La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1118)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
Le Maître sexclamant haut et fort :
- Mesdames et Messieurs, jai le grand honneur dêtre parmi vous ce soir, accompagné de mon fidèle Majordome Walter, (celui-ci se leva, salua puis se rassit immédiatement), et de Mon esclave, Isabelle, Comtesse de son état
(Dun signe de tête poli, je saluais également) De manière à clore ces questions desclavage que jentends de ci, de là, je vais vous présenter la Comtesse esclave, ainsi vous saurez
(Se penchant vers moi, il me dit) - Lève-toi, petite chienne, mattrapant par mon collier (je navais pas la laisse)
Il claqua dans ses doigts vers Walter, qui la lui tendit. Puis, il accrocha la laisse, tira dessus pour me faire lever
Des épouses, mains devant la bouche, dirent :
- Ohhhh !
Je me levais et suivais le Maître qui me fit monter sur une petite estrade et :
- Déshabille-toi entièrement et laisse-nous admirer ton corps sublime
Je montai sur lestrade dominant de ma hauteur, augmentée par les 15 cm de talons de mes escarpins, Je défis la ceinture faisant tenir ma robe et du bout des doigts, regardant droit dans les yeux, les Invités, la lâcha et la fis choir sur mes talons, dévoilant dun coup, dun seul, lintégralité de mon corps nu de femelle
Tournant sur moi-même, la vue de mes fesses, très marquées et entamées firent pousser des :
- Ohhhhh et des ahhhh, mon dieuuuuu ! (dadmiration pour les hommes et dinterrogations pour certaines épouses)
Puis, revenue de face, jambe de gauche, à demie pliée à la manière des mannequins, main gauche posée sur la hanche, je dévisageais lensemble de lassemblée en un regard fier, les toisant même
- Des questions, reprit Maître ?
- Mais, esclave quand même reprit Madame De
vous voulez dire ?
- Petite chienne, reprit Maître à mon adresse
.
- Ohhhh dirent certaines
Jécartais les jambes, ouvrais ma chatte, mais je baissais les yeux
- Caresses-toi, ordonna le Noble !
Une main sur la chatte ouverte, lautre sur le clito, je me caressais langoureusement
- Mesdames et Messieurs, avez-vous compris, maintenant le sens du mot esclave ?
Dun claquement de doigts, Monsieur le Marquis me fit signe de redescendre et tandis que je tentais de récupérer ma robe tombée à terre, il prit la laisse et mentraina ainsi à sa suite, réintégrant à la fois, Sa place et la mienne. Cest ainsi, quentièrement nue, le banquet commença. Diverses conversations séchangeaient, je répondais sans encombre à toutes les questions qui métaient posées, à la fois sur mon état desclave, mais nous parlions aussi de politique, de mode, de propos mondains en somme, sauf que jétais entièrement nue, portant collier et laisse
Le Manadier me complimentait ouvertement sur mes qualités de femelle. Les Invités semblaient être décontenancés par la vue de la femelle nue et obéissante que je montrais, et ce quils entendaient de la bouche même de celui qui les avait Invités. Maître en profita pour renverser les compliments qui métaient faits en prenant la parole :
- Chers amis, si, comme vous je remercie mon excellent ami, Manadier à la fois de son invitation et des compliments quil madresse personnellement vantant les mérites de ma petite pouliche, je souhaiterais néanmoins vous démontrer les excellentes qualités qui sont les siennes en matière dobéissance. Si vous avez vu avec quelle aisance elle se montrait et se donnait à vous en toute impudeur, je vais vous proposer de la re tester plus encore, au cours de cette soirée, en ce qui concerne, ses étonnantes facultés dobéissance et de soumission. Vous la voyez, là, devant vous, nue, mais maintenant je vais lui ordonner de se caresser, là tout de suite, depuis sa place, se laissant aller aux plaisirs que vous imaginez aisément et sans aucune pudeur de sa part, car pour une esclave, les mots comme pudeur, intimité, honte nont plus lieu dexister.
Dun claquement de doigt à mon intention il me fit comprendre de commencer immédiatement, ce que je fis. Toujours assise sur le rebord de mon siège, reins cambrés, jécartais ostensiblement mes cuisses, et commençais de passer mes doigts le long de mon ami le clitoris
. Maître reprit :
- Si, vous souhaitez en voir plus, dites-le moi et vous saurez ce quobéir signifie pour Moi !
Tandis que je titillais mon clitoris, du bout de mes doigts, celui-ci se dressait fièrement, mais les Invités ne voyaient que mon visage, mes yeux se fermaient par moment comme pour mieux ressentir encore la douceur de mes doigts
Rapidement, plusieurs dentre eux, tentaient de se lever pour mieux voir ou en voir plus et finalement, quelques hommes et femmes aussi demandèrent à mieux voir
Le Châtelain eut un sourire entendu : Il prit la laisse en tira un coup sec me faisant comprendre de le suivre
. Je fus installée sur la petite table en bout de celle sur laquelle nous mangions. Une sorte de fauteuil y était placé sur lequel je pris place, les fesses sur le bord du siège, les épaules contre le dossier et les deux cuisses reposant sur les accoudoirs
Ma vulve, bien exposée et ouverte, laissait voir mon clitoris, maintenant bien dressé par mes premières caresses. Je renversais la tête en arrière, et reprenais mes attouchements
Caresse sur le long du clito, tapotages sur son nez, effleurages du capuchon, étirement de celui-ci pour faire émerger la partie sensible de mon ami, le clito
Très rapidement, celui-ci se mit en mouvements, car avec mes envies naissantes, il commençait à remuer en même temps que mon vagin qui lui commençait à réclamer son du. La vue de mon clitoris remuant régulièrement fit rire beaucoup dInvités, tandis que de ma vulve, commençait de suinter ma cyprine démontrant le début de mon excitation. Ma facilité à me toucher en public, sans aucune gêne, étonnait beaucoup de monde se laissant aller à des commentaires :
- Elle est bien dressée en effet !
- Vous avez vu avec quelle facilité elle se laisse aller
- Quelle salope, tout de même !
Je navais cure de ces réflexions, ne regardant que le Maître qui savourait mon obéissance aveugle.
- Comment fait-elle aussi vite ?, dit une invitée qui avait sa main entre ses cuisses
- Elle jouit vraiment ?, demanda un homme peu habitué à ces démonstrations
Le Manadier, déjà sous le charme, ne me lâchait pas des yeux
- Puis-je demander une faveur dit-il en se levant ? (Dun signe de tête, le Noble lui fit comprendre que oui !)
- Nous serait-il possible dassister à une séance de dressage ? Je veux dire, au fouet, par exemple ?
Les Invités, enthousiasmés, (et les femmes nétaient pas les dernières) tapaient dans leurs mains en disant :
- Le Fouet ! Le Fouet !
- Laissez terminer ma petite jument, dit Maître et ensuite nous verrons
Dun signe de main, Celui-ci me fit comprendre de poursuivre
. Je reprenais mes caresses, et introduisais deux doigts au début dans ma vulve, la massant fortement, tout en continuant de titiller mon ami le clito. Mon ventre était déjà secoué de spasmes, tandis que trois doigts maintenant travaillaient plus vigoureusement ma chatte dégoulinante maintenant de cyprine. Rapidement lensemble clito/chatte, explosa me faisant remuer comme une salope sur le fauteuil trempé par ma glaire. Je navais cure des spectateurs devant lesquels je mexhibais sans pudeur, seulement heureuse et fière de démonter aux Invités mon obéissance aveugle au Maître
(A suivre
)
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