Ghislaine En Veut Encore.
Avec lagréable nuit que javais passé en compagnie de sa culotte, je lui devais bien ce service. Ghislaine mentendant arrivé, mattendait sur le pas de la porte.
-Tu es essoufflé, tu as couru ?
- Non ! cest juste que jai monté les marches trop vite.
-Rentre, me fit-elle en me laissant assez de passage pour que je puisse entrer.
Elle portait un ravissant chemisier blanc, dans un voile léger, laissant deviner la dentelle de sa combinaison ainsi que les bretelles de son soutien-gorge. Elle avait également une jupe plus courte que dhabitude et surtout, une jupe plissée qui virevoltait à chacun de ses déplacements. Bien évidemment, cette tenue me mit dans un état dexcitation affreux et je sentis rapidement mon petit oiseau se raidir sous mon slip et mon pantalon.
Ghislaine maccompagna alors la cuisinière avec son logement pour la bouteille de gaz. Avec une pince donnée par la maîtresse des lieux, je la dévissais pour lemmener à la petite boutique du coin pour faire lchange.
A mon retour, jeus droit à ses félicitations, ce qui me toucha.
- Je pense que cela mérite bien une petite récompense, tu ne crois pas.
Je restai silencieux, croyant quelle allait me donner une pièce dans la monnaie que je lui avais donner. A ma grande surprise, elle me prit ma main et me conduit dans la salle de bain.
- Je veux avant tout que tu me promettes bien que tu ne diras rien de ce qui va se passer maintenant. Rien à personne, surtout pas à ta maman. Tu me le promets ?
Je balbutiais un « oui » à peine audible.
- Bien alors, allons-y. Dis moi, mon petit chéri, tu tes bien éclatée avec ma culotte.
- Oui, Ghislaine.
- Tu tes masturbé. Tu sais au moins ce que cela veut dire, se masturber.
Cétait bien sûr une pratique que je savais maîtrisait, et cela depuis longtemps. Mais je me cachais bien de lui dire. Devant mon silence, elle me lança.
- Si tu veux, je vais te montrer.
Je nen croyais pas mes oreilles, cette sensuelle femme à qui je rêvais presque toutes les nuits, me demandait de me mettre nu devant elle. Sans trop réfléchir, je mexécutai et me retrouvai le bas-ventre dénudé et mon pénis droit comme un « i » devant elle.
- Oh, mais comme tu as un joli zizi, mon chéri. Et cest moi qui te mes dans cet état là.
- Oui, Ghislaine, tu mattires tellement. Je pense à toi très souvent en mendormant.
- Mais, cest très coquin tout çà ! Tu nas pas honte de me lavouer.
Si elle savait que cétait une chose qui me passer au-dessus de la tête. Que seul mintéressé, la vision de son chemisier opulent devant mes yeux.
- Si cest çà, je vais te faire un grand plaisir comme une femme peut en procurer à un monsieur. Tu veux bien.
Comme le disait le Rapport Hite, les femmes aiment les puceaux et encore plus quand ils sont timides. Et ça cétait dans mes cordes.
Sans attendre ma réponse, Ghislaine sagenouilla devant moi et entoura de ses doigts fins et manucurés ma verge raide. Elle commença à tripoter mon sexe sensuellement en massant parfois de son pouce mon gland rose. Puis elle plaça ses doigts en cercle et me branla délicieusement de haut en bas sans arrêt. Je sentais le contact froid des bagues quelle portait aux doigts et jentendais le bracelet lourd qui tintinnabulait à chaque branlé de sa main sensuelle.
- Tu aimes mon chéri ? Tu aimes te faire branler ? Tu aimes ma main sur ton sexe.
- oh oui Ghislaine.
- Tu fais pareille en pensant à moi ?
- Pas aussi bien. Cela ne me fait pas le même effet.
- Comme tu me donnes chaud mon petit chéri. Si tu ny vois pas dinconvénient, je vais aussi me découvrir un peu aussi. Tu veux maider ?
-Oui si je peux.
- Alors dégrafe-moi mon chemisier, sil te plait.
Javais bien essayé de me contenir, mais le désir de la dénuder fut le plus fort, je tendais mes mains pour atteindre le chemisier, puis je le déboutonnais fiévreusement bouton après boutons. Et mon Dieu quils étaient nombreux. Ghislaine finit le travail en déboutonnant ceux des poignets puis fit glisser son chemisier, et cela pour mon plus grand plaisir. Je pouvais alors admirer sa poitrine que la dentelle ne pouvait tout cacher.
