Des Révisions Et Des Découvertes.

Cette histoire, s’est passée, il y a bien longtemps. J’étais alors en terminale. Une de mes camarades de classe, dont la famille était éloignée, louait un appartement, pas très loin du lycée que nous fréquentions. Un matin, alors que nous prenions un café, au foyer, avant les cours, elle me demanda :
- dis, j’ai une lampe qui ne fonctionne plus, tu pourrais y regarder ?
Surpris, je répondis néanmoins
- Je ne garantis rien, mais je peux y jeter un coup d’œil. C’est loin ?
- -Non , juste à 5 minutes à pied du bahut. Tu veux qu’on y passe entre midi et deux
- OK si tu veux, on déjeune ensemble, assez tôt, et on y va.
Le midi, je m’arrangeais pour déjeuner au self, assez tôt, et nous partimes ensuite. Effectivement, elle habitait à deux rues du lycée, un petit studio au 2ème étage d’un vieil immeuble de la ville. L’appartement était petit, mais assez cosy, avec une pièce principale qui servait à la fois de séjour bureau, et chambre, une cuisine séparée et une salle d’eau, avec une douche. Dès notre arrivée, elle me montra une lampe, posée sur le bureau. Je démontais rapidement l’ampoule, et constatai qu’elle était morte.
_ Ce n’est rien, lui dis-je. Il faudra juste changer l’ampoule. Si tu veux j’en apporterais une demain.
- Ah bien, tu me rassures me dit elle. Bon, je dois réviser mon Allemand, mais tu peux rester si tu veux. Tu réviseras avec moi.
Valérie, était une ravissante brune aux yeux verts, de 1,60m environ, plutôt sportive, doté d’une silhouette plantureuse. A part quelques flirts poussés, je n’avais pas d’expérience, à l’époque, alors que je savais qu’elle en avait certainement plus que moi.
Je connaissais deux garçons , au moins , avec lesquels elle était sortie, et bien qu’elle reste discrète, il était probable qu’elle ait couché, avec eux. Mais, bref, je ne me faisais pas d’illusions. Je restais néanmoins, préférant sa compagnie à une salle d’étude.
Nous nous installames rapidement, côte à côte, le long du petit bureau face à une fenêtre qui donnait sur des toits.

Les livres sortis, nous commençames à travailler, mais rapidement, le contact de sa cuisse chaude contre la mienne, vint perturber ma concentration, et, pendant qu’elle répétait les décinaisons, mon esprit vagabondait vers d’autres jeux. Cependant, je n’osais pas le moindre geste, ma timidité prenant le pas sur mes fantasmes, et je dus me replonger dans mes cours, jusqu’à ce qu’elle sonne l’heure du départ.
Le lendemain, je lui annonçai que j’avais une ampoule pour sa lampe, subtilisée dans le stock de mon père, électricien, et nous convinmes d’aller le midi même la changer.
La lumière revint dans son studio, et Valérie, me proposa, encore une fois de rester chez elle jusqu’à 14 h. Elle m’offrit à boire, et me dit qu’elle devait réviser un cours qu’elle avait, en demi-classe , l’après-midi. Je lui empruntais un magazine, que je feuilletais, assis sur le lit, tandis qu’elle s’était remise à son bureau. Au bout d’un moment, j’abandonnais le magazine, et me levais pour venir derrière elle. Concentrée sur son travail, elle ne leva pas la tête. Je posais alors mes mains sur ses épaules et commençai à les masser. Je sentais les bretelles de son soutin-gorge, sous mes mains, à travers le chemisier, mais surtout, je constatai avec bonheur qu’elle ne me repoussait pas. Elle se contenta de se reculer, en basculant sa tête vers l’arrière. J’accentuai mon massage, tandis qu’elle soupirait d’aise. J’en profitais pour descendre le long de ses bras, sans autre réaction. Je remontai sur ses épaules et mes mains decendirent, sur sa gorge. Mon massage s’accentua petit à petit , et mes mains glissaient maintenant sur ses seins, sans qu’elle y trouve à redire. Je glissai alors mes mains dans l’échancrure de son chemisier, au décolleté bien ouvert.
- Hé là ! où tu vas ? me lança t’elle
- tu as l’ai d’apprécier mon massage, non ?
- Oui mais ne pousse pas le bouchon trop loin
- Laisse moi faire, lui dis-je, en écartant le haut du chemisier après avoir fait sauter deux boutons.

