La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1126)

La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) –

… tandis qu’entre mes cuisses, des paquets de mouille continuaient de tomber…

- Eh ben dis-donc, celle-là semble aimer ce que tu lui fais, dit le nouveau… on dirait qu’elle est en attente de la suite…
- Oui, je sais, lui répondit Roger, elle aime les coups que je lui donne, d’ailleurs regarde par toi-même…

Et se reculant, un violent coup s’abattit sur le nez clitoridien le faisant plier et se redresser immédiatement après.

- Aïiiiiie, Ouiii dis-je en ahanant ahhh et en même temps, un autre paquet de mouille sortait de ma chatte, et non par son poids s’allongeait entre mes cuisses qui tremblaient d’envies.
- Tu vois dit Roger à son collègue ?
- Ben ça alors, lui répondit-il, il faut lui en donner d’autres si elle aime ça.

A ces mots, je me mis à trembler complètement, à la fois de peur mais aussi d’envies… Les deux hommes parlaient entre eux, comme si je n’existais pas, plaisantaient sur la voisine du cachot d’à côté, lorsque brutalement et alors que rien ne faisait présager ce qui arrivait, le visiteur m’envoya un coup si terrible sur le clito, que tout à la fois, un énorme paquet de mouille s’échappa de ma chatte maintenant en ébullition, un cri strident sortit de mes poumons tant la douleur était vive, mais que maintenant, tremblante des pieds à la tête, j’étais sur le point d’exploser, sentant les vagues orgasmiques arriver en mon bas-ventre. Oui, ma posture, mon être réclamait maintenant de jouir et peu importe la façon utilisée pour y arriver… Je me mis à en demander encore :

- Ah ouiii Monsieur, encoore, c’est… bon…

Les mots sortaient de ma bouche, hachés, par mes tremblements tant j’avais envie, en des aveux enfin acceptés de mon état.

- Tu veux t’en occuper, demande Roger à son collègue ?
- Ah ça, oui alors, elle a l’air bonne celle-là !
- Je vais te dire comment faire, c’est une jeune femelle qui se découvre alors que l’autre salope (Mélanie), celle-là, est une vieille salope…

En disant cela, il lui asséna à nouveau un terrible coup en travers du sein gauche la faisant hurler terriblement de douleurs, mais qui semblait l’amener aussi aux portes de l’orgasme…

- Avec la nouvelle, frappe fort mais de façon régulière et ici, exactement ici… De son doigt, il désignait un endroit du haut de mon clito.



Pressentant ce qui allait se passer, je me mis de nouveau à trembler très fortement à la fois de peur mais d’envies aussi… Le nouveau, avait pris sa place, me regardait droit dans les yeux, moi j’attendais, j’espérais même, lorsque le coup arriva, subitement, faisant plier complètement mon clitoris vers la chatte. Le coup fut si puissant que comme une onde de choc, tout d’abord ma vulve se ferma, mes yeux se crispèrent, tandis que mon clito se relevait, je sentis le cri arriver de mes poumons, jaillissant de ma bouche de façon si terrible qu’un autre dresseur arriva à son tour. Ma vulve après s’être resserrée se rouvrit immédiatement libérant cette fois, de nombreux paquets de cyprine qui maintenant tombaient en paquets lourds par terre prouvant mes envies.

- Continue dit Roger mais surveille là, il ne faut pas qu’elle jouisse. Ce n’est pas bon de satisfaire ces jeunes femelles à chaque fois qu’elles en ont envie… Faut bien les chauffer pour leur faire comprendre ce elles sont… Regarde-là, elle a peur mais elle attend la suite quand même à voir comme elle est excitée …

- Tu as raison ! C’est une véritable chienne salope !
- Fais lui dire qu’elle en veut encore !
- (s’adressant à moi) Tu as envie, toi ?, la chienne !
- (en tremblant), Oui Monsieur.
- Tu as envie de quoi exactement ? Réponds, salope !
- J’ai très envie de jouir, s’il vous plait !…
- Je vais te faire plus mal encore, tu le sais !
- Oui Monsieur, mais, j’aime…
- Dans ce cas, répondit-il …

Et un nouveau coup terrible, encore celui-là, parce que je n’y attendais pas, me fit en même temps à nouveau hurler et me propulsa vers des sommets d’envies que je ne pouvais plus maîtriser. Je jouissais comme une bête, seule ma chatte comptait pour moi maintenant, oui je jouissais violemment par des orgasmes explosifs irradiant en de multiples décharges électriques remontant sur toute mon échine via des spasmes incontrôlables qui se déversaient en mon corps meurtri en des vagues orgasmiques comme des bourrasques lors des tempêtes orageuses.
Je ne pouvais arrêter ce déluge, jouissant de plus en plus, Roger repoussa son jeune collègue lui disant :

