Katherine 10

Je sonnai au portail et attendit, un peu angoissé. J’étais devant l’immense maison de Katherine, et normalement, ça n’aurait pas dû m’effrayer : j’avais l’habitude de venir ici régulièrement, Katherine étant mon plan cul régulier. Mais là c’était différent : son jardin, sa maison, raisonnaient d’ici du bruit des multiples discussions animées, de la musique, des cris d’s, et d’une multitude d’autre sons, qui indiquaient une fête de famille. La cousine de Katherine s’était mariée, et à cette occasion toute la famille proche ou éloignée avait été invitée à fêter l’événement ici. Katherine avait alors eu l’étrange idée de m’inviter. Ne pouvant rien lui refuser, j’avais donc enfilé mon plus beau costume, et me voilà devant le portail de cette immense villa prêt à me mêler à des dizaine de gens que je ne connaissais absolument pas.

Ce fut la mère de Katherine qui vint m’ouvrir, une femme petite et quelque peu ridée. Il m’arrivait assez souvent en voyant les parents de Katherine (et je sais que c’est méchant) de me demander comment à eux deux ils avaient pu engendrer une fille aussi sexy. Car franchement, la seule chose de Katherine que je retrouvais chez sa mère, c’était le noir de ses cheveux, et ses yeux noisettes.

« Tu vas bien ? me salua-t-elle chaleureusement. »

« Oui, et vous ? »

Elle m’ouvrit le portail en me regardant d’un air désapprobateur.

« Combien de fois il faudra que je te dise de me tutoyer ? Je vieillis de 15 ans quand tu me vouvoies... »

« Ah je suis désolé, c’est juste que... »

« Franchement, ça doit bien faire cinq ans que tu viens ici régulièrement, tu me connais maintenant. »

« Désolé, dis-je en souriant. »

Je la suivis jusqu’à sa maison. Elle me fit entrer dans le grand salon, et me montra le canapé.

« Assieds-toi, vas-y. »

« Oh, merci. »

Je m’assis un peu gêné : je ne pouvais pas m’empêcher de penser au nombre incalculable de fois où Katherine et moi avions baisé sauvagement sur ce même canapé.

Sa mère me sourit et dit :

« Ma fille doit être encore entrain de se pomponner, elle va pas tarder, attends là ici, et vous irez saluer les autres ensemble. Inutile de te lancer tout seul au milieu de toute notre famille. »

« Merci beaucoup, dis-je reconnaissant de cette attention. »

Je patientai quelques minutes, jusqu’à ce que quelqu’un descende des escaliers. Je me levai en espérant que ce soit Katherine, mais ce n’était pas elle. C’était un garçon légèrement plus grand que moi, et qu’on devinait bien bâti sous son costume. Ses cheveux noirs et ses yeux noisettes m’indiquaient qu’il devait s’agir d’un cousin de Katherine.

« Bonjour, me salua-t-il aimablement. Tu t’appelles ? »

Je lui dis mon prénom, et son regard s’éclaira.

« Ah oui, Katherine m’a pas mal parlé de toi. Moi je m’appelle Christophe, enchanté. C’est elle qui t’a demandé de venir ? »

« Oui c’est ça, alors… je suis venu. »

« Ouais j’avais entendu que des amis à elle viendrait, mais y a que toi ? »

« Oui. »

« Ah dommage… j’aurais bien aimé que Laure vienne… Si t’attends Katherine tu vas devoir attendre encore un peu, ma cousine essaye de battre miss monde visiblement. »

Il me sourit et partit. J’étais un peu intrigué : d’où il connaissait Laure ? Je me rappelai soudain que Katherine m’avait confié avoir couché avec un de ses cousins, est-ce que c’était lui ? Je me rassis sur le canapé, et méditai un moment ces questions. Quelques minutes plus tard, quelqu’un descendit à nouveau les escaliers. Je me levai, et cette fois c’était bien Katherine.

Elle était vêtue d’une robe noir très moulante et très largement décolletée, qui mettait comme jamais son corps de déesse en valeur. Elle s’était beaucoup plus maquillée que d’habitude, si bien que son visage, d’ordinaire parfait, était encore plus beau. Elle était également coiffée à la perfection, ses cheveux ondulés lissés, tombant en cascade autour d’elle.
Elle s’approcha de moi sourire aux lèves.

