L'Emprise...
Un après-midi dété, me retrouvant seul depuis peu, et alors quil faisait beau et chaud à lextérieur, il me prit lenvie de pianoter sur mon ordinateur dans notre jardinet. Un carré de dix mètres de côté doù ma compagne en avait fait un petit antre de paradis. En lagrémentant dune panoplie de plantes et de fleurs des plus diverses. Qui une fois fleurie donnait une harmonie à ce terrain jusqualors fade.
À peine avais-je franchit la porte fenêtre que je fus accueillis par un coup de klaxon. Cétait tout bonnement Claire, ma compagne, qui à bord de la voiture et de la grille mapercevant me fit un petit coucou. Elle partait en ville faire quelques courses.
Je lui fis un signe de main quelle me répondit avec un beau sourire dont elle en a le secret.
Elle démarra et très vite disparut de ma vue. Le silence se fit autour de moi.
Seuls les oiseaux se faisaient entendre. Je percevais à peine la rumeur de lautoroute pourtant très propre. Et cétait bien agréable. Je pris place sur le bain de soleil et attaquais. Les mots dégoulinaient sur lécran. Lécriture est pour moi un flux de plaisir pendant mes temps libres. Tout en voguant sur les touches, je visualisais la scène pour mieux le coucher sur papier. Cela commencer de la douce étreinte, aux caresses qui allait mener jusquau plaisir. Je prenais un pied fou de tout transcrire. Une occasion comme une autre de me procurait dagréables sensations.
Cétait alors que je me sentis épié. Un coup dil discret suffit pour lintercepter. Je parle de la propriétaire des lieux. Une bourgeoise octogénaire, pas moins que ma patronne qui prenait plaisir à jouer les voyeuses. Il nétait pas question pour moi de lui jeter la pierre, étant moi aussi un adepte du genre. Elle se postait pour cela, derrière la vitre de la fenêtre qui se trouvait à laplomb de notre jardin et de là, elle nous espionnait. Parfois à laide dune paire de jumelles.
Lécriture polissonne additionnait au fait dêtre pisté allouait à ma personne un cocktail explosif dexcitation.
Pour ce faire, jallais chercher dans la buanderie de la patronne une culotte se trouvant dans le panier de linge sale. Elle était en dentelle noire, de taille XXL. Puis je passais par ma chambre. Me saisissant de mon masturbateur. Mais alors que je mapprêtais à sortir mon regard se porta sur un string que ma compagne avait laissé choir sur une chaise. À la virgule blanche qui souillait son fond, pas besoin dêtre Devin pour savoir quil avait été porté. Je le pris au passage et retourner au jardinet.
Dun coup dil furtif je me rassurais de la savoir toujours à son poste dobservation. Il était temps pour moi de passer à laction. Une main sur chaque hanche, tout en tournant, je descendais centimètre après centimètre et cela de chaque côté mon short. Pour pimenter linstant, je me balançais en cadence tout en tournant. Quand je fus de dos, je descendis vivement mon short et le remontais aussi vite, le temps de lui dévoiler mon cul.
Ivre de mon excitation, je pivotais et lui refis la même exhibition mais là de face. Le temps de lui exposer ma verge de taille adulte. Puis de nouveau je lui présentais mon côté pile. Pour me saisir du short tomber à mes pieds, je me penchais en avant, gardant les jambes le plus droite que je le pouvais et tout ça en me tortillant du cul. Javais pris plaisir à penser quelle avait du zoomé pour avoir une belle vue sur mon fion.
Puis je me remis de face, me présentant à elle nu comme le jour de ma naissance.
Lui exhibant ma queue forte dune érection qui à force dêtre dure me faisait mal.
Je savais par expérience que cette catégorie de femmes à défaut dautre chose, se branlaient comme des folles. Leurs seules sources de jouissance. Que ce soit dans la solitude dune chambre ou dans une salle de bains. Parfois même dans le salon devant la télé quand la possibilité leur était donnée.
Au milieu du jardinet, je naurais jamais imaginé que jéprouverais une aussi forte stimulation. Je me suis allongé, laissant les rayons du soleil caresser ma queue.
Une verge noueuse avec les veines saillantes qui ne cessait pas de tambouriné mon ventre.
De la mouille sécoulait du méat. Reliant ma verge à mon ventre dun fils translucide.
Jattrapais mon masturbateur, et amenais les lèvres en résines au contact de mon gland. Sans être légal à un con il ne restait pas moins agréable à défaut dautre chose.
Jentubais alors mon sexe dans le joujou, jusquà la garde. Lextrémité de ma verge, transmettait très vite des sensations fortes à mon cerveau.
Tout en exerçant un mouvement de va-et-vient au masturbateur, je me saisis de ma main libre du string de ma belle et le portais jusquà mes narines. Lempiècement au contact de sa chatte était moite. Je le renifler. Il avait lodeur de ses sécrétions et de sa pisse.
Je dus à plusieurs reprises arrêter le pompage avec mon joujou de peur de jouir trop rapidement. Sachant très bien que plus je repoussais léchéance plus ma jouissance sera forte.
Je poussais alors limmoralité en me saisissant de la culotte de la vieille.
