Autoroute A1 Pour Assouvir Un Fantasme
En ce mois de juillet, je me sentais joyeux et libre. La légèreté du vent atténuait le poids de la chaleur de la journée. La lune inondait le ciel et la terre de sa clarté blafarde. Jétais heureux !
La voiture serpentait sur lautoroute, à travers la nuit. Les feux de croisement disputaient la clarté aux rayons de la lune sans permettre de savoir lesquels lemportaient. Mon esprit était en paix, les muscles de mon corps détendus. Ma conduite restait calme, lil distrait sur les ombres du paysage que la nuit me laissait percevoir.
Petit à petit, mes entrailles se crispaient, un poing enserré mes tripes, une force mempoignait les testicules. Ma verge se raidissait. Rapidement je faisais le lien entre leffet et la cause : la proximité de laire dautoroute à la sortie de Paris en direction du Nord. Effectivement, le péage nétait pas encore passé. Javais quelques souvenirs de ce lieu.
Très rapidement une envie occupa mon esprit. La vielle tentation dune expérience un peu extrême, inédite pour moi, faite à la fois dimprévu, donc de risque ; du souhait datteindre un orgasme toujours plus fort, plus voluptueux ; du secret espoir dêtre entièrement possédé, donc dêtre une chose aux mains dun autre, refaisait surface. Ce fantasme, apparu à mon adolescence alors même que je ne connaissais encore rien à la sexualité, trouvait à se réaliser ce soir. Si je le voulais.
Machinalement, je mettais mon clignotant pour mengager sur laire dautoroute. Comme toujours en ce lieu, malgré la nuit, il y avait du monde. Des voitures du moins car on ne voyait pas grand monde, à part quelques ombres furtives, vite reprises par les ombres de la nuit.
Je restais quelques instants à réfléchir à la façon de my prendre. Ma connaissance des lieux me permettait de savoir que les choses sérieuses des déroulaient quelques dizaines de mètres plus hauts, sur le talus, dans la frange boisée qui bordurant le territoire autoroutier.
Rapidement, je décidais de ne garder quun teeshirt ample et un short lare sans slip. Cela me garantissait de me dévêtir et de me revêtir rapidement selon les circonstances. Les baskets aux pieds me permettraient de me déplacer sans encombre.
Je quittais la voiture et rejoignais mon territoire de chasse rapidement.
Je sentais ma queue déjà gonflée dexcitation. Mon short présentait une bosse sans équivoque, même pour le plus puceau des pd que je pourrai croiser cette nuit !
Je rejoignais une table en béton, installée à quelques mètres de la zone boisée où lon percevait des mouvements furtifs, typiques des mecs qui se jaugent dans la nuit avant de concrétiser leurs intentions lorsquils pensent avoir trouver chaussure à leur pied, ou plutôt bite à leur gout.
Posément je me dévêtissais intégralement, ne gardant que mes baskets aux pieds. Tout aussi posément, je me postais à quatre pattes sur la table, mettant mon short sous un genou et le teeshirt sous lautre. Ma posture, jambes bien écartées, croupe pointée en lair par les reins creusés, ne laissait aucun doute sur mon attente.
Une attente qui se fait plus longue que prévue ! Si je perçois des mouvements discrets dans mon dos, je ne perçois aucune initiative ! Petit à petit, le nombre des curieux augmente. La fréquence des allées et venues se fait plus dense. Je perçois maintenant des chuchotements, quelques rires gras vite étouffés. Visiblement, la proie offerte que je constitue librement intéresse, interpelle et fait hésiter !
Enfin, je perçois une présence dans mon dos, très proche. Silencieuse. Presque inquiétante de ne savoir quelles intentions précises lhabite. Puis une main rugueuse crasse ma croupe, palpe mes fesses.
Conformément à mon fantasme, je ne dis rien. Jai décidé de nexprimer aucun son, pour quelque motif que ce soit.
Bientôt, une autre présence se fait sentir. Sur le côté cette fois. Très vite un bassin se présente devant mon visage. Une paire demain assez fine, de ce que je peux en juger dans la faible clarté, baisse un pantalon de survêtement pour découvrir une bite de 16 17 cm de long.
