J'Accompagne Ma Belle-Soeur À La Piscine Municipale

Quelque jour avant noël, Nous recevions ma belle sœur à la maison, ma femme et moi. Il y avait de l'eau dans le gaz avec son mari et elle était venue toute seule.
Elle voulu profiter de son premier jour chez nous pour passer un espèce de brevet à la piscine, pour pouvoir y accompagner les gosses de l'école à la rentrée.
Elle voulait être débarrassée de ça rapidement à cause de ses règles qui allaient se pointer (ravi de l'apprendre). Ma femme travaillant encore ce jour là,
je me suis retrouvé à devoir accompagner ma belle sœur à la piscine municipale de bonne heure.

9h00, un jeudi, il n'y avait presque personne à part nous deux, une maman et ses s en bas ages et quelques adultes. Pendant que ma belle sœur faisait ses
épreuves avec le maitre nageur, moi je barbotais tranquillement en la regardant. Elle avait passé un maillot une pièce couvrant son ventre qu'elle avait de dodu.
C'est la première fois que je la voyais comme ça. Elle était aussi ronde que ma femme. Un gros cul mais avec moins de sein que sa sœur. Voir ses cuisses jusqu'à
l'échancrure (correcte) de son maillot de bain ne me laissait pas indifférent. Finalement, je ne regrettais pas d'être venu, ne serait-ce que pour le spectacle
de ma belle sœur en maillot de bain.

Au bout de 20 minutes, elle avait terminé. Elle me rejoint pour barboter et nager un peu pendant 3 quarts d'heure, histoire de rentabiliser l'entrée de la piscine,
mais on en a eu vite marre et on décida de rentrer. On passa par les douches communes pour nous rincer. Ma belle sœur avait prévu du shampoing pour ses cheveux,
m'aimant pas l'odeur du chlore. Moi je m'en fichais pas mal et je l'observai se frotter les cheveux et son maillot une pièce. Pratique pour se laver me disais-je.
Je trouvai ça con jusqu'au moment où je vis un de ses seins s'échapper du maillot par le coté. Ma belle sœur se frottait tellement vite qu'elle ne s'en aperçu même pas,
trop occupé à laver ses cheveux.

Je ne dis rien et continuai d'admirer le spectacle. Son téton était bien dressé par le froid de la piscine et il était aussi gros
que mon index. Purée ! Des comme ça j'aurais envie d'en bouffer toute la journée, m'exclamai-je intérieurement.

Ma belle sœur s'en rendit compte seulement au moment de se rincer. Et encore, elle commença par ses cheveux et c'est quand elle passa la main sur son sein découvert
qu'elle eu un petit sursaut accompagné d'un "oh", qu'elle rangea son matériel sous mon regard amusé. Elle devint toute rouge et gênée et finit de se rincer en silence.
Elle attrapa sa serviette et se dirigea vers les cabines pour se changer sans me regarder, encore honteuse. Elle ne s’aperçut pas que je la suivais de près pour rentrer
avec elle dans sa cabine. A ce moment là, je me suis dis "ça passe ou ça casse".

Je posai mes mains sur ses épaules et la poussai contre la deuxième porte en face d'elle. Mes mains trouvèrent aussitôt ses nichons pour les peloter sans retenue.
"Mais qu'est-ce que tu fais ?" dit elle à voix basse pour ne pas se faire entendre par un éventuel gêneur. Elle se retourna avec du mal, mes mains ayant passé sous
le tissu élastique pour empoigner et surtout pincer ses énormes tétons.
"Mais t'es fou, arrêtes!" continua t-elle sans pour autant se débattre. Je saisi son visage dans mes mains et l'embrassai à pleine bouche en guise de réponse. Je senti
son soupir approbateur juste avant d'arriver à ses lèvres, m'indiquant qu'elle avait décidé de céder. Je l'embrassai intensément quelques secondes en lui caressant ses
énormes fesses sous le maillot de bain. Elle m'interrompit pour me demander de fermer la première porte de la cabine, ce que je fis en un éclair avant de m’arrêter net
devant elle, les 2 seins à l'air sur les cotés de son maillot de bain, les joues rouges et le souffle court. Je me jetai sur les bretelles de son maillot et
le descendis d'une traite jusqu'au pied. Alors qu'elle lutter pour le virer de ses chevilles, je me jetai à nouveau sur elle pour lui bouffer les seins.

"Mmmm"

C'est tout ce qui ce fit entendre pendant quelque minutes. J'étais comme un fou à lui sucer, lui mordiller, lui aspirer les tétons. Mes mains s'étaient séparées pour
fouiller sa chatte et son cul en même temps. Une devant. Une derrière. Machinalement, ma belle sœur posa un pied sur le banc de la cabine, pour encore mieux offrir
ses orifices. Je lui doigtai la chatte avec 2 doigts et le cul avec un seul, à genoux devant elle. Je quittai ses seins pour venir poser ma bouche sur sa fente toute trempée.
J'aspirai d'un seul coup ses lèvres et son clitoris. Il était plus gros que celui de sa sœur et je le sentais bien passer sous ma langue. J'étais maintenant assis entre
ses jambes, à lui bouffer la chatte en gémissant discrètement . Elle, elle s’était mise à soupirer et à accompagner mon cuni en bougeant les hanches. La cochonne me jouit
dans la bouche et sa chatte coula bien comme il faut. Ses jambes se mirent à trembler et elle reposa son pied au sol pour ne pas tituber. On se regarda un instant.
Je lui montrai dans quel état j'étais et sorti ma queue de mon slip de bain. Sans rien dire, elle vint à sa rencontre en se mettant à genoux alors que moi, je me relevais.
Elle se mis à me sucer directement à rythme soutenu. Mmm qu'elle était bonne ! Elle me branla dans sa bouche en me regardant dans les yeux. Elle fit des pauses calmes
pour passer sa langue partout et frotter mon gland dans sa bouche grande ouverte. Quelle sacrée suceuse, me dis-je ! Je repris le contrôle et la remplaça pour me branler.
Elle comprit aussitôt que j'étais sur le point de jouir et déplia sa langue comme un tapis.
J'approchai alors ma queue de sa bouche et jouis à l'intérieur en étouffant ma jouissance. Il n'y avait que ma respiration saccadée qui aurait pu nous trahir, mais même pas.
Ma belle sœur se laissa couler sur la parois de la cabine en accompagnant ma queue avec elle. Elle finit le boulot en m'aspirant une derrière fois et en me branlant tout
doucement. Elle était devenue calme et méticuleuse. Ses yeux me regardait pour me dire "regarde j'te suce encore comme une salope". Elle arrêta seulement quand je me
retirai pour m'assoir sur le banc. On se regarda dans le blanc des yeux un instant, moi assis sur le banc, et elle par terre contre le mur, les jambes encore écartées,
me montrant sa chatte rasée.

Je n'oublierai jamais ce jour là !
Sur le retour, dans la voiture, on en a pas pas parlé. Il n'y a que moi qui lui ai demandé de garder le secret, au cas où. Comme seule réponse, elle me dit "oui, ben oui!",
en souriant. Je posai ma main sur sa cuisse et elle eu un petit sursaut, mais elle l'a laissa.
Je me dis qu'il y a encore moyen de profiter de la situation.