Je Donne L'Occasion A Ma Femme De Se Faire Mettre Devant Moi...
Je naimais pas trop Corine, la nouvelle amie de ma femme, une fille que je trouvais avoir, comment dire ? Un pète au cul. Aux cheveux déteint, à la voix criarde.
Et en cette après-midi, ne sachant pas quoi faire (ce quelle avait déclaré), elle était venue sinvité à prendre un café à la maison. Nous étions donc tous les trois dans le salon, ma femme et sa collègue tablée devant une tasse de café fumante, moi devant mon ordinateur confortablement assis dans un des fauteuils. Comme à son habitude, elle saccapara la majorité de la conversation. Malgré mon intéressement pour se sui ce passé sur mon écran jécoutais néanmoins dune oreille ce quelle disait.
Et dans tout son blabla, parmi ses multiples péripéties une capta mon intention. Un incident survenu quelques jours plus tôt. Alors quelle était à bord de sa voiture en compagnie de son ami du jour, en train de se bécoter dans un bois tout proche. Un endroit qui avait la réputation dêtre hanter par les voyeurs.
- On pensait être tranquille mais pendant quil soccupait de moi, jai aperçus un jeune homme, qui nous contemplait de derrière une haie.
- Jimagine que tu as ragé de devoir tout arrêter, fit ma femme en pouffant de rire.
- Penses-tu
Rémi a assisté pour poursuivre notre petite affaire
- Et alors ? Linterrogea ma femme.
- Jai fais plaisir à mon chérie
- Non !
- Si je te le dis
nous avons poursuivis notre petite affaire
jusquà son terme
- Devant le voyeur ?
- Oh ! Il nest pas resté longtemps nous regarder. Après avoir joui il a filé
Et elles séclatèrent de rire, en chur
Quelques jours cétaient écoulés, mais pas lincident quavait vécue Corine avec son copain. Et javoue que cela mavait taraudé lesprit tout ce temps. Au point de vouloir donner une suite à cette aventure. Pour cela javais insisté au près de ma femme pour aller la chercher à la grille de son boulot.
Sitôt dans la voiture javais posé ma main sur sa cuisse nue de ma femme. Je laissais mes doigts erraient au hasard sur sa chair douce et ferme à la fois. Enthousiasmé par cette affolante caresse comme à son habitude en pareil moment, elle sempressa décarter ses jambes. Par ce geste javais pu atteindre le haut de ses cuisses. Aussitôt un troublant malaise menvahit à sentir sous mes doigts ses poils à travers le tissu moite du slip. Jen éprouvai un intense plaisir. À mexhorter daller rejoindre au plus vite le bois.
- Tu veux peut-être que je marrête dans le coin ? La questionnais-je.
- Là
mais ce nest pas lendroit où
- Tu ne vas pas me dire que tu crois encore ta copine, la coupais-je. Laisse tomber, pure fabulation de sa part, comme la plus part de ses paroles qui sortent de sa bouche.
Tout tremblant dexcitation, je métais stationné sur un espace découvert. Il se tenait déjà sur place trois voitures vides de toute vie. Je coupais le contact et comme je lavais prévu je sortais de ma poche un bandeau, que je lui présentais.
- Que comptes-tu faire avec ça ? Me questionna ma femme.
- Mais de bander les yeux, ma chérie.
- Mais pourquoi ?
- Chut
tu as oublié, Patrice
- Oh ! Tu memmerde avec ça !
- Ça te donne tellement dentrain, que je ne peu plus men passer.
Elle était dans un tel état dexcitation, que très vite ses réprobations pourtant avéré, mais ça elle nétait pas censé de le savoir, étaient passé aux oubliettes. Je profitais de sa malléabilité pour lui bander les yeux.
Il se passa un bon moment sans que rien ne se passe autour de nous. Comme si nous étions les seuls âmes vivantes dans les environs malgré les voitures stationnées tout proche. Puis alors que je lui pelotais à pleine main la poitrine dénudée, je vis arrivé un jeune homme sur un vélo, qui nous surprenons, sauta de sa monture.
La bouche ouverte, ma femme jouissait de linstant. Loin de se douter de ce qui se tramer, à seulement quelques mètres delle. Là où cétait posté le voyeur, derrière un bosquet. Mais trop loin de mon propre avis, pour parfaitement voir ce qui se passer à lintérieur de lhabitacle. Dun geste de la main je linvitais alors de sapprocher. Ce qui ne comprit pas tout de suite. Il mavait fallu renouveler le geste à plusieurs reprises pour quil daigne enfin accepter linvitation. Se dressant devant la portière de ma femme.
Heureux, et encouragé que tout roulait à la perfection, je menhardis à rabattre le siège, faisant que ma femme se trouvait à présent allongée. Je retroussais la robe jusquà sa taille, dénudant son ventre, quelque peu arrondi, recouvert par une fine culotte blanche pratiquement translucide. Jécartais largement le slip de dentelle sur le côté, afin de faire découvrir le sexe à notre spectateur. Il pu voir au centre dune épaisse touffe de poils, mes doigts sagiter follement dans la chatte.
