Les Routiers Sont Sympas - 1

LA FEMME DE L'INGENIEUR

Bonjour,
Comme les autres, cette histoire est vrai. Pour préserver leur anonymat, les prénom et les noms des personnes ont été changés ainsi que certains lieux.
Ayant quitté l'armée avec tous mes permis le conduire, j'ai retrouvé un emploi le conducteur routier international longues distances.
C'est ainsi qu'un jour je me retrouve dans une fonderie, près de Santander, en Espagne pour livrer vingt cinq tonnes de ferraille.
Le déchargement est en cours. Je suis près le la porte du hangar quand un homme d'une cinquantaine d'années, vétu d'une blouse de travail bleue, coiffé d'un casque le chantier, chaussé de gros brodequins de sécurité m'aborde. Il parle français :
« Bonjour, je suis monsieur Jacques Martin, ingénieur d'une entreprise qui monte un nouvel hangar métallique ici ;
Bonjour, je suis joseph Dupont, le chauffeur de ce camion ;
Vous avez un chargement pour votre retour ?
Non, on m'a donné l'adresse d'un affréteur de Santander. Je dois le contacter.
Nous avons dix huit à vingt tonnes de matériel pour Ruffec en Charente,.. »
Il m'explique en quoi consiste ce chargement. Le chantier étant presque fini, c'est du matériel de montage qui est «rapatrié« vers l'entreprise.
Je téléphone à l'affréteur qui n'avait rien à me proposer. Je téléphone à mon patron pour le mettre au courant de la proposition ; Il est d'accord pour faire ce transport...
Mis au courant, monsieur Martin me dit :
« Quand votre camion sera vide, en sortant, à gauche, vous suivrez ce bâtiment. Au bout, vous verrez notre chantier. On vous y attendra pour commencer à vous charger.
« D'accord. »
Je fais comme il est dit. Près du chantier de montage, on me fait garer au milieu d'une aire de stationnement pour permettre aux charrionts élévateurs de faire le tour de ma semi-remorque.
L'ingénieur, supervise les manœuvres. Il me dit :
« Nous ne finirons pas de vous charger ce soir.

Demain matin on commencera à six heure... Vous couchez dans votre camion ?
Oui...
«C'est bien ce que je pensais. Les portails seront fermés dès notre départ. Je vous donne ce badge.
Vous aurez la possibilité de passer, à pied, par le poste de garde. En remontant l'avenue, à environ trois cents mètres, il y a un restaurant. C'est là que nous allons manger le midi. Ils sont prévenus, ils vous serviront un repas qui vous est offert par l'entreprise. 
Je vous remercie beaucoup...
J'aurai un service à vous demander...
Dites toujours, si je peux, ce sera avec plaisir...
Nous habitons à Angoulème. Il y a 15 jours, mon épouse, qui ne travaille pas, est venue me rejoindre pour visiter la région. Faire le voyage du retour par le train est particulièrement pénible. Elle doit changer de trains à la frontière avec deux heures d'attente au moins, puis à Bordeaux avec deux à cinq heures d'attente suivant les horaires... Mon épouse étant d'accord, j'ai pensé de demander aux chauffeurs, qui transporteront ce matériel, si l'un d'eux accepterait le la prendre à bord... Comme vous ètes le premier, je vous demande si vous voulez bien amener ma femme à Angoulème ?
Ce sera, sincèrement, avec plaisir...
Je vous remercie par avance... Elle sera là demain matin. »
Nous nous quittons sur cet accord.
Le lendemain matin, je suis réveillé par l'équipe de chargement qui se remet au travail.
Je quitte ma couchette, m'habille et descends de la cabine.
M'apercevant, l'ingénieur s'avance, après les salutaions d'usage, il me demande :
« Hier soir, vous avez bien mangé et cette nuit bien dormi ?
Oui... Ça ira mieux après le petit déjeuner et un brin de toilette...
Pour cela, ici il y a tout ce qu'il faut. Prenez vos affaires et suivez-moi... »
Nous nous dirigeons vers un bâtiment « en dur ». En passant près d'une voiture, monsieur Martin ouvre la portière avant droite. Une femme en descend. Brune, d'environ un mètre soixante dix, vêtue d'un manteau léger et d'un pantalon dont le bas des jambes recouvre des bottines.
Bon chic bon genre, belle femme, un peu fière peut-être ; elle parait avoir une vie bien rangée. Je pense qu'elle doit avoir environ quarante ans :
« Je vous présente Raymonde, mon épouse (me dit l'ingénieur) ; Raymonde, je te présente monsieur Joseph Dupont qui a accepté d'être ton chauffeur...
