Des Revisions Et Des Decouvertes 3

Notre année de terminale se terminait, et la tradition voulait que nous partions tous en voyage pour célébrer la fin de cette nouvelle promotion. Pour éviter toute déception ces voyages se font, bien en amont des examens, ce qui laisse le temps de réviser ensuite. La destination choisie, cette année , par la majorité des étudiants était Ibiza. L’avion décollait de bonne heure le samedi, aussi je décidai de passer la nuit chez un copain de classe qui avait un grand appartement, partagé avec ses frères habituellement, mais qui étaient absents à cette période. Mes parents rassurés m’avaient donné leur accord. Je débarquai donc chez Fredéric avec mes bagages. Je pensais avoir une chambre pour moi, mais il m’annonça que d’autres gars de ma classe avaient demandé son hospitalité, et que je devrais partager la chambre. Qu’importe, nous étions tellement heureux de cette semaine d’évasion qui s’annonçait, que je lui proposais de faire une soirée crèpes avec ces amis.. Nous partimes donc à l’épicerie d’en bas pour faire quelques emplettes. A notre retour, deux gars de ma classe, Lionel et Laurent, nous attendaient devant la porte. Liam, un autre de mes congénères, d’origine américaine, arriva peu après. Nous étions en train de cuire les crèpes quand Liam, fit remarque que notre réunion manquait un peu de filles. Laurent, le séducteur de la bande se proposa :
« si vous voulez, je peux voir si des filles de la section Hôtesses seraient dispo. »
La section Hôtesses, c’était une partie de notre école, un peu inaccessible. Essentiellement des nanas, plutôt bien faites, en général qu’on ne croisait que rarement, car elles étaient assez souvent en déplacement sur des salons ou des expos. Autant dire que tous les gars fantasmaient sur elles.
« dis donc, Jack, m’interpella Lionel, tu peux ramener Valérie »
« Je ne vois pas pourquoi moi « répondis-je
« On a bien vu que vous révisez ensemble assez souvent » me dit il avec un sourire ironique.

J’étais étonné , pensant que nous avions été discrets, Valérie et moi, mais après tout, je n’avais rien à cacher. Je partis donc chez Valérie, à 10 mn à pied, tandis que Laurent, allait rameuter d’autres filles. Valérie, me parut surprise quand je sonnais chez elle, mais elle me dit néanmoins de monter. Quand elle m’ouvrit, elle était en peignoir, et une fille de l’autre terminale était présente aussi. C’était une fille de 1m65 environ, plutôt bien faite, cheveux chatain, mi longs, des yeux noisettes, qui portait un pantalon et une veste d’intérieur en soie.
« Je ne m’attendais pas à te voir » dit Valérie « Nelly est venue passer la nuit, pour être plus proche du départ demain matin. On s’apprétait à passer une soirée tranquille, et à se coucher de bonne heure. Tu aurais dû me prévenir que tu venais. »
« En fait je suis venu t’inviter. Je suis chez Frédéric avec d’autres copains, et nous organisons une soirée crèpes, pour commencer un peu a féter ce voyage. Bien entendu, Nelly est aussi invitée »
Je crus voir une lueur d’intérêt dans les yeux verts de Valérie, mais elle ne dura qu’un instant. « Non, je ne crois pas , d’abord nous sommes déjà prètes pour la nuit, et il faudrait donc se rhabiller, pour aller à ta soirée, puis revenir, se déshabiller de nouveau. Tout ça pour quelques heures ». Effectivement cela tombait un peu tard.
« J’ai une idée Valérie ! Vous n’avez qu’à venir comme vous êtes ».
« ça va pas non ! dit Nelly »
« si au contraire. Sur place, il y a de la place pour dormir. Vous prenez votre valise, vous mettez un manteau par dessus vos pyjamas. Après tout, ce n’est qu’à dix minutes. Et demain matin, on va tous prendre le bus pour l’aéroport ensemble »
Valérie était presque décidée, même si je sentais Nelly indécise.
« Après tout pourquoi pas, je n’ai pas spécialement sommeil, et si on peut s’amuser. Nelly, tu vux venir ? »
« Je ne sais pas, nous sommes en pyjama… »
« La plus génée ce devrait être moi.
