Premiere Experience Humiliante Et Excitante

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Tiré d’une histoire vraie, agrémenté de faits fictifs.
Cela faisait déjà quelques temps que la curiosité homosexuelle me travaillait. J’allais sur des sites pornos admirant des hommes se sucer, se sodomiser, avec ou sans femmes tout en me masturbant, sans ne jamais oser la creuser réellement lorsqu’un soir je décide de jeter un œil sur les annonces dans ma région.
Après plusieurs jours de recherche je clique sur une annonce nommée « café nu chez moi et plus si affinité ». J’entame une brève discussion par mail avec son propriétaire qui m’envoie, a ma demande, des photos de lui nu, le sexe levé. Je fais de même puis nous fixons un rdv un soir de week-end chez lui. J’étais un peu timide mais décidé a aller au bout de mes pulsions sexuelles en me disant qu’au moins je saurai et que compte tenu de l’amour que je porte aux femmes je n’aimerai surement pas l’homosexualité au point d’y retourner.
Le fameux samedi soir arrive. Garé dans sa ruelle, je reste une dizaine de minutes a attendre et a me poser des questions, je fume pour me détendre … sans vraiment y parvenir, puis je décide d’aller sonner a sa porte.
Apres un court moment cette dernière s’ouvre :
- Entre ! Je t’attendais, l’escalier sur la gauche, va a l’étage.
Je rencontre un homme aux cheveux courts, 35ans, plutôt musclé a la voix calme et au comportement serein.
J’entre dans un grand salon, à la déco simple et classe. Souriant, d’un geste de la main, il m’intime de m’asseoir, je m’exécute. Il enlève sa veste et je fais de même, il sent ma timidité.
- Pas trop dur de trouver l’adresse ? S’enquit-il.
- Non, ca a été merci.
- Il est peut être un peu tard pour un café, que voudrais tu boire ? Me demande t il pour me décontracter.
- Un bière ou un rhum sans glace si tu as stp, je peux fumer ici ? Est-ce que je peux prendre une douche aussi stp ?
- Oui pas de problème, je t’apporte ca, la salle de bain est au troisième étage.


Nous buvons et discutons de tout et de rien, je lui explique que j’ai 20 ans, que je suis curieux et que c’est ma première fois, ce qui fait naitre un sourire vicieux sur son visage. Il me demande ce que j’attend de cette soirée avec lui, je préfère être honnête et cash maintenant :
- Voila, j’aimerai être un peu soumis, me laisser faire par toi, que tu me domines et gère la session, tu as l’habitude et je pense pouvoir te faire confiance. J’ai envie de te sucer, de me faire sucer, de recevoir des fessées, que tu joues avec moi, tout en tenant compte que je n’ai jamais fais ca. Je ne pense pas vouloir d’anal.
- Ok, ca me plait bien, tu me dira au fur et a mesure ce que tu veux, j’aime dominer. Nous pouvons commencer ? Me demande t il tout en me servant un autre verre.
- Oui, je suis prêt.
- Bien, va te doucher, et ca ne sert a rien de descendre habillé, je te veux nu, complètement nu.
J’acquiesce d’un hochement de tête, son ton était froid mais respectueux.
Un fois la douche finie je descend dans le salon complètement nu, mes affaires a la main. Je m’assoie a coté de lui, jambes fermées, essayant de cacher mon excitation. D’un doigt il écarte mes jambes.
- Tu es ici parce que tu en a envie, tu es nu et soumis parce que tu le veux alors montre moi tout ton corps, je vais en profiter, tu le sais.
Je ne répond rien et ouvre grand mes jambes laissant apparaitre mes testicules et mon sexe nu en érection, excité de la situation. Il me sourit :
- Pas mal pour un gamin, ton corps me plait ! Tu es un très beau jouet !
Il commence a me caresser, a me masturber, me serrer les boules entre ses doigts et a me pincer les tetons, je grimace de douleur et de plaisir. Mon sexe durcit encore et il le sent.
- Bien, pour ce soir tu es ma chienne, et je suis ton maitre, tes cheveux longs vont très bien avec la situation. Regardes toi, tu mouilles déjà me dit il avec un air amusé. Il prend une goutte de ma mouille avec son doigt et la porte a ma bouche, je l’avale tout en lui suçant le doigt, il recommence plusieurs fois.

- C’est bon hein ? Chienne assoiffée va, n’oublie pas de baisser les yeux devant moi. Masturbe toi, comme tu le ferai seul, montre moi ton intimité.