« Salut mon grand. »

« Salut ma belle. »

« Ah alors je suis belle, ça va ? demanda-t-elle d’un ton faussement inquiet. »

Elle fit un petit tour sur elle même, et j’eus le temps de l’apprécier de dos, de voir son superbe fessier parfaitement moulé par sa robe.

« Non, t’es pas belle, t’es… je sais pas, divine, parfaite. »

Elle sourit, une flamme passa dans ses yeux, et je sus parfaitement ce qu’elle avait eu envie de faire : se jeter sur moi. Elle se retint, sa famille était à deux pas après tout. Elle me détailla d’un œil expert, et avec un clin d’oeil me lança :

« Toi aussi t’es super sexy avec ce costume. »

Elle baissa la voix et ajouta.

« Si y avait pas autant d’s à proximité, je te l’arracherais immédiatement. »

J’eus un petit frisson, et à mon tour je fus saisi par le désir brûlant de la prendre sur le champ, de la jeter sur le canapé, de venir sur elle et de…

« On y va ? Me dit-elle, interrompant le fil de mes pensées. »

« Allons-y. »

On se dirigea vers l’extérieur, mais on avait pas fait trois pas, que Katherine s’exclama :
« Stop ! »

« Quoi ? »

« Tu peux pas y aller dans cet état. »

« Dans cet état ? Qu’est-ce tu veux dire ? »

Elle me sourit.

« Mon coeur, les pantalons de costume c’est comme les maillots de bains… c’est sensible au niveau de l’entre-jambe. »

Je baissai les yeux, et eus un petit cri d’effroi : je bandais comme un taureau, ça se voyait comme le nez au milieu de la figure, mon pantalon en était tout déformé. Katherine eut un petit rire.

« C’est ta faute aussi, quelle idée de s’habiller comme ça quand on est une bombe ! »

Elle sourit et dit de son ton autoritaire.

« Va en haut, dans la salle de bains, on va remédier à ce problème, vite ! »

Docilement je m’exécutai.
Katherine me suivit. On était à la moitié des escaliers quand la mère de Katherine nous héla :

« Vous faites quoi ? »

« Cette andouille a mal ajusté son costume, on va corriger ça, répondit Katherine sereinement. »

« D’accord ! »

« Elle a vraiment gobé ça ? dis-je surpris. »

« Bien sûr, elle a pas l’esprit mal tourné ma maman. »

Nous entrâmes dans la salle de bains en haut. Katherine ferma la porte à clé et me plaqua contre avec autorité.

« Parfois, dis-je en riant, j’ai l’impression que t’as été adopté. »

Elle me sourit, tout en retirant mon pantalon d’un coup sec, et en me regardant avec son air de tigresse. Elle me retira mon caleçon dans la foulée, libérant mon sexe tout dur et tout tendu.

« Et si on s’occupait de cette érection maintenant ? susurra-t-elle. »

Elle se mit à genoux devant moi, et me saisit le sexe à pleine main. Elle se mit à me branler énergiquement, me souriant tandis que le plaisir déferlait en moi et que je m’adossai à la porte pour ne pas chavirer. Elle accéléra quelque peu le rythme de sa branlette, me regardant droit dans les yeux avec un sourire coquin, et ça suffit pour me faire lâcher un léger cri. Avec un sourire, elle me prit ensuite en bouche et se mit à me sucer goulûment, pressant ses lèvres le long de ma hampe, tout en jouant avec sa langue pour me faire défaillir. Je glissai le long de la porte tant c’était bon et faillit tomber. Katherine eut un petit rire, et accéléra le rythme de sa fellation, tout en me léchant juste sous le gland, sachant très bien que ça me faisait un bien fou à chaque fois. En même temps, elle pressa mes boules avec ses doigts, me faisant littéralement tourner la tête. Elle descendit le long de mon sexe, et me dévora littéralement les boules, les pressant avec les lèvres, la langue, et parfois les dents. Elle y allait avec conviction, et c’était si bon que je n’osais pas bouger, plaqué contre la porte, me tenant à la poignée.
Quand elle en eut fini avec mes boules, elle remonta sur ma queue, et me suça la hampe à fond et me lécha ensuite le gland une fois, deux fois, si fort que ça me fit crier. Lorsqu’elle se mit à me branler énergiquement, je défaillis, et fus aux portes de l’orgasme. Elle me finit en me suçant avec ardeur, et j’explosai dans un superbe orgasme dans sa bouche. Katherine avala avidement.

Elle me sourit, et se releva, pour se regarder dans le miroir.