« Enchantée, monsieur (me répond la dame)
Enchanté aussi de faire votre connaissance... »
Nous entrons dans un local qui sert le vestiaire aux ouvriers. Dans un angle, il y a tout ce qu'il faut pour préparer du café, un petit réfrigérateur, sur une table, des corbeilles avec du pain et des viennoiseries.
Me montrant une porte, marquée « TOILETTES », monsieur Martin me dit :
« Il y a aussi des lavabos et deux cabines le douches... Vous pouvez aller faire votre toilette... Pendant ce temps, nous allons préparer du café...
Je veux bien... Merci,
Douché, rasé, parfumé, je rejoins le couple qui m'attend pour partager le petit déjeuner.
Tout en mangeant, nous discutons de choses et d'autres. Le temps passant, quand nous sommes sortis, l'équipe avait fini le chargement. Je vérifie que tout était bien arrimé. Je ferme les ridelles et je mets le moteur en marche.
Monsieur Martin me fait passer la valise le sa femme. Je la range sur la couchette (la valise, pas la dame). Avant le se séparer, le couple Martin s'embrasse rapidement, madame monte à bord, s'installe sur le siège passager.
Par la vitre ouverte, monsieur, resté au sol, vient me serrer la main, me remercier, nous souhaiter un bon voyage et « soyez sage » nous recommende-t-il.
Après avoir roulé une cinquantaine le kilomètres, en pleine campagne, trouvant une place en bordure le la route, j'arrête le camion.
D'un ton légèrement inquiet, madame Martin me demande :
« Pourquoi vous vous arrêtez ?
Ne vous inquitez pas... Le chargement a du se tasser... Je vais vérifier que tout est en place et retendre les cables d'arrimage »
Ha oui.
.. Je croyais autre chose,,, »
Les vérifications faites, je remets en marche et nous roulons... Les kilomètres défilent... Le temps passe... L'autoradio diffuse en sourdine une musique d'embiance... Nous discutons de banalités diverses. Plus nous parlons, plus l'atmosphère se détend, devenant plus « conviviale ». J'aprends que monsieur Martin avait cinqante quatre ans, madame en avait presque cinquante deux. Ils étaient mariés depuis plus le vingt ans. Ils avaient une fille unique, lieutenant dans la police nationale. Monsieur, ingénieur dans une entreprise le construction de batiments métaliques, est souvent en déplacement. Madame était aide comptable dans un cabinet qui a fait faillite. Licenciée, après avoir perçues ses indemnités de chomage, elle n'a pas recherché de travail :
« Mon mari gagne assez pour nous deux... Je veux profiter de ma liberté, le la vie !  », me dit-elle
Au fur et à mesure de notre conversation, nous en étions arrivés à nous faire des confidences de plus en plus intimes,
Vous, vous ètes célibataire ou vous avez une copine ?
Non, je n'ai ni femme ni copine... Pour le moment je ne tiens pas à en avoir... Un peu comme votre mari, mon métier de chauffeur routier c'est toujours sur les routes... Si un jour je me marie, et j'y pense, je ne voudrai pas imposer à ma compagne d'être jamais à la maison... Je voudrai voir grandir mes futurs s...
Vous avez bien raison. Ma fille et moi, nous avons souffert de l'absence de mon mari. Aussi, maintenant que je ne travaille pas, que notre fille a une bonne situation, je compte bien profiter le la vie... Ça ne vous manque pas une relation féminine ?
Quand j'ai l'occasion de rencontrer une fille ou une femme qui me plait, je drague, si elle répond favorablement, si elle a envie, faisons l'amour uniquement pour le plaisir...
Croyez-vous que je sois une bonne occasion ?... »
J'ai peine à croire que cette femme, qui pourrait être ma mère, avec son air et son allure respectable, me pose une telle question.
J'ai quelques secondes d'étonnement. Je la regarde mieux... Elle dégage un certain charme, son visage, sans maquillage, sans une ride, avec ses yeux clairs, est tout en douceur. Ses cheveux bruns font ressortir la blancheur de sa peau. Sa poitrine, sous un chemisier blanc légèrement décolleté, a l'air encore bien ferme. Elle semble me défier du regard et attends ma réponse :
« Madame, je vous trouve charmante, encore désirable... Mais votre mari vous à confiée à moi, je ne me permettrai pas le trahir cette confiance...
