La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1125)
La Comtesse et son clitoris Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite de l'épisode N°1107)
- Tu es une bonne chienne en chaleurs bonne pour le cul
Cette première journée se passa ainsi, toujours attachées et juchées sur la pointe des pieds. Mélanie semblait accepter sa servile condition et était beaucoup excitée. De mon côté, je commençais de ressentir de curieuses sensations. Positionnée comme je létais, mes orteils me faisaient souffrir terriblement, mes articulations dépaules également, je ne pouvais pas bouger, et mes cuisses étaient en feu, bloquées quelles étaient par des crampes
Nous étions silencieuses, Mélanie et moi, comme méditant, chacune de notre côté sur notre condition. Depuis les autres cachots, des cris nous parvenaient, cris mêlant souffrances et plaisirs jouissifs. Nous entendions claquer des fouets, mais en même temps ou plutôt, quelques secondes plus tard, de longs cris de jouissances nous parvenaient aux oreilles. Tournant son regard vers moi, Mélanie me dit, tout bas :
- Tu commences à mieux comprendre ce qui se passe ?
- Je ne sais pas, répondis-je, je suis troublée
et excité même, par tout ça
- Oui, tu en jouis, toi aussi
- Ah oui, dis-je devant reconnaître cette incroyable réalité !
- Tu vois, poursuivis Mélanie, ces poses dures à tenir, te font souffrir, mais en même temps, ne tempêchent pas de jouir
- Cest vrai
- Elles te permettent de réfléchir à ta véritable nature et den trouver du plaisir à être que tu es
Tentant de soulager quelque peu mes orteils, mais en vain, je répondais :
- Mais je ne suis pas maso, quand même, jai vraiment mal !
- Je ne tai pas dit que tu étais maso, je tai dit que la douleur et limmobilisation douloureuse qui est la tienne en ce moment, ne tempêche nullement de jouir, ce nest pas la même chose. Tu jouis, parce que Roger texcite par ce quil te fait, tout en souffrant en même temps.
- Cest vrai ! Oui cest vrai, jaime ce quil me fait, je lavoue...
La journée était bien avancée, Roger passait quelques fois, nous regardait toutes les deux, têtes baissées, comme vérifiant notre état. Lorsquil voyait que tout « allait bien », il décrochait la cravache qui pendait toujours à sa ceinture et recommençait ses coups, dabord et en premier sur Mélanie puis ensuite sur moi. Avec Mélanie, il se concentrait surtout sur ses seins et le dessus de ses cuisses, tandis quavec moi, cétait à lintérieur de mes deux seins, sur les côtés, les tétons et également lextérieur de mes cuisses. Aussi bien Mélanie que moi, étions trempées à la fin de la séance, à lévidence cela nous excitait dêtre traitées ainsi. Pour les repas, de jeunes femelles, nues portant collier, venaient nous faire manger. Dans leurs mains, une écuelle en bois, quelles nous tendaient devant la bouche, et nous devions laper la bouille nourrissante qui servait de repas. Après ce repas du soir, Roger revint et me délivra enfin de mes liens. Il dut maider à me relever tant jétais tétanisée des muscles. Les crampes dans les mollets et les cuisses étaient telles que je narrivais pas à me tenir debout.
- A quatre pattes me dit-il, tu seras mieux !
Effectivement, dans cette position, jétais plus à laise, étirant de temps en temps ma jambe droite, puis la gauche, goûtant à cette « liberté » de mouvements. Dans cette pose, il regardait mes voûtes plantaires, abimées par les pointes
Après vérification, il mordonna :
- Reste sur tes genoux mais relève tes pieds vers moi !
Jexécutais rapidement son ordre. Placé derrière moi, il prit sa cravache et commença, entre les orteils et le talon, un labourage systématique de ma voûte plantaire, évitant les orteils blessés. Les coups étaient secs, puissants, réguliers, je hurlais tant ils ravivaient mes douleurs mais au bout dun moment, je recommençais de sentir mon ventre se creuser, ma chatte et mon cul, encore dilatés, se remettaient à vibrer comme appelant un mandrin
lexcitation prenait le dessus sur la douleur.
- Laisse tes pieds ainsi relevés !
Jobéissais bien sûr, tandis quil apportait un sac nouveau et mexpédiait dehors. Je sortis ainsi, à quatre pattes, pieds relevés en lair en appui sur mes mains et mes genoux. Lair vif me glaçait, à la porte des autres cachots, dautres esclaves, comme moi, étaient dehors, dans la même position. On se regardait mutuellement sans un mot. Dans mon cachot, jentendais Roger remuer des choses en métal, puis :
- Allez revient, mordonna-t-il !