Il faut que je passe une tenue plus décente que ma nuisette » dit elle en écartant son peignoir, dévoilant une nuisette transparente qui ne cachait rien de ses seins, ou de son ticket de métro. Ta tenue fait carrément habillée par rapport à la mienne. Alles prépare toi, on s’en va, dit elle en se débarassant de son peignoir.
Elle alla fouiller dans une armoire, me laissant admirer son postérieur rebondi, sous le tissu, et en sortit une longue robe T shirt à rayures type marinière. Elle fit passer sa nuisette par dessus sa tête, nous dévoilant son corps hâlé et ferme, mais enfila la robe aussitôt, dissimulant ses trésors. La robe était un long T-shirt en coton, sans manche, tenu par deux bretelles, qui moulait son corps jusqu’au chevilles.
Les valises complétées et bouclées, elles se couvrirent de manteaux, et nous voilà parti. En chemin, la galanterie m’ayant poussé à porter les valises, qu’elles avaient dû remplir de plomb, je regrettais presque mon Offre.
Arrivé chez Frédéric, nous fumes accueillis avec chaleur, par la bande de garçons, auxquels Laurent avait ajouté trois filles qu’il nous présenta. Sophie, était une grande brune, aux cheveux bruns frisottants, à l’air assez autoritaire, Jeane, une blonde aux yeux bleus avec une coupe au carré, et Léa une ravissante fille au visage parsemé de taches de rousseur sous un casque auburn. C’était la seule qui était en mini jupe.
La tenue de mes deux recrues provoqua quelques sifflets, mais Valérie se hata de préciser de ne pas se faire d’idées. Laurent et Fred, commencèrent à servir l’apéro, pendant que Sophie et Jeane s’étaient éclipsées et revinrent bientôt en « tenue de nuit » afin , dirent elles, que nos amies ne se sentent pas isolées. Sophie avait revétu un pyjama de soie beige, et jeane, un Tshirt, qui lui arrivait à mi cuisses. Assis sur l’un des deux lits de la pièce, ou dans un des fauteuils, et par terre pour les derniers, nous attaquames les crèpes. Les arrosant de cidre. Le cidre vint rapidement à manquer, mais nous avions une bonne provision de Calva qui remplaça avantageusement.

A la demande générale, Frédéric sortit sa guitare, et moi, la mienne, et nous nous mimes à jouer des chansons connues, reprises en chœur’ plus ou moins juste, par tout le monde. Après quelques chansons entrainantes, nous entamions des ballades quand Laurent alla inviter Sophie à danser. Suivant son exemple, Liam vint prendre la main de Valérie, et l’entraina. Lionel invita Nelly. Leé, ne voulant pas rester seule prit le parti de danser avec Jeane. Tout en jouant, Frédéric se rapprocha des interrupteurs et coupa la lumière principale, ne laissant que deux lamps d’appoint diffuser un éclairage tamisé. La chanson touchait à sa fin, mais nous embrayames sur un medeley de quatres tubes, et les couples restèrent formés, En jouant je remarquais que Liam faisait glisser ses mains sur le corps de Valérie, caressant ses fesses, ou ses seins, mais je constatais que cela ne me rendais pas jaloux. De son côté, Laurent, embrassait fiévreusement Sophie, sa main droite, disparaissant sous la veste de pyjama, curieusement déboutonnée de la jeune fille. Jeane et Lea dansaient une forme de slow moderne, l’une derrière l’autre, Léa enserrant Jeane, la tenant par les seins, tandis que son autre main caressait ses cuisses. Seul Lionel et Nelly semblaient encore se tenir convenablement, mais quand ils pivotèrent, je m’aperçus que les deux mains de Lionel étaient plaquées sur son cul, en dessous du pyjama. Avant que ce jeu ne dégénère , Frédéric annonça un changement de cavalière. Léa jeta aussitôt son dévolu sur Laurent. Liam prit Jeane dans ses bras et Lionel enlaça Sophie. Valérie se retrouva face à Nelly et n’hésita pas à la serrer dans ses bras. Très rapidement, les deux filles s’embrassèrent, en se caressant. L’ambiance devenait carrément chaude, et je sentais une érection comprimée dans mon jean. Frédéric croisa mon regard, et je compris qu’il ressentait la même chose. Malheureusement, nous n’avions pas de musicien de remplacement. Les slows devenant décidément trop chaud, nous relançames par un rock, puis par des morceaux plus rythmée et les corps se séparèrent.