Laissez mon mari ou il est... Je vais vous parler franchement ! Je vous ai dit que je voulais profiter le ma liberté. Croyez-vous qu'à mon âge, je n'ai pas, de temps en temps, envie d'avoir du plaisir. Mon mari n'est pas toujours là pour me satisfaire... Et quand il est là, il a quelques problèmes d'érection... Alors, j'ai quelques vieux amis pour partager ces moments de solitude... Avec vous, si vous voulez, j'ai l'occasion le satisfaire un fantasme...
Lequel ?
Ma faire baiser par un jeune homme...
Je vais vous décevoir madame, je ne vais pas vous baiser parce que je n'aime pas ça...
Vous allez pas ma faire croire que vous aimez le hommes ?
Bien sur que non ! J'aime trop les plaisirs du sexe. Je ne baise pas. Avec une femme consentante, ensemble, on fait l'amour...
C'est pas pareil ? Qu'elle est la différence ?
Pour moi,  baiser a un sens péjoratif. On se met nus, quelques caresses, on s'accouple, l'homme éjacule, la partenaire gémit le plaisir ou fait semblant d'en avoir, on s'embrasse et chacun part le son côté, heureux d'avoir « tiré un coup » pour lui, de s'être faite baiser pour elle.
Faire l'amour, c'est quoi ?
C'est d'avoir librement choisi de passer à l'acte ; C'est se prépérer ; c'est se parler. Chacun exprime ses désirs, ce qu'il ou qu'elle souhaite faire. Puis ce sont de longues caresses sur tout le corps et surtout les parties sensibles et intimes. Enfin, c'est l'accouplement proprement dit, tout en finesse et en douceur, chacun « à l'écoute » des réactions le l'autre, jusqu'à « lexplosion finale ». Voila comment je conçois ma relation intime avec une partenaire,
Bravo ! C'est bien dit ! Mais, dans le « feu le l'action », vous ètes capable de respecter cette théorie ?
Chère madame, si vous voulez toujours, nous allons « faire l'amour » à ma façon. Je suis persuadé que vous ne le regretterez pas.,,
Bien sur que je veux. Puisque nous en sommes à de telles confidences, on pourrait se tutoyer,
Pas de problème, je veux bien...
Il me tarde... Rien que d'y penser, je mouille déjà...
Il vous faudra un peu le patience. Dans une demi heure il sera midi. Nous irons manger et après on trouvera un coin tranquille... Pendant ce temps, pensez à ce que nous allons faire, comment nous allons faire, ce que vous voulez faire, ce que vous voulez que je vous fasse... Fantasmez.
Oui j'y pense depuis un moment... J'espère que je vais connaître des choses nouvelles...
Par exemple, combien de fois un homme t'a faite jouïr au cours d'un rapport sexuel ?
Franchement, pas souvent... J'ai eu du plaisir mais rarement un orgasme... C'est moi qui « me finissais » avec le doigt...
Combien de fois un homme t'a « léchée» la vulve, a mis sa langue à fond entre tes petites lèvres, a sucé ton clitoris jusqu'à « l'extase » finale ?
Jamais...
Pense que c'est ce que tu va subir tout à l'heure... Je n'ai jamais pénétrée une partenaire tant qu'elle n'avait pas eu au moins un orgasme avant. »
La temps passant, j'arrête sur le parking d'un restaurant « Routier » ou de nombreux camions sont déjà stationnés (signes de bons repas).
Après avoir mangé, nous repartons. Je roule jusqu'à une aire de stationnement, toute en longueur, en bordure de route.
Sitot arrêté, les rideaux de cabine tirés, je me retrouve en tête à tête avec ma passagère. Ja l'ai à ma merci. Tout devenait possible... Je dois tenir les promesses que j'ai faites... Je ne dois pas la décevoir... Je franchis l'espace entre les sièges pour m'assoir à sa place et la prendre sur mes genoux. Sans paroles, nos lèvres se joignent en un long baiser fougeux... Je commence à déboutonner son chemisier... Elle passe une main sous mon t-shirt... Le soutien gorge va rejoindre le chemisier sur le siège du conducteur... Mon t-shirt passe par dessus ma tête... Elle se soulève pour laisser passer son pantalon sous ses fesses... Elle défait ma ceinture et ouvre ma braguette... Elle quitte ses botines et son pantalon... Nous nous levons, mon pantalon va rejoindre les autres vètements sur la siège de gauche... Elle à un petite culotte en coton blanc bien mouillée devant... Je suis en slip avec un verge bien tendue à l'intérieur... Je me baisse devant elle tout en faisant descendre le dernier obstacle me cahant le vue de sa vulve... Elle baisse mon slip, libère mon peu le chair en le faisant passer par dessus l'élastique... Je la fait assoir, écarte ses cuisse et commence à caresser sa chatte... Elle pose ses mains sur ma tête, se raidit un peu, s'immobilise...
