Un Dépucelage Ne S'Oublie Jamais ...
- Jonas chéri, je te promets que nous le ferons samedi chez moi, mes parents ne seront pas là et puis mes règles vont arriver, ce qui permet certaines libertés
Cest que ma affirmé Adèle ma nouvelle copine, cela fait juste six mois que nous nous somment rencontrés, elle a dix-sept ans et moi dix-huit, jusquà présent je nai eu droit quà caresser sa poitrine et effleurer furtivement son sexe par-dessus ses vêtements, pourtant je sais quelle nest plus vierge , elle la fait rien quune fois plus ou moins ratée, ses doigts ont fait de même sur ma braguette pour étreindre ma queue raidie à me faire mal, certaines fois lexcitation était tellement forte pour moi que javais hâte de la quitter pour pouvoir me soulager a la main dans le premier recoin propice pour sortir ma queue tranquillement, maman, bonne psychologue ne ma jamais fait de réflexions sur mes slips copieusement amidonnés par les fuites préalables a laccouplement
Mon cur cogne fort lorsque je sonne chez elle, et il sort carrément de ma poitrine lorsque je la vois a demi cachée dans lembrasure de la porte dentrée
un déshabillé parme, vaporeux, permet de voir un coordonné de soie mauve, vêtements sans doute empruntés a sa mère
- Entre vite Jonas !
- Que tu es belle
- Stop ! patience ! interdit de toucher ! embrase-moi
.
- Je taime Adèle
Jai envie de lenlacer, de la serrer sur mon érection déjà au beau fixe, mais elle fait en sorte de me tenir éloigné
- Tu te demandes pourquoi je dévoile mes charmes et que je tinterdis dy toucher ?
- Un peu
- Eh bien tu vas te déshabiller aussi et rester en slip, tu veux boire quelque chose ? une bière ?
- Oui merci, jai déjà très soif !
- Mon pauvre chéri tu vas te déshydrater ce soir !
- Ah bon ???
- Allons dans ma chambre
Là encore une surprise mattend, sa chambre est transformée en alcôve, lumière tamisée, une couverture est étalée au pied du lit, lorsquelle fait passer la nuisette par-dessus sa tête le regard dadèle ne quitte pas mon slip déformé sur lequel apparait déjà une large auréole, sa voix est déformée par le contexte de linsolite situation
- Assied toi entailleur face à moi, comme ça nos genoux en contact
- Voilà
- Ferme les yeux comme moi et sort ta pine, je vais imaginer ce que tu fais en écartant ma culotte pour me toucher, ne triche pas Jonas
- Promis adèle
- Caresse toi lentement, très lentement, mes doigts débusquent mon clitoris
je suis trempée.
- Jai la queue et les couilles toute dures, tu me fais subir une véritable mentale
- Ce ne sera que meilleur pour la suite
mmmmmmmuuuuuummmmmm que cest boooooonnnnnnnn, évite de jouir Jonas
- Cest tellement étrange, terriblement érotique
- Tu vois que jai raison ! de quoi as-tu envie mon amour ?
- De mallonger sur toi et tembrasser mêlant nos salives avant de me laisser glisser sur ton corps pour bécoter ta poitrine et tes tétons dressés
- Mmmmmmmuuuuuuuuummmmmmmm, ensuite ?
- Je descendrais encore et encore déposant mille baisers sur ton ventre et ton nombril en tenant toujours tes seins dans mes mains
- Et ?
- Et je commencerais à humer les effluves de ta vulve en chaleur encore dissimulée sous ton string taché de tes sécrétions
- Tu menlèveras ma culotte ?
- NON ! pas immédiatement, je te ferais languir comme tu le fais maintenant
- Salaud
- Je lècherais le tissu et tes aines prenant bien soin de ne pas libérer tes lèvres en feu
- Pitié Jonas, ma chatte coule abondamment
tu ne dis plus rien ???
- Je suis obligé de lâcher ma verge sinon elle va exploser, pourquoi ne me parlerais-tu pas ton dépucelage ?
- Mon dépucelage ? à oublier, un soir je promenais Titus, notre chien, pour ses besoins avant la nuit, jai croisé André notre voisin, un homme au regard vicieux qui me reluquait de la tête aux pieds chaque fois que je le rencontrais en se massant la braguette, bizarrement ça me dégoutais mais ça déclenchait aussi des spasmes entre mes jambes
- Un pervers
- Ce soir-là je me suis retournée après son passage, il ma suivie, alors je me suis dirigée vers les hangars dune ferme voisine, mon chien sest arrêté pour marquer son territoire, croyant que je lattendais André ma enlacée par derrière
- Tu ne tes pas enfuie ?
- Jai aimé ça
ses grosses paluches sur mes seins, sur mes fesses, il a passé sous ma jupe pour toucher ma chatoune, il a ricané quand il a écarté ma culotte et découvert que jétais mouillée
- Tu nas pas serrées les cuisses ?
- Javais trop envie de me faire toucher par cet homme, soudain jai sentis un truc plus doux que ses doigts, épais et chaud, il ma faite pencher en avant
jétais irrémédiablement pénétrée
- Tu en avais drôlement envie
- Oui, cétait bon, hélas ça na duré que quelques secondes, il a certainement eu peur dêtre découvert et sest enfuit me laissant décontenancée, le sperme mêlé à mon sang coulait entre mes jambes, jai aimé lodeur de cette semence, jen ai même récupéré pour la gouter
- Ensuite ?
- Je me suis essuyée avec de lherbe et suis rentrée pour me réfugier dans cette chambre pour me masturber jusquà la jouissance plusieurs fois afin dapaiser mes sens
- Tu nas jamais rien dit à personne ?
- Non
- Il na jamais cherché à recommencer ?