Puis elle me dit, dans un grand sourire.
- Je vais continuer à te branler, mon petit puceau, mais avec une caresse très spéciale. Jespère que tu vas aimer. Tu sais, cest quelque chose quune dame ne fait pas à nimporte qui. Cest une caresse damoureuse à son amoureux.
Javais bien une idée sur le sujet, lorsque je la vis passer ses deux mains sous sa jupe, puis faire descendre sa petite culotte quelle me tendait.
-Je sais maintenant que tu les aimes.
Il sagissait dune adorable culotte mauve faite de voile de nylon dune finesse incroyable et de dentelles fines et fleuries. Pas le temps den plus, que déjà elle me lapprocha de mon visage et me dit.
- Tu sens mon parfum mon chéri ? Tu sens bien mon odeur de femme amoureuse ? Elle est toute mouillée, tu sais, et à cause de toi ! Maintenant, tu vas voir comme cest bon ce que je vais te faire.
Je la vis prendre la petite culotte et la déposer sur mon sexe, juste sur le haut de mon gland. Puis elle la rabattit et en empoignant ma verge, elle lentoura dans le nylon mouillé et encore chaud. Je fus surpris par la sensation que cela me donna, je ne pus me retenir de lâcher un long gémissement dextase. Le doux tissu excitait merveilleusement la peau fine de mon sexe. Ghislaine enveloppa aussi mes testicules avec le dessous de la culotte et les caressa tendrement de son autre main.
- Tu aimes çà mon petit cochon ? Tu aimes la branlette dans une culotte de femme ? Alors, tu vas jouir dedans et me donner tout ton jus de garçon ! Allez, il faut juter maintenant mon chéri ! Jute bien dans le nylon de ma culotte !
Javais les yeux entrouverts, regardant cette femme me masturber, ses seins presque à ma portée que je nosais pas toucher.
- Voila, je sens que tu vas partir mon chéri ! Tu sens ton petit foutre venir ? Allez, vas-y ! Décharge vite mon bébé ! Salis la culotte de la salope de Ghislaine, déverse bien tout ton petit sperme de garçon !
Je ne pus me retenir plus longtemps, je déchargeai alors toute ma sève dans la culotte fine et douce, en de longs traits de foutre en ayant limpression que mon pénis allait exploser dans la main de ma branleuse.
Lorsque Ghislaine meut bien vidé dans sa culotte, je la vis la déplier et sentir le sperme gluant qui la souillée. Avec un sourire salace aux lèvres, elle se passa sa culotte et la remonta, jusquà la faire disparaître sous sa jupe, tout en poussant un petit râle étouffé.
Puis elle se pencha légèrement, frotta sensuellement ses cuisses lune contre lautre amoureusement. Puis elle prit appui sur le mur pour ne pas perdre son équilibre, avant de se raidir en se pâmant.
- Oh mon petit chéri, comme je jouis, Oh cest merveilleux, sentir ton jus tout frais contre mes chairs. Oh, çà me vient encore, Oh comme cest bon.
Ghislaine resta debout contre le mur un long moment, les yeux fermés, perdue dans son plaisir de femme, resplendissante et si impudique à la fois.
Une fois avoir cuvée son plaisir, elle ouvrit les yeux et me lança :
- Il faut te sauver maintenant, ta maman va sinquiéter. Mais avant promets-moi de bien tenir ta langue ! Sinon, nous ne pourrons plus nous amuser comme nous lavons fait !
Elle pouvait compter sur moi, je nallais rien avouer à personne sur ce que nous venions de faire, Ghislaine pouvait être rassurée de ce côté-là. Je me rajustais et me sauvais, les jambes en coton.
Ce soir-là, une fois dans mon lit, je me remémorais les paroles quelle mavait dit. De savoir le sens quelle voulait bien donner à ses autres amusements quelle mavait promis. Je mimaginais plein de chose, comme celle de pouvoir la posséder, elle que je trouvais si sensuelle et passionnée.
Allais-je pouvoir y parvenir ? Ghislaine allait-elle me prendre comme jouet à plaisir comme lavait fait avant elle ma tante ? ou alors, continuer à samuser avec moi en me faisant découvrir les autres facettes de la sexualité ?
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