Après quelques danses et autant de verres, tout le monde était un peu parti. L’une des filles proposa un jeu. Action ou vérité. Trop bateau s’exclamèrent les autres. Je leur proposais un blind test. A tour de rôle, fred et moi devions jouer un morceau à une personne qui devait le deviner. Si elle trouvait, elle décidait d’un gage pour l’un d’entre nous, et si les autres trouvaient avant elle, elle avait alors un gage.
Frédéric commença avec WE WILL SURVIVE, Valérie devait la reconnaître mais le collectif fut plus rapide. Son gage fut de venir m’embrasser (un peu téléphoné) mais elle vint s’exécuter avec passion, et j’en profitais pour palper ses formes. La seconde chanson fut adressée à Laurent, qui la trouva et demanda à Nelly de déboutonner sa veste de soie. Celle ci rougissante, enleva la ceinture de soie qui maintenait sa veste fermée. L’honneur fut sauf car le vêtement couvrait ses seins. Je jouais alors un morceau de blues, pas très connu, mais frédéric, en bon musicien, identifia de suite l’interprète. Il demanda à Jeane d’oter un vêtement. Celle-ci, avec un sourire, se leva, et passant les mains sous sont T_shirt, fit glisser une culotte de dentelle, jusqu’au sol qu’elle ramassa et psa sur la table. Le perdant suivant fut Lionel qui dut enlever sa chemise. Léa perdit ensuite et dut aller embrasser les seins de Nelly. Elle écarta les pans de la veste de soie et entreprit de lécher avec application les tétons, qui s’érigèrent instantanément, elle insistait en mordillant les pointes en massant les globes avec ses lèvres. Nelly, réticente, au début, se laissait faire en fermant les yeux, alors que l’assemblée applaudissait. Léa termina enfin son gage, et Nelly ne songea même pas à se couvrir. Le perdant suivant fut Liam qui dut abandonner son pantalon, et eut beaucoup de mal à se rasseoir , une érection monumentale déformant son slip. Valérie donna ensuite une mauvaise réponse, et dut abandonner un vêtement. Malgré ses protestations, nous insistames tous pour qu’elle réalise son gage. Elle se leva, et fit glisser les bretelles de sa robe, puis elle fit descendre celle-ci , dévoilant ses seins splendides.
« ça vous va ? « demanda t’elle à la cantonade
« non, lança laurent, elle doit elnever le vêtement et le poser sur la table. »
Tout le monde acquiesca et Valérie dut faire gilsser sa robe jusqu’au sol, la ramasser et le poser sur la table. Enièrement nue au milieu de nous, elle restait debout.
Jeane prit sa défense : »ce n’est pas juste, les mecs ont beaucoup plus de vêtements que nous. Il faut qu’ils aient maxi un deux vêtements pour que nous ne soyons pas défavorisées »
Les autres filles approuvèrent vigoureusement, mais nous n’étions pas prêts à céder à ces suffragettes. J’essayais de faire diversion : « en tout cas Valérie a, sans conteste, les plus beaux seins de la soirée ! »
« pas d’accord dit Laurent, Sophie est, à mon avis la plus belle poitrine »
« Il faut voir, dit lionel »
Je me tournais alors vers les filles : « qu’en dites vous ? »
« Moi, je suis d’accord dit Valérie qui ne voulait pas rester seule nue »
« moi aussi compléta Nelly »
Les autres n’avaient plus vraiment de choix, sauf à passer pour prudes, ou coincées.