Tandis que je retrouvais Mélanie dans la même pose, il avait tout changé de mon côté. Mattrapant par les cheveux, il me tirait en un autre endroit du cachot, face, cette fois à Mélanie. Arrivée au mur recouvert de moisissures, mur qui suintait dhumidité, il me fit me tourner sur place, toujours tenue fermement par les cheveux, et me plaqua les fesses et les pieds contre le mur. Jétais toujours à genoux. Sur le mur, trônait un anneau, duquel partaient deux crochets avec pour le premier une chaîne ayant en son extrémité, un collier métallique, et du second, deux autres chaînes terminées par des colliers de même nature. Roger me fit me redresser et attacha mon cou à lune des chaînes, tandis quil enfermait mes chevilles avec les deux autres colliers. Les chaînes étaient si tendues que javais les voûtes plantaires collées au mur ainsi que les fesses, tandis que la chaîne me tenant par le cou, me redressait fermement. Roger plaça entre le mur et mes reins, une calle en bois qui appuyait fortement sur mes reins, me fonçant à me cambrer, dans cette pose, ma poitrine était bien exposée.
- Tu vas rester ainsi toute la prochaine journée, me dit Roger, cest une autre pose moins dure que la première mais tu ressentiras ça toute seule
Il se recula un peu, regardant son uvre, reprit sa cravache, et en asséna un premier coup, très sec sur mon téton droit. Surprise, je me mis à hurler de douleur. Un second arrive encore plus durement frappé qui aviva la douleur du premier coup. Il frappait encore et encore, avec méthode, sur le bout du téton qui se mettait à enfler
Il regardait son travail ainsi que le téton grossi et allongé. Roger se mit de travers par rapport à moi et poursuivit son uvre sur le téton, par des coups donnés en travers. 10, 20, 30 coups sabattaient me faisant à la fois hurler mais je sentais en même temps que de ma chatte entrouverte, coulait ma liqueur vaginale. Roger mobservait avec attention tout en poursuivant ses coups et me dit :
- Tu aimes ? chienne !
- Ouiiiiii ! Jai envie Monsieur, fut ma réponse spontanée
Il se mit à rire non pas sarcastiquement mais avec une sorte de « bonté » me disant :
- Tu commences à comprendre ce que tu es réellement ?
- Aïe, criais-je alors quun énième coup arrivait.
A partir de ce coup, chaque suivant me faisait mouiller de plus en plus
Se reculant un peu, le téton droit très gonflé, il regardait, puis sinclinant un peu plus, ses yeux se portaient entre mes cuisses, très trempées maintenant.
- Tu mouilles vraiment petite salope ! me dit-il et Oh !, que vois-je là, quel beau clito bien raide
Présente-le moi, salope, toi-même
- Monsieur, entravée comme je le suis, ce nest pas facile, répondis-je
- Je sais, dit sèchement Roger. Fais-moi comprendre de toi-même que tu as envie que je moccupe de ton clito comme je lai fait avec ton téton
Et après avoir dit cela, un coup très fort sabattit sur mon téton gauche cette fois.
- Tu mouilles vraiment, toi, dit Roger, jamais vu une femelle mouiller autant et si vite.
Entendant cela, Mélanie tenta de regarder en tournant sa tête vers moi. Dun coup terrible et non prévu, Roger lui asséna un très violent coup sur un sein, qui fit hurler Mélanie si fort que quelques secondes plus tard, un autre dresseur arriva en courant, demandant ce qui se passait.
- Cest rien, répondit Roger, cest cette chienne qui a été surprise par un coup quelle nattendait pas.
- Ah ! bon, je comprends, dit le dresseur visiteur.
Ce dresseur devait avoir une trentaine dannées, beau comme un dieu, solide comme un turc. Ses muscles saillants, ses tatouages, tout démontrait une santé florissante, un mâle vigoureux dans toute sa splendeur. Après avoir regardé les seins de Mélanie, il me regarda et ce quil vit sembla linterpeller. Jétais dans la pose que vous savez, la tête redressée en arrière, la bouche ouverte, cuisses écartées, téton droit très marqué, et le clito en feu, tandis quentre mes cuisses, des paquets de mouille continuaient de tomber
(A suivre
)
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