Je commence donc a me masturber, gêné d’être regardé. Je ferme les yeux pour mieux me concentrer, plus je me branle, plus mon sexe s’humidifie. Je commence a faire des mouvements de bassin tout en ouvrant un œil de temps en temps. Il est la, content du spectacle, se caressant a travers le pantalon.
- A 4 pattes maintenant ! M’ordonne t il tout en tirant ma tête en arrière par les cheveux.
- Oui Maitres lui dis-je tout en baissant les yeux.
Je me met a 4 pattes sur le canapé, les couilles pendantes, puis reçois trois grosses fessées qui me font gémir, avant d’entendre « ta place est par terre ! » je me mis par terre, cambré, les fesses face a lui, lui offrant le spectacle de mon petit trou serré, il me mit d’autres fessées tout aussi fortes.
Puis il sorti de l’un des tiroirs un sac plastic blanc dans lequel il prit une longue cordelette noir, il commença a m’attacher les testicules et le pénis avec, après quelques minutes je sentait mes testicules gonflées et endolories, c’est le moment qu’il choisit pour me mettre des pichenettes et claques sur ces dernières, la douleur me faisait pousser de petits cris et me faisait sursauter, il me remettait en position de chienne aussitôt pour mieux recommencer. C’était douloureux et agréable.
Le miroir qu’il avait disposé en face me permettait de le voir faire mais aussi de voir ma condition de chienne et la situation extrêmement humiliante dans laquelle j’étais. Je voyais a son sourire qu’il était satisfait. Fessée, testicules, insultes, il alternait. Je gémissait. Je ne m’attendais pas a subit ca en venant, et encore moi a apprécier.
- Mais t’as mouillé partout par terre ! Lèche moi ca petite pute ! Puis tu vas me sucer, t’as intérêt de le faire bien. M’ordonne t il.
Je me retourne, les yeux baissé je lèche ma propre mouille a même le sol, ca me dégoutait autant que ca m’excitait, c’est vrai que j’avais beaucoup mouillé.
Lorsque j’eus fini, je levai la tête et me retrouvais, surpris, face a un gros et beau sexe, 18cm, large, nerveux et bandant. Il était presque posé sur mon nez et me faisait loucher. Je restais a le regarder avec stupeur. Il le poussa contre mes lèvres et j’ouvris la bouche, il entra doucement, je sentais cette bite sur ma langue, les nerfs sur mes lèvres, je commençais doucement, il me laissait faire, j’aimais ca et il le voyais. Je commençais a sentir le gout de sa mouille sur mon palais. Il avait fait passer la cordelette par derrière moi et lorsqu’il tirait dessus elle tendait mes couilles, passait entre me fesses et me faisait avancer de douleur sur sa bite. Il en profitait aussi pour me mettre de petits coups de pied dans les couilles.
Apres quelques temps, il me prit par les cheveux et commença a faire des va et viens, doucement mais profond, il touchait un peu plus ma gorge a chaque fois, je ne faisais plus rien a par subir son gros sexe.
- C’est bon hein !? On dirait que tu es habitué s’amusa t il.
- Arg … arg … arg ... arg … arg … lui répondait ma gorge.
Il se leva du canapé sans lâcher ni mes cheveux ni la cordelette, et je me retrouvais a genoux devant lui. Il me baisa la bouche, fort, très fort ! Pendant que je poussais des gris de douleur accompagnés de haut le cœur, lui, poussait des râles de plaisir. Il ne me laissait reprendre mon souffle que peu de temps, il continuait ses va et viens, comme si le plaisir qu’il éprouvait prenait le dessus sur ma virginité. Je ne pouvais plus avaler le liquide qui se formait dans ma bouche, il y en avait trop, le liquide coulait sur mon menton, mon torse et mon sexe dur avant de rejoindre ma mouille sur le sol. Des larmes coulaient de mes yeux rouges écarquillés, ca n’avais pas l’air de le déranger, au contraire.
- Tu pleurs, c’est mignon ! Me dit il accompagnant ses paroles d’une gifle sur ma joue.
- Une mignonne petite salope !
J’essayais de ralentir l’acte violent avec mes mains contre ses cuisses, ce qui lui a déplut.
Pour remédier a cet acte « rebelle » de ma part il sorti des menottes du sac plastic blanc et m’attacha les mains dans le dos. Il reprit alors de plus belle le supplice qu’il me faisait subir, il me faisait lécher ses couilles et se branlait sur mon visage, y étalant toute la mouille, c’était les seuls moments ou je respirais. Il aimait donner de petits coups de pieds dans mes couilles. Je continuais de gémir, des bruits rauques sortaient de ma gorge, il me giflait, me baisait, m’humiliait. Je me crachais dessus et sentais le tout couler en masse sur moi.