« Allez les filles, mettez vous en ligne, demanda Laurent »
Les cinq filles s’alignèrent, et commencèrent à se déshabiller. Sophie se débarrassa de sa veste de soie, dévoilant une paire de seins, volumineux, d’une blancheur de lait, mais fermes et orgueilleux avec de larges aréoles, Jeane se contorsionna et descendit son T-shirt jusqu’à la taille ; ses seins étaient petits et ronds ; Valérie s’accota à Jeane, mettant ainsi sa volumineuse poirine en valeur ; Nelly n’eut qu’à se débarrasser de sa veste déjà largement ouverte. Ses seins en poire , de taille moyenne semblaient faits pour la main de l’homme, et ses pointes dardaient encore des caresses précédentes. Léa, défit un a un les boutons de son chemisier et le retira, dévoilant un soutien gorge, en dentelle noire, qui faisait pigeonner ses seins, les offrant comme sur un plateau. Une lueur de défi dans les yeux, elle dégrafa l’attache dans son dos, et effaçant les épaules, laissa le sous-vêtement glisser le long de ses bras, dévoilant deux seins, sans la moindre marque, probablement sculptés dans le marbre.
« Messieurs, dit Laurent, je vous propose pour déterminer qui sera la reine de cette soirée, de noter les poitrine de ces jolies filles de 1 à 10, 10 étant le meilleur. Cependant, nous devons aussi savoir si elles sont naturelles, dit il déclanchant une huée des filles. Et pour cela savoir si elles sont réactives, et douces. Je propose donc une seconde note de 1 a 10 pour noter le toucher.(a ce moment, les filles s’exclafèrent, en disant qu’on exagérait)
La première partie fut facile et les note pas si serrées Sophie arriva en tête avec une moyenne de 9,2, Valérie avait 9, Léa 8,8, Nelly 8,7, et Jeane, sans surprise 7.
Ensuite Laurent, entreprit de passer de l’une des filles à l’autre, palpant les seins, les soupesant, les caressant. Les demoiselles qui ricanaient au début, changèrent d’attitude, soit feignant l’indifférence, soit faisant saillir leurs seins, soit ne pouvant résister à ces attouchements, gémissant malgré elles. Je passais en dernier. J’eu tout le loisir de voir que Sophie, comme Valérie appréciaient qu’on soupèse leurs globes. Léa semblait impassible mais la chair de poule sous ses seins, et les bouts de ses tétons bien dressés disaient le contraire. Nelley rougissait toujours, mais semblait apprécier chaque caresse. Mais la plus sensible était Jeane, qui au, bout de ses touts petits seins avait des tétons ronds et durs, et qui gémissait de plaisir à chaque fois qu’on les effleurait. Quand enfin, ce fut mon tour, je ne pus que confirmer ce que j’avais aperçu avant, Comme Valérie, Sophie avait les seins chauds, et fermes, ils étaient volumineux mais élastiques, et je le savais, parfaitement adaptés à la branlette espagnole. Jeane se contorsionna sous mes mains, et je sentais son corps brulant. Je ne pus m’empècher de laisser glisser ma main jusqu’à la hanche découvert de Valérie, m’attirant des reflexions des autre membres de notre jury, improvisé. Nelly me glissa, un « va doucement »discret tandis que je pinçais ses tétons. Léa,bien que ses dimensions fussent plus modestes avait ue peau soyeuse à souhait, dépourvue de veines apparentes, uniformément bronzée, avec des pointes brunes qui réagissaient au moindre contact.
Inutile de dire que nous étions tous dans un état d’excitation bien avancé. Léa avait emporté le concours , haut la main, ou plutôt, haut le sein.
« Maintenant, il reste a définir qui a le plus beau cul ! s’exclama Laurent
A ce moment, la gent féminine, nous accabla de remarques.
« et pourquoi pas, celui qui a la plus belle queue ! »
« et nos culs vous voudrez les palper aussi ? »
« vous voudrez peut-être visiter, pour voir si c’est confortable ! »
« je propose un comparatif de couilles ! ».

Il était temps de battre en retraite.
« Euh, je vous signale qu’il est déjà 2h et que nous partons à cinq » hasardai-je
La fatigue et l’alcool se faisant sentir nous décidames tous de nous coucher.
