La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1124)

Une nouvelle lopette au Château – (suite de l'épisode précédent N°1123) –

- Aller, viens sucer Ma noble queue, ta femme m’a dit que tu aimerais sûrement cela….

L’homme stupéfait ne savait que faire, c’est sa femme qui gagna la partie :

- Aller, mon chéri, fait moi plaisir, montre-moi que tu es une bonne petite suceuse salope.
- Aller ! Suffit maintenant, à Mes pieds, chien, viens prendre ce nectar dans ta bouche, tu vas sentir Mon gland forcer tes lèvres et tu vas ressentir la plénitude d’être un chien soumis. Ta femme attend, respecte son opinion, si tu l’aimes, rajouta le Noble afin d’accen la pression …

La manipulation mentale commençait à fonctionner, pris entre les deux feux : Celui de sa femme qui le poussait à sucer cette bite et celle de la voix emplie de charisme et d’exigence de Monsieur le Marquis. Tout contribuait à ce qu’il cède. Ce fut le cas, vaincu, imitant Chiennasse, il s’approcha timidement et il se mit à genou. La Domina s’approcha alors et regarda son mari dans les yeux.

- Tiens, regarde ce que je t’offre

Elle se saisit alors de la queue de Monsieur le Marquis et la glissa dans la bouche de son mari. A l’instant où le noble sexe fut introduit, l’homme ferma les yeux et ainsi il acceptait son sort, il venait de démontrer à sa femme et au Châtelain qu’il n’était qu’une lopette. La Domina lui dit :

- Tu aimes cela visiblement … On va voir l’effet que tout ça, va te produire, Chiennasse prends en bouche le sexe de mon mari ou plutôt de mon nouveau jouet.

Patrick se glissa alors entre les jambes du mari mais pour arriver à ses fins, il devait dégager complètent le pantalon. Ce fut fait et il avait maintenant devant lui une verge en érection montrant bien que l’homme appréciait de faire une fellation mais Chiennasse avait aussi le sillon culier en ligne de mire. La Domina lança alors :

- Changement de programme, lèche-lui le trou de balle, je veux qu’il soit bien lubrifié quand Monsieur le Marquis l’enculera tout à l’heure.



Le mari ayant tout entendu lécha de plus belle la queue du noble Seigneur. Le scénario imaginé pour la soirée se passait pour le mieux. Quand le Châtelain en eut assez, il sortit sa queue de la bouche qui venait d'être déformée, et d’une voix supérieure, il exigea au mari :

- Petit pute, tourne-toi que je te prenne devant ta femme.

L’homme obéit et il adopta une position naturelle, celle de la levrette. Monsieur le Marquis regarda la Domina et tout en lui souriant visa de son gland le trou de balle de son invité de mari. Chiennasse avait bien travaillé car le cul était bien lubrifié et il fut aussi surpris de la souplesse de celui-ci. Le Maître s’exclama :

- Ce cul n’est pas vierge, il s’est déjà fait ramoné, à l’évidence.
- Comment cela ? Tu n’es pas vierge du cul, chéri ? Raconte ?, s’étonna la Domina en rigolant et en interrogeant son mari

Piteusement le mari, sous les assauts du Noble, fut contraint de dire la vérité. Au ton de sa voix, on comprenait qu’il avait du plaisir d’être traité, sailli de cette façon :

- Oui, oui, oui j’avoue, je me gode régulièrement le cul.
- Comment ça ?, tu te godes le cul ?, répondit la Domina avec ironie. Monsieur le Marquis, je pense que vous pouvez le prendre bien profond afin de lui faire sentir ce qu’une véritable saillie veut dire ! Que c’est beaucoup mieux qu’un simple gode que d’avoir une vraie queue au fond de son cul !

Le Noble Seigneur ne fut pas de cet avis, il se retira en disant :

- Cette pute ne me mérite pas alors, puisqu’il aime les godes, je vais lui défoncer le cul avec le gode le plus gros de Ma collection.

La Domina sourit, elle comprit que son petit mari serait ce soir bien différent revenant à la maison. Mais pour l’instant, elle avait besoin de jouir et Chiennasse serait parfait pour cela. Elle lui ordonna :

- Chiennasse, vient à mes pieds, montre-moi que tu es un bon chien chien, lèche, dit-elle en soulevant sa robe.