- Tu vois, tu n’as pas maîtrisé ton coup, maintenant elle est partie… J’ai ici deux femelles, la vieille d’à côté et la nouvelle qui ne se connait pas encore. Le but de mon travail est de faire découvrir à la « petite » qui elle est, une salope qui a envie sous les coups, et ses envies, donnent envie à la vieille elle-même. Une femelle qui jouit rend ses voisines jalouses. C’est la Loi de la Nature. Viens te mettre devant Mélanie !

Le jeune dresseur se mit devant Mélanie qui se mit, elle, à trembler.

- Fais-lui dire qu’elle a envie en voyant sa voisine jouir !
- Tu as envie de jouir, toi aussi la grosse salope ?
- Oui Monsieur, répondit Mélanie en baissant la tête.
- Crois-tu que tu le mérites ?
- Seul le Maître le sait, Monsieur !
- Tu vois la différence entre les deux, dit Roger, la vieille sait qu’elle n’a aucun droit et n’a pas répondu ‘oui’ tandis que la nouvelle aurait dit ‘oui’. Continue de la questionner !
- Depuis combien de temps n’as-tu pas joui ?
- Ca fait longtemps, Monsieur ! répondit Mélanie

Disant cela il lui asséna un énorme coup en travers de ses deux seins, les faisant se plier en deux puis rebondir… Tentant de récupérer en respirant profondément, Mélanie accusa le coup en se dandinant, un second arriva tout aussi terrible sur le travers du sein gauche :

- Ahhh cria Mélanie se mettant à trembler de plus en plus fort…

Des larmes coulaient de ses yeux mais en même temps elle laissait couler son abondante cyprine entre ses cuisses quand un troisième coup lui faucha le téton gauche, si terrible que Roger bondit pour voir de plus près… Les yeux crispés, Mélanie encaissa le coup, en tentant de se redresser, crispa ses épaules, elle tremblait de tous ses membres, les larmes coulaient encore en abondance, mais, de sa chatte écartée, sa glaire arrivait de nouveau s’écoulant elle aussi en gros paquets.


- Regarde son clito, dit Roger au collègue, regarde comme il bouge tout seul comme attendant, demandant, espérant même la suite…

A ce moment, une sirène retentit.

- Ah ! dit Roger, on doit les enfermer pour la nuit, la journée est finie… Va fermer les cachots, je te retrouve pour la soirée
- Oui, répondit le jeune qui s’en alla prestement.

Mélanie tremblait toujours, encore une fois inassouvie tandis que moi, de façon moins violente, je continuais de jouir…

- Tu as de la chance, me dit Roger, moi je ne t’aurai pas faite jouir, profites-en car ce n’est pas demain que tu jouiras à nouveau, seul le Maître le décide et jouir est une récompense, n’est-ce pas Mélanie ?
- Oui, Monsieur, répondit-elle.

Roger renferma ses « outils » de dressage, nous lança un dernier coup d’œil et sortit nous disant :

- Bonne nuit les femelles !

Nous laissant Mélanie et moi dans nos poses respectives. J’avais fini de jouir et j’urinais sous moi abondamment. Le jour était tombé, un vent glacial soufflait à l’extérieur et le cachot était très froid. Ni Mélanie, ni moi n’arrivions à dormir… Vers le milieu de la nuit, un garde entra, comme souvent la nuit pour voir si tout allait bien. Il vérifiait que nous soyons bien attachées mais regardant mes mains liées dans mon dos, il me dit :

- Ca va tes mains ?
- Je ne les sens pas, répondis-je ?
- Normal trop serrées, les bouts de tes doigts sont bleus…

Il défit les liens entravant mes poignets, et pour le faire, fut obligé d’enlever le cadenas. Ce garde semblait gentil… Il remit le tout en place et effectivement, je recommençais de sentir des « fourmis » dans mes mains signe que le sang recommençait de circuler… Le garde ressortit après avoir pincé fortement les deux tétons de Mélanie. Je faisais bouger mes mains heureuses de les retrouver. Mais je sentais que je pouvais mieux bouger. Tout à coup, en remuant mes mains, je fis tomber le cadenas…

(A suivre …)

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