Après un rapide débarassage, les lits du séjour futent rapproché pour n’en faire qu’un, qui irait à Frédéric. Ce dernier accueillerait également Nelly, qui avait un faible pour le guitariste et Lionel qui, lui était attiré par Nelly. Dans la plus petite Chambre, Laurent fit son nid, accompagné de Sophie. Dans la grande chambre, j’avais posé mes affaires sur un lit que je partagerais avec Valérie, Liam, quand à lui cohabiterait avec Léa. Jeane, qui n’avait pas de place, vint se caler avec Valérie et moi, et après moult Bonsoir, les lumières s’éteignirent, J’avais gardé un slip pour dormir, alors que Valérie ne s’était pas rhabillée et restait nue . Jeane avait remis son T-shirt. Rapidement alors que j’étais entre les deux filles, Valérie vint se blottir contre moi, et sa main se faufila dans mon slip, empoignant ma queue, douloureuse a force d’avoir bandé toute la soirée. Sans rien dire, elle fit glisser mon slip, et je la sentis descendre dans le lit. Une bouche chaude vint alors enboucher mon mat qui se dressait fièrement. Tandis qu’elle s’activait, j’entendais des gémissements, de plus en plus forts, venant de l’autre bout de la pièce, où LIAM était certainement en train de s’occuper de Léa. Tu entends, me glissa la voix de Jeane qui vint appuyer sa tête sur mon épaule, je passais mon bras autour d’elle, et ne répondis pas. Ma main palpait un de ses seins érigés, pendant que Valérie me pompait de plus en plus profondément. Les mains de Jeane, commencèrent à parcourir mon torse, pinçant mes tétons, puis elle s’avança pour les sucer, l’un après l’autre, jusqu’à ce que les pointes se dressent, et qu’elle puisse les mordiller. Puis ses mains descendirent jusqu’à rencontrer la tête de Valérie, qui montait et descendait sur ma hampe. Elle émit un « Ho ! », mais continua son chemin appuyant en rythme sur la tête de Valérie, lui imposant de m’engloutir, de plus en plus profondément. Elle rejeta les couvertures pour découvrir Valérie. A la lueur des lampadaires de la ville, entrant par la fenêtre sans volets, je la vis se débarrasser de son T-shirt, et découvris son sexe intégralement rasé. Elle revint s’adosser à moi, et je la caressais longuement, en commençant par les seins, sensibles et érectiles. Mes mains parcoururent son corps jusuq’à sa fente, toute douce, qui s’ouvrit sous mes doigts, elle se retourna alors vers moi au moment ou Valérie abandonnait sa fellation. Je sentais Jeane s’ouvrir, et la pénétrais d’un doigt, puis de deux. Elle était humide de désir, et ses jambes s’écartaient d’elles mêmes.
J’étais en train de titiller son clito quand elle eut un sursaut. « oh, non ! » murmura t’elle.
Je passais mes mains sur ses fesses quand je découvris que La belle avait deux doigt de Valérie enfoncés dans son anus. Je décidais de ne pas interrompre cette caresse, et basculais Jeane, sur moi. Les cuisses de part et d’autres de mon bassin, je la soulevais par la taille, pour qu’elle vienne s’empaler sur moi ; sa gaine, élastique et chaude etait si lubrifiée qu’elle descendit d’un coup, des fesses venant taper sur mes bourses. Elle s’allongea sur moi et commença un mouvement de va et vient. Au travers de sa matrice, je sentais les doigts de Valérie qui exploraient son cul. Les mouvements s’amplifièrent de plus en plus vite et Jeane, exhala alors une longue plainte aigue, comme un ullulement continu, qui dura quelques minutes, jusqu’à ce qu’elle s’écroule, sur moi avec un râle de plaisir. Pui elle s’échappa et roula sur le côté, et s’endormit rapidement. Valérie, vint aussitôt la remplacer , et sa bouche reprit ce tempo de folie. J’essayais de tenir, mais en quelques minutes je lachais ma semence dans sa bouche. Elle, me nettoya ensuite avec sa langue, et s’éclipsa vers la salle de bains. Repu, mais assoiffé, je décidais de me trouver de l’eau. Je m’apprétais à traverser le séjour a pas de loup, mais l’acticité était intense ici aussi. Dans la lumière d’une lampe de chevet je découvris Nelly, nue comme un ver, a quatre pattes, embrochée en levrette par Lionel qui se démenait, suçant avec enthousiasme un Frédéric qui, la tenant par les cheveux lui prenait la bouche sur le même tempo. Je passais au large et me rendis dans la petite cuisine, où une nouvelle surprise m’attendait. Dans la lueur du Frigo entrouvert, à genoux sur le lino, Sophie, prodiguait à Liam une pipe magistrale. Ils s’interrompirent, le temps que je prenne l’eau dans le frigo