Au bord de lextase, ma femme toujours les yeux obstrués, porta machinalement ses mains sur sa poitrine de marbre. Empoignant fébrilement ses lourdes mamelles gonflées par le désir. Avec une fièvre grandissante, elle les pressait, tout en mencourageant :
- Oh oui, cest bon, mon chéri
Continue comme ça !
Oui
Oh oui
. Enfonce bien tes doigts !
Plus loin !
Cétait si sagement dit que je me devais que de mexécuter. Ce que je fis, en surveillant dun il discret lintrus qui avait entreprit de se toucher. Proche de lextase, ma femme sempara de ma tête et dans un geste passionné mattira jusquà sa poitrine.
- Oh oui !
Ah, chéri, je viens !
Aaaaahhhhh !
Le visage collé contre les douces rotondités mammaires, un il sur les doigts du spectateur, jécoutais triomphant les plaintes amoureuses que ma femme, tandis quun liquide brûlant engluait ma paume.
Jétais tellement épris par ce qui se dérouler autour de moi, que je navais pas remarqué que le bandeau avait glissé soit quelques peu sur les yeux de ma femme. Assez pour la faire saffolée par la vue de ce spectateur surgi de nulle part. Poussée de remettre de lordre dans sa tenue. Le jeune homme quand à lui se rendant compte quil était de maintenant trop, recula, mais entravé aux chevilles par son pantalon, il se retrouva les quatre fers en lair.
- Démarre tout de suite me fit-elle, apeuré.
- Mais il nest pas dangereux. Cest un voyeur.
Je baissais la vitre et lançais à lintention du jeune homme qui avait du mal à se relever.
- Revient à ta place. Elle veut bien que tu assistes à nos ébats
lui lançais-je alors que ma femme me jeta un regard noir.
- Aller, laisse faire. La réconfortais-je, tout en retroussant de nouveau sa robe. Tu ne vas pas me dire que cela ne texcite pas.
Le jeune homme avec un regard lubrique reprit sa place initiale. Ma femme tenta de lignorer, en se tournant de mon côté. Je me mis tout de suite à luvre pour quelle retrouve au plus vite son excitation, qui lui fera oublier lenvahisseur. Fourrageant pour ça son sexe, ranimant son désir.
- Regarde, sa queue
lui murmurais-je à loreille.
Comme elle daignait mécouter. Jinsistais fortement, et ça jusquà ce quelle porte son regard sur les parties génitales du mec. Quil massait entre ses doigts.
- Je me sens toute drôle, mavoua-t-elle.
- Cest lexcitation. Répondais-je bêtement. Tu aimerais lavoir dans ta chatte ?
- Je
oui.
- Et comment que jaimerais ! Cest bien pour ça que je te le propose.
Les yeux de ma femme se mirent à briller.
- Ça ne te ferait rien, vraiment
rien ?
- Je tai dit que japprouve. Que je consentis même. Que te faut-il de plus
Ma queue tressautait sur mon ventre, alors que de son côté, mon épouse se frottait lentement ses cuisses lune contre lautre. Le mec se branlait carrément en matant les cuisses à ma femme.
- Tu maimes ?
- Quelle question ! Bien sûr que je taime
répliqua-t-elle.
- Alors montre lui
ton cul
- Que veux-tu que je fasse ?
- Allez fais-le ! Je veux le voir juter
- Comme tu veux !
Maintenant toujours le bas de sa robe levé, et sans se retourner, elle enfonça lélastique de sa slip entre ses lèvres intimes. Elle fit même semblant de se gratter le vagin. Pour mieux lexhiber. Le mec activa plus rapidement sa main le long de son sexe, pour notre plus grande fascination.
- Il est super bien monté ! Lança-t-elle, en fixant la verge.
- Je suis bien daccord avec toi.
- Je peux ? Fit-elle, en se saisissant de sa culotte.
- Fais comme bon te semble
je tautorise de faire tout ce que tu veux. Je ne peux pas être plus clair
Avec des gestes lents, elle fit glisser son slip en se trémoussant vicieusement. Le mec se pencha pour apercevoir son sexe dans son entier.
- Je suis vraiment une salope, pour me montrer ainsi
tu ne crois pas mon chéri ?
Sa vulve sétait de plus en plus liquéfier. Ses grandes lèvres sépanouissaient comme les pétales dune fleur gorgée de suc.
- Non, je ne crois pas ! Répondais-je les yeux rivaient sur son sexe. Tu veux seulement me faire plaisir, voila tout
Son clitoris pointait dentre ses poils. Soudain, elle prit linitiative de se retourner. Se positionnant à quatre pattes tout en ondulant des hanches.
- Je vais lui présenter mes fesses, fit-elle le rouge aux joues. Elle écarta la raie de ses fesses sous le regard concupiscent du jeune homme. Son anus rose et strié apparut dans létroit sillon tapissé de poils. Les sphincters étaient boursouflés. Un peu de chair rouge sortait au bord de lanneau bistre. Je vis celui-ci gonfler. La perverse poussait sur ses sphincters pour mieux exhiber lintérieur de son cul. Elle en frétillait, comme une chienne en chaleur. Je nen pouvais plus.
