Kristine 2 Prise Au Piège

Ce soir-là, j'étais à l'étage quand Alain rentra à la maison ivre et dans l'une de ses humeurs particulièrement violente et agressive.

- Alors, tu fais encore la gueule. T’as pas l’air d’être contente de me voir, salope. De toute manière, il y a longtemps que tes grosses loches ne me font plus bander. En plus ta bouffe est dégueulasse!

- Pauvre tâche, ça fait bientôt 6 ans que je ne t’ai pas vu bander. Y a que les putains de parking routier qui acceptent de payer pour sucer ta bite molle.

-T’es vraiment qu’une grosse vache.

Je l’ai giflé. Il s’est écroulé incapable de bouger sur le canapé. Je suis montée pour m’enfermer dans la chambre. Le ton était monté d’un coup et j’ai vu que Damien avait tout entendu de la scène. J’étais confuse et furieuse.

Quand je suis descendue, le lendemain, j'étais gênée de voir Damien assis là à regarder la télévision et je me suis excusée de l’avoir rendu témoin de la scène de la veille. Mais il m'avait dit de ne pas m'inquiéter et ce n'était pas un problème. Il avait vécu avec nous assez longtemps pour savoir comment était Alain et comment il me traitait, mais il ne disait jamais rien. Il m’a serré dans ses bras et j’ai éclaté en sanglots. C'est après cette dispute que Damien a commencé à passer beaucoup plus de temps avec moi quand Alain était sur la route et il a commencé à laisser la porte à moitié ouverte à sa chambre. Mais si je suis honnête, j'ai commencé à agir légèrement différemment sans bien m’en rendre compte. Quand j’allais à la salle de bain je ne manquais jamais l’occasion de le regarder endormi. Je trouvais toujours un nouveau motif pour passer et repasser. Finalement, il représentait l’homme tendre et cultivé que que n’avais jamais eu, une autre vie que j’aurais pu avoir si je n’avais pas eu le feu aux fesses si jeune.


Un midi, alors que j’étais rentrée à la maison pour déjeuner. J’espérais secrètement le voir puisqu’il avait travaillé la nuit précédente.

Alors que je repassais pour la troisième fois devant sa porte pour des motifs futiles. Il me saisit par surprise par le bras.
- Lâchez-moi, s’il vous plaît! J’essayais de me dégager.
-Calmez-vous Kristine. Je ne veux pas vous forcer. Mais je sais que vous vous arrêtez sans cesse quand vous passez devant ma chambre. Ce matin vous êtes passée 5 fois et vous êtes restée plantée au pied de mon lit pendant plusieurs minutes.
-Vous êtes troublée, Kristine. Et je le suis aussi.
-Venez vous allonger avec moi. En toute amitié. Cela nous fera du bien à tous les deux.

Comme une automate, je me suis laisser guider vers le lit. Et je me suis blottie contre ce corps doux et chaud. Il était torse nu uniquement couvert par son boxer. Il ne bandait pas. J’avais 14 ans dans ma tête comme une jeune fille qui découvre les prémices de l’amour. Ce moment était chaste et pur. Je redécouvrais les chemins du désir. L’après midi au travail, j’étais remplie de ce moment romantique.

Des moments comme celui là, il y en a eu plein. A chaque fois imperceptiblement, je poussais le bouchon un peu plus loin. Le matin, après la douche, après avoir enfilé ma culotte, je me glissais le torse nu dans son lit et mes seins touchaient son dos. Petit à petit, je me sentais redevenir femme et bien que je refusais ces pensées, mon imagination s’égarait vers son entrejambe bien que je refusais la vérité: j’avais envie de sa bite. Lui pour sa part semblait avoir de la retenue. Jamais ses mains ne se sont aventurées sur mon corps. Jamais ses lèvres ne se sont égarées sur mon cou.
- Voulez-vous que j’arrête? Je vous ennuie Damien?
- Non Kristine. Vous me faites du bien. Vous avez un corps splendide. Mais n’oubliez que je suis le compagnon de Sophie.
Me rappeler ce fait avait sur moi l’effet d’une douche froide et je devais à regret quitter ce corps qui me faisait tant rêver.

Et ce qui devait arriver est finalement arrivé. Ce matin là il était rentré de l’hotel vers 6h30 et je l’avais rejoint pour terminer ma nuit dans ses bras.
Alors que collé contre son dos je me laissais à une douce rêverie, il m’a pris la main et l’a posé sur son sexe. Je sentais son membre gonflé et mes doigts faisaient aller et venir doucement la peau sur son gland humide. J’étais excitée comme jamais et je sentais mon sexe s’humidifier.
-Branlez-moi Kristine, s’il vous plaît.
Il s’est retourné et j’ai pu enfin voir l’effrayant objet de mes fantasmes. C’était de loin le sexe le plus imposant qu’il m’avait été donné de voir. L’objet était sans commune mesure avec le corps dont il était issu. L’excroissance était épaisse et tendue surmontée d’un gland rougeâtre et gonflé de sang. Ma main en faisait difficilement le tour. Les veines apparentes et gonflées en faisaient un organe qui avait l’air indépendant du corps harmonieux qui le portait. J’avais commis une erreur en le désirant. J’avais envie de fuir et de me réfugier dans la salle de bain. Il a recouvert ma main et ensemble dans le jour naissant nous avons branlé cette bite monstrueuse qui allait bientôt prendre possession de tout mon être.

Il était trop tard pour faire machine arrière. Sa main me donnait le rythme alors que mon autre main caressaient ses testicules. J’étais malgré moi excitée et je me retenais de gémir. Soudain son corps s’est cabré et le foutre a giclé jusqu’au milieu de sa poitrine. Quelques gouttes ont atterri sur mon visage. J’avais sur le visage quelques gouttes du sperme de l’amant de ma fille. J’étais honteuse et me précipitai dans ma chambre et attendis jusqu'à ce qu'il soit sorti de la douche pour prendre la mienne et me donner de la contenance.

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