« Et voilà ! Pas une mèche de travers dans ma coiffure, pas une tâche sur mon visage. Je suis trop une pro. »

J’eus un petit rire.

« L’habitude sans doute. »

Elle me sourit, et dit.

« Alors, c’est bon ? Monsieur est calmé ? Plus de vilaine bosse dans le pantalon ? »

« Non c’est bon… pour l’instant. »

« Rendez-vous dans une demi-heure, dit-elle avec un clin d’oeil. Bon, sors deux secondes, je vais me laver les dents vite fait, et on va aller saluer ma famille. »

Quelques minutes plus tard on était tous les deux dehors à faire des politesses à ses oncles, tantes, grands parents. On eut le droit à approximativement cinq mille sept cent questions du style « oh c’est ton petit copain ? » mais on parvint à rester parfaitement zen cependant, et à répondre « non on est juste amis » à chaque fois.

« Ils doivent sentir l’incroyable tension sexuelle qu’il y a entre nous, c’est pour ça. »

On était à table, et la grand-mère de Katherine nous avait demandé (pour la quatrième fois), si nous étions en couple. Kat avait répondu non, mais cette fois-ci l’exaspération avait légèrement pointé dans sa voix. Je lui répondis, baissant légèrement la voix.

« Faut dire aussi que t’es ultra-bonne dans cette robe, je pense que je pourrais te baiser toute la journée. »

Elle me jeta un coup d’oeil amusé.

« Ca t’a pas suffi la séance vidage de couilles dans la salle de bains ? »

« T’es mignonne toi, c’était y a une heure, ça fait donc un peu près 59 minutes que je suis de nouveau au taquet. »

Elle eut un petit rire.

« Ok, mon grand. Rejoins moi dans le placard du salon, dans dix minutes, ça te va ? »

« A toute de suite, beauté. »

Je restai un moment seul à table. Katherine était entrée dans le salon depuis très exactement une minute et trente-deux secondes que je quittai la table extérieure pour la rejoindre. Je traversai son salon, ouvris la porte d’un grand placard. Aussitôt je fus happé, et entraîné à l’intérieur.

« T’en as mis du temps, souffla Katherine. »

« T’es au courant que ça fait qu’une minute que... »

Elle me fit taire en m’embrassant sauvagement. Dans ce placard nous avions à peine la place de tenir nous deux, nous étions étroitement collés l’un à l’autre, c’était terriblement excitant. Nous nous embrassions avec passion et ardeur tout en faisant courir nos mains respectives sur le corps de l’autre. Je massais son fessier si bombé sous sa robe, et ça me faisait bander de plus en plus fort. Katherine le sentait bien, mais préférait continuer à m’embrasser langoureusement que s’occuper de mon sexe.

Cela faisait quelques minutes qu’on était dans ce placard, lorsque nous entendîmes soudain la voix du père de Katherine qui retentit dans le salon :

« Chérie ! Elle est où ta fille ? »

« Je sais pas ! Sûrement avec son copain ! »

Nous interrompîmes notre baiser, et restâmes un moment pétrifiés, n’osant plus bouger.

« Ok ! Bon alors, ils sont où ces couverts à poisson ? »

« Dans le grand placard du salon ! Ouvre le, tu les trouveras tout de suite. »

Katherine et moi nous observâmes, un air de terreur dans le regard. Les bruits de pas du père de Katherine se rapprochèrent du placard, il était à deux mètres lorsque :

« Ah non ! Ils sont dans le buffet, excuse moi ! »

Nous entendîmes le père de Katherine s’éloigner en râlant. La brune et moi nous regardâmes, n’osant pas exprimer notre soulagement. On avait eu très chaud. Lorsque nous entendîmes le père de Katherine quitter le salon, je dis à celle-ci :

« Bon faut qu’on dégage avant qu’il revienne. »

Elle me retint.