Après lavoir bien exhibé pour quelle reconnaisse son bien, je la portais elle aussi jusquà mes narines, la respirant à plein poumons. Une essence très épissé sen dégagea, à me faire perdre le peu dhonnêteté qui me rester. À me faire augmenter le rythme de mon poignet. Des picotements agréables se firent sentir. Le début dune imminente éjaculation. Jattendais la dernière seconde pour écarter le masturbateur. Cela fit comme un bruit de bouteille que lon débouche. Tout de suite après, jemmitouflais ma queue dans la dentelle de la vieille et finis ma branlette jusquà la jouissance, propulsant cette dernière à lintérieur du sous-vêtement, en gémissant généreuse comme si je le partageais avec elle.
Mon excitation fondu, je me sentais un peu con dans cette tenue devant les yeux de la vieille. Je mempressais de me mettre à labri à lintérieur de chez moi. Et bien sûr de tout remettre à leur place. La dentelle de la vieille dans le panier, mon masturbateur dans ma table de nuit, le string sur la chaise. Mais alors que je mapprêtais à rejoindre le salon, je perçus un bruit de porte quen ferme, celle de la buanderie pour être plus précis. Le temps de me passer le short et jallais aux nouvelles. Fait extraordinaire, la dentelle noire avait disparut du haut de la pile de linge sale. Étant seul avec la vieille à cet instant de la journée, la déduction était vite fait. Elle avait repris son bien. Mais quoi en faire ?
Javais tout au moins ma petite idée en tête. Pour le savoir, je métais empressé de grimper les escaliers de service deux par deux. Alors que jarrivais sur le palier je la vis seulement sortir de lascenseur et emprunter le couloir qui allait la mener jusquà sa chambre. Jattendis quelle disparaisse de ma vue pour mengager dans le même couloir, à pas de velours jusquà arrivée au chambranle de la pièce où elle se trouvait.
Je risquais un il pour la voir assise devant son écran de télévision en train de mâchouiller sa culotte. Il ny avait aucun doute sur ce quelle faisait. Elle récupérait ma jouissance à travers les mailles de la culotte en la suçotant.
Je sentais de nouveau monter en moi, une sourde excitation. Plus forte que celle que javais éprouvée quelques minutes plus tôt. Piquant mon vice comme une drogue. À me faire sortir de ma planque pour me retrouver en face delle. Elle mit un certain temps avant de sapercevoir de ma présence. Tant son attention était transportée par ce quelle faisait. Quen enfin, elle saperçut de mon être, cela la fit sursauter.
- Que faite vous là ? Sinjuria-t-elle.
- Je vous regardais tout bonnement.
- Et quest-ce qui vous autorise à me regarder ? Vous êtes fou ! sécria madame.
Attendez un peu que je vois votre dame.
- Vous voulez que jaille raconter à votre petite famille comment vous passer vos après-midi. Répliquais-je.
Elle accusa le coup, resta un temps muet, avant démettre :
- Pourquoi faites-vous cela ! Cest malhonnête de faire cela à une vieille femme, fit-elle dune voix chevrotante. Un tic secouait sa paupière. Je peux vous donner de largent, si vous voulez, mais laissez-moi. Je vous en supplie.
- Je ne veux pas de votre fric ! Je veux juste mamuser un peu avec vous. Fis-je, en défaisant la boucle de mon short.
- Oh ! Que vous apprêtez-vous à faire ?
- Mon petit doigt me dit que vous aimez mon lait
- Pardon ! Que dite vous là ?
- Vous avez très bien compris madame. Ripostais-je exhibant ma verge.
- Cest dégoûtant, gémit-elle, le regard fixant mon oiseau. Vous savez, je pourrais être votre mère. Alors comment pouvez-vous
Faisant attraction à ce quelle baragouinait, jenroulais ma verge de mes doigts et commençais à exercer sur elle un mouvement de va-et-vient. Tête basse, la vieille ressemblait à une élève punie.
- Mais regardez donc. Je traie ma verge pour en tirer du bon lait. Le même avec lequel jai souillé votre slip. Et qui à croire comment vous lavez tété semblait être à votre goût.
Elle ferma les yeux sous laffront, effrayée par le cru de mes mots. Les lèvres tremblantes, elle bredouilla quelques mots inintelligibles.
Lentement dabord puis de plus en plus rapidement, je me branlais. Tripotant avec lautre main, une de mes grosses couilles. Je sentais les ondes de plaisir monter.
Faisant que ma queue se tendait encore et encore. Mon sperme était tout proche de faire sa sortie. Puis mon corps soudain sarque bouta. Un râle séchappa de ma bouche. Jenserrais ma verge comme pour mieux diriger le jet intarissable presque effrayant de sperme.
La première giclée alla sécraser sur les lèvres de la vieille qui eut le réflexe douvrir sa bouche pour recevoir les deuxièmes giclées. Le restant se perdit sur la moquette. Lexcitation retombée, je me sentis un peu honteux de me retrouver la queue en main devant ma patronne.
Alors quelle, dun revers de main, elle essuya le sperme qui avait coulé sur son menton. Avec un sourire effronté, elle fit mine de me gronder pour ce que je javais fais alors que je replaçais ma verge molle dans mon short. Au lieu de menfuir je restais sur place, à la scruter dun air bizarre, à remettre de lordre dans ses cheveux collés à son front en sueur. Surprise que je sois encore en face delle, elle me proposa :
- Tu en veux encore
là ? Fit-elle en déboutonnant son jean et en désignant son entrecuisse. La respiration courte, les joues en feu.
- Non, non, maugréais-je.
- Vous êtes sûr que ça vous ne vous dis rien ? Allez juste une autre petite gâterie
- Non, merci
fis-je en prenant la direction de la sortie.
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