Étant accroupi, cette position me permet d'admirer ses fins jambes, bien galbées, ses cuisses rondes sans une trace le cellulite, sa minette aux grandes lèvres couvertes de longs poils noirs « frisotants », et d'un fin duvet en bordure. L'index et le majeur le ma main gauche fouillent sa grotte d'amour, le pouce fait des cercles appuyés sur le capuchon couvrant son clitoris. Ma main droite lui caresse le fesses et le bas du dos,
J'entends son souffe le plus en plus court, le plus eplus rapide. Elle a quelques soubresseaux de bassin. Tout en déposant le petits baisers sur son ventre, ses seins, son visage, je me relève, l'attire dans mes bras pour la faire allonger sur la couchette. Sa chevelure brune étalée sur l'oreiller, met en valeur ses yeux. Son regard est « perdu » vers le plafond le la cabine. Je lui « mordille » le lobe le l'oreille. Toujours en la « baisouillant », je descends vers son entre jambe. En apassant je remarque ses seins, un peu lourds, mais bien fermes. Je m'attarde un peu pou « titiller » les tétons bien tendus et durs. Continuant ma progression, j'arrive sur son pubis. Avec le doigts, j'écarte ses lèvres intimes, dégoulinantes le mouille. J'y introduit ma langue, le plus profond possible pour boire à cette source qui semble intarissable. Raymonde a un petit sursaut de surprise et un râle de plaisir. Je « lèche » trois ou quatre fois, le bas vers le haut. Chaque fois ma langue vient en contact contre son clitoris qui grossit de plus en plus. Quand je le sens « gonflé » au maximum, Je l'aspire entre lmes lèvres,ma langue le « chatouille » par petits cercles bien apputés. Le résultat ne se fait pas attendre. Les mains le Raymonde viennent appuyer sur ma tête pour m'inviter à continuer et d'aller encore plus profond. Son bassin est pris de convultions frénétiques, elle se cambre, râle de plus en plus fort jusqu'à pouser un vrai cri de jouissance.
Je la laisse s'apaiser, attends qu'elle reprenne une respiration normale.
« Alors, c'était bon ?
Oui ! Je crois que je n'ai jamais autant jouï de ma vie... Jamais un homme n'avais mis sa langue aussi profond que toi... J'en suis encore toute retournée...
Ce n'est qu'un début... Un peu comme un amuse bouche... »
Etant en bas le la couchette, les dimensions le la cabine étant assez réduites, c'est courbé que je monte et mets un genou le chaque coté du buste le ma partenaire. Cette position me permet d'avoir mon sexe, raide bandé, au-dessus le ses lèvres.
« Si tu veux, tu peux l'embrasser, le sucer...
Mon Dieu ! Quel engin ! Jamais je pourrai...
Essaye... »
Elle embrasse mon gland, le prend entre ses lèvres, sa langue le lèche en y faisant le tour... je passe mes mains sous sa tête et, doucement, la soulève tout en avançant mes hanche. Raymonde ouvre toute grande sa bouche, mon pieu le chair glisse lentement dans cette antre chaude et humide. Arrivé presqu'au fond, elle place ses mains sur mes cuisses et me pousse en arrière. Je me recule jusqu'à la limite le ses lèvres
« Tu veux que je sorte ? Tu veux que je continue ?... »
Ne pouvant parler, c'est d'un hochement le la tête qu'elle m'invite à continuer. Je reprends mes vas et viens en faisant attention de pas « buter » au fond de sa gorge. Sentant l'éjaculation proche, je me retire et recule jusqu'à ce que mon sexe se trouve à l'entrée le son puits d'amour.
Doucement je fléchis des cuisses. Je sens mon gland qui vient en contact avec ses lèvres intime. Passant une main, avec les doigts j'ouvre et entre dans cette caverne accueillante. A l'intérieur, l'abondance le cyprine et « l'élasticité » des chair me permettent de la pénétrer en douceur, sans souffrance...
Raymonde, sourire aux lèvres, yeux mi clots, regard « dans le vide » savoure son plaisir. De quelques petits coups le reins, elle m'invite à aller jusqu'au fond. Arrivé à cette étape ultime, je commence mes vas et viens cadancés.