- Non, jai toujours soigneusement évité cet endroit depuis
- Tu aimerais quil te prenne à nouveau ?
- Je ne sais pas ? jai bien aimé sa queue
Jonas ??
- Oui Adèle ?
- Ouvre les yeux à présent, regarde mes doigts et suce ma sauce
- Hmmuuummmmmmm cest vachement bon !
- Regarde aussi entre mes jambes, je suis ouverte comme jamais
- Ta culotte et la couverture sont trempées
- Allonge-toi sur moi, fais-moi tout ce que tu as dit
- Et même plus
Nous nous somment embrassés interminablement, langues et lèvres mordillées, dents entrechoquées, salive dégoulinante puis Adèle ma fait comprendre que le moment était venu pour la suite, ma cuisse coincée entre les siennes baigne sur sa motte inondée, avec mes mains et ma bouche je mattarde longuement sur ses mamelons devenus durs, son bassin se soulève dimpatience
- MMMmmuuuuuummmmmmm !! JONAS ! vas-y- vas-y- vas-y !
- Pas encore
En même temps je me punis moi-même ! mes testicules vont éclater, mon nud suinte sans arrêt mais je veux la pousser à bout, me voici le visage sur son pubis, je me repais de cette suave odeur de femme, ses cuisses serrent mes oreilles, dautorité je lui relève sur ses seins afin de ne pas
- Tiens les ainsi sinon je pars dici
- Oui Jonas, je te laisse faire
Oubliées mes belles résolutions de la faire patienter! Jai tiré tellement fort sur lentrejambes que le string a craqué, je me jette comme un affamé sur sa fente qui dégorge sans interruptions, je lape et bois à la source quand sa main agrippe mes cheveux pour mindiquer lendroit où sa perle attend désespérément ma langue
Cest à genoux que je lui travaille la chatte aidé de mes doigts crochus, Adèle braille et me supplie de lempaler, si je ne le fais pas cest la couverture que je vais arroser de mon foutre, au moment où elle ne sen attend le moins je me relève et mallonge sur elle bite en avant désormais calé au fond de sa matrice éclatée
- ENFIIIIIINNNNNNNNN !!!! OUUUUUUUIIIIII baise-moi André !!!
- QUOI ? André ? tu mas appelé André ?
- Excuse-moi cest un lapsus
- Tu as envie de cet homme ? soit honnête ?
- Ouiiiiii
ça me hante toutes les nuits, cest quand même lui qui ma déflorée
- Tu veux que je le contacte ?
- Juste pour une fois, ensuite jen serais certainement écurée
- Tu sais où le trouver à cette heure-ci ? il fait brun
- Cest lheure où je promène Titus
- Allons-y
- Quoi ?
- Passe un imper, nimporte quoi sans rien dessous et allons-y, je taccompagne
Fébrile Adèle obéis malgré son angoisse, sa chatte suinte encore lorsque nous sortons, je laisse une cinquantaine de mètres entres nous surveillant les alentours, soudain une silhouette se dessine dans la pénombre qui sinstalle, Adèle se retourne vers moi, cest André, malgré la peur de sa réaction je me dirige a la rencontre de lhomme
- André ?
- Oui , que veut tu petit ?
- Cest pour adèle
- Quoi adèle ?
- Récemment vous lavez violentée
- Elle était consentante la garce !
- Elle était vierge et ne savait pas se défendre
- Nuance, elle ne voulait pas se défendre
- Si vous voulez.
- Quand ça ?
- Ici, maintenant, allez-y je reste là
Il marmonne des mots que je ne comprends pas et se dirige vers Adèle qui va vers les hangars, malgré ma promesse je lui emboite le pas afin de protéger éventuellement ma copine, André la rejoint et comme pour le dépucelage lenlace par derrière, dénoue la ceinture de limper
.
- Foutue salope, tu es à poil là-dessous ? tas les cuisses trempées de mouille, tas vachement envie de ma queue hein ?
- Oui
- Comme lautre fois ? debout ?
- NON !!
Adèle se dégage, ôte son imper, létend sur lherbe et sallonge dessus dans une position équivoque, son amant du premier jour la contemple comme une uvre dart en libérant une pine monstrueuse
- Bondieu je vais tout te donner foutue gamine
- Baise-moi André
Je ne ressens aucune jalousie lorsquil sagenouille au plus près de lentrecuisse afin de saillir Adèle qui relève haut les jambes et gémit sans interruption lors de la pénétration, immobiles, collés lun a lautre elle évite les lèvres de lhomme qui veut lembrasser, alors il se met en appuis sur ses mains et retire sa queue de la chatte
- Tes bien ouverte, je vais te fendre en deux
Comme une femme habituée au sexe elle noue ses talons sur les reins dAndré et répond en allant à la rencontre de ses assauts, les seins tressautent, elle recule sous les coups virils qui pleuvent, il grogne des mots crus, elle geint le suppliant daccélérer, puis plus rien ne sort de sa bouche, André qui a compris quelle allait jouir redouble defforts, lui aussi reste soudé a la chatte en proférant des mots orduriers à lencontre de ma copine
- Sale petite pute, tu voulais de la bite ? tu es servie , tu veux prendre la suite morveux ? elle est chaude comme la braise, met lui dans le cul, devant tu ne sentiras rien !
- Partez à présent et ne lennuyez jamais plus
- Ça métonnerait quelle ne cherche pas à me contacter pour que je la bourre à nouveau, une bonne baiseuse revient toujours vers son dépuceleur
- Ça va Adèle ?
- Comme si jétais passée sous un train, mais quelle jouissance ! baise moi Jonas
ou plutôt sodomise moi à quatre pattes, André a raison je suis trop ouverte de la chatte
- Tu le reverras ?
- Je ne sais pas
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