Albert, Le Routier (1er Partie)
ALBERT, LE ROUTIER
Avec ma série dhistoire sur les aires dautoroute je suis rentré en contact avec Albert, un ancien routier. Il a beaucoup de bonnes histoires à raconter mais il nose pas encore les écrire lui même.
Pour que cette histoire soit plus agréable à lire je vais rentrer dans le personnage dAlbert (en réel ce nest pas encore le cas même si ce nest pas lenvie qui me manque de rentrer dans Albert!).
Jespère que cette histoire vous plaira et si vous voulez que je vous en raconte dautres ne manquez pas de me le dire et je ferai passer les messages à Albert. Bonne lecture.
Je mappelle Albert, nous sommes en été 1995, jai 45 ans. Depuis maintenant plus de 20 ans je sillonne les routes de France et dEurope à bord de mon camion.
Je viens de charger une citerne de sable, à côté de Besançon que je dois livrer dans la région de Barcelone. Jen ai pour une semaine de route aller retour. Comme à mon habitude je fais le plein avant de prendre la route, jen profite pour aller me vider la vessie et acheter 2 bouteilles deau, il fait une chaleur de bête et je nai pas encore de clim dans ma cabine.
Je remonte dans mon camion prêt pour au moins deux cents kilomètres sans marrêter. Je démarre mon bahut quand un jeunot, 20 ans maximum, en short et Marcel, me fait signe. Je baisse la vitre et je lentends me dire
« Bonjour Monsieur, jai besoin daller vers le sud. Est ce que vous pourriez mavancer? » On aurait dit un dans sa façon de parler.
Je lui réponds que je descends sur Barcelone et que je peux bien lavancer. Je descends de ma cabine pour laider à monter son sac.
Il est plus petit que moi, il doit faire autour des 1m70, tout chétif. Il a un visage fin avec quelques poils au niveau de la moustache. De beaux yeux marrons clair. Je lui montre les marches pour monter dans la cabine et reste bien derrière lui pour mater son cul très bien moulé dans son petit short.
Nous démarrons enfin. Il sappelle Julien, il a 21 ans étudiant, célibataire et il part rejoindre ses parents qui sont en vacances à Béziers. Il est plutôt sympa et surtout ça me fait de la compagnie alors on continue de discuter de choses et dautres. Je jette régulièrement des coups doeil vers lui. Il a vraiment un beau corps.
Cela fait bientôt 2 heures que nous roulons et discutons quand je le vois fixer le vide poche qui est entre lui et moi. Merde! Jai une revue « histoires gays » qui traine. Mais ça na pas lair de le gêner, jai même limpression que son petit short commence à gonfler, du coup je lui dis:
« Si ça tintéresse tu peux la lire ». Il me sourit un peu gêné mais prend quand même la revue. Il feuillette quelques pages et sarrête sur une. Cette fois je suis sur quil bande vu la forme de son petit short. Jimagine sa queue gonflé à travers le short. Jaimerai bien la voir mais même comme ça je suis excité. Par contre cest un peu trop calme alors je lui demande de faire la lecture à haute voix. Il me répond:
« Vraiment? »
« Ben oui, pourquoi? Je peux aussi en profiter. »
« Pour quon soit équitable jen commence une autre depuis le début. »
Il me raconte lhistoire de Romain qui rentre dans un cinema porno. Sa façon de lire est agréable, jai limpression dy être. Quand Romain commence à se faire sucer jobserve son entrejambe qui est bien gonflé. Maintenant que Romain à le mec qui est venu sempaler sur lui je vois que Julien commence à se caresser à travers son short. Je bande comme un taureau. Romain continue de baiser le mec assis sur lui et il suce un autre mec en même temps qui vient de lui éjaculer dans la bouche. Je suis tellement excité que je dis à Julien:
« Si tu veux te mettre à laise pas de soucis, à cette hauteur tu ne risques pas trop dêtre vu, à part par moi! » et je lui fais un clin doeil, jespère que je ne suis pas aller trop loin mais ça réponse me rassure: « Toi tu as le droit de me mater mais moi jai pas le droit de te voir à poil »
Sur ses paroles je descends mon short (je ne porte pas de slip), que jenlève entièrement tout en essayant de ne pas lâcher le volant et massoies cul nu sur mon siège avec la bite tendue entre mes cuisses.
Aussi tôt allongé, il se met sur moi et nous nous embrassons fougueusement alors que nos bites se frottent lune contre lautre. Puis il descend sa bouche sur mon menton, mon cou et sarrête un moment sur mes tétons quil caresse, embrasse, pince, tête et aspire pendant que je lui caresse les cheveux et le haut du dos. Puis sa bouche continue sa descente en embrassant mon ventre, il continue de descendre et embrasse mon aine alors que ses cheveux caresse ma queue et mes couilles. Sa bouche se dirige vers mes couilles quil gobe directement. Sa langue remonte le long de mon sexe qui est tendu au point dexploser. Il me décalotte avec ses lèvres et se met à me sucer comme ça fait longtemps que je nai pas était sucé. Sa bouche et tellement experte que je suis prêt à exploser mais jatt son bras pour le faire pivoter. Il a compris que je veux le placer en 69 alors il bouge de lui même sans que ses lèvres ne quitte ma bite. Des que son sexe est proche de moi je le caresse puis lavale goulument pour lui donner autant de plaisir quil men donne.
Dun coup il soulève ses fesses du coup sa queue sort de ma bouche, il bouge tellement que même mes doigts sortent de son cul. Il se met à 4 pattes et me dit:
« Jai envie de te sentir en moi », puis il se penche en avant et avec ses mains écartent ses fesses. Je crache sur son trou, je passe mon gland entre ses fesses et dun coup je menfonce au plus profond de lui. Il cri tellement que je lui enfonce la tête dans le matelas et mimmobilise en lui pour quil nest plus mal. Immédiatement il se met à bouger le cul pour que mon sexe bouge entre ses fesses. En fait il navait pas mal, il criait son plaisir. Je le baise ainsi à différents rythmes pendant 5 bonnes minutes avant de sortir de son petit cul dans un gros flop. Je le retourne et lallonge sur le dos, je lui écarte les jambes que je place sur mes épaules et rentre dun coup en lui. Je le besogne dabord doucement tout en regardant sa bite se gonfler à chaque fois que je tape au fond de son cul. Quand jaccélère le rythme, il se met à se branler au rythme de mes coups de rein. Je vire sa main et la remplace par la mienne. Je sers fortement ma main autour de sa queue et le frotte vigoureusement. Du liquide se met à couler de son méat ce qui fait que ma main glisse encore mieux autour de lui.
Nous restons allongés comme ça un bon quart dheure avant de se rhabiller pour aller se rincer aux toilettes et reprendre la route qui nétait pas finie
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