Chiennasse toujours à quatre pattes se positionna devant la chatte et littéralement se précipita sur la vulve pulpeuse offerte. Sa langue épousait les recoins du sexe de la Domina des grandes lèvres humides au clitoris. Il prenait bien soin de ne rien oublier. Mais, sa nouille comprimée dans la cage lui ôtait tout plaisir alors que s’il avait pu, il aurait déjà une bite bien dressée au zénith. Monsieur le Marquis le dominait même en ce moment qui aurait dû lui procurer une satisfaction intense lui, le soumis chien, qui n’avait pas eu beaucoup de rapports avec le sexe féminin. Pendant ce temps le Châtelain c’était saisie d’un godemichet de forte taille et celui-ci avait été moulé sur la verge d’un africain. Les africains étant des personnes connues pour avoir des sexes de gros calibre. Effectivement le gode faisait 30 centimètres de longueur pour un diamètre de 8. Le mari de la Domina allait vraiment déguster, mais dans un premier temps, le Maître montra le god en lui disant :

- Regarde ce que j’ai pour toi, tu le vois cette belle verge factice, regarde sa grosseur et longueur, regarde les veines qui le parcourent, tiens lèche !

Le Noble approcha l’objet des lèvres du mari qui se mit à parcourir l’engin de sa langue. Il ne se comportait plus comme le personnage qu’il prétendait être, il n’était plus qu’un objet sexuel dédié au plaisir des Dominants qu’étaient le Seigneur des Lieux et son épouse qui prenait le statut de Domina.

Le Noble prit son temps pour introduire le gode, l’intromission d’objet de fort calibre était toujours délicat, il fallait d’abord bien le lubrifier à l’aide d’un gel prévu à cet effet. Ensuite, il fallait prendre son temps afin que l’objet coulisse de plus en plus profondément et doucement tel un fist anal. Ainsi le gland fut avalé après une poussée lente mais régulière. Son intromission signifiait que le plus dur était fait. On pouvait maintenant ramoner le cul. Le Châtelain s’y attacha avec plaisir et c’est avec grande satisfaction que le god fut avalé de plus en plus vite et profond.
Le mari n’en avait pas conscience mais il bougeait du cul de plus en plus vite, s’empalant sur cette queue de plastique. Il montrait qu’il était qu’une lopette destinée à être enculée régulièrement. La Domina compris que son mari était à sa botte maintenant, et plus jamais il allait ramener sa fraise, comme on dit. D’ailleurs pour l’instant, il gémissait de plaisirs, on l’entendait couiner :

- Hummmm, oui, oui, encore, encore, plus au fond, en entier, en entier ! …

Chiennasse avait le sexe en feu, plus il léchait la Domina, plus il souffrait et plus encore il cherchait son plaisir dans l’espoir qu’à un moment donné ce serait celui-ci qui l’emporte. Mais avec désespoir, ce n’était pas le cas, vaincu par la douleur il s’arrêta de s’occuper de la Domina, il avait besoin de souffler, sa nouille devait débander. Elle rugit alors :

- Espèce de lopette, tu oses t’arrêter, ma chatte n’est pas assez bonne pour toi ?

Alors de son talon aiguille, elle laboura le dos de Patrick, et rajouta sévèrement :

- C’est ta cage qui t’embête, tu veux débander ? Je vais t’aider, allonges toi chien, écarte tes pattes.

Patrick obéit en faisant cela, il laissait aussi sa nouille à portée de la Domina qui en le regardant dans les yeux approcha son soulier de la bite du soumis. La chaussure écrasa la cage mais aussi les testicules de Chiennasse qui eut le réflexe de protéger ses parties intimes de ses mains. Une gifle le rappela à l’ordre :

- Pas touche, dit-elle tout en continuant d’appuyer.

Patrick sous la douleur mit du temps à débander de sa nouille comprimée dans sa cage et ce n’est que lorsque son sexe repris sa taille au repos que la femme s’arrêta d’appuyer.

-Voilà qui est plus raisonnable, dit-elle. J’exige que tu me lèches de nouveau …

Patrick acquiesça d’un signe de la tête. La Domina s’assit alors sur son visage présentant sa chatte sur sa bouche, Patrick doucement repris son travail et cette fois si c’est sa bouche qui avalait les lèvres intimes, il avait la mouille de la femme qui glissait dans sa gorge mais toute son attention était prise par le fait qu’il ne souhaitait pas bander.
De son côté le Châtelain besognait bien au fond le mari, dans une saillie torride et bestiale à grand coups de god profond qui rentrait pratiquement en entier. Et quand le Noble Seigneur le retira le cul du mari était superbement élargi, un bien beau spectacle s’offrait à lui, il lui lança alors :

- Tu en veux encore petite pute ?

Le mari hocha de la tête, il était devenu une lopette bonne à enculer…

(A suivre …)

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