« Non. »

« Mais... »

« J’ai trop envie, défonce moi maintenant ! »

« Mais... »

« Quoi ? Qu’est-ce qu’il se passe ? T’as perdu tes couilles ou ... »

Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase que je la plaquai contre la paroi du placard, arrachai son shorty sans lui retirer sa robe, et laissant tomber pantalon et caleçon, je la pénétrai d’un coup sec. Je démarrai de puissants va-et-vient, la baisant sauvagement, piqué au vif par sa réflexion. Elle commença à doucement vibrer de plaisir à mesure que j’accélérai le rythme, et la culbutait de plus en plus fort contre la paroi du placard. Son beau visage se tordit sous le plaisir que je lui apportai, et elle ne tarda pas à gémir doucement. Je la bâillonnai d’une main, et de l’autre, me mit à masser sa délicieuse poitrine, qui se secouait sous sa robe au rythme de mes coups de butoir. C’était génial d’avoir un si beau 95C entre les mains, je me régalai. Katherine se démena un moment, mais debout comme ça, à l’étroit dans le placard, elle ne pouvait rien faire d’autre que subir mes assauts. Elle parvint cependant à retirer la main qui la bâillonnai pour m’embrasser dans le cou avec passion. Puis elle m’arracha mon costume et ma chemise, me mettant torse nu, et ses yeux brillèrent à la vue de mes muscles, qui étaient en plein effort.

Elle me repoussa, peut être pour essayer de reprendre le dessus, peut être pour autre chose, je ne sais pas. En tout cas, je la replaquai aussitôt contre la paroi, mais cette fois-ci, je la retournai et la pris en levrette debout. Je la baisais vigoureusement, tout en lui embrassant la nuque et lui pétrissant les seins avec mes mains puissantes. Katherine tremblait de plaisir, et gémissait, mais je n’avais pas le coeur à la bâillonner, j’étais trop heureux de l’entendre gémir comme une pute. Pour une fois que c’était moi qui la baisais ! Elle se contenait un peu néanmoins, histoire de pas ameuter toute sa famille. Je m’enfonçai de plus en plus loin en elle, prenant mon pied comme jamais, et sentant l’orgasme approcher à grand pas. Après deux ou trois autres puissants coups de reins, j’eus un frisson libérateur, et me déversai en elle à grands jets, tandis qu’elle même vivait un orgasme qui la fit s’écrouler dans mes bras.

« C’était ouf mon grand. »

« Je sais. »

Elle me sourit, et on se rhabilla. Puis on sortit doucement du placard pour retourner l’air de rien à la fête. Le repas se déroula normalement, personne ne semblait s’être douté de quoique ce soit. On profita de la fin du repas, puis après le dessert, le petit frère de Katherine m’aborda, et me proposa une partie de play station. J’acceptai, et m’éloignai tandis que Katherine était en grande conversation avec une de ses tantes.

On s’installa dans leur salle de jeu vidéo (oui ils ont une salle juste pour les jeux vidéos), et on se lança dans une partie de call of duty, un jeu où globalement il fallait tirer sur les autres joueurs. On s’amusait assez bien, et on riait beaucoup, notamment parce que j’étais nul.

« En fait t’es encore plus nul que ma sœur. »

Dit-il au moment où je péris pour la douzième fois.

« Elle joue à ça Kat ? »

« Ouais pourquoi ça t’étonne ? Tu sais ma sœur c’est pas une princesse délicate hein. »

« Ouais, j’avais remarqué, dis-je en souriant. »

Puisqu’on parlait du loup, il montra le bout de son nez. Katherine fit irruption dans la pièce, l’air assez mécontent.

« Ah t’es là ? Je te cherche depuis une demi-heure. »

« Ouais je tue des gens avec ton frère. »

« T’as plutôt envie de venir avec moi ? C’est pour les gamins ce jeu. »

« Tu dis ça parce que t’es nulle, répliqua son petit frère. Et puis c’est bon, laisse le vivre. »

Elle s’approcha et répondit :

« Ferme la, morveux. »

Elle se pencha vers moi et lança :

« Toi ramène tes fesses, on a des trucs… d’adultes à faire. »

Elle avait dit ça d’un ton qui pouvait laisser croire qu’on s’apprêtait à faire quelque chose d’ennuyeux, genre des devoirs de fac. Bien évidemment je savais parfaitement ce qu’elle voulait, aussi je lâchai aussitôt la manette de jeu tandis qu’elle quittait la pièce.

« Mec m’abandonne pas comme ça ! grogna son petit frère. Sérieux arrête d’obéir à ma sœur, révolte toi merde ! »

Je lui jetai un coup d’oeil amusé, et affectueusement lui ébouriffai les cheveux.

« Tu comprendras quand tu seras plus grand. »

Je quittai la pièce, et me mis à la recherche de Katherine. J’allai voir si elle n’était pas à l’étage. Sitôt arrivé sur le pallier, la porte de la chambre de Katherine s’ouvrit à la volée, et la belle brune se rua sur moi. Elle me saisit par la chemise de mon costume, et m’entraîna dans la chambre avec autorité.