Il était content et moi aussi. Après qu’il m’ait fait lécher et avaler tout le liquide par terre, mélange de sperme, de salive et de larmes, nous fîmes une pause clope. Moi, assis par terre contre le canapé reprenant mon souffle, recouvert de liquide et séchant mes larmes, le visage et les yeux rouges, lui, assis, fière et satisfait.
- Ah ! Fit il comme si ça lui avait demandé un effort. Ca va ?
- Oui, je ne m’attendais pas du tout a ca, je t’avais dit que c’était ma première fois…
- Tu me l’as dit oui, mais regarde ! Il pointe mon sexe dur et dégoulinant du doigt avec un sourire. Et puis tu sais que tu peux me demander d’arrêter a tout moment, tu n’as qu’a dire le mot, mais tu ne l’as pas fait. Tu aimes ca ! On va aller encore plus loin.
- D’accord, c’est vrai, j’aime ta bite au fond de ma gorge.
Il avait raison, je prenais mon pied et j’en voulais encore.
- Donne m’en plus, humilie moi, je suis tienne. Ajoutais je.
- Tu ne sera pas déçu !
Je ne comprenais pas ce qu’il me prenais, pourquoi je disais ca ? Le plaisir parlait pour moi. Il m’autorisa a nettoyer mon visage qui commençait a coller puis m’ordonna de me mettre a 4 pattes, lui offrant mon cul qu’il malmena de fessées pendant un temps qui me parut un éternité ! Je criais de douleur, me tortillais dans tous les sens mais revenais a ma position initiale a chaque fois, jusqu’au moment ou je n’en pus plus, je m’allongeais de douleur, les mains attachées, et pleurait.
- Stop ! Stop ! Stop ! Aïe ! S’il te plait arrête !
- Ta gueule !
Et il continua, n’attendant même plus que je me remette a 4 pattes, ses mains heurtait mes fesses rouges dans un bruit de plus en plus fréquent et fort. Il me maintenait plaqué au sol, une main sur mon coup, un genoux sur mon dos et l’autre main me frappait.
- Aïe ! Ah ! Stop ! Aïe !
Les larmes coulaient de mes yeux. Je me débattais mais chaque fessée était plus douloureuse que la précédente. Il s’arrêta. Son bras devait être fatigué. Je restais la, allongé par terre a attendre que la douleur se calme.
Il me remit a 4 pattes et cracha dans mon anus, une fois, puis deux. La sensation de mes fesses a vif et de la salive coulant dans mon anus était très douce et agréable. Il commença a jouer avec mon trou tout en regardant mon visage plein de larme dans le miroir. Son doigt entra lentement dans mon anus, c’était si bon ! Je dandinais mes fesses pour lui dire que j’aimais et que j’en voulais plus, comme s’il ne le voyait pas. Je poussais des petits cris de plaisir. Il sorti du lubrifiant du sac blanc et une boule qu’il me mit dans la bouche pour m’empêcher de parler. Il entrait un puis deux doigts qu’il commença a bouger en profondeur, mes cris de plaisir s’accentuèrent. Il me doigta avec force, la douleur arrivait mais le bonheur était trop grand, je respirais fort et bruyamment, couinais tel une chienne en chaleur. Je sentais ses doigts remuer au plus profond de mon cul. J’essayais d’articuler des « encore, encore » « oh oui ! Vas y ! » « plus profond, vas y ». Il entrait un troisième doigt et je sentis ma rondelle se dilater. Aaah ! Ce que c’est bon ! Dilate moi putain !
Il ne se fit pas prier et y alla avec beaucoup de force et de passion ! J’avais mal, il le savait ! J’aimais ca, il le savait ! Il continua de me défoncer a coups de doigts, je faillis jouir plusieurs fois mais il m’avait interdit de me toucher, c’était tellement dur de me retenir, je mouillais partout, ca coulait.
Lorsqu’il eut finit je sentais mon trou extrêmement ouvert, ébahit, je me sentais chienne et j’adorais ca ! Je me sentais humilié mais a la bonne place au bon moment.
- Tu es prête petite pute ! me dit il.
- Prête pour quoi ? L’interrogeais je.
C’est alors qu’il sortir un gros plug en métal de son sac magique, il vit mes yeux s’agrandir. Non, je ne peux pas .. c’est trop .. imposant .. trop gros ! J’avais peur mais je ne dis rien. Il me le mis en bouche, c’était lourd, il me fallut un effort pour faire entrer la taille dans ma bouche. Il le présenta devant mon trou, le fit entrer doucement puis d’un coup, jusqu’au fond ! Je poussais un grand cris de surprise, de douleur et de bonheur.