Dans le reflet de la vitre, je la vis fermer les yeux, tandis que mes mains ‘insinuaient sous son chemisier. J’empaumais d’abord ses seins par dessus le soutien gorge, mais, je passais vite mes doigts, sous la dentelle, pour caresser, deux masses fermes et chaudes. Alors que je palpais du bout des doigts ses tétons dressés, elle défit deux autres boutons de son vêtement, et dégraffa son soutif par l’avant. Les deux bonnets tombèrent de chaque côté, libérant deux seins, opulents
Et bronzés. J’en profitais pour les malaxer, faisnat rouler les tétons entre mes doigts, ce qui avait l’air de lui plaire. Elle se leva , et se retourna, face à moi, s’appuyant sur le bureau. Elle commença à me caresser la poitrine, pendant que j’achevais de la débarrasser de sa chemise et de son soutien gorge. Ses mains descendirent le long de mon torse, et vinrent masser mon sexe au travers de mon pantalon, puis elle défit ma ceinture, et ses mains fines se faufilèrent dans mon pantalon, empoignant ma hampe, qui émergeait déjà de mon slip. Elle commença à me masturber doucement, d’une main tandis que l’autre dégrafait mon pantalon. Se haussant sur la pointe des pieds, elle m’embrassa soudain, sa langue fouillant ma bouche tandis que, des deux mains, elle descendait mon slip, dégageant ma queue qui vint heurter son ventre.
Elle me poussa alors en arrière, et, empétré dans mes vêtements, je tombai à la renverse sur le lit. Elle me regardait, un sourire ironique au coin des lèvres.
- Il faut bien que je te remercie d’avoir réparé ma lampe dit elle.
Elle s’avança vers moi, et s’agenouilla, dégagea mon pantalon, et écarta lmes jambes. Reprenant mon sexe entre ses mains, elle reprit sa masturbation d’une main, tandis que l’autre massait mes couilles. J’étais un peu géné d’être ainsi exposé, mais le plaisir était intense.
- Tu aimes ça, me dit elle, ce qui était plus un constat qu’une question. N’attendant pas de réponse elle baissa la tête, et commença à me suçoter le gland, sa langue venant appuyer sur le frein, à chaque passage.
Petit à petit, elle engloba le gland, et quand il fut entièrement dans sa bouche, elle commença des va et vient, ses lèvres enserrant mon membre tout en coulissant de plus en plus profond. Je râlais de plaisir, et je savais que je ne tiendrais pas longtemps, à ce rythme. Elle dut le sentir, car elle s’arréta brusquement et vint s’allonger sur moi, m’embrassant le torse, puis elle redescendit, et négligeant mon sexe, vint poser des baisers sur mes testicules, qu’elle prit rapidement en bouche, en les serrant l’une après l’autre entre sa langue et son palais. Ce serrage assez fort eut pour effet de ralentir la montée de mon plaisir. Elle remonta ensuite sa langue, le long de ma verge, jusqu’au bout sur lequel elle déposa un baiser avant de l’abandonner de nouveau. Se glissant le long de moi, elle vint positionner ses seins de part et d’autres de ma verge. Là, campée sur ses genoux, les bras en appui sur mes cuisses, elle les pressa autour de mon sexe et entreprit ce massage, qu’on appelle branlette espagnole, que je découvrais, ravi. Ne souhaitant pas rester en reste, j’attrapais ses tétons que je pinçais ou caressais, tandis qu’elle montait et descendait sur ma queue. Après quelques minutes, j’étais au bord de l’explosion, mais elle dut le sentir, et me reprit en bouche, pour un sprint final effrenné. Sa tête allant de plus en plus vite entre mes jambes, je tentais de la dégager, mais elle s’accrocha a mes fesses jusqu’à ce que l’explose dans sa bouche. Elle hoqueta un peu, et continua à me pomper jusqu’au boût. Puis, elle se dégagea, et partit dans la salle de bains. Je restais anéanti par ce torrent de plaisir qui avait déferlé. Elle revint avec une serviette, et m’essuya consciencieusement avant de me rouler une pelle à la saveur de menthe : elle s’était lavé les dents.
- On a cours, cet après-midi. Tu te rhabilles, ou tu viens comme ça ? me lança t’elle moqueuse.

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