Une fois dans la chambre, elle me jeta sur le lit, et je m’y écroulai. Elle vint sur moi et me plaqua contre le matelas.

« Désolée mon grand, mais là j’ai envie de te violer. »

« Pas de souci, te gêne pas ! »

Elle m’arracha mon costume, puis ma chemise, me mettant torse nu, puis, elle m’attacha au lit avec ma cravate. J’étais totalement en son pouvoir.

« Ca fait un moment que tu m’as pas attaché. »

Ses yeux brillèrent.

« Oui, même un peu trop longtemps si tu veux mon avis. »

Elle fit courir son doigt le long de mes pectoraux. Puis elle se pencha, et ce fut sa langue qui vint se frotter contre les muscles de mon torse, puis de mon ventre, passant et repassant. Elle se mit ensuite à m’embrasser, puis à me mordre les muscles.

« Hmm t’as un corps tellement parfait. Apollon à côté de toi, c’est un gros lard bedonnant. »

J’eus un petit rire, mais lorsqu’elle m’arracha mon pantalon et me délesta de mon caleçon, je n’eus plus du tout envie de rigoler. Elle me branla avec force, malmenant mon engin comme si elle avait juré d’en extraire tout son jus instantanément. Sa main passait et repassait, le pressant avec force et me faisant vibrer de plaisir.

Elle enchaîna en retirant son shorty, puis, sans même retirer sa robe, elle s’empala sur moi. Elle se mit à me chevaucher d’avant en arrière me baisant si fort que j’étais secoué dans toutes les directions, comme pris au milieu d’une tornade. Sous sa robe noire moulante, son corps de rêve était tout entier en action, ses hanches s’activaient et sa poitrine se secouait à fond. Cette fille était tellement sexy, à me violer comme ça, son visage d’ange tordu par le plaisir, ses yeux brillant de plaisir et de satisfaction, son corps tremblant sous le plaisir qu’elle allait chercher, encore et encore.

On se retenait de gémir de crainte de se faire entendre, et on avait bien fait, car à un moment, la voix de la mère de Katherine retentit :

« Katherine ma chérie ? Tu es là ? »

Tout en me chevauchant, Katherine essaya de répondre, d’un ton naturel :

« Oui, je suis là ! J’arrive dans cinq minutes. »

Pour la mettre en difficulté je me mis à donner des coups de reins par en-dessous, la baisant sauvagement et soudainement. J’y allais si fort, que je la fis rebondir sur moi.

« Ton copain tu sais où il est ? »

En proie à un grand plaisir, la tête renversée en arrière, Katherine semblait incapable de répondre.

« Non… aucune idée ! finit-elle par dire»

Je continuai à lui donner de puissants coups de reins, et elle dut se mordre le poing pour ne pas crier.

« D’accord, à toute à l’heure ! »

Dés que sa mère se fut éloignée, elle me saisit par le cou, et lança :

« Toi je vais te faire payer ça ! »

Elle me donna un violent coup de reins qui me fit lâcher un cri de plaisir. Puis elle accéléra encore le rythme, se déchainant sur moi comme une folle, me baisant si fort, que son grand lit se mit à tanguer et à cogner contre le mur de sa chambre. Elle me mit une gifle, et enchaîna avec un puissant coup de rein qui me tira un nouveau cri. Elle me baisait si violemment qu’on aurait pu croire à un viol, ses hanches percutaient les miennes encore et encore. En me débattant, je parvins à libérer mes mains de la cravate, et la saisit par les hanches, bien décidé à rependre le dessus. En réaction, elle accéléra encore le rythme, me faisant tellement de bien que j’en fus paralysé. Elle me saisit les poignets, et mes les plaqua contre le torse, un sourire moqueur aux lèvres. Qu’est-ce qu’elle était sexy dans sa robe noire à me baiser comme ça ! Ses coups de reins finirent par m’emporter dans un raz de marrée de plaisir, et lorsqu’elle accéléra une dernière fois le rythme, j’eus un monstrueux orgasme, qui me fit me déverser en elle avec force. Elle jouit quelques secondes après moi, et s’écroula sur moi, heureuse et comblée.

« C'est toujours un régal avec toi mon grand. »

« Oui, pareil pour moi. »

Elle m'embrassa, et nous restâmes étendus sur le lit un bon moment. Puis, une fois remis nous regagnâmes la fête.

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