- Aaaaaaaahhh ! Putain ! Criais je en me tordant sur le sol !
- C’est bien sac a foutre, je suis fier de toi !
- C’est gros, ca fait mal ! Aaah !
- Attends quelques minutes que ton corps de solpe s’habitue.
J’étais nu, a même le sol, les mains attachées, les couilles violettes et gonflées, endolories, le sexe dur et humide, un énorme plug dans le cul, des larmes séchées sur mon visage.. tellement humiliant et le regard moqueur accompagné du rire narquois de mon bourreau n’arrangeait rien.
- Ok pause clope me dit il tout en appuyant sur le plug avec son pied, pour me le faire sentir.
- Merci dis je, soulagé.
Lorsque nous eûmes fini de fumer, le plug et moi ne faisions qu’un, c’était confortable, agréable une sensation nouvelle que je voulais garder.
- J’ai besoin d’aller aux toilettes lui dis-je.
- Pas de souci.
Il m’accompagna et me regardait uriner, tout en touchant mes couilles, il prit mon sexe pour l’égoutter.
Lorsque nous fûmes de retour dans le salon il me suça doucement et longuement tout en jouant avec le plug et la cordelette ; c’était tellement bon, ses vas et viens sur mon sexe sensible, ses doigts sur mes boules et cet énorme plug a l’intérieur de moi ; une sensation inoubliable ! Un moment de douceur. J’ai faillis jouir plusieurs fois, j’étais constamment au bord de l’orgasme, sous pression, je n’en pouvais plus, il fallait que je jouisse ! Il me tortura aussi les couilles, je sursautais a chaque coup, appréhendant le prochain.
- Allonge toi la sur le canapé petite pute, sur le dos, la tête dans le vide ! Tu va prendre cher !
Je m’exécute sans broncher, et c’est dans cette position qu’il entreprend de me défoncer encore la bouche. Il s’approche de moi par la tête et vient s’asseoir sur ma bouche, me forçant a lécher son cul. Je sens le poids de ses couilles sur mon menton, l’odeur de sa bite m’excite. Je lui lèche le cul avec passion, il s’appuie de plus en plus fort, m’ordonnant d’enfoncer ma langue dedans, ce que je fais avec plaisir, je sens son anus se contracter de plaisir sous ma langue, il se branle en même temps. Prenant ma tête pas le dessous il monte et descend sur ma langues. Puis il me force a avaler ses couilles toutes entières, il appuie sur mon visage ne me laissant d’autres choix. Alternant entre couille et anus ma bouche commence a fatiguer. Il se fait un plaisir de me branler et de me r les couilles avec violence. Lorsque sa bite commence a mouiller il me l’enfonce d’un coup dans la gorge, me tenant par la mâchoire, je tousse et sursaute mais il ne bouge pas, il me laisse m’ avec sa grosse bite jusqu’à ce que je n’en puisse plus. Je tente de reprendre mon souffle lorsqu’il part chercher un saladier dans la cuisine.
- Tu subis sacrement bien pour une première fois ! Voyons si je peux aller au bout.
- Au bout de quoi ?
- Au bout de toi !
Pourquoi un saladier ? Pour jouir ? Pour me faire boire ? Je ne sais pas et je n’ose poser la question. Il le dispose a coté, par terre, puis entreprend de me baiser la bouche avec force, les contractions ventrales que me font sa bite dans ma bouche sont agréables avec le plug. Ses vas et viens sont raides et violents, rapides et profonds, une grande quantité de liquide se forme dans ma bouche, je suis obligé de cracher pendant qu’il me viole. Je sens ce liquide couler de ma bouche dans mon nez, dans mes yeux puis dans mes cheveux, je tousse en le crachant sans qu’il n’arrête ses aller retour.
C’est épuisant, je pleure et gémit tant que je peux, ne pouvant rien faire d’autre. Mon visage et mes cheveux sont bientôt recouvert de mouille de sperme, de bave, il me pince le tetons en même temps et me frappe le torse. Mon corps sursaute de douleur, le plug gigote dans mon cul dilaté, je n’en peux plus. Ma bite mouille sous la pression de l’excitation. Mes larmes coulent sans s’arrêter. Puis il enfonce sa bite au plus profond de ma gorge. Il me coupe le souffle, une envie de vomir me vient, il ne bouge pas, laissant sa grosse queue au fond ! Je ne peux plus me retenir, dans un dernier aller retour en profondeur il me fait vomir dans le saladier, je vomis et pleur en même temps, il arbore un sourire satisfait. Je tousse et vomis, sa bite est allé au plus profond de ma gorge, trop profond ! C’est ce qu’il souhaitait, me défoncer jusqu’à ce point. Jusqu’au bout.
