Michel vint nous chercher et nous conduisit vers des chambres annexes aux appartements du Manadier. Cest dans une de ces chambres que je logerais jusquau demain soir et non plus dans le lit du Maître. Michel nous fit entrer, moi et Walter et nous découvrîmes des chambres très bien équipées, lit à baldaquin, très belle tapisserie, salle de bains superbe avec tout le confort
Michel nous laissa, Walter et moi, nous disant de nous faire signe en cas de besoin. Seule avec le Majordome, celui-ci mordonna, avant daller prendre un bain, de me pencher sur le lit, mains posées sur celui-ci, fessier bien offert, ajoutant :
- Si le Maître est particulièrement flatté de ta nuit avec les hommes du Manadier, il est aussi agacé de ce qui lui a semblé, être de ta part un semblant de déviation dans ton esclavage.
Je nétais pas encore penchée sur le lit et jallais répondre quand, très brutalement je reçus deux allers-retours en plein visage qui me firent tomber à terre. Souffle coupé, je mis quelques secondes à comprendre ce qui marrivait. Walter, sans un mot, de son doigt me désignait le lit.
- Que crois-tu que tu sois, petite salope, la reine de la journée ?, parce que tu as réussi à contenter toute une nuit une bande de cavaliers en rut ? Tu nes quune femelle, ne loublie jamais !
- Oui Monsieur Walter, pardon !
- Pardon ? Tu nimagines pas quil te suffise de dire Pardon pour lêtre ! Les femelles comme toi doivent être dressées et punie, cest la Loi du Maître.
Le Majordome sortait de son sac, une cravache, et il commença de me labourer larrière-train, mais si fortement, que jeux la nette impression, pour la première fois, de ne pas résister
Les coups tombaient si forts quà chaque coup reçu, javais la sensation davoir la fesse coupée en deux, ou les cuisses
Je ne puis dire combien je reçus de coups mais alors que jallais mévanouir, Walter jeta sa cravache. Je souffrais tellement que je me mis à trembler fortement, si violemment quil sen rendit compte
- Ça va ? me demanda-t-il ?
Pas de réponse tant javais mal, très mal, mais je ne lui en voulais pas et en plus, je comprenais bien que Maître avait bien senti que jen profitais davoir réussi à vider les couilles des hommes du Manadier et que jen faisais un péché dorgueil, ors une esclave na pas à avoir dorgueil ni dinsolence
.
- Réponds-moi, ça va ?
- Oui, Monsieur Walter, ca
..va
(en fait, ça nallait pas du tout)
- Relèves-toi, alors !
Tandis que je me relevais, je tombais devant lui tant la douleur me faisait plier sur mes cuisses en feu
Walter me rattrapa, me prit dans ses bras, me levant comme un fétu de paille, (inquiet même) il mallongea sur le lit, mais, posée sur mes fesses, je fis un tel bond tant la douleur des marques sur les fesses était cuisante, que je me remettais immédiatement sur le ventre
Il me laissa ainsi un bon moment et se rendant compte que je métais enfin calmée, après avoir vérifié les marques qui lui paraissaient, certes bien frappées, mais sans danger, mordonna à nouveau de me relever
- Remets-toi comme tout à lheure ordonna-t-il !
Pendant une seconde je ne bougeais pas, (la peur que cela recommence) puis jobéis. Je lentendis défaire son pantalon, sans le voir, le sentit poser ses mains battoirs sur mes fesses, enfin aux endroits non marqués, les écartant, puis il posa son gland sur ma rosette qui se ferma puis immédiatement souvrit. Walter nétait ni mauvais ni méchant, il appliquait seulement les consignes données par le Maître. Il poussait, sa bite forçait mon ouverture anale, je tentais décarter encore plus les jambes, pour mouvrir plus, et peu à peu, me détendant, il senfonçait lentement mais sûrement en mes fesses. Avec lui, cette sensation dêtre remplie métonnait toujours, il était si gros que je ne pouvais ressentir autre chose que dêtre rassasiée, pleinement remplie
Il senfonçait profondément à chaque fois et ensuite commençait ses mouvements de piston, lents au début, puis de plus en plus forts, puissants, dévastateurs ce qui, immanquablement, et malgré les douleurs, mamenait à déclencher en moi des pulsions orgiaques. Son travail, méticuleux, dallers-retours, élargissait ma muqueuse anale mais en même temps, labourait profondément mon rectum comme le ferait le soc dune charrue. Le Majordome en vieux connaisseur de la chose féminine, savait sy prendre, alternant les fortes poussées, les violents coups de reins avec les moins forts, contrôlant de ce fait la montée des désirs en la femelle que je devenais à chaque fois avec lui. Walter avait un self contrôle incroyable et il pouvait me pistonner ainsi pendant près de trente minutes sans faire montre dune quelconque arrivée de son foutre. Cest ce quil fit en cet instant ; après un labourage systématique qui me faisait « oublier » mes douleurs, il ressortit complètement laissant béante louverture anale. Ensuite, il senfonça sans préambule dans ma chatte gluante, jusquau fond, me remontant le col utérin
.
(A suivre
)
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