« Laurent est fatigué, me dit Sophie. Il m’ a chauffée à blanc pour rien »
« Alors elle s’est rabattue sur moi, expliqua Liam. Le soucis c’est que Léa m’a déjà bien vidé »
« J’essaie de lui remonter le moral, dit Sophie en souriant, mais c’est pas facile. Tu veux que j’essaie sur toi ? »
« Non merci, déclinai-je, je suis, moi aussi, bien épuisé. «
« d’accord, me dit elle, tu peux rester situ veux » sur ces mots elle approcha sa bouche du sexe de Liam, et commença a lui lécher le gland. Elle vint embrasser le méat et petit à petit l’emboucha, ses mains pétrissant doucement ses bourses. De son côté Liam, triturait ses incroyables seins. La bouche de Sophie coulissa de plus en plus sur sa queue, jusqu’à l’avaler tout entier, le nez dans son pubis, puis elle lécha la verge jusqu’à la base, avant de lécher puis de gober une couille, puis l’autre. Elle remonta ensuite pour pratiquer une branlette espagnole, où, à chaque fois que le sexe remontait entre ses seins, elle venait suçoter le gland , insistant sur le frein. Je buvais de l’eau fraiche en admirant sa technique, qui devait être efficace, car Liam était en train de reprendre de la vigueur. Quand elle jugea qu’il était prêt, elle se releva, et vint se positionner face au plan de travail. Elle libéra le cordon de soie de son pantalon qui glissa sur ses chevilles , dévoilant un cul ferme et muclé, qu’elle fit saillir encore plus en s’accoudant sur le plan de travail ; Liam vint se positionner derrière elle et l’embrocha d’un coup jusqu’à la garde. Quand je quittais la cuisine, il la labourait avec force, son ventre claquant sur le cul de la belle à chaque avancée. Dans le séjour, tout le mon dormait maintenant, Nelly était allongée sur le dos , jambes écartés, un garçon de chaque côté.
Dans la chambre, je regagnais mon lit, ou Valérie m’attendait.Je lui annonçait que j’étais fatigué, mais elle sut extirper de mon corps les dernières parcelles de désir qui me restaient . Après un massage entre ses seins qui me fit penser à la splendide Sophie, elle se mit à Quatre pattes, et après l’avoir longuement prise en levrette, je n’eus qu’à me décaler un peu, pour entamer une sodomie qu’elle sembla apprécier particuliérement.
Je sombrais ensuite dans un profond sommeil, malheureusement, bien trop court.
Je fus réveillé par Frédéric qui me glissa : « il est cinq heures, faut se lever. Dis donc, tu ne t’est pas ennuyé ici. Je tournais la tête, pour découvrir Léa, endormie sur le dos, les cheveux emmélés et ses seins orgueilleux, qui dardaient vers le plafond. Je soulevais délicatement le drap, pour observer son corps magnifique, son bras droit posé sur son ventre doré, un doigt fin encore fiché dans son sexe glabre.
Je lachais le drap et la secouai doucement. Elle ouvrit les yeux, me sourit et vint déposer un baiser sur mes lêvres, après quoi, elle s’enroula dans le drap et s’enfuit avec, me laissant dépourvu, avec un début d’érection matinale à découvert.
Une demi-heure, plus tard, après une toilette sommaire (trop de gens pour une si petite salle de bains), nous prenions notre café ou notre thé, silencieux et un peu génés, sans doute, car, en trois ans, nous n’avions jamais été plus loin que des relations de classe. Cependant, la bonne humeur reprit vite le dessus, après une petite marche dans la ville endormie, pour retrouver toute cette promotion. C’était le grand jour. Nous partions à Ibiza.
Mais c’est une autre histoire.

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