Qui est t il ce sadique ? Je me rince la bouche et me remet en position ou il reprend ce viol buccale d’une grande violence. Je suis a bout, j’ai tellement envie de jouir depuis longtemps. Il me baise encore et encore.
Lorsqu’il en eut assez il s’arrête et colle son sexe au miens afin de nous branler ensemble, tout en me torturant les tetons. Je ne met pas de temps a jouir. Je me jouis dessus, et sur sa bite, mon orgasme est extrêmement fort ! Un vrai bonheur ! Je pousse des râles de plaisir et de satisfaction ! Sa bite est recouverte de mon sperme. Puis il vient se branler sur mon visage afin de me jouir dessus, il finit de jouir au fond de ma gorge me forçant a avaler son sperme mélangé au miens. Il finit de jouir avec bonheur dans ma gorge. Il me caresse les cheveux comme on ferait a une petite chienne l’air de dire « c’est bien ». Il essuies sa main sale sur mon torse tout en me crachant au visage puis me regarde reprendre mes esprits tout en tirant sur la cordelette. Je reste allongé a reprendre mon souffle de bonnes minutes, j’ai tout avalé. Le plug me fait toujours autant de bien, il en profite pour prendre une photo de ma condition de souillé.
Allongé nu, le sexe et le torse plein de sperme, les couilles violettes attachées, le visage et les cheveux recouverts de semence, un gros plug lourd en métal au fond du cul. Je ne peux bouger et suis obligé d’accepter ces photos volées et son rire moqueur. Je reste la humilié par lui et devant lui.
Apres de bonnes minutes, je me levai en direction de la salle de bain, pour laver cette souillure, mais il m’arrêta.
- Que fais tu ? Me demanda t il
- Je vais me laver, je suis sale et humilié.
- Oui, tu l’es en effet, mais ca te va bien. Assis toi par terre, je t’apporte de l’eau.
Je puis me rincer la bouche et le regardais d’un air interrogateur.
- L’idée que tu sortes comme ca dehors, recouvert de sperme, puant la bite me plait. Ca te va bien. Je ne vais donc pas te permettre de te laver avant de partir. Tu portes sur toi toutes les marque de ce qui vient de se passer, de tout ce que tu as aimé subir. Assumes !
Je restai ébahit, ne sachant que dire. Sortir dehors comme ca ? La ruelle était peu fréquentée mais elle l’était tout de même. Il m’enleva la cordelette en oubliant le plug.
- C’est bon, tu peux y aller, nous en avons fini.
- Je .. je ne peux sortir comme ca, et le plug ?
- Tu ne peux sortir comme ca ? Ah oui !? On va faire mieux alors ! Le plug tu le gardes, tu me le rapportera propre la prochaine fois que tu viendra.
- Quelle prochaine fois ? Je ne pense pas revenir, regarde ce que tu me fais subir !
- Tu reviendra, ne t’en fais pas. Dans une semaine ou deux mais tu reviendra. On pourra admirer les photos que je ferai développer me dit il tout en prenant mes habits.
- Que fais tu avec mes affaires ?
- Tu ne peux pas sortir comme ca m’as-tu dit ? Tu sortira nu et sale alors ! Allé ! Dehors !
Il prit un air sévère tout en me montrant la sortie du doigt. Je me levai et pris la direction de dehors, complètement nu et puant le sperme, armé de mon plug. J’ouvris la porte et hésita a me lancer sous la lumière des lampadaires dans cet état de saleté. Son regard ne me laissait d’autres options. Je marchais plus humilié que jamais dans cette ruelle trop bien éclairée. Il prit une dernière photo de moi. Je marchais tête baissée, jusqu’à ma voiture suivi par lui. A mi-chemin, alors que j’avais déjà croisé le regard moqueur de deux personnes, nous passâmes devant trois jeunes, il jeta mes affaires par terre devant eux et me dit « allé bonne nuit petite chienne ! A bientôt ! ». Alors que je me baissais pour les ramasser, il me mit un coup de pied dans le plug, ce qui me fit tomber. Il rigola et les jeunes a coté aussi. Je pris mes affaires et couru a ma voiture afin de me cacher et de pleurer mon humiliation.


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