La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1117)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
Ensuite, il senfonça sans préambule dans ma chatte gluante, jusquau fond, me remontant le col utérin
Là, ses coups de reins se firent plus puissants, plus vifs, et ils déclenchaient cette fois, en moi, carrément des envies de jouissances. Je sentais monter les orgasmes, mon clitoris gonflé, tentait de se montrer, et de temps en temps, Walter passait dessus ses gros doigts
Alors que je le sentais venir, il sortit à nouveau de ma chatte en effervescence, me laissant à nouveau en manque, me fit me mettre à genoux devant, et dun regard dominateur de sa part, je compris que je devais ouvrir la bouche. Sans plus de précaution, le Majordome senfonça dans ma bouche, tandis que ma petite langue commençait à lécher sa tige enduite de ma cyprine alors que ma chatte et mon cul criait famine
Au point den avoir des douleurs dans le bas-ventre
Il sactivait tout seul, me tenant par les cheveux, et juta en un long jet saccadé de foutre, que javalais rapidement. Il était resté planté dans le fond de ma gorge, mempêchant de respirer convenablement quand il me dit :
- Tu suces bien mieux quà tes débuts, petite chienne, je te trouve bien meilleure lécheuse maintenant
Ne me demandez pas le pourquoi de ma réaction
je ne le sais pas, mais tandis quil me fixait et quil avait toujours dans le fond de ma gorge, son gland si doux, qui suintait encore, des larmes arrivèrent à mes yeux au début, légères, puis à force de me fixer de son regard toujours aussi dominant, plus abondantes
Je pleurais tout simplement, car ses mots eurent sur moi un effet dun tel compliment, que je sus, en cet instant précis, que javais passé un palier dans mon dressage. Me prenant par les joues, (ses mains dépassaient la largeur de mes joues) je posais les miennes sur les siennes et frottaient mon visage contre ses mains
Il se laissait faire comme pour le remercier de ce compliment dont je savais que sil avait été dit par le Majordome, cest que Monsieur le Marquis dEvans nen pensait pas moins, sans me le dire bien sûr.
Enfin, il glissa en moi et à nouveau, sentir ce bâton si gros, si chaud, glisser en moi, envahissant totalement mon espace vaginal, lécartelant même, me donna de tels frissons denvies que je laidai, par de petits coups de bassin à senfoncer encore plus en moi
Alors quil était aux trois-quarts entré, la sensation demprise que javais, de possession en mon corps chaud de désirs, était telle, que dun coup de cul je menfonçais entièrement sur lui, jusquau fond me faisant relever la tête violemment dans un :
- Ahhhh cest bon Monsieur Walter !
Surpris, le Majordome accéléra alors comme un forcené, avec de tels coups de reins virils et puissants quà chaque fois il menvoyait sur le lit, il me retenait par les épaules pour mempêcher de lui échapper
Il me labourait violemment, me secouait en tous sens, devenant une barque sur la mer déchaînée, je sentais ses couilles battre mon clitoris en un rythme régulier
je hoquetais
je bavais
ma vue se brouillait
mes seins remuaient en tous sens navais plus quune envie : jouir, mais Walter en fin limier, savait faire durer le plaisir au point de rendre complètement folle et malléable la femelle quil travaillait
Alternant les cadences, les enfoncements profonds et vifs, les forces de pénétrations, il me conduisait là où IL voulait memmener
Je devenais son objet de luxure et jaimais cette sensation dobjet
De temps en temps, il ressortait complètement de ma chatte et je mentendis dire tout haut :
- Noooon, encoooore !
Il riait alors, et sans avertissement de sa part, senfonçait, entièrement, jusquau fond de ma vulve trempée, me faisant gémir encore de plaisirs, puis hurler denvies de jouissances fortes, tant il prenait son temps
Enfin, je sentis que la fin arrivait, ses coups de reins toujours plus forts, puis violents, me relevant du lit, jusquà devenir explosifs même
mes fesses suivaient le massage imposé par le bas-ventre de Walter, ses couilles tapaient fortement mon clitoris, la jute nétais pas loin, moi, je nen pouvais plus dattendre, quand soudain, je sentis que son gland durcit puis envoya ses jets de sperme chaud qui vinrent cogner dans mon fond vulvaire.
- Monsieur le Marquis, je crois que je me suis endormi, veuillez men excuser, dit tout penaud Walter.
- Il me semble, en effet, mon ami, il me semble
. Sais-tu lheure quil est ? 21H15, Walter ! 21h15 ! Le banquet est pour 21h30 ! Tu devrais être prêt et Ma petite chienne aussi, non ? Walter, cest la première fois que je te trouve ainsi, en si bomme compagnie comme un petit couple qui vient de se retrouver
Le Majordome ne savait plus où se mettre présentant de nouveau ses plates excuses tandis que moi, je dormais du sommeil, béate, repue
Tout dun coup, je fus réveillée par un coup de canne sur les fesses, de la part du Noble, coup si fort, que je bondis du lit, quelques secondes
ailleurs
même la vue du Maître ne me fit pas « revenir » très vite
assez malheureusement pour mentendre dire :
- Petite salope, tu me le paieras, sois-en assurée !
En une seconde, je revins sur terre, et je compris, mais un peu tard tous les sens des mots dits par le Châtelain.
- File prendre une douche, salope, et plus vite que ça, nous allons être en retard
Le Noble ne bougeait pas, toujours assis sur sa chaise, ses mains posées sur le pommeau de sa canne, semblant même enjoué de ce quil venait de voir et de son coup de canne. Je filais vers la douche et jamais de ma vie, celle-ci fut aussi rapide
Quelques rectifications de maquillage, par chance, ma tenue du soir était prête, jenfilais rapidement bas, porte-jarretelles, escarpins, et la sublime robe prévue pour la circonstance
en taffetas noir, échancrée devant, jusquen dessous des seins, derrière jusquen bas des reins, montrant le début de ma raie culière
fendue ensuite devant derrière, et sur les deux côtés des cuisses, laissant se mouvoir les pans au grès de mes mouvements, dévoilant aux yeux des Invités à la fois mes jambes galbées et mes intimités
Le Majordome prévint lintendance dun « petit retard », et enfin, vers les 21h50, Maître fit son entrée dans la grande salle du mas, avec en sa main levée, me tenant par les doigts, lhumble esclave que je suis
Nous étions suivis par Walter qui sétait douché et changé rapidement
Dans la salle des Invités triés sur le volet par le Maître des lieux
tous des personnages importants de la région, dont certains étaient connus du Châtelain, dautres non. Ceux-ci étaient présentés à Maître, qui dun coup de tête les saluait, tandis que le Manadier me présentait aux Invités comme lesclave préférée de Monsieur le Marquis. Pas moins dune cinquantaine de personnes étaient présentes, les Messieurs accompagnés de leurs épouses, dautres venus seuls
javais pris place à la droite du Noble tandis que le Manadier était en face de Lui
Le terme « esclave » avait été fort remarqué et les questions fusaient sur le sens exact de ce mot
Maître, un peu énervé par ce qui sétait passé, avant, mais comme à son habitude, masquant tout, me semblait calme, maîtrisant parfaitement ses émotions
coupa court, brusquement aux questions qui fusaient et auxquelles je répondais sans problème.
(A suivre
)
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