Première Par Internet (03)

Ca fait maintenant plusieurs mois que nous ne nous sommes pas vus avec Marc, j'ai changé de travail et je ne suis plus à domicile, mon employeur ayant décidé de remettre tout le monde dans un bureau.
Nous continuons cependant à correspondre et à échanger sur nos fantasmes respectifs. J'ai un peu de temps entre midi et 2 mais il faut que ce soit le bon jour pour avoir le temps et surtout que la maison soit vide. Enfin, nous arrivons à caler une date mais nous n'aurons que 20/25 minutes ensemble. Au bureau ce matin là, j'ai la tête ailleurs, pour mes collègues je rentre chez moi, pour ma femme je mange au bureau, bref je prie pour que tout se passe bien et surtout que je prenne autant de plaisir que les autres fois.
Enfin la pause déjeuner arrive, et je rentre, les jambes tremblantes, des fourmis dans les couilles et les fesses, une envie irrépressible de sexe monte en moi. Je me gare et vois qu'il est déjà là, je l'attends, on se salue, j'ouvre la porte et le laisse entrer. Nous allons dans le bureau, pièce qui permet d'être discret et surtout qui renferme un canapé lit qui pourrait nous être utile. Une fois rentré, nous nous faisons face, je plaque ma main sur son sexe à travers son pantalon, il fait de même. Je malaxe son paquet et sens sa queue commencer à durcir dessous. Je commence à défaire sa ceinture, il m'imite mais déjà je n'en peux plus et je m'agenouille devant lui. J'ouvre sa braguette, défait ses boutons, descend son pantalon. J'ai maintenant en face de moi un boxer "poutre apparente" bien rempli. J'embrasse ce morceau de tissu, caresses les couilles de Marc que je tiens à pleine main, je le regarde, il se mord les lèvres sensuellement et mets ses mains autour de ma tête puis plaque ma bouche contre son sexe encore emprisonné. Je mordille l'engin de plaisir que j'ai hâte de prendre en bouche mais je veux le faire languir. Je le branle doucement à travers le tissu en le regardant

— suce-moi salope

L'ordre tombe et me ravit doublement, son excitation est à son comble et surtout il me traite comme je lui ai demandé.

Je baisse son boxer et sa queue est maintenant bien dure, bien épaisse, plus que dans mon souvenir. Je la prends en main et lèche le gland en faisant tournoyer ma langue tout autour de cette protubérance sensible. Je le regarde droit dans les yeux et lèche de bas en haut cette grosse bite tant attendue, plusieurs fois. Arrivé en haut, je sens une pression sur ma tête pour que je l'engloutisse mais à nouveau je redescend et lèche entièrement ce chibre en souriant. Au bout de 5/6 allers-retours, enfin je capitule, et prend son sexe dans ma bouche. Il gémit tout de suite et me caresse tendrement le crâne, sans appuyer dessus, accompagnant juste mes premiers mouvements. J'ai déjà sucé mon pote d'enfance avec des gens passant et repassant devant notre tente, dans une chambre avec une copine dormant au pied de notre lit mais je n'ai jamais été excité comme aujourd’hui. Je le suce doucement, presque amoureusement, continuant de faire tourner ma langue autour de son gland même une fois sa queue bien enfoncée dans ma bouche

— Tu fais ça bien, c’est bon salope

Ses encouragements me poussent à accélérer le rythme et je le suce plus franchement maintenant, les yeux fermés, concentré sur son souffle et sur mon plaisir. Ses mains appuient plus fort, il me baise la bouche. Je retire la main qui tenait sa queue et la pose sur ses fesses pendant que l’autre continue de lui caresser les couilles. Il accélère le rythme et s’enfonce de plus en plus profondément

— Elle est bonne ta bouche, tu sens comme je suis dur sur ta langue ?

Il relâche petit à petit son étreinte, je sors son sexe, tire la langue, pose son gland dessus et le branle activement en le regardant et souriant comme la chienne que je suis à ce moment là. Je ne pense qu’à sa bite, seuls sont important son souffle et sa jouissance. MA langue joue avec son méat, j’aspire son gland seul, relèche toute sa queue puis je reprends ma pipe et je sens qu’il se durcit encore, qu’il va bientôt venir.