- Tu naurais pas envie dune bonne queue ?
- Oh oui ! Met la moi
- Je ne parlais pas de la mienne
mais celle du mec ! Tu voudrais sa queue dans ton cul ?
- Tu es sérieux
là ?
Jamais je navais sentis ma femme aussi déchaînée. Prête à tout subir. Jétais moi aussi parcouru par un frisson électrique, à autorisé notre visiteur à ouvrir la portière.
Avec mon cautionnement, il avança sa main et la posa à plat sur le fessier de ma femme. Comme elle ne réagissait pas. Il glissa ses doigts vers le pubis, alors quelle entrouvrait un peu plus les cuisses pour faciliter le passage de cette main fureteuse.
Réduit au rôle du voyeur, je me laissais happer par ce qui se dérouler sous mes yeux. Quelle sensation troublante. Dautant plus que ma femme me regardait droit dans les yeux, et
Mexprimait tout le plaisir quelle recevait en ce moment. Passant sa langue sur ses lèvres sans retenue. Je ne fus pas surpris de constater que les doigts du mec étaient recouverts de sa cyprine.
En se tortillant sur les doigts, dune bouche vorace, elle sempara de celle du branleur. Je vis leurs langues senrouler, alors quelle pinça le téton de son sein gauche. De sa main libre elle se saisit de celle du mec pour exiger de sa part quil amplifie ses allers-retours pour la faire parvenir à sa jouissance. Ce qui arriva très vite. Qui sous lemprise du plaisir, elle se mit bien fort malgré le risque dêtre entendue par les promeneurs.
Pris lui aussi dans lengrenage de la folie, je le mec sagenouillait derrière les fesses de ma femme. Il présenta sa verge à lentrée du sexe de ma femme. Il commençait alors ses va-et-vient sous mes yeux. Je ne pus mempêcher de me masturber à la vue de cette scène. Où une verge autre que la mienne labourait les entrailles de ma femme.
Je fus certain de ne jamais oublier le visage de ma femme à cet instant. Il exprimait un désir malsain, animal, mêlé à des émotions confuses, un plaisir écurant un sentiment davilissement total.
Il sagitait entre ses fesses de mon épouse. Sa queue morveuse glissait dans les replis rouges à cadence régulière. Lui arrachant à chaque pénétration une plainte aigue. Puis il se colla à elle, linondant de son sperme.
Bien plus tard devant la télé, alors que ma femme posa mon café sur la table basse, je ne pus résister de faire disparaître ma main sous sa robe. Laissant ma main remonter entre les deux colonnes de chair chaudes et frémissantes. Butant sur le fin rempart quétait la culotte. Pas mécontent de constater labondante humidité qui poissait son entrejambe.
- Tu es encore très excité
Pour toute réponse, elle écarta largement les jambes afin de permettre à ma main exploratrice duvrer à son aise dans son entrecuisse. Avec émotion, jécartais lentrejambe de sa petite lingerie à tondre, pour fourrager de nouveau sa toison intime. Atteindre sa faille sexuelle qui donnait accès à son sanctuaire. Lentement jy enfonçais un doigt entre les lèvres humides. Puis un second, qui saccouplant au premier pour ramoner habilement son conduit sexuel gorgé de sucs vaginaux. Vacillant sur ses jambes, elle sagrippa à mon épaule. Reins cambrés, jambes largement écartées, elle sabandonna à mes voluptueuses caresses.
Une chaude liqueur séchappait de ses entrailles, engluant ma main. Pressé de foutre, jôtais pantalon et slip. Elle de son côté, se contorsionner pour repousser sa culotte de ses rondeurs. Mais alors que je mapprêtais à me glisser entre ses Jambes, elle me murmura :
- Non
Je cherchais le moindre signe de faiblesse dans ce non ! Mais il était sans faille, froid et tranchant.
- Laisse-toi faire, je sais bien que ten crèves denvie.
Elle me repoussa doucement.
- Cest vrai, fit-elle. Faisant glisser son index le long de ma verge dressée, le regard brillant de désir. Tu pourras même me faire, tout ce que tu veux, mais après
Je lui lançais un regard dincompréhension. Elle eut un sourire vicieux et pointa son index vers son entre cuisses humide.
- Je veux dabord que tu me lèche là
que tu nettoies tout. Le moindre repli. La moindre fissure. Sentir ta langue là où il a mit sa queue.
Javais oublié quelle était beaucoup plus vicieuse que moi. Et comme javais envie de lui fourrer la queue là où le mec lui avait mise quelques heures plus tôt, je métais soumis à ses exigences.
Alors je métais penché en avant. Javais flairé les odeurs fortes qui se dégageaient de sa fourche. À la fois écuré, mais aussi terriblement excité, javais enfoncé mon visage dans la fente et métais mis à laper de bon cur...
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