Très vite, Raymonde à le souffle court qui s'accélère. Elle rythme le mouvement le son bassin de telle façon que mon sexe frotte son clitoris à chaque entrée et sortie. Je sens mon pénis gonfrer encore plus. L'abondance de « mouille » facilite le glissement. Les râles du plaisir qui roulent au fond de sa gorge, montent « cressendo » jusqu'aux hurlements de l'explosion finale. Elle se cambre, tout son corps se raidit, tremble comme s'il recevait des décharges électriques. C'est l'orgasme ! Je ne peux me retenir d'avantage. Bien enfoncé, je décharge toute ma « purée » en longues giclées brulantes. Sa jouissance se prolonge jusqu'à ce qu'elle « tombe » inanimée sur la couchette. C'est la « petite mort » si chère à Ambroise Paré.
Cette « chute » m'a « débrabché ». Je me retrouve à genoux entre ses jambes. Sa vulve, encore ouverte, dégoulinate de cyprine et de sperme... Quand elle revient à elle, d'un coup de langue, je ramasse un maximum de ce mélange et colle ma bouche à la sienne pour lui faire connaître le goût le l'amour en un long et fougueux baiser :
«Ça va mieux ? Tu es contante ?
Oui ! Avec un homme, je n'ai jamais joui autant joui de ma vie,,,
Maintenant, tu sais quelle est la différence entre baiser et faire l'amour...
J'ai appris beaucoup de choses...
Lesquelles ?
Il faut prendre son temps ; il faut y aller doucement... Je ne savais pas qu'on pouvait jouir sous les «coups de langue« ou en suçant le clito. Jamais un homme ne m'avait fait ça...
Ce n'est que notre «première fois"... Dommage... J'ai d'autres «petites astuces« pour faire monter une partenaire au septième ciel...
Oui, c'est bien dommage... me dit-elle avec un sourire malicieux sur les lèvres.
Tu vois, il n'y a pas besoins de faire de longs discours... Nous avons "besogniés" prsque pendant une demi heure sans dire un mot... Nous nous sommes quand même compris... Maintenant, il faut repartir...
Je voudrai bien faire un brin de toilette... Regarde, j'en ai plein les fesses et les cuisses...
Sous la couchette, j'ai un petit bidon plein d'eau... et un rouleau de papier «essui tout... ici, un gant et une serviette de toilette...»
Après une nettoyage sommaire, nous nous rhabillons, chacun reprenant sa place, je mets en route.
En milieu d'après midi on arrive à Angoulème. Pendant que nous roulions, Raymonde m'avait expliqué ou je devrais la déposer. Sa valise étant trop lourde, je doits la garder, d'un coup de voiture, elle viendra la récuperer ; Entre Angoulème et Ruffec, il n'y a que cinquante kilomètres, m'avait-elle dit.
Je fini d'arriver à l'entreprise pour livrer mon chargement. L'un des responsable, après avoir vu le volume de matériel, me dit qu'ils doivent trier et ranger. Cela demandera du temps. Mon camion ne sera pas libre avant demain dans la matinée.
«Ce n'est pas grave... Si cela ne vous gène pas, je vais décrocher la semi remorque. Avec le «tracteur« j'irai manger et dormir dans un relai routier. Demain matin, je serai devant votre porte à l'heure de votre embauche.
Bon d'accord... Demain, on commence à sept heure et demi...»
Je dételle, laisse la semi dans la cour, et vais stationner sur la zone pour attendre Raymonde qui doit récupérer sa valise.
Environ un quart d'heure après, je vois une voiture arriver en faisant des appel de phares. C'est elle, elle avait reconnu le camion. Je lui explique pourquoi je me trouve là et lui demande si elle connaissait un restaurant routier pas très loin.
« J'en connais un bon à Villegats, c'est en revenant vers Angoulème... suis-moi, je vais te faire voir...»
Chacun reprenant son véhicule, nous nous retrouvons sur le parking du restaurant. Je preds la valise et la dépose dans le coffre de la voiture. Je m'avance vers Raymonde pour l'embrasser et lui dire au revoir. Elle m'arrête et me dit :
«Tu ne vas pas dormir dans ton camion... Prends tes affaires, je t'invite chez moi. Tu pourras te doucher, manger, dormir. Demain matin je te ramènerai ici...
Tu es sûre que je vais pouvoir dormir ?
On verra bien... Viens ! »
Je monte dans la voiture, à coté de cette femme qui a une vie confortable, mais qui a « le feu aux fesses » et n'hésite pas, quand l'occasion se présente, de «se faire baiser par un jeune homme« selon ses dires...
Mais cela est une autre histoire...
Á suivre...
Petikokin

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