— Je vais venir, avale tout

Je le branle fort, tout en le suçant. Je le regarde, il ferme les yeux, souffle fort et son sperme gicle sur ma langue. J’accueille avec plaisir ce liquide dont pourtant ni le goût ni la texture ne me plaisent, mais faire jouir un partenaire, je ne connais pas mieux. J’avale sa semence, lèche son gland, bois la petite goutte qui y reste puis me relève. J’ai une sensation bizarre, la même que l’on ressent quand on vient de jouir, et qu’on ne sait plus si ce qu’on a fait était bien ou mal, si on a pris du plaisir ou pas, et pourtant j’ai adoré le sucer.

Nous sommes un peu gênés, il a une nouvelle perle de sperme sur le gland, je lui tends un morceau de PQ, jamais je n’ai pensé à le lécher à nouveau, mon sentiment est spécial, peut-être parce que ce n’est que sexe et pas de l’amour. Quand je me masturbe en pensant à lui, c’est souvent soumis, à genoux, le suçant, lui m’insultant copieusement et jouissant en moi , exactement ce que nous venons de vivre, et pourtant je me sens honteux, désorienté et en même temps ravi.

Pas le temps de trop tergiverser, il s’agenouille devant moi, ouvre mon pantalon et directement me suce, doucement. J’adore ce moment de pénétration, quand il ouvre sa bouche et qu’il se donne à moi. Il s’applique et je sens le plaisir monter tout doucement, je prends sa tête entre mes mains et lui donne un cadence un peu plus soutenue, il se laisse faire, ses mains agrippées à mes cuisses, je baise sa bouche tranquillement, puis j’enfonce un peu plus profond mon sexe, puis plus profond. J’enlève mes mains de sa tête :

— Prends la entière dans ta bouche

Il l’enfonce et assez rapidement, son nez vient toucher mon pubis, il refait la manœuvre 2/3 fois puis reprend sa succion. J’en profite pour me pincer les tétons, ce qui décuple mon plaisir et peux déclencher ma jouissance très rapidement. Il accélère, et me suce fort, si fort qu’une flaque de bave est visible par terre, due notamment à des gorges profondes qu’il enchaîne régulièrement.
Je prends mon sexe en main, il ouvre sa bouche, je pose mon gland sur sa langue et me branle, je vais jouir rapidement si je continue comme ça. J em’arrête, remettant sans ménagement ma queue dans sa bouche. Je vois son cul et le désir de le lécher puis de l’enculer monte en moi.

— J’ai envie de t’enculer, de jouir dans ton cul, tu veux que je jouisse dans ton cul ?

Sans lâcher ma bite, il me dit non de la tête.

— Tu veux me faire jouir avec ta bouche ?

Il fait oui de la tête continuant à sucer.

— Tu veux tout avaler comme une bonne salope, c’est ça que tu veux ?
— Oui, je veux te faire jouir avec ma bouche et avaler ton sperme, me dit-il en gémissant, essoufflé et avec une intonation de petite chienne en chaleur
— Branle moi fort et suce moi bien, ça devrait pas tarder

Il s’exécute et le bruit de succion devient plus fort, il enfonce ma queue dans sa bouche, puis sa langue tourne autour de mon gland pendant que sa main s’active frénétiquement.

— Tu me fais monter le jus, je vais remplir ta bouche de salope !
— Remplis moi la bouche, a-t-il juste le temps de répondre avant de replonger son mon sexe

Enfin, la délivrance arrive, et mon sperme sort. Le premier jet est puissant mais Marc ne bouge pas et continue de me branler jusqu’à vider entièrement mes couilles. Il avale tout et pour la première fois, quelqu’un ne ressort ma queue de sa bouche que ramollie et nettoyée de toute semence.

Je suis exténué et Marc me demande si je suis ok pour aller prendre une douche ensemble. Je refuse car en arrivant tout à l’heure, j’ai remarqué une voiture connue. La maison d’à côté appartient à un voisin avec qui nous avons un ami commun, et c’est la voiture de cet ami qui est là. Je préfère donc arrêter là, même si la frustration est grande. Marc remet son pantalon, nous nous serrons la main et nous quittons un peu précipitamment, vidés et heureux.

Je me sens honteux d’avoir stopper brutalement nos ébats mais 5 minutes plus tard, on sonnait à la porte et mon ami venait dire bonjour, ayant vu ma voiture devant chez moi.


J’espère revoir rapidement Marc pour cette fois-ci prendre notre temps et se pénétrer l’un l’autre.





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