Me voilà de nouveau seul, toujours le cul en lair et loin dêtre rassasié.
Je commence à me demander si je ne devrai pas men aller ou du moins de changer de coin.
Soudain, un frôlement me fait sursauter. Je ne rêve pas, une bite vient de frôler mes fesses. Pas de doute, le nouveau frôlement me fait reconnaitre le liquide séminal qui pointe au bout dune queue. La bite frôle mon entre fesse, plus quelle ne le caresse. Le contact est doux, chaud. Agréable. Cela dure un bon moment jusquà ce que des mains fermes mécartent bien les globes fessiers et quune langue vienne mouiller mon intérieur. La langue part de la base des couilles pour remonter doucement le long de la raie en sattardant sur ma rondelle. Sublime. Tantôt la langue est plate et large. Tantôt elle est en fuseau et cherche comme à me pénétrer lanus. Dans tous les cas, cela fait grossir en moi la boule de désir qui massaille les tripes depuis que mon inconnu ma pris en main.
Le manège dure longtemps. Si longtemps que je finis par pousser un soupir gémissant, démonstratif de ma jouissance silencieuse. « Voilà, maintenant je te sais prêt ! », la vois est basse, grave et chaleureuse. Mon type est dans la trente quarantaine dannées. Et visiblement, il sait ce quil fait, où il en est et jusquoù il veut aller ! Moi aussi dailleurs, je sais où je veux aller : au septième ciel ! mais comment et quand, cela ne dépend pas de moi !
Mon type entreprend à nouveau de me stimuler lanus avec sa bite.
Maintenant, son gland sattarde plus fréquemment sur ma rondelle. Par petits « à coup », il pousse se verge vers mon cul. Il alterne ses vas et viens avec des périodes plus ou moins longue dattentes. Cela excite ma libido, stimule mon érection, renforce la boule qui me prend les tripes. Petit à petit, je sens ma jouissance monter le long de la verge sans pour autant aller jusquà exploser.
Cela en devient un supplice. Un délicieux. Mais terrible supplice. Un supplice dont on souhaite quil cesse tout en espérant quil perdure !
De nouveau, le gland de mon type est posé sur mon anus.
Ny tenant plus, je prends une profonde aspiration et projette mes reins en arrière de toutes mes forces.
Je sens immédiatement le gland me forcer les sphincters. Mon type lâche un « enfin, il a compris ! ». Je lentends à peine. Déjà, je me suis dégagé et jai reprojetté mes reins en arrière pour me réapproprié cette queue qui me parait énorme. Sans doute parce que je suis réduis à en deviner la taille, ou parce que mon désir est tel quun fétu de paille me donnerait autant de jouissance ? la réponse mimporte peu ! Ce qui compte est que mon désir sépanouisse en une jouissance libératrice.
Très vite je sens la queue de mon type se raidir encore plus quelle ne lest. Dans le même temps, je sens ma jouissance monter également.
Nous nous libérons au même moment, lui en moi et moi en large giclée de sperme qui viennent sétaler sur le béton de la table.
Nous restons plusieurs minutes collés lun à autre. Sa voix grave et douce me chuchote à loreille « tu es un sacré bon coup. Je passe ici tous chaque vendredi à samedi jusque 5H. ». Moi, je ne réponds rien. Je suis groggy. Je sens sa queue quitter doucement mon rectum au fur et à mesure quil débande. Ma jouissance a été peine et entière.
Je reste encore quelques minutes sans bouger pour reprendre mes esprits. Jenfile ensuite mon short et mon teeshirt avant de rejoindre mon véhicule. En reprenant place au volant, la sensation de mouillé au cul me rappelle à la triste réalité du sodomisé qui pisse le sperme par le cul. Jen souri. Je suis seul avec moi-même et don mon seul juge !
Trente minute plus tard, je suis sous la douche à mon appartement. Le linge est déjà dans la machine à laver. Je me glisse entre les draps frais. Mes rêves et les bars de Morphée prennent vite le dessus sur la brulure qui me déchire le cul davoir été ainsi sodomisé.
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